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Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

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Les Septantes de Jean-Luc et Pierre a été créé par oliv

Les Septantes de Jean-Luc et Pierre








Crémeux de champignons, viande des Grisons



Champagne Pierre Montcuit, Grand Cru Blanc de Blancs Vieilles Vignes, 2004



Robe jaune doré.
Beau nez plein et classe, sur un travail oxydatif ou une petite oxydation, avec un compromis notes de peau d’orange séchée, de senteurs minérales et crémeuses.
Bouche vineuse, d'une belle ampleur élancée et concentrée à la fois, avec une densité et une maturité qui goûtent juste.
Finale racée avec de la longueur, sur une bulle encore vivace.
Beau vin.


Cantina Kettmeir, Alto Adige Doc, 1919 Riserva Extra Brut



Robe jaune paille.
Nez curieux sur le minéral, entre l'huître et le caoutchouc avec des senteurs plus pures de citron vert.
Bouche à l'attaque ferme, sur une matière plus serrée, compromis d'acidité droite et d'une trame amère assez présente.
L'ensemble laisse une impression d’austérité, avec un côté froid et anguleux accentué par une bulle un peu carrée et une amertume forte sur la finale.
Pas trop fan.



Copa Iberica




Champagne Larmandier Bernier, Premier Cru Terres de Vertus, 2008



Robe jaune paille.
Nez délicat, jeune et d'un grand classicisme, sur des notes légères d'élevage crémeux enroulées intelligemment dans une pureté minérale et florale tout en élégance.
Bouche tendue, d'une belle propulsion acide, avec une sensation de droiture et un petit côté sérieux et plein d'une grande classe.
Les goûts sont précis, très agréables avec une grande jeunesse encore.
Finale nerveuse, tonique et désaltérante, sur un côté encore brut d'un grand potentiel.
Très beau vin à attendre, d’un parfait classicisme d'expression.
Le champagne d'école en grand millésime !


Domaine Pierre Luneau-Papin, Muscadet Sèvre et Maine, Pueri Solis, 2009



Robe d'un doré franc.
Nez élégant, floral et fruité, sur la pêche, le melon.
Bouche d'une belle ampleur en attaque, délicieusement souple avec une toute petite sucrosité tenue et relancée par de très beaux amers.
Très jolis goûts fruités, sur l'amande et toujours ces belles notes de fruits blancs.
Finale élégante, juteuse et volumineuse, pleine de fruit.
Très beau vin baroque !


Domaine Coche Dury, Meursault Perrières 1er cru, 2006



Robe jaune paille grisée sans évolution.
Nez brouillon, réducteur, sur le pétard, le duvet de poulet, quelque chose de légèrement vasouillard et un boisé blanc pas très joli.
L'ensemble fait tout jeune et comme un peu comprimé.
Bouche boisée en attaque, avec une structure alanguie et une forme de lenteur perceptible, sur une acidité dominée par l'épaisseur.
Finale monolithique, sur le grillé et des amers de bois pas forcément très avenants.
Je ne sais pas si Jean-Luc a regouté le fond de bouteille le lendemain.
Je ne serais pas surpris que le vin se soit quand même détendu et un peu précisé à l'aération.
Mais en l'état, c'était pas l'extase.


Foie gras truffé maison, lentilles noires




Domaine Hatzidakis, Santorin, Assyrtiko Pyrgos, 2010



Robe ambrée digne d'un vieux liquoreux.
Nez très évolué, trop, sur des notes de cognac, de poire tapée, un peu abricot et de senteurs minérales de pierre chaude.
Bouche épaisse, large, sur une sensation de richesse sans sucres, avec une vague tenue amère.
Mais je peine à dépasser des sensations d'un vin un peu sénile qui manque de tension et de fraîcheur.
Pour moi, ce vin a passé son plateau de maturité.


Castel Juval, Riesling Weingarten Windbichel, 2021



Robe jaune paille.
Nez ultra fruité et puissant, sur la poire William, le vétiver, le muguet.
Bouche juteuse, pleine de fruit, d'une belle trame avec de la concentration et une tenue acide amère très intéressante.
L'ensemble est tout jeune, froufroutant, sur une aromatique opulente à apaiser.
Mais l'équilibre est très joli, pétri de fruit et de fond et devrait faire une très belle bouteille une fois le point d'harmonie trouvé.
Très bien. A attendre.


Domaine Zind-Humbrecht, Alsace Riesling, Clos Windsbuhl, 2008



Robe sur un jaune doré.
Nez sérieux, plein, sur les fruits jaunes, des notes fumées et d'évolution, sur le tabac blond. C'est beau, c'est classe, ça fait envie !
Splendide bouche déliée et concentrée au point d’équilibre parfait, complexe aromatiquement mais immédiatement délicieuse.
Le vin se pose sur la langue et baaaaam, une cavalcade fantastique démarre grâce à une acidité tonique qui porte une grande matière ample et pourtant facile.
L'ensemble avance par vagues, avec une puissance fondue sans aucune lourdeur ni brutalité, lançant une finale d'une longueur délicieuse, aux amers classieux et aux goûts remarquablement complexes.
L'accord avec le homard, agrumes et herbes est orgasmique !
Grand vin parfaitement à point, grand plat, grand moment.


Homard, fenouil, salade d'herbes, vinaigrette d'agrumes



Weingut Hirtzberger, Smaragd, Spitzer Singerriedel Riesling, 2008



Robe d'un jaune soutenu.
Nez puissant, ample, sur le minéral, plus pierreux que pétrole, du pamplemousse et de très belles notes crémeuses et mentholées.
Magnifique bouche ample, d'une énorme cohérence en volume, avec un point d'équilibre extraordinaire, moins sur le tonus que le Windsbuhl mais d'une plénitude géniale à la fois confortable et racée. Les goûts mentholées, sur le thym citron, le tabac sont somptueux d'élégance et de persistance.
Finale fantastique d'équilibre sur une richesse maîtrisée d’une exceptionnelle longueur.
Et là encore, accord dantesque sur le plat.
Un vin immense, un moment de perfection !


An'didjiou, les copains, je suis pas loin d'avoir la larme à l’œil et de poser un genou à terre !
Des moments pareils, on court tous après des semaines, des mois et parfois des années avant d'en attraper un.
Grands vins, grand plat, grands copains, la recette de l'accord parfait.





Domaine Danjou Banessy, Vin de Pays des Côtes Catalanes, La Truffière, 2019



Robe jaune paille.
Nez gigantesquement pétard, sésame grillé caricatural car rien ne transparait d'autre, à faire passer le Coche de tout à l'heure pour un vin fruité.
Bouche serrée, sur une acidité marquée, avec un trame saillante et quand même pas mal de relance.
Impossible d'imaginer une seconde autre chose qu'un bourgogne élevé en réduction sur un vin salivant avec une belle fraîcheur.
Mais l'aromatique est tellement monolithique qu'après le feu d'artifice de complexité du trio de riesling, ici, c'est juste les odeurs des mammouths du 14 juillet mais sans le bouquet final.
Rien à reprocher au vin en soi sinon qu'on s'emmerde quand même assez vite face à cette grosse artillerie.
Et c'est un amateur de blancs en réduction qui le dit.
Bien+


Merdum, c'est comme avec les gamays... Si je défonce les Coche et autres jus de sésame maintenant, ça va finir comment, mon affaire...
Depuis les 50 piges, j'ai la vue qui baisse. Et le palais qui suit ?



Domaine Rémi Jobard, Meursault 1er cru Le Poruzot-Dessus, 2011



Robe jaune paille.
Nez discret, délicat, précis, sur le minéral.
Bouche cristalline, sur une trame en tension d'une grande propulsion acide, avec un côté franc sans végétal ni notes gentiane comme si souvent sur le millésime.
L'ensemble est sans gras de corps mais sans faiblesse de trame, avec un côté froid crépitant façon chablis d'une grande élégance.
Finale élancée très longue sur un citrique salivant délicieux et à qu'il ne manque qu'un peu d'ampleur aromatique pour dépasser un petit aspect intellectuel.
Très bien.


Cabillaud, cresson




Domaine des Comtes Lafon, Meursault-Perrières 1er cru, 1990



Robe vieil or.
Nez étonnant, sur des notes aillacées, de bouillon de légume, de viande fumée, sur un point d'évolution qui livre un bouquet complexe quoiqu'un peu curieux.
La bouche en revanche est remarquable, avec tous les codes du vieux meursault, puissante par sa richesse de corps, sur une matière glycérinée d'une ampleur qui tapisse le palais mais pourtant d’une acidité puissante qui pousse et relance le vin.
L'ensemble est assez génial de volume et de cohérence, avec cette complexité indéfinissable propre aux vieux vins mais cette cohérence qui signe les grandes bouteilles.
Beau fond avec finale longue sur une grande trame pleine et droite.
Le grand meursault classique.
Superbe moment.


Brovia, Barolo, Rocche, 2007



Robe grenat claire d'une petite évolution tuilée.
Nez élégant, sur la cerise, les fruits noirs, des notes maltées et épicées.
Bouche juteuse, sérieuse, avec un bon fond, sur une maturité haute avec une petit liqueur sucrée agréable bien maîtrisée par une acidité et des tanins francs..
Finale un peu solaire peut-être pour un vin agréable et confortable qui offre un plaisir certain.
Très bien.


Karydas, Naoussa, Xinomavro, 2008



Robe délicate d'un léger tuilé.
Très beau nez sérieux, avec une petite animalité, des notes fruits rouges séchées et de viande également séchée.
Bouche à l'attaque droite, d'une acidité saillante mais à la chair pleine, avec une trame tannique et un alcool haut.
Déroulé aromatique très complexe, sur un fruit évolué en phase avec le bouquet du nez.
Vin sérieux, très sympa, un peu strict avec un côté paradoxal, délicat et frais en attaque, large et serrée en finale via sa charge tannique façon nebbiolo.
Très joli !


Agneau aux fruits secs, pomme Dauphine maison



Château Rayas, Châteauneuf-du-Pape, 2006



Robe délicate, sur un tuilé net.
Nez fin et facile, sur le pot pourri, les fleurs séchées, entre la rose et la fraise épicée, sans attente de sucrosité loukoum comme on la croise souvent sur les vins du domaine.
Bouche pourtant souple, avec juste cette petite sucrosité délicate très facile tranchée par une acidité franche.
L'équilibre est très avenant, très facile, avec une jolie précision de goûts délicieux
Finale assez légère toutefois, sur un équilibre tout en délicatesse façon Pialade, avec un petit déficit d’intensité peut être.
Très bien.


Podera Monastero Castellina, IGT Toscana, La Pineta, 2021




Robe pourpre toute jeune.
Nez sur le coulis fruits rouges et noirs, un peu vanillé et un alcool assez présent.
Bouche sur un boisé lacté dominant avec une forme de jeunesse boisée vanillée qui pèse sur le vin.
Car l'équilibre est pourtant réussi, sur un jus riche à la trame acide présente avec des tannins de grande qualité.
Mais le marqueur boisé à fondre écrase l'ensemble à l'excès pour le moment, présentant un côté un peu écœurant.
A attendre.


Domaine de l'Arlot, Nuits-Saint-Georges 1er cru Clos des Forets Saint Georges, 2010



Robe grenat clair.
Beau nez complexe, sur les petits fruits rouges, sur une florale pivoine avec une légère animalité poivrée et une petite réduction.
Bouche en droiture, d'une belle construction sérieuse, avec une trame acide bien présente.
Les goûts francs sont très agréables.
Seule petite réserve sur une finale encore tannique en limite de confort en dégustation seule.
Plutôt très bien.


Domaine Alexandre Parigot, Nuits-Saint-Georges Les Damodes 1er cru, 2019



Robe grenat clair.
Nez agréable, assez léger, sur la gelée de groseille et un petit poivre gris.
Jolie bouche juteuse, délicate, avec une petite sucrosité charmante aux beaux goûts de framboise précis et gourmands.
Finale déliée et élégante, précise de goûts avec de jolis petits tannins francs.
Très bien !


Plateau de fromages



Weingut Erwin Sabathi, Ried Pössnitzberg Alte Reben Sauvignon Blanc, 2017



Robe jaune paille.
Nez classiquement sauvignon, sur le cassis et un petit végétal type feuille froissée.
Bouche simple, d'un volume honnête à la trame acide efficace.
L'aromatique un peu primaire limite le plaisir par son manque de complexité.
Finale franche mais simple.
Bien.


Domaine Jean-Paul et Benoit Droin, Chablis Grand Cru Vaudésir, 2011



Robe jaune paille.
Nez sur une fine pointe végétale pas dominante puis des notes légèrement beurrées et minérales. L'ensemble n'est pas très expressif, comme en dedans.
Bouche agréable, déliée, d'une grande franchise par sa texture pleine et tendue à la fois.
Finale un peu mutique aromatiquement mais à l’équilibre parfaitement réussi.
Je pense que le meilleur est encore à venir.
Bien à très bien. A attendre tranquillement.


Domaine Marie-Thérèse Chappaz, Grain Noble Marsanne, 1999



Robe ambrée.
Nez délicat, précis, sur le thé, les fleurs séchées, les agrumes confits. C'est posé et très beau !
Bouche délicieuse, riche en attaque par sa belle liqueur mais qui accélère et s’envole dans une très belle trame équilibrée à la fois puissante et fraîche.
Finale magnifique, aux beaux goûts complexes et à la texture fondue.
Très beau !



Chocolat et Framboise




Donnafugata, Passito di Pantelleria, Ben Ryé, 2012



Robe entre le café et le caramel brun.
Nez énorme d'intensité, sur la confiture d’abricot et d'agrumes, le raisin muscat, la bergamote, le thé noir.
Bouche extrême d’intensité, sur une liqueur énorme, confite mais sauvée par une acide géniale d'un grand niveau de puissance.
L'ensemble pose tous les curseurs, texture comme aromatique, en position extrême.
Mais la cohérence de l'ensemble amène un grand plaisir gourmand immédiat qu'on sirote avec délectation.
Très bien+


Tschida, Zweigelt Schilfwein, 2004



Robe grenat légèrement rouille.
Nez discret, sur la poire tapée, un compromis entre léger raisins de corinthe et jus de raisin noir.
Belle bouche à l’acidité posée qui tient une matière agréable à la liqueur bien mobilisée par de petits tanins salivants.
Finale pas énorme d’intensité aromatique mais très jolie par son équilibre, avec du rythme et de l'allonge.
Joli vin charmeur.




Quand je suis rentré en passion du vin, si j'avais imaginé qu’elle me mènerait à de telles émotions, j'aurais pris la burette plus tôt !

Mazette de chez mazette, il y a quand même des gens capables d'instants d'exception !
Car les vins, c'est bien.
Leur mise en valeur par une cuisine aussi délicieuse qu'adaptée, c'est mieux.
Mais bien au delà de ces conditions matérielles, c'est surtout la qualité humaine des instants partagés autour de la table et dans le verre qui fait de ces moments de vin des moments de vie exceptionnels.
Je n'étais pas remonté chez Jean Luc depuis un temps qui m'a semblé interminable, ni revu Pierre depuis bien trop longtemps.
La vie a été dure pour certains d'entre nous ces dernières années et voir que derrière l'inéluctable des existences qui passent, il reste des passions lumineusement partagée et des amitiés aussi simples qu'intangibles
Je ne sais pas pour vous mais pour moi, c'est le meilleur moteur de lutte contre les difficultés de la vie.
Encore merci à toutes et tous pour ces moments d'exception teintés de cette folie génialement belge qui sait élever le déraisonnable à des niveaux qui n'empiètent jamais sur la qualité des instants passés ensemble !

Les amis, c'est la vie !
Et des copains pareils, ça vous la rend meilleure.

Bonne décennie emplie de bonheur à nos deux héros du jour !
Avec toute mon amitié,
Oliv
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26 Avr 2024 16:32 #1

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Réponse de jean-luc javaux sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

Merci Oliv.
Le Perrières 06 de Coche était superbe hier soir, après 4 jours, dominant largement les autres blancs, hormis les deux super rieslings que je vais terminer ce soir...
edit: il ne reste qu'une gorgée du Zind qui a mal resisté, le nez étant sur le chou, bouche agréable. Par contre un verre de Castel Juval en grande forme, avec quelques beaux amers en plus me semble-t-il .
Personnellement je n'ajouterai pas grand chose aux brillants commentaires d'Oliv, ayant été souvent distrait par l'intendance (grand merci à transmettre aux moitiés).
J'ai adoré les Champagne, les 2 Rieslings et les liquoreux, j'ai été agréablement surpris par le Pueri Solis ( trio assez baroque pour le coup).
J'ai trouvé le Rayas très bien tout en étant quelque peu déçu. 
Le Danjou était une erreur de casting et 3 jours après toujours en l'état. Rien compris. Je ne l'avais jamais goûté...et l'ai acheté sur conseil d'un ami caviste. 
Un regret: j'avais oublié d'ouvrir le Coche la veille au soir, mais ils sont aussi éternels qu'inutiles...
Encore merci à tous 

jlj
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26 Avr 2024 18:10 #2

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Réponse de peterka sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

Merci Oliv pour ces commentaires magnifiques tant pour le fond (surtout) que la forme.
Nous avons vécu ensemble  des moments d’amitié mémorables et, au-delà de tout  aspect technico-gustatif, c’est ce qui rend le vin tellement irremplaçable dans nos vies.

Pour une fois, je n’ai pas pris de notes et je ne commenterai pas davantage les bouteilles qu’ Oliv a parfaitement décrites.
Il y a certes eu des déceptions (Kettmeir, Coche-Dury, Sabathi) ou des styles qui me plaisent moins (Danjou, Domaine de l’Arlot) mais dans l’ensemble, le niveau était impressionnant de cohérence et d’à propos avec une mention particulière pour les champagnes, les rieslings, le meursault perrières 1992 et les sucres.

Merci  à tous les convives.
Pierre
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26 Avr 2024 19:29 #3

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Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

Non  de bleu, même le ZWGT va avoir du mal à dépasser ça !

Bon anniversaire à vous deux !

Mais je suis quand même étonné de ne pas voir parmi toutes ces belles fioles une étiquette de Gavazzi !


 

Jérôme Pérez
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26 Avr 2024 19:39 #4

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Réponse de mgtusi sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

Joyeuses septantes à vous ; je ne suis donc pas le plus vieux !
Enfin le moins jeune.

Et je vous offre ceci :


Michel
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26 Avr 2024 19:42 #5

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Réponse de oliv sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

J'ajoute un point que je n'ai pas mentionné : l'exceptionnelle qualité de la cuisine à quatre mains qui nous a été servie.
Derrière la simplicité apparente des plats, il y avait une perfection de réalisation absolument fantastique pour mettre les vins en valeurs.

Les gougères de JLJ sont une oeuvre d'art.
Je n'avais encore jamais mangé des pommes dauphine pareilles. Je comprends enfin à 50 ans pourquoi ce plat est entré dans l'histoire
Quant au homard façon Christine et Pierre, cet accord parfait avec des rieslings grandissimes risque de m'obséder longtemps...

J'en ai encore des étoiles plein les yeux, les papilles et la mémoire !
 
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26 Avr 2024 19:54 #6

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Réponse de hannibal sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

Ben je vois qu'il y en a qui ne font pas les choses à moitié.
Les Zind, Hirtzberger et Lafon semblent avoir fait carton plein. Je m'en félicite, plus le temps passe et plus j'aime les blancs (c'était pas gagné d'avance)
Homard, agneau, tout va bien. 
Le plateau avait l'air correct lui aussi (manque un peu de coulant, non ?)
Bravo, ne changez rien
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26 Avr 2024 20:08 #7

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Réponse de mgtusi sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre


Les gougères de JLJ sont une oeuvre d'art.
Je n'avais encore jamais mangé des pommes dauphine pareilles. Je comprends enfin à 50 ans pourquoi ce plat est entré dans l'histoire



 

Si à 50 ans tu n'as pas encore mangé les pommes dauphine de JLJ c'est ce que tu as raté ta vie !

Michel
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27 Avr 2024 08:37 #8

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Réponse de enzo daviolo sur le sujet Les Septantes de Jean-Luc et Pierre

Belle nouvelle décennie à tous les deux!
sacré repas d'amateurs 👍
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28 Avr 2024 11:40 #9

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Modérateurs: GildasPBAESMartinezCédric42120Vougeotjean-luc javauxstarbuck