J'ai bu un remarquable Latour 1970 qu'avait apporté François Mauss, avec une palette arômatique pure, intense, une bouche ,pleine de sève, des tannins encore un peu fermes,d'une très grande longueur, et d'une insolente jeunesse.
Cette bouteille là, aurait mérité ( si je l'avais notée ) 18,5 à 19/20.
Le type de vin qui vous fait aimer( passionnément) les vins de Bordeaux, ce qui n'est pas toujours le cas.

Je me souviens de Latour 1958 qui délivra au cours des années 80 un plaisir intense sur 30 minutes.

La dernière fois que je l'ai goûtée, lors du dernier repas chez Jacques Luxey, en décembre 90, il tenait encore parfaitement --mais je n'ai pas chronométré--, et surtout, comparé à une La Tâche de la Romanée Conti 1959!

Comme l'a écrit charlesv, à l'époque, Latour et Domaine de Chevalier étaient les rois des "petits" millésimes.

Daniel,

Il me reste 2 Latour 1970 et je suis heureux qu'il tienne encore la route !
J'en avais 6 au départ mais la dernière bue il y a presque 10 ans .Chaque fois des bons à grands moments.

Bertrand ,

Mon lot acheté chez un caviste à Paris était sans doute fatigué . Cela dit , à chaque fois que j'ai bu une bouteille le même phénomène s'est manifesté et j'étais bien trop absorbé par les qualités du vin pour me concentrer sur le temps qui passait . Je soulignais juste qu'il fallait profiter de l'instant .

Bu récemment avec Claude Ricard un formidable Mg de Chevalier rouge 1948 . Un millésime peu médiatisé , coincé entre 47 et 49 , mais qui a remarquablement vieilli .

en 1948, j'ai eu la chace de goûter un grandiose (et improbable) Laville Haut Brion ...

Je veux dire, LHB 1948 (en 48, je n'étais pas né)

Dégusté il y a 5 ans un Mission Haut-Brion 48 extrahordinaire encore au début de sa carrière, très peu évolué et plein de fruits.

J'ai bu LA M. Ht-B. 48 il y a une quinzaine d'années : Un vin formidable , émouvant de jeunesse .
Bon arrêtons-nous là , ce n'est pas un thread Graves 48 ...

Pour rebondir, un Latour 67 ...une petite année mais un bien joli vin dégusté le jour de mes 40 ans ....

pour re-rebondir ...

Latour 58 bu l'année dernière, en fin de course, bien fatigué,
mais pas imbuvable, avec quelques notes encore interessantes.
La bouteille était belle, bon niveau.

Latour 64, il y a trois ans (2003), un beau vin en grande forme,
sur le cédre, le cigare, minéralité et fruit trés murs.
Je crois qu'il devait être bien plus beau 10 ou 15 ans plus tôt.

Latour 1976 - Ouvert une heure avant de servir, non carafé.

Robe assez pâle, évoluée, aux bords orangés. Nez absolument fascinant de finesse et d'élégance, floral de vieille rose, bois de santal, truffe noire. Au début, toucher en bouche soyeux mais étheré.. le fruit qu'on sent très mûr peine à s'exprimer, peut-être par manque de support acide. Finale assez courte, presque diluée. On est un peu déçu car on sent bien que cette bouteille a du être très belle.. il y a 10 ans.

Comme j'aime souvent le faire, je laisse mon verre à demi plein de côté pour le suivre tout au long du repas. Une heure plus tard, énorme surprise.. ce vin est presque méconnaissable! Le nez s'est encore complexifié avec en plus, des senteurs de tabac et de grand havane! Et puis la bouche est soudain formidablement expressive, distillant des effluves très marquées de truffe sur le palais. La trame est soyeuse avec une matière très noble. C'est rond, équilibré.. c'est tout simplement BEAU! Quelle résurrection.. Ce vin irradie maintenant sa classe au point d'éclipser le beau Lynch-Bages 1982, également gardé en parallèle. Même vidé de son liquide, le verre vide est imprégné d'une étonnante odeur fraîche de douelle et de vanille. Un moment réellement magique!

Alain

Château Latour 1994 : Robe saturée. Nez complexe de cassis, tabac, réglisse.
Bouche raffinée, belle maturité du fruit. Très long, tannins encore astringeants. Une très belle réussite pour le millésime.

Château Latour 1996 : Non carafé, le nez a demandé beaucoup d'aération avant de s'exprimer : grande pureté de fruit (cassis), un peu d'iode et de violette.
La bouche est monumentale, avec une finesse de grain remarquable. Très long. S'il tient ses promesses, ce vin va entrer dans la légende.

Château Latour 2002 : Nez sur la reserve, fruits noirs, minéraux.
Bouche encore monolithyque, mais très volumineuse. Grande pureté de fruit. Le bois n'est pas tout à fait intégré.
La longueur légendaire de Latour est encore une fois au rendez-vous.

J'ai entendu des commentaires dithyrambiques de la part des gens qui ont goûté au 2005.
Malheureusement j'ai bien peur qu'il ne sorte à un prix tout à fait indécent.

Entre-autres bouteilles que j'ai eu la chance de déguster récemment et dont j'ai laissé un CR dans la rubrique "Dégustations éclectiques":

* Château Latour 1996 :

C’est la première fois que je le goûte depuis très longtemps.
Certes, les bouteilles ont été ouvertes quelques heures auparavant, mais en voyant l'étiquette approcher j'ai eu le sentiment qu'il se présenterait abrupte à mes lèvres.
Heureusement il fut à son avantage.

Robe : Juvénile, presque d’encre avec quelques reflets flamboyants.

Nez : Un peu comprimé au début, mais petit à petit il va offrir dans les verres un écrin de petits fruits rouges, de tabac et de kirsch.

Bouche : Elle est certes musclée, et n’offre pas toute la dimension dans laquelle on pourrait être happé d'ici quelques années, mais quel goût déjà et quelle trame ! Le vin est déjà profond sur les fruits rouges comme le nez. Les tanins relativement enrobés sont bien présents ne gâchant à aucun moment le bouquet gustatif, qui explose littéralement au palais sous la forme sensuelle d’une très longue finale veloutée.
Il offre déjà un plaisir et une race époustouflants.

Cordialement,
dfried

bu hier un latour 94,

Entièrement d'accord avec Léo, ce vin est encore fermé et mérite amplement un plus long séjour à la cave.
On décelle dans ce vin un très gros potentiel.
Les meilleur bdx 1994 que j'ai bu (bu : Pontet Canet, Dauzac, Pape Clément, yon figeac et Angélus).

cdlt

François

Il y a quelques années, quand j'ai commencé à m'intéresser au vin, j'avais acheté mes deux premières bouteille de 1er GCC, Latour 84 et 85.
La bouteille de Latour 84 avait été partagée quelques années plus tard avec un couple d'amis mais un bouchon à défaut (Large veine dans le liège ayant amené une évolution anormale du vin) ne nous avait pas permis de nous faire une idée correcte du potentiel de la bouteille.
J'avais alors fait part au château de ma déception au regard du niveau de prix et à ma très grande surprise, le château avait exceptionnellement accepté de me remplacer la bouteille.
Nous avons donc bu cette semaine, avec les mêmes amis, cette bouteille en provenance du château ayant séjournée 3 ans dans mon armoire cave.

Le nez à l'ouverture est plaisant sans plus. 2 heures plus tard, il est remarquable, sur les fruits rouges, le sous bois, le cedre, le graphite, les herbes séchées. On y reste plongé pendant de longues minutes.

En bouche, l'ensemble est plus fluet, fondu, agréable mais par énorme.
Une sensation de dilution se retrouve à la dégustation.
La longueur est très limitée mais l'ensemble reste agréable.

Bien évidemment, il ne faut pas se souvenir ni du pédigrée, ni du prix et se contenter du plaisir immédiat ramené à l'année.

Vincent

Attention, ne pas juger Latour sur cet échantillon: 84 est un tout petit millésime et Latour était dans une mauvaise passe (guerre de succession des chefs et vente imminente).

Idem avec le 1985 qui avait été soldé en grande surface

Amitiés,
Thierry

Aie aie aie !!!

Il ne faisait pas bon de démarrer sa passion du vin en cette époque et de vouloir comme beaucoup de débutants avoir une ou deux étiquettes prestigieuses en cave.

Aie aie aie !!!

Pour te rassurer, la mauvaise période de Latour a commencé avec le 83 (et le renvoi de son régisseur), mais dès le 88 les choses étaient rentrées dans l'ordre.

Latour 2003 Pauillac - Bordeaux

Premier nez assez peu expressif pour ce Latour 2003 avant d'exploser dans le verre avec des arômes concentrés de fruit noir, girofle, tabac ainsi qu'une légère sensation torréfiée. Bouche d'une grande élégance, dense et profonde aux tannins merveilleusement fins et soyeux. Remarquable tension minérale (silex) ajoutant encore à la complexité de la texture. C'est serré, riche et complexe mais, on croit cependant déceler une légère pointe de chaleur sur le fruit, comme une très légère note de sur-maturité.. Au-delà de ce petit bémol, il s'agit sans aucun doute d'une très grande bouteille de de classe, mais probablement pas exactement au niveau du fantastique Lafite 2003. 95-97/100

Alain

Cela fait presque un an que la rubrique de ce vin n'a pas été activée.
Dans une autre discussion on traite les buveurs de Latour de buveurs d'étiquettes.
Je voulais me faire une idée des LPViens qui sont des buveurs d'étiquettes.
La consultation des messages est édifiante à ce propos.

J'ai bu Latour 1947 qui est mon plus grand Latour et certainement un des plus grands Latour que j'aie jamais bus (au dessus de 1929, 1934, 1949, 1959 ou 1990 entre autres).

Latour est pour moi un vin d'une subtilité rare, un vin d'amateur

Ne faudrait-il pas d'abord définir une bonne fois pour toute le terme "buveur d'étiquette" ? Un amateur qui n'apprécie que les grands crus(en ayant les moyens) est-il un buveur d'étiquette ? Pour ma part j'ai commencé mon éducation oenologique à l'envers, c'est à dire en ne goutant que les grands dans les meilleurs millésimes ! Le grand père de mon meilleur ami avait une cave inouïe à faire pâlir les plus grands amateurs : Romanée conti 1945, 1929,... des caisses de Margaux 1900,Yquem 1811, 1847,...
Lorsque j'avais 16 ans(j'en ai 34 aujourd'hui), j'allais tous les samedi midi chez mon ami et son "papy" nous demandait d'aller chercher en cave 1 vin dans les jeunes années : il n'y avait pas de millésimes au delà de 1970, nous étions en 89 !
Bref tout çà pour vous dire que pendant des années, je n'ai bu que du top à tel point que mon argent de poche ou de job de vacances servait à acheter une ou l'autre dive bouteille de grand crus alors que mes copains de l'époque s'achetaient un vélomoteur !
Depuis j'ai obtenu un brevet d'oenologue et de sommelier pour approfondir ma passion . Bien que j'apprécie tous les vins du monde en ayant bien sur mes préférences, je revient souvent vers les grands crus de Bordeaux qui me procurent des émotions différentes des autres régions.
Est-ce que cela fait de moi un buveur d'étiquette ?
Pour revenir à Latour, il fait partie des domaines qui m'ont laissés un souvenir impérissable comme les 1955, 1949 et le 1909 bu en magnum en 1991 !
Alors si après lecture de mes lignes, certains pensent que je suis un buveur d'étiquettes ou que d'autres pensent au contraire que je suis simplement un amateur et bien je répondrai que je suis un amateur d'étiquettes de tout horizons ...

Christophe

"Le vin permet à l'eau d'alimenter les moulins" Proverbe Hutois

Bonjour,

Je n'avais et n'ai toujours aucune intention de nourrir ce débat sans fin et sans intérêt au regard de MA pratique du vin.

Comme cela a été dit ailleurs, au ZWTG en particulier, ou lors des quelques rencontres LPV auxquelles j'ai assistées, le but est de se faire plaisir.
Savoir qui est ou non un buveur d'étiquette (ce que nous sommes tous peu ou prou à un moment de notre vie) et ce qui le caractérise n'a donc jamais sa place dans nos rencontres et n'entretient pas nos discussions conviviales, voire amicales qui ponctuent nos retrouvailles.
Je n'apporterai donc pas d'argument à un "camp" ou à autre.

En revanche, je vous prie de ne pas "polluer" un sujet dédié à un vin précis (une 1ère réponse sur le buveur plutôt que sur le vin, puis une 2e, puis une 3e, etc. ... et on a rapidement une page hors propos), mais continuez bien entendu à nous enrichir ici par vos informations, interrogations et vos préférences concernant Château Latour.

Alors Messieurs, quitte à rallumer ou propager des braises éventuelles (même involontairement) ou si vous souhaitez continuer à développer des messages dans un sens ou dans l'autre sur ce sujet, faîtes-le s'il vous plaît dans le énième thread déjà ouvert dans sa rubrique adéquate : LA
(détourné lui aussi d'ailleurs de son message initial, où l'on discutait l'envolée durable ou fragile des prix et où l'on finit par s'étriper sur qui achète)

Ou plutôt celui-là judicieusement ouvert par JPierre : LA

L'utilisateur récurrent du moteur de recherche que je suis, vous remercie d'avance de préserver la cohérence des thèmes traités.

Cordialement,
dfried

Je ne vois pas en quoi je "pollue"(encore un terme qui me fait bien rire) ce sujet puisque je termine en énonçant les millésimes de LATOUR qui m'ont fait frissonné ? Certe, je n'ai pas détaillé de commentaires mes impressions du moment, j'étais tout simplement trop jeune et que ça remonte à plus de 15 ans !
Mais je ne manquerai pas de commenter mes prochaines dégustations de ce domaine.

Christophe

Dfried,
Merci de ce rappel à l'ordre très salutaire.
J'aurai contribué à faire revivre un sujet mort depuis 11 mois et demie !!!
Et en plus, nous aurons eu la très jolie histoire de Christophe.
Si cette belle histoire apparait sur un chapitre "Belle au Bois Dormant", il n'y a pas mort d'homme.

Merci de nous dire tes Latour préférés. Christophe, c'est 55, 49 et 09 et moi c'est 47, 29, 90. Quels sont les tiens ?

Et bien je ne savais pas ce que j'allais ouvrir ce soir comme bouteille bien que je partais pour 1 grand bordeaux, c'est chose faite, ce sera LATOUR 1971.
Il me reste 1 bouteille et je pense qu'il ne faut plus trop l'attendre ?
Je vous tient bien sur au courant de mes émotions ou pas, on pourra ainsi relancer réellement ce poste !
Je leverrai donc mon verre à François et dfried, qui sait peut-être aurons-nous l'occasion d'apprécier ensemble l'un ou l'autre millésime de ce superbe domaine à l'étiquette très sobre ...

Bonjour,

Pour répondre à ta question, je n'ai pas de "Latour préféré", n'en ayant pas bu suffisamment pour m'en faire une religion, ni surtout il faut l'avouer n'ayant pas encore été véritablement transporté (sauf une fois).

J'ai pu approcher quelques rares millésimes des années 60 et 80, mais ce fut à un moment où je ne comprenais pas ce que l'on pouvait trouver de si sublime à un vin quel qu'il fut (bien que quelques gorgées d'un 1964 m'avaient suavement interpellées dans un 1er temps, avant que je ne reparte vers l'eau salvatrice pour mon palais juvénile).

Plus récemment j'ai été assez désapointé par un 1975 alors qu'une bouteille des Forts de Latour du même millésime avait été surprenante de fruit plusieurs mois auparavant (quoique légèrement déséquilibrée - mais le contexte a également beaucoup apporté).
A part le 75 ce fut toujours bon, mais je n'ai pas rêvé (c'est déjà bien mieux - dans autre catégorie de vin - qu'avec mes mésaventures trop répétitives liées à Léoville Barton et Pichon Comtesse).

1990 fruité et gras, m'a effectivement séduit mais bien moins que d'autres vins (de Bordeaux et d'ailleurs) de ce millésime que j'affectionne particulièrement ces derniers 3 ans.
J'aurai la chance d'en boire à nouveau, et qui sait si mon opinion changera alors.

Sur les 10 dernières années (ne nous méprenons pas, je n'ai pas eu le privilège d'en goûter chaque millésime) c'est 1996, bien trop juvénile, mais explosif, qui m'a fait vibrer et qui me laisse penser que lorsque le temps aura fait son oeuvre (je suis optimiste et pense qu'à l'inverse de son ainé de 1975 il s'harmonisera) nous aurons quelque chose de rare.

Comme écrit plus haut, je ne suis pas à l'abri d'une flèche amoureuse que me décocherait un Château Latour ancien ou récent dans l'avenir.

Néanmoins pour l'heure et en toute humilité, j'avoue que ce n'est pas Château Latour, qui hante mes envies. Cela ne signifie pas que je dédaigne l'occasion d'y tremper mes lèvres lorsque l'on me le propose (au contraire j'en suis touché), mais tout simplement que ce n'est pas le domaine surprise que j'espère voire représenté sur la table de mon hôte ou qui me vient à l'esprit de sortir de ma cave si je veux servir à des amis quelque chose d'à part.

Cordialement,
dfried

Voici donc mes impressions sur le LATOUR 1971 dégusté hier soir en compagnie de mes parents, celui-ci fut placé verticalment +- 3 heures avant sa dégustation.
Ouverture de la bouteille une demi-heure auparavant et servie à une température de 15 degrés.
Le bouchon est en relativement bon état et n'a posé aucune problème avec le tirebouchon.
D'une couleur d'un grenat tirant sur des reflets "brun orangé", on ne peut qu'évaluer l'évolution déjà bien marquée du vin.
Le nez s'exprime de prime abord par des arômes d'épices, de café, de tabac mais se termine par une touche de foin légère mais bien présente et c'est ce qui me dérange quelque peu !
Quant à la bouche, celle-ci s'exprime assez complexe (dans un premier temps) mais dérangeante, on a difficile de définir cette sensation : est-ce positif ? Vient ensuite en milieu de bouche une expression d'un mélange de fruits noirs et d'épices comme le thym mais resté logtemps dans un bocal !
La finale quant à elle est esséchante et confirme l'apogée de ce divin breuvage passée depuis hélas trop longtemps ?
En conclusion, cette bouteille est décevante, est-ce une mauvaise conservation, je doute, je pense au contraire qu'il aurait fallut l'ouvrir plus tôt, il y a 10 ans !
Vivement l'ouverture d'un autre millésime peut-être plus récent, je pense au 1988 ...

Christophe

Merci de ce témoignage, Christian!
Dans le même millésime, le Mouton 1970 goûté il y a quelques années n'avait plus que l'étiquette de flamboyante..

Alain

Christophe,

Le Latour 1988 (19,5/20) bu récemment avec Charlesv, Xtof et Nidal s'est révélé prodigieux.

Latour 1973 (18/20) bu avec Jean-Philippe Durand (par Pascal Perez : " ... L’association du vin et de la composition autour de l’espadon fonctionne parfaitement. Parmi tous leurs points de convergence, on peut mettre en exergue leurs soyeux respectifs (crème de riz pour le plat) et l’excellente intelligence entre le Pauillac et la truffe ...").

Laurent,

Merci pour l'info sur le 88, je suis étonné de la cote du 73, tu l'as dégusté il y a peu ?
C'est mon année de naissance et à part le Petrus ouvert en 1993 et l'Yquem en 2003, je n'ai rien dégusté de bon à Bordeaux dans ce millésime ?

Christophe