Anthony,

Bon retour par chez nous

Amitiés

Anthony,

J'ai acheté 6 flacons dès la mise en bouteilles et on m'en a offert une ensuite...
Si tu trouves Pichon-Baron 1988 supérieur à Cos d'Estournel du même millésime, je pense que c'est lié au fait que tu dois être tombé sur le cadeau dont je ne connais pas les conditions de conservation...

Toutes mes excuses.
Les deux Cos d'Estournel 1988 bus depuis ton passage à la maison sont, à mon avis, remarquables et un peu au dessus de Pichon-Baron...
Il me reste 4 bouteilles.
Reviens en boire une face à un Pichon-Baron!
A bientôt,
amitiés,
Thierry

Thierry, tout est relatif et je n'ai pas eu affaire a un mauvais vin (loin de la). Juste un peu decu par rapport a son pedigre annonce.

Le bouchon etait en bon etat. Marque sur 8 mm avec une legere poussee qui a amene le liege 1-2mm en dehors du sommet du goulot. La robe etait superbe (j'ai oublie d'en parler).

Il me reste encore quelques Calon Segur du meme millesime. On pourra comparer tout cela prochainement.

Cos d'Estournel Pagodes 2003 : 14/20 - 6/8/07
Senteurs de cabernet de Sud, façon Daumas : caractère herbacé, tabac, pour un fruit un peu compoté, épicé, réglissé. Bouche évoluée (1997 ?), franche, à défaut d'être vraiment convaincante.

Bonjour Laurent,

Ta note est Vraiment différente des écrits de la critique... Perçu lors de sa sortie comme un top, penses-tu que ce soit dû à l’effet précoce du millésime, ou à tout autre chose ?

JU

JU,

De quelle critique parles-tu plus précisément ?

Sortie = dégustation sur fût ?

Un top de quoi ?

Je ne sais pas grand-chose des 2003 et de leur évolution (pensé isi à 1997).

Moi, j'ai cela, issu de proches :

Pagodes 2003Vin dégusté par : invinoveritas Le : 17/04/04
Temps de carafe : Non précisé Note : Non précisé
Met d'accompagnement :

Club toulousain In Vino Veritas - Verticale du château Cos d'Estournel - Orde de dégustation : 2000 - 1996 - 1995 - 1990 - 1986 - 1985 - 1982 - 1975 - 2003 (Pagodes et Cos) - Les vins ne sont pas dégustés à l'aveugle - Les commentaires suivants proviennent de la synthèse des dégustateurs présents
DS15,5/16.

Robe d'encre, noire.
Nez intense de marmelade de fruits rouges, de fleurs (pivoine).
Bouche structurée, aimable, charnue, intense.

Comme dirait judicieusement Luc, j'attends mes prochaines dégustations avant de tenter un jugement plus certain !

JU,

Un ex de modif possible

le cr est issu de oenoclub.com

la question que je me pose :

Pagodes 2003 goûté en avril 2004 ?

Est-ce possible ?

JU,

je demanderai plus de détails à Didier samedi midi.

Je n'ai pas accès à mes sources, pianotant sur la machine de l'ami qui me reçoit.
Je ne peux pas vérifier plus avant cette référence à Pagodes 2003 (date de dégust peu vraisemblable, de fait) car je n'ai pas accès à mes fichiers d'archives personnnels.

La seconde verticale organisée (2001-1929) dat de oct et nov 2006.

Je n'ai pas d'autres notes de critiques (et rien sur le site du château).

Un clavier que je ne maîtrise pas (et je n'utilise pas assez la fct aperçu).

Cos d'Estournel 2003

Vin dégusté par : Winemega Le : 30/05/06
Temps de carafe : Non carafé Note : 19/20
Met d'accompagnement :

Cos d'Estournel 2003 - Saint Estèphe - Bordeaux
Robe de moyenne profondeur, tournant sur le rubis foncé. Grande intensité aromatique avec de gourmands arômes de groseilles, moka et de liqueur de fruit. La structure en bouche est très dense, sans être massive, avec une concentration de fruit extrême, mais dont le tour de force consiste à garder une précision remarquable malgré la densité de la matière. Retour de beaux tannins bien extraits en finale, terminant sur une note un peu austère, contrastant singulièrement avec l'entrée de bouche expressive. Un vin au style moderne, caractéristique des dernières productions chez Cos d'Estournel. Potentiel d'évolution proprement phénoménal. 97/100.

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Vin dégusté par : invinoveritas Le : 17/04/04
Temps de carafe : Non précisé Note : Non précisé
Met d'accompagnement :

Club toulousain In Vino Veritas - Verticale du château Cos d'Estournel - Orde de dégustation : 2000 - 1996 - 1995 - 1990 - 1986 - 1985 - 1982 - 1975 - 2003 (Pagodes et Cos) - Les vins ne sont pas dégustés à l'aveugle - Les commentaires suivants proviennent de la synthèse des dégustateurs présents
DS17,5/18?

Robe d'encre, noire.
Nez intense de goudron, cerise, cassis, réglisse, marmelade de fruits rouges.
Bouche extrêmement structurée, compacte, ample, grasse, crémeuse, fruitée, compotée mais paradoxalement très fraîche, caressante, charnue, intense, avec une finale ferme et concentrée. Très grande longueur et très difficile à cracher.

Je fais l'hypothèse que la date pour IVV (Cos 2003 et Pagodes 2003 est erronée et doit être indiquée en 2006, à moins que ces 2 vins aient été dégustés sur fût en 2004).
Cos d'Estournel 2003 grand selon ces 2 sources (pas goûté pour ma part).

Laurent,
Merci d'avoir répondu!

Mille excuses, j'ai mal lu!
Je parlais de "Cos" lui même et non du second...

Navré, je comprends mieux.

Cordialement,
JU

Appelé Didier ce matin.

Cos 2003 fut amené en échantillon par le maître de chai lors de la verticale organisée par mon collègue oenophile du CNES Michel Fauveau (club oenophile du midi).

Grand, comme peut l'être un échantillon sélectionné !

Cos d'Estournel 1989
Goûté après Issan et La Lagune. C'est un autre niveau. Pas hyper puissant, tannins fondus, mais grande finesse et beaucoup d'allonge. Pas de problème pour l'avenir, finale longue et équilibrée.

Je ne suis caviste que depuis 1997, et le premier "grand vin" que j'ai gouté en 1996, avant de m'installer,fût un Cos 1993...
Pas un grand millésime bordelais en général, mais Cos n'a rien à voir avec un classique, le "rattrapage" actuel du prix le prouvant bien...
Du pur velours!! J'en suis resté tout coi, avec des frissons dans le dos tant ce vin provoquait en moi des sensations inconnues jusqu'alors.
Ce plaisir est en grande partie une des raisons qui me font adorer mon "travail" car j'ai ensuite acquis ce vin, insisté pour le vendre à certains clients, même les + sceptiques...et ils furent quasiment tous emballés!!
Voici pour l'anecdote...

a+ !

en 1996 je préfèrais nettement son grand frère d'une année le 1992 ... qui a malheureusement mal tourné par la suite

en ce qui me concerne j'avais été très déçu par un Cos 1994 en octobre 1999 alors que je le pensais le compagnon rêvé pour le passage à l'an 2000,ayant eu l'occasion de le goûter avant achat il était marqué par l'acidité et l'absence totale de fruit

Confirmation pour ce début d’observation. Cos 92 a pour moi longtemps été une belle doublure destinée aux repas les moins « démonstratifs ». Un splendide fruit, et une splendide élégance. Peu puissant mais qu’importe. Un vin que j’assimilais à un cru de Margaux, mais un grand cru. Là, l’expression prend tout son sens.

Je redoute la deuxième partie de votre remarque Claudius, car il me reste quelques flacons. Peut-être vais-je bientôt retâter de ce Cos. Même moins impeccable, je le vois mal demain accompagner les fraises à la cannelle et vanille. J’aurai pris d’autres dispositions.

Bon jour.

Loup.

Bonjour,

Hier soir j'étais invité chez des amis qui ont pour notre plus grand bonheur ouvert un Cos 1996. La bouteille a été carafée deux heures avant le repas.

La robe est d'un beau grenat avec de légers relets orangés sur les bords. Le nez est puissant et envoutant avec des notes de cassis et de fumé. Les premières gorgées sont bonnes, mais sans plus (manque de finesse). Mais au fil du repas, le vin gagne en ampleur et devient vraiment remarquable (texture veloutée). Une belle longueur vient compléter cette finale.

Bref, un très bon moment passé en agréable compagnie.

Serge

St-Estèphe Cos d'Estournel 1986 : 16/20 - 21/9/07
Un beau nez de Bordeaux évolué : cassis, graphite, sous bois, menthol, havane, réglisse. Le vin profite grandement d'une aération longue.
Bouche austère (aux composants serrés) mais aux beaux arguments : vigueur, cohérence, fraîcheur. Un vin très "St-Estèphe", un peu anguleux (le terroir, le millésime), un tant soit peu amabilisé et épanoui par l'air, à associer à un filet de boeuf.

Selon le site de Farr Vintners, Cos d'Estournel commercialise dans le millésime 2005, un blanc (sémillon/sauvignon) sous l'étiquette de "Cos d'Estournel". Production: environ 3000 bt.

"The vines producing Cos d'Estournel's white wine lie in the north of the Médoc and stretch out over 2.3 hectares.
The vineyard's soil consist mainly of sand and very clayey gravels with shingle; the base is of clayey chalk and the top layer is of deep gravely clay.

The geographical position of Cos d'Estournel's white vines, lying close to the Atlantic Ocean (at a distance of 11 miles as against 19 at Pauillac) along with the amazing width of the Estuary (7.5 miles at Goulée as against only 2 at Pauillac), ensure the vines exceptionally cool weather in the summer and very mild weather in winter and spring"

Bien qu'ils en aient légalement le droit (l'AOC de n'importe quel blanc du Médoc est "Bordeaux" ou "Bordeaux Supérieur" et n'a, de ce fait, pas besoin d'être spécifiquement localisée à St-Estèphe), je trouve le procédé "limite" du point de vue du consommateur qui peut légitimement penser que les vignes sont plantées sur le terroir historique de Cos - ce qui n'est PAS le cas.

En plus, le prix affiché est de.. 100 Livres Sterling (145 EUR..!!!). Tout ça pour un "Bordeaux Supérieur" blanc provenant de quelque part dans le nord du Médoc..

Vive les "buveurs d'étiquettes"!

Alain

avec une larmichette de sel et de poivre ça devrait être mangeable ... mais le prix restera indigeste lui !!!

Une note sur

Cos d'Estournel 1990 et 1947

ici:
www.lapassionduvin.c...

Cordialement,
Thierry

St-Estèphe Cos d’Estournel 1997 : 16/20 – 20/11/07
Notes classiques, sylvestre : champignon, cassis, fer, truffe, menthe. Le vin, tout en sobriété, s’épanouit correctement à l’air et est très digeste.

En guise de prolégomènes, une question … Comment prononcez-vous Cos d’Estournel ?
Pour ma part, je ne prononce pas les « s ». Ils sont intégrés à la voyelle qui s’en trouve alors accentuée, et ce, selon les règles de l’occitan médiéval. Or, il est possible que l’adjonction du –s en fin de syllabe soit une graphie englobante qui n’exclut donc pas les déformations dialectiques et qu’il faille donc dire [kos desturnel]…comme je l’entends le plus souvent…

Flacons carafés, excepté le dernier

Le 2003 présente une couleur rubis très profonde, presque noire, et le nez répand des effluves animales et herbacées séduisantes, enveloppées de celles du fruit en sirop : je pense en particulier à la framboisine et à la cerise confite. Une légère torréfaction apporte un fumé et s’accompagne de notes de cuir.
La bouche présente une austérité tannique liée probablement à sa jeunesse, comme peut-être au millésime. Toutefois, elle révèle par sa force et sa fermeté, en complète contradiction avec une texture lissée des tanins, le raffinement des plaisirs lents qui font l’effet de bombe à retardement. Bref, elle est la main de fer dans un gant de velours… (celui de Gilda), qui dévoile des saveurs de marinade et de champignon en final…

Le 2001 n’affiche pas les traces olfactives de l’humus, de l’herbacé, ce qui le différencie d’emblée du 2003. Le nez est tout aussi intense, cependant, mais davantage sur le fruit, en particulier la gelée de groseille, et, de façon assez réservée, elle semble emprunter les notes résineuses du bonbon à la sève de pin.
La bouche décline des saveurs épicées, reçoit des tannins assez âpres qui se traduisent d’ailleurs par une légère amertume. Ils n’escamotent pas pour autant une certaine acidité et mettent en exergue une minéralité (le graphite) qui loin d’étoffer la matière, forcément, la rend longiligne. Anatomie parfaite d’un vin qui apporte le plaisir d’une belle architecture tannique.

Le 2000 restitue un bouquet foisonnant de noisette, de fruits frais et acidulés, un boisé plaisant qui rappelle en substance la cendre de cheminée voire l’encens. Le Cos nous emmène presque à l’église… mais nous en éloigne en nous faisant communier avec les esculences savoureuses de la griotte, du kirsch, des épices (poivre et cannelle sans doute) et des notes animales. Des tannins austères, jésuitisants, mais qui sous leur robe de bure révèlent une bouche élégante et voluptueuse. Possible que ce soit un vin qui ait besoin de se défroquer davantage… les années lui seront profitables, sans doute.

Le 1993 présente quant à lui un nez surprenant, végétal (le sous-bois….la laitue, la mâche !), crémeux (le lait caillé), et champignonné, qui se dégage d’une robe un peu évoluée, d’une belle couleur et de belle intensité. La bouche reprend ces touches particulières, les exacerbe autour du pruneau, pour en restituer au final une impression de beurre, de caramel et de miel. Une bouche plutôt enveloppante, d’une longueur correcte, mais en extinction progressive. Ce vin semble refuser de sortir complètement de son cocon, et se pare de pudibonderie malvenue.

Le 1983 (robe de caractère tuilé) semble être la réplique du précédent par ses combinaisons aromatiques proches du feuillage et du lait caillé, et auxquelles s’ajoute l’odeur de l’oignon. Le nez n’est donc pas engageant. La bouche déçoit également. Le lactique (crème de gruyère) côtoie l’infusion de tilleul pour aboutir à une amertume proche du cidre. Heureusement, en toile de fond se tisse une trame de fruits compotés. Je pense aussi à la figue sèche. Difficile d’être satisfait de ce millésime, surtout après le 2001 et le 2003.

Isabelle

Match Cos 2000 - 2002
Tout à été dit ou presque précédemment sur ces millésimes.

Le Cos 2002 m'a impressionné par sa densité et sa complexité.
Si il est fermé à double-tour aujourd'hui, je le crois beaucoup plus aboutit et réussit que le 2000. Le potentiel est là, et je suis persuadé qu'en 2020-2025 il sera merveilleux.
Je n'ai pas goûté le 2005 mais même si 2005 est une année "du siècle", chez Cos 2002 me semble être "l'Année" à possèder dans sa cave... Et si 2005 lui est supérieur, alors là... Je penses que l'on risque d'atteindre des sommets...

En St Estèphe aujourd'hui je suis comblé car pour moi les "3 grands" se partagent les 3 derniers millésimes :
2002 : Cos
2003 : Calon
2004 : Montrose...
Alors 2005 : Les 3 ??? ou un petit nouveau ???

Joli CR, Isabelle!
Sur place, les locaux prononcent le "S". Donc, je fais comme eux!

JAD, ton intervention est très intéressante.. elle confirme que 2002 est un millésime de connaisseurs!

Alain

Bu ce week end cos 2004 non carafé ouvert 1h avant
Robe sombre d'encre violacée
Nez complet de burlat, de cuir et une petite pointe mentholée
Bouche massive très st estèphe avec des tannins riches et bien maitrisés le cuir revient et s'accompagne d'un réglisse (zan), la finale est longue mais un peu asséchante tout de même
Bellle bouteille bu très tôt mais dont on sent le potentiel de fonte à suivre sur 10 ans je pense.
Ce vin mérite bien un 93/100 plus que le 90-93/100 de l'ami bob selon moi!!!

Alors finalement j'ai ouvert cette bouteille de Cos vers 10h. Le premier nez était très intense mais pas très complexe. La bouche replié sur ces tannins.
Le soir le nez est d'un tout autre calibre. Toujours intense mais beaucoup plus profond, sur les fruits noirs bien mûrs, cerise. cassis, framboise. Des notes épicées font leur apparition ici et là ainsi que des parfums de chocolat et de café.
La bouche s'est un peu ouverte, très gros volume assez peu causant, mais finalement d'une jolie finesse en l'état. Très belle longueur.

Au final, un vin qui a beaucoup plu à belle-maman, ça tombe bien c'était un peu le but
Pour ma part j'ai goûté un vin qui sera superbe d'ici en tout cas 5ans !

Petit match Pagodes 1996 - Cos 1999.

A l'ouverture, les Pagodes 96 ne m'ont cette fois-ci pas vraiment surpris, un nez peu convaincant et surtout pas très net, Alors que Cos 99 me faisait déjà vibrer (arômes de cerises à l'eau de vie, de tabac de cassis) la surprise venait donc de cette bouteille et je ne m'y attendais pas trop vu le millésime et certains commentaires...

Au bout de 2 Heures les Pagodes se sont enfin reprises et j'ai un peu retrouvé ce que je j'avais l'habitude de boire depuis longtemps avec une côte entre amis (beau nez intense, fruits confits et quelques notes mentholées (l'âge de la bouteille devait avoir insufflé cette senteur que je n'avais pas remarqué sur les précédentes dégustations), le carafage en final a achevé de faire éclater de multiples senteurs de fruits de menthe et d'épices.
En bouche j'ai retrouvé un très beau vin voir précedents CR.

Quant au COs 1999 : A La griotte à l'eau de vie se mêlaient des arômes de fruits cuits de sève et de cuir, une véritable merveille.
En bouche : du velours !!! un nectar suave et ample, une véritable merveille tout en douceur et en finesse. Et c'est au moment ou l'on aurait pu s'endormir sur ces exquises sensations que de la finale ressort une grande longueur et une légère austérité qui n'est pas sans rappeler les origines de ce breuvage bénit des Dieux.

Pas un monstre, mais un Cos dans la lignée des bons millésimes, un vin de plaisir à boire maintenant et ce pendant 5 à 10 ans encore à ce niveau. Je ne me risquerais tout de même pas à le garder trop longtemps car il est déjà paré pour le bal et bien pourvu.
Ma note : 17/20(Un bon Cos est toujours un grand vin)

Cordialement,

Jean-Aubert

JAD, je souhaite que tu aies raison: j'ai acquis comme toi Cos 2002, Calon 2003, Montrose 2004! Nous verrons dans quelques années si ta prédiction se confirme. Cordialement,
Claude

En St Estèphe aujourd'hui je suis comblé car pour moi les "3 grands" se partagent les 3 derniers millésimes :
2002 : Cos
2003 : Calon
2004 : Montrose...

pers. j'ai opté pour

2002: Cos & Montrose
2003: Calon, Cos & Montrose
2004: rien, pas convaincu ...

2005 ?
-pas gouté
-le plus cher
-bcp disent que l'appellation St Estèphe est supérieure en 2003 à 2005 ...

dans 10-20 ans nous connaîtrons la vérité