Je me demandais comment évoluait les Granits rouge 1998 de Chapoutier

A mon avis, bien

Le nez reste savoureux, sur le cassis, la violette, le poivre et le minéral.
La bouche est concentrée et savoureuse, fraîche et longue.
Le vin me semble plus séduisant, plus équilibré, plus fondu...

Il est très bon actuellement et pour longtemps encore, je pense.

Cordialement,
Thierry

Chapoutier - Hermitage rouge - Monier de la Sizeranne 1996

Bouteille ouverte en mars 2009
Bouchon : moyen, dédié, imbibé à 30%

Robe : sur le grenat, robe profonde, bord du disque (très) légèrement tuilé.
Nez : expressif et doux, sur la mûre, notes d'alcool de prune, cuir, épices.
Bouche : attaque ample, sur la rondeur d'une matière moyenne, avec des tannins fondus et veloutés mais avec aussi un léger déséquilibre acidité (un peu trop faible) / alcool (un peu trop prononcé). Le vin manque un peu de longueur, les quelques amers, et touches de verdeur, en fin de bouche sont comme désorientés, abandonnés là. Finale moyenne.

Un vin, qui reste tout à fait agréable, mais sans nous emmener bien loin, et à boire, à mon avis, sans trop tarder.

15/20

Jean-Pierre

Etonnant ce déficit d'acidité sur ce millésime!

Jean-Pierre, Laurent,

Lors de ma dernière dégustation, assez récente, de la Sizeranne 1996 face à la Chapelle du même millésime, je n'avais pas trouvé de déficit d'acidité... (cf. la rubrique La Chapelle)

Bien cordialement,
Thierry

Laurent, Thierry,

J'ai mentionné un déficit d'acidité dans son rapport avec la perception, pour moi et sur la bouteille ouverte, de l'alcool,

On peut donc aussi lire mon CR comme indiquant une acidité correcte mais un excès alcooleux, mais en tout cas la perception d'un déséquilibre.

Cette bouteille étant rentrée tardivement en cave, je ne certifie pas que ses conditions antérieures de conservation aient été parfaites, mais le niveau et le taux d'imprégnation du bouchon étaient tout à fait corrects.

Bien cordialement,

Jean-Pierre

D'où mon étonnement, puisque, sur ce millésime, le déséquilibre, lorsqu'il y a déséquilibre, se fait plutôt sur l'acidité, et non sur l'alcool.

Ceci, bien sûr, ne remet en rien en question ton appréciation.

ça dépends peut-être d'une température de service trop chaude qui gommerait l'acidité du millésime et accentuerait la sensation d'alcool?

En fin de soirée de dégustation, j'ai mis face aux fromages Beaucastel Vieilles Vignes 2001 et Barbe-Rac 1995 Chapoutier...

Le Beaucastel Vieilles Vignes 2001 était brillant (Cf. la rubrique Beaucastel) et je me demandais comment allait se comporter Barbe-Rac face à ce monument....
Fort bien, à mon avis
Le nez était élégant sur la cerise noire, quelques touches de prune, des notes de noyau, d'épices et de cuir.
La bouche, savoureuse, était séduisante et équilibrée: une concentration remarquable, un beau volume et une superbe finale sur les fruits...

Cordialement,
Thierry

VDP des Coteaux de l'Ardèche blanc 2007 Chapoutier Domaine des Granges de Mirabel Viognier : une robe dorée très lumineuse, grasse, presque huileuse, un très beau nez sur la pêche blanche, l'abricot et les fleurs blanches, une bouche suave et généreuse, grasse, très aromatique, mais un poil marquée par l'alcool en finale, beaux amers pour terminer.

Dégusté parmi de nombreuses autres choses ...

Hermitage Chantalouette 2006 blanc : nez sur l'abricot, le beurre frais, et la fumée. Bouche ample, fraîche, longue, d'une belle tension. Finale racée, puissante, sur les fruits mûrs et la fumée.

Saint Joseph "les granits" 2006 blanc: nez très mûr, presque confit. Bouche dense, ample et longue. Finale un peu courte, abricotée.

Hermitage de l'Orée 2006 blanc : nez sur le beurre truffé, les épices. Bouche longue, intense, d'une grande densité. Grande finesse. Finale sur l'abricot fumé.

Saint Joseph "les Granits" 2006 rouge : nez sur la framboise, le poivre, le cassis. Bouche fruitée, tendue. Fin un peu dure.

Côte Rôtie Mordorée 2006 : nez complexe, sur le cassis, la framboise, la fumée, la violette. Bouche très pure d'une grande fraîcheur. Belle matière.Finale épicée.

Ermitage Pavillon 2007 : nez "beau ténébreux", profond. Bouche mâchue, riche, complexe, au tannins bien mûrs. Finale assez puissante.

Ermitage Pavillon 2006 : nez plus aérien. Bouche fine, tendue, à la matière élégante. Finale tannique.

Petite Ruche 2007 Chapoutier

Un restaurant de proximité dans lequel on mange bien mais qui a une carte de vin désespérante...
C'est une occasion de prendre une Petite Ruche 2007.

J'ai été surpris en bien par ce vin au nez puissant de cassis avec des nuances fumées et de lard.
La bouche était savoureuse, concentrée et ample. Elle avait une finale marquée par les fruits noirs et le lard fumé et une longueur satisfaisante...

J'avais déjà eu une bonne surprise avec le 2006

Cordialement,
Thierry

Les Coufis de Paille 2002 - Vionié de l'Ardèche - Chapoutier

La robe est ambrée, épaisse, grasse, visqueuse.
Le nez est puissant, sur l'abricot confit, le raisin de Corynthe, le caramel.
Le vin emplit immédiatement la bouche, il est sirupeux, la teneur en sucres résiduels est manifestemment importante, la longueur est impressionnante.
Le vin conserve néanmoins une acidité suffisante pour assurer son équilibre et lui éviter de paraître fatigant.

J'ai préféré ce millésime au 2001, qui m'avait semblé moins équilibré, en raison d'une acidité moindre.

"""le Cornas de Chapoutier n'est tout de même pas le plus incontournable de l'AOC..""

Et bien , je vous encourage à déguster le millésime 2007 de cette cuvée de Cornas . De passage à la boutique Chapoutier ( nous avons retrouvé notre ami Sébastien ) je n'ai pas résisté ...ce millésime 2007 va certainement nous apporter de belles surprises .

Un investissement de 15 millions d'euros : Chapoutier prend la crise de haut


Il sourit à l'idée de marcher dans les pas de son arrière-grand-père Marius. "En 1929, en pleine crise, il a construit sa cuverie...", raconte Michel Chapoutier, 45 ans, patron de la holding MMC qui compte, entre autres entreprises, la Maison Chapoutier sise à Tain L'Hermitage dans la Drôme.

Et il avoue que cet atavisme familial le rassure, lui qui a décidé de faire à son tour un pied de nez à la crise de 2009 en investissant 15 millions d'euros dans un nouveau site. Le chantier a démarré en novembre. Il devrait se terminer en juin. Sur un terrain de 30 000 m² en pleine zone artisanale voisine, à Mercurol, une usine flambant neuve de près de 14 000 m² sort de terre.

Passer de 5 à 10 millions de bouteilles

Pionnier du bio oblige, le bâtiment sera, on s'en doute, HQE (haute qualité environnementale). Visible depuis l'autoroute du soleil qui passe juste au-dessus, son esthétique en "vagues" se veut un rappel de l'Hermitage où poussent les vignes ancestrales de la Vallée du Rhône. Pour que tout soit plus vert encore, le toit et l'une des façades seront végétalisés. Voilà pour l'extérieur.

À l'intérieur cuveries de vinification, élevage, mise en bouteilles, stockage et expédition. "Le but est de passer des 5 millions de bouteilles actuelles à 10 millions". Un doublement de la production souhaité à l'horizon 2015. "On était dans une logique où on doublait tous les 5 ou 6 ans. Avec la situation actuelle, il faut voir. Mais philosophiquement la question est de savoir comment on analyse la crise".

Deux millions dans l'école et l'agrandissement du caveau

Faut-il reculer face aux flammes ou bien ne pas hésiter à traverser la barrière de feu pour mieux lutter contre l'incendie, interroge encore Michel Chapoutier qui revient tout juste d'une Australie dévastée par la sécheresse et les sinistres, et où il investit aussi depuis 20 ans.

Lui a décidé d'affronter la fournaise économique. "On sait que la sortie de crise sera aussi violente que l'entrée... Il faudra être dans les starting-blocks le jour où ça repartira". Rien ne sert de courir... mieux vaut maintenir son rythme de croisière !

Pour Chapoutier, ce sera donc aussi deux millions investis dans l'agrandissement du caveau et l'évolution de son "école" (formation continue sur le vin, gastronomie, géologie, etc.). "Avec le déménagement vers Mercurol, un hectare de bâtiment en ville sera libéré, une réserve foncière pour les projets à venir..."

Des projets encore embryonnaires qu'il ne veut pas dévoiler. Mais toujours au cœur, l'amour des beaux et bons produits. Un haut de gamme qu'il souhaite "abordable" mais qui selon lui demeure "la vraie puissance de la France". Une valeur pour dépasser la crise ?

REPÈRES

QUELQUES CHIFFRES
La Maison Chapoutier c'est 26,5 millions de chiffres d'affaires en 2008, 50 % en France et 50 % à l'export.

HISTORIQUE
Historiquement, la Maison Chapoutier cultive ses vignes depuis 1808. Michel a repris
le flambeau il y a une vingtaine d'années. En 1990 la production était de 750 000 bouteilles, aujourd'hui elle est de 5 millions...

SPÉCIFICITÉS
La maison Chapoutier est celle qui a le plus de vins classés 100 sur 100 par le guide Parker.
Elle est également l'entreprise - dans le milieu du vin - qui a le plus fort taux de cadres féminins, et le plus fort taux de salariés entrés en tant que stagiaires.

Source : www.ledauphine.com/e...

Chapoutier - Cuvée "Monier de la Sizeranne" - Hermitage rouge 2006
(bioD - 40 €)

Bouteille ouverte en avril 2009
Bouchon : très bien, très peu imbibé.

Robe : belle couleur vive quand on verse, après très sombre dans le verre, plutôt sur le grenat avec un bord de disque sur la framboise.
Nez : assez discret, sur des notes minérales et de cassis, avec quelques fragrances poivrées après aération.
Bouche : une matière importante, encore un peu fermée mais dont on sent qu'elle sera bientôt savoureuse, acidité correcte, bouche équilibrée, bonne finale. Les tannins ont la jeunesse de la bouteille mais ils n'ont rien d'excessif et nul doute, pour moi, qu'ils se fondront harmonieusement. Ils autorisent déjà un accès mesuré à la beauté d'un fruit mûr mais sans surmaturité.

Au bout de deux heures d'aération (sans carafage), pas de changement sur le nez et côté tannins, mais la matière s'ouvre déjà et se révèle aérienne, structurée et fine, sans aucune lourdeur ni déséquilibre.
On remise le fromage de fin de repas et on regoûte la bouteille pour elle-même.

J+2 : un vin parfait, droit et élégant.

16,5/20 (+)

Jean-Pierre

Dégusté chez Olivier, deux cuvées vendues en GD au prix de ± 6€ dans la série les Incontournables. Les vins n’ont pas été carafés.

Coteaux du Tricastin 2007 – 13,5/20

La robe est jeune mais pas violet, assez sombre. Le nez a été très changeant sur toute la dégustation, très épicé, grillé – réglissé, légèrement viandé, sur les fruits noirs au début passant ensuite par des arômes plus frais de groseille rouge - cassis.
La bouche est très tendue sur les fruits noirs un peu compotés, les tanins sont ronds. Le vin finit court sur la tapenade d’olive noire et la réglisse.

Côtes du Rhône 2007 – 14/20

La robe est plus violacée et sombre. Le nez est jeune et bien expressif, très poivré, épicé. Sur la confiture de fruits noirs, une touche alcoolisée.
La bouche est plus équilibrée et ronde, par contre les tanins sont plus marqués, les fruits noirs sont présents, bien équilibré avec une longueur moyenne et cette touche d’alcool.

Deux vins moyens, un peu passe-partout qui feront des heureux sur les barbecues de l’été.

Côte-Rôtie "Les Bécasses" 1999 Chapoutier

J'ai ouvert cette bouteille ce midi, le vin était peu bavard, nous en avons bu chacun un verre et j'ai rebouché la bouteille: je pensais qu'il serait plus agréable, ce soir...
Effectivement, l'évolution est positive

Ce midi, le vin ne correspondait pas à celui décrit par BibibiO:
pas de réduit, pas d'animal, mais du cassis... Il faut dire que le bouchon était comme neuf, on peut rappeler que j'ai une cave très fraîche et possédant une excellente hygrométrie. Les vins y vieillissent lentement...

Ce soir, le nez est sur le cassis et la cerise noire, avec des nuances de violette et des notes de boisé et de poivre, sur un fond marqué par des touches de cuir et de minéral.
La bouche est savoureuse, sur le cassis qui persiste en finale. Le vin est concentré, ample mais avec une acidité qui bouscule un peu les tannins et les 13° d'alcool pour s'imposer dans la longue fin de bouche...

C'est bien à défaut d'être grand...

Cordialement,
Thierry

Chante-Alouette 1998 Chapoutier

J'ai ouvert cette bouteille avec quelques craintes:
autant j'aime le 1995, autant le 1998 me semblait un peu ingrat, ces dernières années...

Les choses semblent avoir changé:
le vin s'est ouvert, il est devenu très agréable.
-Le nez est complexe sur le coing, la noisette et le miel.
-La bouche est ample, fraîche et longue. Elle est savoureuse et grasse et elle donne une impression d'équilibre.
Je ne note pas de nuances oxydatives.

Cordialement,
Thierry

Chapoutier Hermitage blanc Chante Alouette 2006
Belle robe dorée, bel éclat. C’est l’ananas qui domine le nez accompagné de notes de truffe blanche. Un vin de grande amplitude, gras, riche, savoureux doté d’un excellent équilibre : grande longueur.

Chapoutier Hermitage blanc de l’Orée 2006
Robe dorée, très dense. Le nez est serré, fermé. En bouche, c’est tout à fait surprenant : opulence de la matière, tension, des notes retenues de bière blanche. Une légère et très fine perle ajoute à la fraîcheur : un vin riche qui cependant manque de grâce et est caractérisé par une certaine lourdeur, due à un élevage trop présent et un déséquilibre sur l’alcool. Je ne suis pas convaincu et reste dubitatif devant les notes faramineuses reçues.

Chapoutier Crozes Hermitage les Varonniers 2006
Une robe très sombre, noire avec des reflets violine. Le nez est réservé, épicé. La matière est de grande envergure, très dense, avec ce velouté très caractéristique des grandes cuvées de la maison Chapoutier. Le corps est marqué, les saveurs de fruits noirs apparaissent en bouche et s’étirent accompagnées des épices ressenties au nez sur la finale bien longue. Les tannins sont très mûrs et juteux et serrés. Très bel équilibre. Un Crozes Hermitage de très haut niveau qui fait de l’ombre à pas mal d’Hermitage.

Chapoutier Côte Rôtie Mordorée 2006
La robe est noire violine, intense. Le nez évoque inévitablement la syrah aves ses notes de lard fumé et de violette. L’attaque en bouche est stricte, tendue, avec des tannins immenses et juteux. Le milieu est bien plus généreux et le soyeux de la matière comme son volume surprenne. Longueur exceptionnelle : quel vin !

Hermitage Chapoutier Monier de la Sizeranne 20006
Constante noire violine pour la robe. Le nez évoque une syrah plus épicée, pain d’épice. Superbe corps, large, de grande amplitude. Ce vin possède une grande fraîcheur distinguée sans doute apportée par ces notes de baies rouges et noires. Belle finale sur de beaux amers.

Hermitage Chapoutier Le Pavillon 2006
Robe noire, très dense, impressionnante. Le nez est serré, épicé. Bouche immense qui laisse tout le monde sans voix : soyeux de la texture, volume, grande fraîcheur et la longueur semble infinie sur des notes de violette. Un vin exceptionnel.

J'avoue avoir un grand faible pour ce style, plus que pour celui de Guigal. Les vins rouges marqués du sceau Fac et Spera se caractérisent par une texture superbe et un soyeux magnifique. (Mordorée, Varonniers et Pavillon).
L'élevage est exemplaire sauf peut-être sur l'Orée où je l'ai trouvé un peu dominateur.

Jolis commentaires Jérôme pour un très grand millésime chez Chapoutier, Michel avait dit de celui-ci que c'était le plus grand qu'il ait eu a vinifier...ça confirme.

Je te rejoins pour de l'Orée, la sur puissance dans ce vin peut sembler (et est dans le jeunesse) lourd, trop élevé et alcooleux mais cette cuvée se magnifie avec l'âge, le vin reste toujours puissant mais acquiert une complexité des plus rares.

L'Ermite Blanc sera plus sec, tendu, minéral, vif avec une matière sous jacente énorme, tout le contraire de de l'Orée...et aura ma préférence.

Et que dire de Chante Alouette 2006,je crois que c'est le plus grand que j'ai bu,en effet.

Voilà des commentaires qui font plaisir à lire...

Je suis aussi toujours frappé par le velouté et le soyeux de texture des parcellaires de Chapoutier.

Et je partage la préférence de Jérôme pour ce style (comparé à Guigal).

Pavillon est un grand vin, qui laisse souvent sans voix...

Et je suis heureux de lire que la grandeur de 2006 semble se confirmer!

@ Jérôme,

Merci de ces informations sur les 2006.

J'avais été récemment surpris, agréablement, par l'accessibilité immédiate de la Sizeranne (CR dans la rubrique ad hoc).

En est-il de même pour les autres rouges que tu as dégustés, et que je pensais pour ma part attendre un peu (comme le Pavillon ou la Mordorée), pour lesquels tu évoques une matière soyeuse et des tannins mûrs et juteux ?

@ Fabien,

Puisque tu nous en parles, Michel Chapoutier, là où il écrivait effectivement il y a deux ans qu'il avait fait en 2006 ses plus grands hermitages, écrit aujourd'hui pour le 2008 :
En Vallée du Rhône, une année laborieuse a nécessité patience, courage et pugnacité pour entretenir la terre et la nourrir.
Un millésime de petites quantités, voir intimiste pour les Sélections Parcellaires, fait de finesse, d'élégance. Arômes précis, tanins présents, élancés et serrés.. Un millésime rare, d'amateurs.

En clair, est-ce qu'il faut lire : "c'est du niveau de 2002 mais dépêchez-vous, il n'y en a pas beaucoup", ou bien tes dégustations en interne laissent-elles espérer autre chose ?

Cordialement,

Jean-Pierre

Le Pavillon dans ce millésime est tellement grand que je pense que sa dégustation ne sera jamais anachronique. C'est un vin quasi parfait.
Je pense cependant que la griffe Chapoutier, c'est justement des textures très belles : c'est très flagrant sur la gamme Fac et Spera.

Jérôme, tu veux bien cesser, tu vas encore me faire faire des folies...

Amitiés,

Luc

Tu as raison luc, ça énerve un peu .. Quand aux Varonniers seule cuvée des parcellaires que je connais bien, je suis d'accord avec l'impression de velouté.. ll est clair qu'à l'aveugle, on peut le placer en Hermitage..

Arnaud.

Merci, Jérôme, pour ces beaux commentaires qui me donnent une furieuse envie de goûter L'Orée, La Mordorée et le Pavillon.

A la différence de Luc, je ne vais pas faire des folies, sauf si les prix ont baissé, mais cela me surprendrait.
J'avais vu les tarifs des grands 2006 (Pavillon, Orée,...) et j'en suis resté refroidi

Amitiés à vous deux,
Thierry

Thierry, quel prix te semble acceptable pour cette cuvée (Pavillon 2006) ?

Amitiés,

Luc

Luc,

De mémoire, j'avais vu 300 euros.
J'ai jeté le tarif

Un prix acceptable en fonction de la qualité?
Je dirais 200 euros.
Mais c'est un prix que je me refuse à mettre dans une bouteille de vin.
Il m'arrive de "craquer" et de mettre exceptionnellement entre 100 et 150 euros, mais au delà, je bloque...

Amitiés,
Thierry

J'aurais dit comme toi.
Bon, et bien dans ce cas, je sens que je vais craquer...

Amitiés,

Luc