Meursault 1er cru Perrières 2004;

1er nez sur les fruits et fleurs blancs, puis, au rechauffement, des touches beurrées de viennoiseries tièdes. Un nez archetypale de son appellation.
L'entrée de bouche est marquée par une forte acidité aux accents salins. Belle matière, ample, large marquée toujours par cette acidité saline véritable colonne vertébrale du vin. Une belle bouteille. 16/20.

Bonjour à tous,

Pour l'apéro ce soir, j'ouvre ma seconde et dernière bouteille de ce Domaine Bouchard Père et Fils - Pouilly Fuissé 2011

Un vin issu de l'activité négoce de Bouchard P&F donc. La première bouteille avait été bue à l'apéro également il y a quelques mois et je l'avais trouvée peu intéressante bien que mes invités aient apprécié.

Nez : La pomme, la pierre à fusil, des notes citronnées. Le tout reste très discret.
Bouche : Une attaque très plate mais à l'évolution apparaît le citron et le silex. Ça s'effondre assez rapidement en bouche!

Toujours pas convaincu par ce vin donc. Je n'en achèterai plus.

Bien cordialement,

Thibault

Deuxième rencontre en 61 ans avec un millésime de ce vin.
C'était hier soir.
Montrachet 2006 du Domaine Bouchard

A l'ouverture,
-le nez est puissant et élégant, sur les agrumes, le beurre frais, quelques nuances de noisette et des touches de brioche.
-la bouche est d'une concentration remarquable, d'un équilibre parfait, d'une fraîcheur délicieuse et d'une longueur incroyable. Un vin qui n'en finit pas de finir, qu'on croit avoir encore en bouche quand on l'a avalé. Le volume impressionnant est masqué par la finale de toute beauté.

A table, c'est un ravissement.
Les autres bourgogne blancs semblent bien maigres à côté.

Comment évolue le Volnay Premier Cru Caillerets Ancienne Cuvée Carnot 2007 du Domaime Bouchard?

-Le nez est plaisant et assez puissant sur la cerise et la groseille, avec, à l'agitation, des nuances de "verdeur".
-La bouche est assez "ronde", marquée par l'alcool, à l'attaque, puis l'acidité se manifeste et s'associe à des notes réglissées dans la finale. L'ensemble est équilibré, surtout pour un 2007, avec une belle complémentarité entre l'alcool, la matière tannique et l'acidité.

C'est bon, c'est long... Mais ça ne vaut pas un 2002

Domaine Bouchard Père et Fils : Meursault 1er cru les Genevrières 2005 (1/2 bouteille)

Bouteille ouverte et dégustée dans la demi heure qui suit.
Le nez fait ressortir des parfums de noisette verte qui ne font que s'amplifier au cours du repas.
La bouche est assez puissante sur cette même noisette verte, avec des notes de beurre et un bel équilibre général.
Une demi bouteille qui ne présente aucun signe d'évolution et qui reste très jeune.

Bien cordialement.

vincent

Domaine Bouchard Père et Fils - Volnay 1er Cru Les Chanlins - 1999

Nez superbement complexe et intense : fleurs séchées, pointe de réglisse et de végétal, fruits rouges, terre fraîche, on y passerait des heures
La bouche est à l'avenant, élancée avec du volume, des tanins de belle qualité malgré une légère accroche en dégustation pure qui passe totalement inaperçue à table. L'acidité est présente mais parfaitement intégrée à la matière.
Belle finale, sur l'aromatique du nez

Top, me semble parfait maintenant!

Marc

Nouvelle rencontre, hier, avec un Meursault Premier Cru Genevrières 2007 du Domaine Bouchard.

Il était servi entre des Chassagne Morgeot Fairendes 2008 de Morey-Coffinet et des Meursault les Tessons 2008 de Pierre Morey.

Je commente un verre du fond de la bouteille, que je déguste à l'instant.
-Le nez est très frais sur les agrumes, les fleurs, la noisette verte et des nuances de beurre. Il est élégant.
-La bouche est séduisante. Savoureuse, elle offre fruits et jolis amers. Concentrée, elle est ample. Fraîche, elle possède une belle acidité qui contribue à la grande longueur de la belle finale aux nuances acidulées de citron.

Très jolie bouteille, à mon avis.

Première rencontre avec un Pommard Premier Cru Rugiens 2007 du Domaine Bouchard.

Le nez est élégant sur la confiture de cerises, la gelée de myrtilles, le noyau de cerise et des nuances épicées.
La bouche est savoureuse et fraîche, plus longue que ample. L'acidité s'impose face à la matière tannique et l'emporte dans la finale à laquelle elle donne de la longueur.
Mais le vin reste très agréable, il n'est pas déséquilibré par cette acidité marquée mais pas excessive.
Un vin à boire en mangeant et non pas seul en dégustation.
J'ai goûté également aujourd'hui un Volnay Caillerets Ancienne Cuvée Carnot 2007, déjà commenté dans cette rubrique.
Le Volnay me semble plus "rond", plus ample, moins acide.

Depuis vendredi soir, j'ai ouvert deux bouteilles de Volnay Premier Cru Caillerets Ancienne Cuvée Carnot 2007 du Domaine Bouchard

La première m'a semblé dominer un Pommard Rugiens 2007 du Domaine Bouchard, qui, à mon avis, s'imposait face au Pommard les Rugiens 2007 du Domaine de Montille.

La seconde passe après un Gevrey Monopole et Premier Cru Clos du Fonteny 2007 de Bruno Clair.
J'ai bu avec plaisir une nouvelle fois ce Fonteny 2007.
Je voulais voir l'impression que me ferait le Caillerets Ancienne Cuvée Carnot derrière lui.
J'ai, une fois encore, beaucoup aimé ce Caillerets 2007 qui me semble actuellement supérieur au 2008.
Le nez sur la cerise, la groseille et les épices, est élégant. Il fait espérer une bouche agréable et c'est le cas.
Elle est ronde à l'attaque: matière tannique, alcool et acidité se fondent et s'équilibrent harmonieusement. Ce vin savoureux est ample en milieu de bouche et donne une sensation de tannins assez soyeux. La finale doit sa longueur à la belle matière tannique savoureuse et à l'acidité qui nous permet de garder une sensation d'agréable fraîcheur.

Des 4 Premiers Crus 2007 rouges bus pendant ce week-end prolongé, c'est le Volnay Caillerets Ancienne Cuvée Carnot que je préfère.

Domaine Bouchard Père et Fils - Savigny les Beaune 1er Cru - Les Lavières 2011

Au nez, le vin pinote clairement, c'est assez alléchant et déjà à point bien qu'un peu léger. En bouche, c'est par contre la déception, on distingue un peu de fruits rouges mais ca n'a clairement pas le volume ni la longueur d'un 1er cru, c'est un vin simple, de soif, sans artifice mais franchement sans grande complexité. Je m'attendais à mieux.

Paul

lapassionduvin.com/p...

Je pensais, lundi midi, me limiter à deux Bourgogne, un blanc et un rouge.
Mais lorsque le choix s'est arrêté sur ma dernière bouteille de Corton-Charlemagne 2006 Domaine Bouchard, j'ai pensé qu'il fallait introduire ce vin dont j'avais beaucoup aimé les 5 premières bouteilles de la petite caisse de six par un blanc de Bourgogne.
J'ai opté pour un Chassagne Premier Cru En Remilly 2009 de Morey-Coffinet.
Le vin de Thibault Morey a plus que bien tenu son rôle, il n'était pas qu'un "faire-valoir", il tentait de se faire une place et d'occuper une partie de l'espace qui devait revenir au Corton-Charlemagne.
Je me suis posé la question d'un problème de bouteille pour le Corton-Charlemagne: le vin n'avait pas la fraîcheur, l'élégance et la "tension" des autres bouteilles de la caisse. Il était un peu mou. Ou alors, une évolution rapide liée au millésime 2006?

Dimanche soir, je servais du Volnay Caillerets Ancienne Cuvée Carnot 2007 à mes invités et en goûtant ce vin, mes amis d'Istanbul m'ont demandé quelles étaient les différences entre les Volnay et les autres vins de la Côte de Beaune.
Des travaux pratiques étaient nécessaires pour illustrer la réponse.
Il me fallait deux autres premiers crus du même producteur et je savais où trouver, sans une longue recherche, les Pommard Premier Cru les Pézerolles et Beaune Grèves Vigne de l'Enfant Jésus 2006 du Domaine Bouchard..
Le choix des Pézerolles 2006 s'expliquait par les louanges de Bettane et Desseauve dans leur Grand Guide 2009. Ils l'avaient classé dans leur sélection des 5 meilleurs rouges de la Côte de Beaune.
J'avais donc acheté cette cuvée et j'en ai déjà bu avec plaisir trois bouteilles qui ont été commentées dans les pages précédentes, sauf oubli.
Ce vin, excellent, ne m'a pourtant jamais semblé grandiose et ce fut encore le cas dimanche. Il n'écrasait pas le Volnay Caillerets, même s'il avait une matière plus concentrée et un peu plus de longueur.
Le choix de la Vigne de l'Enfant Jésus 2006 était la réponse au souhait de mes amis qui avaient déjà vu l'étiquette et la trouvaient jolie.
La Vigne de l'Enfant Jésus m'a semblé l'emporter: un nez complexe, une bouche concentrée, riche en tannins fins et savoureux, un superbe équilibre et une jolie finale. C'était la première fois que je goûtais ce millésime.

Content de voir que le Beaune Grèves Vigne de l'Enfant Jésus 2006 se présente aussi bien; année de naissance oblige, j'en ai pas mal de bouteilles.
Estimes-tu, Thierry, qu'il a encore un potentiel de vieillissement?
Merci
Guillaume

Guillaume,

"Jeune", car récent, amateur de Bourgogne, j'ai commencé à mettre en cave Le Beaune Grèves Vigne de l'Enfant Jésus dans le millésime 2006.
Je n'ai goûté que deux millésimes reposant dans ma cave: 2007 puis 2006, deux très belles bouteilles.
Le 2006 me semble pouvoir être bu dès maintenant tout en ayant un bon potentiel de garde.
Un professionnel habitué de la maison Bouchard m'a raconté l'anecdote qui figure sur le site d'A. Meadows:
on leur a à tous les deux servi le Vigne de l'Enfant Jésus en dernier lors d'une dégustation. Juste avant, il y avait le Chambertin Clos de Bèze et le Vigne de l'Enfant Jésus s'en sortait avec panache.

Domaine Bouchard Père et Fils Beaune Du Château 1er cru 2005 blanc (magnum)

Le vin a été épaulé 2h avant d'être servi à table.
Ce sont de discrets parfums de poire et de fleurs blanches qui ressortent ici et là.
La bouche est toute en douceur.
Néanmoins, je reste "sur ma soif" face à un manque de parfum en général.
Le lendemain, pas d'amélioration.
Un vin assez en retrait dont j'attendais un peu plus de présence.

Bien cordialement.

vincent

Domaine Bouchard Père et Fils : Bourgogne pinot noir 2011

Robe pourpre d'une intensité moyenne. Nez dominé par des arômes de petits fruits rouges et quelques notes d'épices légères. Bouche ronde et soyeuse. Un vin agréable.

Bien cordialement

Alain

Bonjour

Bouteille bue lors d une soirée Ici

Bouchard P&F , Beaune Gréves " Vignes de l'enfant Jésus " 1 er cru 2003 :

Nez intense et riche sur des arômes torréfies, de fruits noirs et de graphite. La bouche est dense, assez soyeuse mais un peu strict sur des arômes de fruits noirs murs,de griottes et des notes torréfies. C est large, assez complexe avec une belle matière et une finale persistante et sans lourdeur. Très beau vin. J étais partis sur un beau pommard de belle facture.

sur un beau pommard de belle facture.

Bonjour, Julien.

Je te comprends: j'ai décrit un peu plus haut la confrontation "Vigne de l'Enfant Jésus - Pommard les Pézerolles" dans le millésime 2006.
J'avais été surpris de la parenté de style et de la domination du Vigne de l'Enfant Jésus.

bonjour Thierry,

Je ne connais que tres peu les vins de Bouchard donc peu de recul. Par contre sur cette degustation j etais partis sur un pommard "les epenots" du domaine Courcel ou Conte Armand.
belle surprise pour moi et j aimerai bien revoir ce vin sur un millesime moins "chaud".

J'ai ouvert, ce soir, un Volnay Premier Cru Caillerets Ancienne Cuvée Carnot 2006 du Domaine Bouchard.

Le nez est très agréable: cerise noire et son noyau, prune, réglisse avec de délicates touches d'un élevage qui se fait presque oublier.
La bouche est concentrée, savoureuse, avec des notes de fruits noirs et de réglisse, ample et d'une belle longueur. Le vin est équilibré par une acidité discrète qui s'exprime en finale.

Ce 2006 évolue bien: c'est la première fois que je le trouve capable de rivaliser avec le 2007, voire de le dominer.

Le Meursault Les Clous 2012 du Domaine Bouchard est un coup de coeur du Guide des Vins 2015 de Bettane et Desseauve. Il lui donne 17/20 et souligne son côté "racé, délicat persistant". Il est une "parfaite illustration d'un grand blanc bourguignon".

J'ai donc eu envie de découvrir ce vin.
Je l'introduis par un peu de Chablis Droin 2012.
Et je déguste:
-Le nez est un peu discret mais élégant. Il offre des notes d'agrumes, peut-être de pomme verte, sur un fond de noisette verte.
-La bouche est fraîche et concentrée. Ce vin est ample et long. Une belle acidité "transperce" le léger gras et donne de la longueur à la finale.

C'est bon et à attendre, je pense, le vin va offrir par la suite plus de plaisir.
Dans l'immédiat, je ne partage pas l'enthousiasme du Guide.
Je vais goûter à nouveau cette bouteille demain. Il y aura peut-être une évolution très positive.

Après 24 heures d'ouverture, le Meursault Les Clous 2012 a un nez plus puissant, toujours sur les agrumes et la pomme verte. Un peu de beurre se mêle à la noisette.
La bouche est peu modifiée, acidité et gras sont peut-être plus fondus, ce qui accentue l'impression d'équilibre.

Pour moi, un bon, voire même un très bon blanc bourguignon, mais toujours pas un grand. Je ne parviens pas à être d'accord avec le Guide 2015.

Domaine Bouchard Père et Fils, Hautes Côtes de Nuits rouge 2012
J'ai trouvé ce vin rond et gouleyant, le fruit s'exprime bien aujourd'hui principalement sur de la cerise.
Vraiment sympa, j'en attendais moins pour une entrée de gamme.

Nouvelle rencontre, ce midi, avec un Pommard Premier Cru Rugiens 2007 du Domaine Bouchard, découvert le 7 juin dernier
lapassionduvin.com/p...

Le nez est, cette fois encore, élégant sur la confiture de cerises, la gelée de myrtilles et des nuances d'épices et de noyau.
La bouche reste savoureuse et fraîche. Elle est longue et possède un beau volume. L'acidité me semble moins dominer la matière tannique. Le vin me semble avoir un meilleur équilibre même si l'acidité s'impose dans la finale dont elle contribue à la longueur.

Je compare un Savigny Premier Cru les Lavières 2010 du Domaine Bouchard aux Monthélie Champ-Fulliot 2010 de R. Jobard et au Volnay Fremiets 2010 de N. Rossignol, ouverts hier et commentés ici:
lapassionduvin.com/p...

"Les Lavières" est peut-être dans une période de fermeture. Il ne me charme plus autant que dans sa prime jeunesse.
Le nez, sur la cerise et les épices, est souligné par des notes d'élevage agréables "à la Bouchard".
La bouche est équilibrée, l'acidité adaptée à la matière tannique donne de la longueur à la finale sur le fruit et les beaux amers.
Ca reste très, très bon.

Il me semble moins marqué par l'acidité que Champs-Fulliot et donc encore plus équilibré. Le Fremiets a plus de charme et d'élégance.
Le meilleur rapport qualité/prix me semble être Les Lavières.

Domaine Bouchard Père et Fils Le Corton 2007

Le vin a besoin de beaucoup d'air pour dévoiler un nez un peu plus animal que je ne le souhaiterais.
La matière est belle mais un peu monolithique. c'est encore assez serré et les tannins mériteraient d'être plus fondus. Bonne longueur.
Beaucoup de 2007 se goûtent très bien actuellement mais ce n'est pas le cas de celui-ci qui est vraiment trop jeune et dont les arômes
manquent pour l'instant de charme. Le 2008 goûté à deux reprises est, je trouve, un peu au dessus. Très joli quand même mais à attendre.

Cordialement,
Louis

"Un simple" Monthélie Domaine 2011…

Trés bien, un bon bourgogne, facile, typique.

Sur la cerise et les fruits rouges.

BIEN ++

Domaine Bouchard Père et Fils Monthélie 2006

Bouteille ouverte ouverte et servié dans la foulée à 16°. La robe est très claire évoluant vers la brique. Le nez est épicé, quelques arômes de fruits au sirop mais sans plus. En bouche c'est assez bien équilibré, le fruit est plus présent mais toujours des notes d'épices.. La finale est moyenne. Un vin à ne plus attendre. Un vin tranquille qui se marie parfaitement avec l'agneau grillé du jour.

Meursault Genevrières 2008 - Domaine Bouchard Père et Fils
Avec un peu de retard (vin du réveillon de noël...2013), dont le (bon) souvenir m'est revenu récemment :
Typé Meursault, il présente un bel équilibre entre fruit, élevage, et minéralité, avec une belle tenue en bouche. Un peu à la peine sur les huîtres (demi-surprise, mais j'ai voulu essayer), il était très bon avec les queues de langoustes. Le meilleur accord (et de loin) a été réalisé avec le chapon rôti, car il faut un vin comme celui-là, consistant et avec une sacrée présence, pour accompagner un tel plat. Le lendemain, il était encore plus riche, avec des notes de réglisse et de zan. Un vin qui nous a donné beaucoup de plaisir. TB
Olivier