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tout à fait mais je répondais au propos d'hyllos qui parlait de mise.
Attention que le soufre même si on l'entend souvent pour la mise en bouteille, peut être et est utilisé à plusieurs étapes de la vinification pour stabiliser et protéger le mout/ jus / vin en fermentation/ vin fermenté.
pas aussi sûr que toi car le mal est souvent fait avant, le soufre ne peut régler que les problèmes de stabilité à l'évolution mais à la mise le mal est souvent fait pour ce qui est des déviances organoleptiques.Il est clair sur ce point qu'un sulfitage suffisant et léger à la mise change totalement la donne.
sinon, la souris n'empeste pas, c'est sur la rétro qu'on la perçoit (ok le nez joue un rôle), c'est donc le goût qui est très désagréable.
Deux grands classiques: pour supprimer les levures indigènes pour ceux qui souhaitent travailler avec des levures sélectionnées et pour bloquer la fermentation malolactique.
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Ah mais tu sais que tu peux demander à Eric je suis un grand fan du nature :p
tout à fait mais je répondais au propos d'hyllos qui parlait de mise.
Attention que le soufre même si on l'entend souvent pour la mise en bouteille, peut être et est utilisé à plusieurs étapes de la vinification pour stabiliser et protéger le mout/ jus / vin en fermentation/ vin fermenté.
pas aussi sûr que toi car le mal est souvent fait avant, le soufre ne peut régler que les problèmes de stabilité à l'évolution mais à la mise le mal est souvent fait pour ce qui est des déviances organoleptiques.Il est clair sur ce point qu'un sulfitage suffisant et léger à la mise change totalement la donne.
sinon, la souris n'empeste pas, c'est sur la rétro qu'on la perçoit (ok le nez joue un rôle), c'est donc le goût qui est très désagréable.
Deux grands classiques: pour supprimer les levures indigènes pour ceux qui souhaitent travailler avec des levures sélectionnées et pour bloquer la fermentation malolactique.
ceci dit là encore ce n'est pas le soufre qui va régler les problèmes de bretts, de goût de souris, de volatile incontrôlée etc...
le problème majeur, c'est le "ne rien faire" qui génère des problèmes bien plus grands que ceux qui "font" un peu trop.
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chacun a le droit d'aimer ce qu'il veut, mais ce n'est pas cela qui qualifiera des défauts organoleptiques effectifs de nouvelle norme du bon goût. S'il y a des seuils fixés par la loi dans les appellations, ce n'est pas pour rien. Qu'on ne vienne plus nous parler de l'expression du terroir en ce cas! or c'est souvent ce que les natureux ont à la bouche quand ils parlent de l'expression naturelle des vins !Il me semble que vous sous-estimez le nombre de clients pour qui les bretts, une acidité volatile très importante ou le goût de souris ne sont pas des défauts et sont même des marqueurs identitaires. Ces vins ne sont pas daubés pour tout le monde.
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Je pense que c'est le sens des propos de Sylvie A., ce n'est pas parce qu'on fait des vins dits "libres" qu'on devrait tolérer n'importe quoi. Michou souligne un point intéressant, cependant, il y a un public pour les vins "daubés", et c'est la vague sur laquelle surfent certains vignerons à qui il suffit, dirait-on, de revendiquer un mode de production nature pour trouver leur public.
chacun a le droit d'aimer ce qu'il veut, mais ce n'est pas cela qui qualifiera des défauts organoleptiques effectifs de nouvelle norme du bon goût. S'il y a des seuils fixés par la loi dans les appellations, ce n'est pas pour rien. Qu'on ne vienne plus nous parler de l'expression du terroir en ce cas! or c'est souvent ce que les natureux ont à la bouche quand ils parlent de l'expression naturelle des vins !Il me semble que vous sous-estimez le nombre de clients pour qui les bretts, une acidité volatile très importante ou le goût de souris ne sont pas des défauts et sont même des marqueurs identitaires. Ces vins ne sont pas daubés pour tout le monde.
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Alors objectivement, ces vins sont daubés, ce sont des défauts.Il me semble que vous sous-estimez le nombre de clients pour qui les bretts, une acidité volatile très importante ou le goût de souris ne sont pas des défauts et sont même des marqueurs identitaires. Ces vins ne sont pas daubés pour tout le monde.Am
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J'abonde. Et j'ai rarement plus expérimenté la disparition du terroir derrière un process que dans les vins natures. Pour moi, cette mode signe la mort du terroir par excellence.
chacun a le droit d'aimer ce qu'il veut, mais ce n'est pas cela qui qualifiera des défauts organoleptiques effectifs de nouvelle norme du bon goût. S'il y a des seuils fixés par la loi dans les appellations, ce n'est pas pour rien. Qu'on ne vienne plus nous parler de l'expression du terroir en ce cas! or c'est souvent ce que les natureux ont à la bouche quand ils parlent de l'expression naturelle des vins !Il me semble que vous sous-estimez le nombre de clients pour qui les bretts, une acidité volatile très importante ou le goût de souris ne sont pas des défauts et sont même des marqueurs identitaires. Ces vins ne sont pas daubés pour tout le monde.
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Pour la volatile, il y a des seuils réglementaires donc ça me semble suffisant pour caractériser une déviance, au delà des seuils de tolérance.
Certains vignerons s'offusquent des propos de Sylvie A., et il est vrai qu'il est difficile de définir ce qu'est un défaut ; la tolérance à la volatile, aux bretts,... variant d'un individu à l'autre.
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t'as oublié: "du temps des grandes heures"En 2009, Michel Bettane déclenchait un ras de marée de réactions avec son billet polémique sur les biocons.
www.lapassionduvin.c...
Plus d'une décennie plus tard, l'histoire serait-elle en train de lui donner raison ?
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Pour la volatile, il y a des seuils réglementaires donc ça me semble suffisant pour caractériser une déviance, au delà des seuils de tolérance.
Certains vignerons s'offusquent des propos de Sylvie A., et il est vrai qu'il est difficile de définir ce qu'est un défaut ; la tolérance à la volatile, aux bretts,... variant d'un individu à l'autre.
Pour les bretts, en effet à ma connaissance il n'y a pas de seuil réglementaire, pour autant au delà d'une certaine quantité de bretts, un vigneron sait très bien qu'il engendre une tromperie car une fois en bouteille l'évolution ira vers un vin imbuvable (sauf si l'on aime les odeurs fécales et les vins destructurés ou décharnés).
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Déjà vu plusieurs fois, mais on ne s'en lasse pasVinum un jus qui a « tourné »
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Comment ont été fixé ces seuils ? Sur quelles bases ? Par qui ? Faut-il les remettre en question car la notion de vin a évolué ?
Pour la volatile, il y a des seuils réglementaires donc ça me semble suffisant pour caractériser une déviance, au delà des seuils de tolérance.
Certains vignerons s'offusquent des propos de Sylvie A., et il est vrai qu'il est difficile de définir ce qu'est un défaut ; la tolérance à la volatile, aux bretts,... variant d'un individu à l'autre.
Pour les bretts, en effet à ma connaissance il n'y a pas de seuil réglementaire, pour autant au delà d'une certaine quantité de bretts, un vigneron sait très bien qu'il engendre une tromperie car une fois en bouteille l'évolution ira vers un vin imbuvable (sauf si l'on aime les odeurs fécales et les vins destructurés ou décharnés).
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C'est une bonne question et elle est légitime.
Comment ont été fixé ces seuils ? Sur quelles bases ? Par qui ? Faut-il les remettre en question car la notion de vin a évolué ?
Pour la volatile, il y a des seuils réglementaires donc ça me semble suffisant pour caractériser une déviance, au delà des seuils de tolérance.
Certains vignerons s'offusquent des propos de Sylvie A., et il est vrai qu'il est difficile de définir ce qu'est un défaut ; la tolérance à la volatile, aux bretts,... variant d'un individu à l'autre.
Pour les bretts, en effet à ma connaissance il n'y a pas de seuil réglementaire, pour autant au delà d'une certaine quantité de bretts, un vigneron sait très bien qu'il engendre une tromperie car une fois en bouteille l'évolution ira vers un vin imbuvable (sauf si l'on aime les odeurs fécales et les vins destructurés ou décharnés).
Sur ce débat, j'ai vu passer une réflexion intéressante de Claire Naudin ces derniers jours. S'il y a un marché pour des boissons à base de raisin avec des volatiles à 1,2, 1,5 ou même 2, pourquoi les déclarer non marchands ? Peut-être faut il inventer une nouvelle catégorie. Ce n'est plus du vin mais c'est une boisson qui a du sens et un public. Elle mentionnait notamment le cas des bières trappistes pour lesquelles l'acidité volatile est un critère important.
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Je ne dirais pas que c'est légitime On parle de normes, les normes par définitions sont arbitraires. Elles ne sont jamais totalement justifiables mais elles ont un objectif purement pratique. Dans un autre domaine, tu peux arguer que la limitation de vitesse à 90km/h est absurde. Et c'est vrai, la vitesse correcte dépendrait de plein de facteurs, matériels et humain. Quels équipements existent sur la voiture, quelle sont ses capacités de freinage, quelles sont les capacités du chauffeur, son age, les distraction à bord... etc... oui, en fait, il n'y a rien qui justifie le 90. Pourtant il faut bien fixer en pratique une norme.
C'est une bonne question et elle est légitime.
Je serais curieux de connaitre le taux de volatile de Cheval Blanc 1947 qui est notoirement connu pour son taux élevé et pourtant considéré comme un des plus grands vins du 20e siècle par tous les critiques, y compris ceux qui sont connus pour leur rejet de toute déviance.
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Ben non, j'ai pas mal de "vieux" clients qui sont amateurs du genre. Par contre, plutôt du nature "haut de gamme"J'ai envie de dire, pour apporter ma pierre à l'édification de ce douloureux sujet et faire référence à un autre sujet tout aussi douloureux :
Si le vin est un truc de vieux, le vin nature est un truc de jeune.
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