Hier soir, un Cornalin Quintessence 2000 de Benoit Dorsaz s'est joué avec brio d'un plat de pâtes à l'huile d'olive et au parmesan, là où j'envisageais initialement un Montiano de Falesco.
Une viande blanche, pourquoi pas! Le 2003 de Romain Papilloud, qui risque de se trouver dans un registre de fruité intense et de fraîcheur, ne s'accommodera pas forcément bien d'un gibier.
Je ne sais pas si l'huile d'olive et le parmesan sont les meilleurs façon de déguster un cornalin. On risque de trouver la finale un peu bizarre, non (aaa) Le cornalin 2000 de Dorsaz bu sur la daube de Robert a convaincu tout le monde ;-)
Je pencherais plutôt pour le rôti de porc de Phr ou des viandes pas trop goûteuses, mais il ne faut pas avoir peur d'associer un corinalin à une viande rouge (si le cornalin est bon)