Hervé, bah non je ne le savais pas, mais je ne décrète pas tout savoir.

Après, je trouve que tu y vas un peu fort (je parle pas de la cloche), je n'ai lu nulle part de critique acerbe à ton égard, la seule chose que je vois, c'est la rançon du succès. C'est ce que j'appelle avec affection des problèmes de "riches". Y a pire tout de même!

Enfin, je te rassure, je n'ai pas "besoin" de la cloche, qui ne m'a jamais apporté un client mais bien des amis, je garde juste un peu de culot, de créativité, d'humour et de vision iconoclaste ....

... et de modestie, bien sûr

Donc, si je comprends bien, c'est ce qui s'appelle sonner ses amis...

"la modestie, l'art d'être loué deux fois" comme disais Vauvenargues ?

Celle là, non, cher Hannibal ;-)

C'est le Clos des Fées .... clochette ?

Au WWS il y a de très grands vins partagés entre une élite triée sur le volet. La façon de déguster est donc aisée : pas de bousculade, pas de pression.
Au Grand Tasting, il y a des grands vins et des vins chers, et c'est ouvert à tous les publics. La façon de déguster est donc différente.
Entre les visiteurs du vendredi et ceux du samedi il y a une grosse différence, surtout après 16 heures, car il y a une marée de jeunes qui viennent pour en boire un maximum et récupérer des bouteilles à la fin du salon. C'est un "before" préparant une soirée avinée.

Par ailleurs et c'est quand même compréhensible, il y a sur le catalogue complet les prix des vins. Quand on sait qu'on ne pourra jamais s'acheter certains vins, la tentation est grande d'aller goûter tout ce qui est inaccessible. C'est donc la loi de ce salon que de voir des jeunes amateurs qui essaient de goûter "enfin" ce qu'il ne pourront pas goûter chez eux.

Ce salon est donc plus une opération de relation publique qu'une opération de vente, sachant que la relation publique débouche plus tard sur de la vente, mais à long terme.
Beaucoup de visiteurs se sont précipités sur le stand de Moët & Chandon et sur le stand de Bollinger, parce que c'est connu. Des stands comme celui d'Agrapart ne concernent que des amateurs. Et fort heureusement il y en a eu beaucoup sur ce salon.

Il faut donc accepter un public qui vient pour s'offrir gratis des vins chers, qui se fiche des convenances et de l'éthique de dégustation.
Qu’Hervé soit excédé par le comportement de certains, c'est compréhensible. Mais c'est la loi du genre. Le vendredi il y a des amateurs, et le samedi, c'est la ruée.

L'idée du badge LPVien n'est pas réaliste. Nul ne ressent le besoin de se présenter à un stand : il y a un vigneron qui arrose, alors qu'il arrose !

Cher François, je vois rien à redire à ton analyse. Sauf à penser qu'il y aura un jour une vente de grand vin "un jour, à long terme", chez ceux qui volent les bouteilles sur les stands et s'en vont les boire au goulot sur la rue de Rivoli, jusqu'à évanouissement; Tu me permettras d'en douter, si tu veux bien. Bien sûr, je ne généralise pas et, dans l'ensemble, ce fut une grande joie de faire gouter nos vins à tant de passionnés, sans jugement de niveaux ou de moyens.

Je ne suis pas excédé, je suis simplement triste de voir le rapport au vin de certains.

Certaines marques quittent d'ailleurs carrément le salon dès 17 h le samedi, je me pose la question, si certains débordements ne sont pas gérés, de faire, avec grand regrets, de même.

De même, je ne partage pas ton avis que ce serait "la Loi du genre"... Ou en tous les cas, qu'il est possible de tenter de la modérer autant que faire se peut.

Je suis allé pour la première fois au Gros tâtage cette année.
N'y étant jamais allé, je n'avais aucun préjugé, bien au contraire !
Je me suis réjouis de pouvoir accéder à de grands vins déclarés ou vendus comme tels.

Hervé :
Accompagné de quelques éminents membres de LPV Haute-Normandie, j'ai eu la chance de déguster toutes vos cuvées, de la plus simple à la plus ambitieuse. Nous sommes restés 10 bonnes minutes sur votre stand, en toute confidentialité.
Nous nous sommes gardés de faire le moindre commentaire car, comme nous en convenons tous, ce Barnum qu'est le GT n'est pas le meilleur endroit pour juger de la qualité d'un vin. Ceci dit, on peut y déceler les défauts comme nous l'avons fait remarquer, sans goujaterie ni arrogance, chez Deutz avec un Amour de Deutz malheureusement bouchonné. [size=x-small](Soit-dit en passant, la bouteille était au tiers vide et pas un dégustateur n'a émis le moindre doute sur le problème....:)[/size]

Nous vous avons acheté une sorcière qui a fort bien accompagné notre casse-croûte du midi.
Si nous nous étions présentés, peut-être nous auriez-vous offert cette bouteille. Peut-être que non. Dans les deux cas, notre jugement à votre égard en aurait peut-être pâti.

Nous nous sommes tous réjouis d'être restés dans le plus pur anonymat... Vous n'avez pas été mis en difficulté, vous ne nous devez rien et nous non plus. De quoi satisfaire tout le monde.

Pour le reste, LPV permet des rencontres. J'ai retrouvé des têtes connues, des têtes inconnues m'ont retrouvées, j'ai vu des têtes très connues que je n'ai pas eu envie de retrouver, etc.

Je garde une image de ce GT : Marcel RICHAUD et Tessa LAROCHE pris dans la foule, à l'entrée du public, ne pouvant pas rejoindre leur stand au moment de l'ouverture du salon.
Il a fallu que je fasse barrière pour qu'ils puissent entrer sans être bousculés. Tout ça pour confirmer le manque de savoir-vivre maintes fois constaté sur ce salon qui se veut prout-prout et qui révèle, comme une foire aux vins de province , la médiocrité ambiante.

Cher Vougeot, votre mine réjouis et votre demande fort sympa d'amateur joyeux n'aurait rien changé à mon attitude : vos 12 euros nous ont payé le café et soyez en remercié ;-)

Je prend note l'insistance de certains ici de craindre que le dévoilement de faire partie d'LPV change les choses. Il doit y avoir une part de vérité. Chez, moi, sans doute parce que j'interviens ici, c'est juste plus sympa, c'est tout.

Cela dit, l'anonymat n'est qu'une façade pour beaucoup dont moi, où il suffit juste de cliquer sur le pseudo pour voir mon vrai nom et mon mail.

Concernant le départ anticipé de certaines marques petites ou grandes, c'est fort compréhensible, mais je le regrette également. Après, certains domaines quittent le salon tout simplement parce qu'ils n'ont plus rien à faire gouter. Sur le coté prout-ma-chère, c'est un bon exemple que l'être humain est ce qu'il est, peu importe son extraction...

Hervé Bizeul écrivait:

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Cher Vougeot, votre mine réjouis et votre demande fort sympa d'amateur joyeux n'aurait rien changé à mon attitude : vos 12 euros nous ont payé le café et soyez en remercié ;-)

Je prend note l'insistance de certains ici de craindre que le dévoilement de faire partie d'LPV change les choses. Il doit y avoir une part de vérité. Chez, moi, sans doute parce que j'interviens ici, c'est juste plus sympa, c'est tout.

Faudra que je pense à perdre un peu de poids, porter des chaussures à bout carré, me raser et faire la tronche comme un parisien, moi... Cela m'évitera d'être trop rapidement repéré !
Il est vrai que c'est sympa de connaître sa clientèle ou des gens qui fréquentent le même forum de passionnés. Cela humanise les relations, c'est évident.
André Balliccioni, qui présentait sa gamme au pavillon du Languedoc s'est illuminé, il n'y a pas d'autre mot, en voyant arriver ses amis/clients Haut-Normands.

Mais se prévaloir d'une quelconque appartenance à LPV, lorsque l'on connaît l'audience du Forum, ne serait-ce que pour se présenter, peut biaiser la relation... Ce n'est pas plus compliqué que cela, mais c'est déjà très compliqué.

Moi, je n'aime pas les salons, ça m'emmerde. Se retrouver dans une salle bondée, jouer des coudes pour accéder à telle ou telle bouteille et en boire quelques gouttes dans des conditions forcément mauvaises, très peu pour moi. J'ai donné, je ne le fais plus.
J'ai préféré, et de loin, ma petite soirée de vendredi, un excellent repas, 9 magnifiques bouteilles partagées à dix, dont une Petite Sibérie 2005 dont on s'est tous régalé, bien qu'elle aurait sans doute mérité quelques années de patience supplémentaire.

En ce qui concerne la nécessité de se présenter ou de garder l'anonymat, je comprends les deux points de vue, mais de mon côté j'aime assez l'anonymat.
Bien entendu que si je rencontre Hervé, il me sera difficile de rester anonyme, vu qu'on s'est déjà croisé quelques fois.
Mais je ne me vois pas, quand je déguste chez un caviste en présence du vigneron, m'annoncer comme administrateur de LPV. J'ai l'impression que ça fausserait un peu le jeu. Pas que je pense avoir un quelconque pouvoir de prescription (Dieu m'en préserve...), mais plutôt que j'aurais trop peur que le vigneron imagine que je m'en serve pour obtenir un traitement différent d'un autre dégustateur.

Luc

Le traitement différent, ce n'est pas désagréable non plus, quand il n'y a aucune ambiguïté.
Nous nous connaissons suffisamment avec Hervé pour que je n'aie eu aucun besoin de quémander. Et j'ai eu la chance de déguster trois Petite Sibérie à trois moments différents : 2008, 2004 et 2005. Je n'avais rien à demander et Hervé n'avait rien à me demander. On s'est sacrément frottés sur ce forum, ce qui n'empêche en rien de s'apprécier.

Et à ce propos, Luc, goûté comme cela, au pied levé, j'ai adoré le 2005 qui a tellement de fraîcheur dans la finale que cela signe un très grand vin. Et j'ai l'impression de l'avoir goûté aussi bien que si je l'avais bu tranquillement assis, sachant que la dimension qui manque, c'est évidemment celle de la gastronomie. Mais ça, dans un salon comme le GT, on ne peut pas le faire, sauf dans ateliers gourmets qui sont assez géniaux. J'en ai fait deux superbes, avec deux magnifiques accords mets et vins.

Le traitement différent, ce n'est pas désagréable non plus

Je ne dis pas le contraire, je dis simplement que je ne veux pas qu'on puisse s'imaginer que je demande un traitement de faveur. Car bien entendu, si je le reçois, je ne le refuserai pas.

Luc

Se retrouver dans une salle bondée, jouer des coudes pour accéder à telle ou telle bouteille et en boire quelques gouttes dans des conditions forcément mauvaises,

ce n'est heureusement pas le cas partout Luc, essaie un jour le salon de Cornas, tu verras, tu pourras discuter le temps que tu veux avec les producteurs de ton choix et même regouter si le fond de verre ne t'as pas suffit. c'est un exemple parmi d'autres j'imagine. mais comme toi je limite grandement aussi les salons, je préfère aller chez le producteur pour découvrir les vins. Le bon repas et les belles bouteilles entre amis, c'est autre chose et bien sûr irremplaçable.

Je comprend tout à fait vos craintes, en tant que pseudo ou admin.

Ce que je voulais dire, et je n'ai sans doute pas assez précisé ma pensée, c'est que je pense que les vignerons qui sont PRESENT sur LPV ont, comme moi, sans doute plaisir à rencontrer certains intervenants virtuels dans la vraie vie, parce qu'ils ont parlé souvent d'autres choses que de leur propre vin. Au final, de toute façon, impossible de mémoriser sur de tels évènements, sauf à être un mutant... Alors, c'est juste, vraiment, pour la chaleur des rapports humains...

Pour les autres vignerons, apparement à la recherche de bonnes notes ou tentant de maladroites manipulations, je ne sais pas.

La question d'usurpation de pseudo, que l'on vient de me raconter, me laisse aussi songeur, je n'avais jamais pensé à ça.

Ce que dit là Luc est le problème n°1 du journaliste pro : comment faire la différence entre la vrai sympathie, la vrai estime de l'autre et le comportement faux-cul de la part d'un vigneron ou d'une marque pour avoir un article.

C'est tout ce que j'ai toujours détesté dans ce métier et pourquoi l'ai quitté sans regrets. J'ai vite compté mes vrais amis. Il y en avait peu.

Un beau signal de maturité pour LPV... ;-)

Ce que je voulais dire, et je n'ai sans doute pas assez précisé ma pensée, c'est que je pense que les vignerons qui sont PRESENT sur LPV ont, comme moi, sans doute plaisir à rencontrer certains intervenants virtuels dans la vraie vie, parce qu'ils ont parlé souvent d'autres choses que de leur propre vin. Au final, de toute façon, impossible de mémoriser sur de tels évènements, sauf à être un mutant... Alors, c'est juste, vraiment, pour la chaleur des rapports humains...

Dans ce cas là je comprends mieux Hervé, et c'est grâce à LPV que j'ai rencontré des vignerons comme Francis et Cyril, ainsi que des pros comme PY.

enzo d'aviolo écrivait:

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> ce n'est heureusement pas le cas partout Luc,
> essaie un jour le salon de Cornas, tu verras, tu
> pourras discuter le temps que tu veux avec les
> producteurs de ton choix et même regouter si le
> fond de verre ne t'as pas suffit. c'est un exemple
> parmi d'autres j'imagine. mais comme toi je limite
> grandement aussi les salons, je préfère aller chez
> le producteur pour découvrir les vins. Le bon
> repas et les belles bouteilles entre amis, c'est
> autre chose et bien sûr irremplaçable.

Ce que dit Laurent est très vrai, nous l'avons tous constaté.
Mais il est une chose qu'on ne peut retirer au (gamma)GT : il n'y a rien à vendre.

En tant qu'amateur, j'ai toujours eu des scrupules à ne rien acheter chez un producteur qui me reçoit cordialement.
Que ce soit en salon, que ce soit à la propriété, à partir du moment où la personne que j'ai en face de moi m'explique ses vins et la façon de les faire, j'ai du mal à ne le récompenser qu'en lui serrant la main.
Au GT, foin de tout ça : il n'y a rien à vendre. On peut papillonner de stand en stand, s'interroger sur le réel rapport qualité/prix/plaisir des vins les plus inaccessibles.
On peut aussi taster les vins les plus jeunes, ceux que nous avons eu la chance de mettre en cave sans sacrifier les rares bouteilles que nous possédons.
A ce titre, j'ai été ravi de goûter le Chambertin de Trapet 2010. J'ai vu ce que cela donne jeune, je verrai dans 10 ans ce que donnent ceux que j'ai la chance de posséder.

C'est en cela que le GT a une raison d'exister auprès de la communauté des grands amateurs. Pour les tenants de la biture à pas cher, c'est une autre histoire...

[size=x-small]Désolé pour la pollution du sujet initial, mais c'est pour que Gildas s'approprie bien son nouveau rôle de modérateur...[/size]

tarkan écrivait:

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c'est un bon exemple que l'être humain est ce qu'il est, peu importe son extraction...

Je ne résiste pas à la tentation : attention cependant à ne pas sur-extraire.

[size=x-small]Bon, je sors[/size]

Jean-Paul

Cher Vincent, et ce n'est pas pour t'embêter, je ne sais pas d'où tu tiens cette légende urbaine, mais il y a bien des choses à vendre sur le GT ! ;-) Du vin, en particulier ;-)

Oui, certains choisissent de ne rien vendre (ou ne vendent rien, ce qui est différent), ce n'est ni notre cas, ni le cas de bien d'autres vignerons sur le salon. Il n'y a effectivement pas grand chose à prendre sur place, ce jour là, mais je suis en pleine gestion des commandes réalisées qui partent aujourd'hui ou demain. C'est pour ça que je peux lire LPV ;-)

N'hésite donc pas à "me remercier" en me passant une petite commande l'année prochaine, même sous un pseudo, la prochaine fois que tu passes ;-) Si certains Champenois ou Bourguignon "sont au dessus de ces considérations mercantiles", comme je l'ai entendue, nombres sont les vignerons qui sont loin de ce stade et acceptent en souriant les "preuves d'amour" de leur clients ;-)

Cher Enzo, et ce n'est pas pour t'embêter, je ne sais pas d'où tu tiens cette légende urbaine, mais il y a bien des choses à vendre sur le GT ! ;-) Du vin, en particulier ;-)

Ah non Hervé, ça sent l'acharnement là, le propos est de Vincent. je n'ai personnellement jamais mis les pieds au GT.

Oups ! Je corrige ! Plates excuses

Absolument Hervé, vous avez raison.
Par un raccourci un peu hasardeux, j'ai pu induire le lecteur en erreur.
Il y a effectivement des vins à vendre sur le GT, mais très souvent sur commande. Pas en direct, comme cela se fait sur la plupart des salons.

Vincent
Amateur de Pommard bien Chambré

Et de contrepèteries bien senties, si j'en juge par cette dernière saillie ...

Hannibal, comme diraient les Inconnus : ' Cela ne nous regarde pas '

J'arrive trop tard. 3 pages depuis hier soir. Mais j'étais un peu dans les vignes aujourd'hui, avec un peu de compta. derrière (c'est quand même la compta qui me fatigue le plus car les mêmes pb reviennent sans cesse)

1) réponse tardive à Jérome Perez de son post de ce matin sur l'importance de LPV pour le développement du domaine Modat.
tu n'en sais rien. 1/4 des inscrits n'écrit jamais.
les 3/4 des lecteurs réguliers ne sont pas inscrits.
Tu as raison je n'en sais rien. C'est une impression. Je ne peux pas quantifier, surtout si les LPViens avancent masqués -
Il y en a bien sur que je connais. Mais ce dont je suis sûr c'est qu'ils ne représentent pas une grande part de ma clientèle car je connais une grande partie de celle-ci. C'est l'un des seuls avantage d'être encore un vigneron peu connu.

2) Citation
...
c’est pourquoi je n’ai pas hurler publiquement

tu peux toujours essayer.
Jérome, ça fait un peu « gare ta gueule à la récré ». Je mets ça sur le compte de la fatigue et des tensions après WWS.
Mon post, reprenait simplement une partie de tes interrogations et plaidait pour plus d’information au profit de la découverte de vigneron y compris quand l’information vient du vigneron lui-même tout en admettant que la frontière entre information et publicité n’est pas facile à trouver.
J’ai aussi pointé l’hypocrisie de suppression des messages de vignerons, alors qu’il serait tellement facile de les faire faire par sa petite amie, y compris en indiquant l’emplacement du stand dans un salon.
La vrai question a été posé par Oncle Charly. Quid de la présence des vignerons sur LPV. N’est-elle pas systématiquement de la publicité ? Il faudra y réfléchir entre propriétaires, administrateurs pour l’avenir du site.

3) Sur le souhait du vigneron de connaitre ses clients et éventuellement de savoir qu'ils sont LPViens.
Je suis comme Hervé sur ce terrain, et je suis toujours ravi qu'un LPVien se présente et encore plus une LPVienne d'ailleurs. Cela permet de mettre un visage sur un pseudo, une allure qui permet de mieux comprendre, peut être ses écrits. Cela rend le rapport plus physique, moins épistolaire, plus humain. J’ai toujours préféré voir mon contradicteur que de lui parler au téléphone ou pire de lui écrire. Mais je ne vais pas jusqu'a exiger qu'il se présente. C'est un souhait pour plus de convivialité.

J’ai aussi pointé l’hypocrisie de suppression des messages de vignerons, alors qu’il serait tellement facile de les faire faire par sa petite amie, y compris en indiquant l’emplacement du stand dans un salon.

Certains ont essayé. Heureusement pour eux, le ridicule ne tue pas.

La vrai question a été posé par Oncle Charly. Quid de la présence des vignerons sur LPV. N’est-elle pas systématiquement de la publicité ? Il faudra y réfléchir entre propriétaires, administrateurs pour l’avenir du site.

Cette question a été réglée depuis très longtemps, il suffit de lire la charte.

Luc

De mon coté, je serais très tenté de dire que philippe a raison: très peu de LPViens (en tous cas réguliers) ont acheté ces vins. Si je fais une recherche sur son domaine, je constate que seulement 2 pages ont été écrites sur ces vins: c'est évidemment bien loin de certains domaines chouchous de ces pages..

Pourquoi ? Je pense surtout que peu de LPViens ont l'occasion de croiser sa production donc de gouter ses vins, et qu'en conséquence, peu peuvent émettre des avis pertinents sur sa production).
Après les propos d'enzo, est ce que les vins de Robert Michel auraient eu autant de commentaires si ils n'avaient pas été vendus par un caviste sur le web très connu ? (je ne sais plus lequel d'ailleurs).
On peut aussi penser que certains ont gouté et n'ont pas aimé (sans l'exprimer pour autant sur LPV) car philippe intervenait ici: je suis convaincu que l'autocensure existe dans ce cas..

Bref, je comprends que jérome ait supprimé ce message puisqu'il est contraire à la charte, comme le rappelle luc.

En tous cas ne connaissant pas le domaine, j'essaierai de me faire ma propre opinion dès que possible.

Arnaud

gje.mabulle.com/inde...

Houlala Jérôme, avec de telles louanges tu vas réveiller tous ceux qui t'accusent de collusion et de compromission !

Je partage l'avis de François Mauss sur la qualité et la richesse des compte-rendus qu'Oliv et toi avez publié. Beau boulot ! Mais je ne suis pas sûr, contrairement à ce qu'il dit, que LPV va aussi vite remplacer les journalistes professionnels. Notamment parce que le public n'est sans doute pas le même.

En tous cas, bravo encore pour votre participation à ce "Davos du vin" et pour ce qu'il signifie en terme de reconnaissance de l'importance de LPV. Tant pis pour les grincheux, continuez à "bien faire et laisser braire !".

Etienne