si ton livre, si technique soit-il, pouvait faire partie des sélections Beaux-Livres pour Noêl dans des magazines grand public comme Télérama, N Obs et autres, cela pourrait donner un petit coup de fouet aux ventes. Ne pourrais-tu pas faire un deal avec un vigneron ami exposant au Grand Tasting ou (et ) au Salon des Caves Pariculières à Paris, Lyon etc pour en faire la promo sur leur stand ou mieux encore dans un espace qui vous serait consacré dans les dits salons ? Tu as du y penser, j' imagine....

Daniel

Daniel,

Merci des idées. Pour les "sélections de Noël", je crois que le responsable commercial y a songé. A voir...

Pour le Grand Tasting, peut-être puis-je demander aux crus qui sont dans le livre d'en avoir un en exposition sur leur stand ? J'ai vu qu'il y avait Palmer, Lascombes et Cos d'Estournel. Pas gagné, mais à essayer.

Pour le reste, les salons ne sont pas des organismes philanthropiques, et un stand coûte une petite fortune, sans parler de la personne qui va derrière, les frais, etc... Je ne pense pas que mon éditeur soit prêt à jouer le jeu

Effectivement Eric les éditeurs n'investissent pas de grosses sommes pour des "petits tirages" comme toi et moi. Ils ne pourraient pas rentabiliser. Toutefois ton livre (votre livre) sera certainement un beau cadeau pour les fêtes et cela devrait booster les ventes en décembre.

Bonjour

Eric B a les honneurs de J. Dupont dans sa sélection d'ouvrages dans Le point à paraitre cette semaine. Et comme il s'agit du spécial immobilier, le numéro le plus vendu de l'année... Ca va booster. Et c'est mérité !

Merci, j'étais pas au courant

Je m'en vais l'acheter X(

Est-ce que les opérations de promotion ont un impact ? Je pense notamment à l'article dans la RVF du mois d'octobre.

C'est marrant, moi, c'est à l'effet LPV que je pense en premier !
Combien de membres ou lecteurs du forum qui lisent Eric et Pierre régulièrement ici ont acheté le livre ?

Oliv

Et es-ce que l'on l'aurait acheté s'il n'y avait pas eu LPV? ...

Christophe M.

Combien de membres ou lecteurs du forum qui lisent Eric et Pierre régulièrement ici ont acheté le livre ?

Pas facile à répondre, d'autant qu'il y a ici beaucoup de lecteurs qui n'interviennent jamais. Des LPVIens qui ont écrit ici l'avoir acheté (ou qui me l'ont écrit par MP), il y en a environ une trentaine. Mais il y en a probablement beaucoup plus (enfin, j'imagine).

Et est-ce que l'on l'aurait acheté s'il n'y avait pas eu LPV? ...

Certainement moins. Il est sûr que lorsque l'un des auteurs intervient depuis 7 ans quasi quotidiennement sur le forum, ça change forcément le regard qu'on peut avoir sur ce livre. Certains m'ont d'ailleurs écrit que le Médoc ne les branchait pas plus que ça, et qu'ils l'avaient acheté parce que j'en étais l'auteur.

Eric B écrivait:
> ........
> Pour le reste, les salons ne sont pas des
> organismes philanthropiques, et un stand coûte une
> petite fortune, sans parler de la personne qui va
> derrière, les frais, etc... Je ne pense pas que
> mon éditeur soit prêt à jouer le jeu

c' est clair, il ne s' agit évidemment pas de prendre un stand, et vu la taille des stands, les exposants si proches soient-ils, même s' ils le désiraient, auraient du mal à t' héberger mais un tract présent sur les stands, voire une distribution de tracts à l' entrée du salon ( là je pense au Grand Tasting ) aurait l' avantage de toucher votre coeur de cible.Aprés l' opération " Il faut sauver le soldat Cornélie " les Lpviens pourraient lancer " Aidons le livre d' Eric B à se faire connaitre " L' idée a l' air farfelue, mais imagines un relais de Lpviens se relayant pour distribuer le tract à l' entrée, çà risque de dépoter ! Le tract en question pourrait être distribué chez tous les cavistes, les bars à vin.....
Si je ne me trompe pas, il ya une librairie ou assimilée, présente au Salon des VIgn Indé à Paris, qui pourrait mettre votre livre en exergue et organiser éventuellement une signature pendant le we. En fait, cela vaut le coup de se creuser la tête et de mouiller sa chemise ! Je te suggère cela en tant qu' auteur de livres ( pas sur le vin, sur le désert ! ), trés concerné par la question.....

Daniel

J'imagine très mal une distribution de tracts...
Par contre, je crois me rappeler qu'au salon de la RVF comme au grand Tasting, il y a un stand librairie (une table) avec un certain nombre d'ouvrages sur le vin !
Il y a même des "instants dédicace" (enfin au moins au salon RVF).

--
Julien

Aprés l' opération " Il faut sauver le soldat Cornélie " les Lpviens pourraient lancer " Aidons le livre d' Eric B à se faire connaitre "

La comparaison avec Patrick est peut-être un peu forte

Mon "entreprise" n'est pas vraiment en danger. C'est sûr que je préfère voir mes livres chez les amateurs de vin plutôt qu'au pilon ou dans les rayonnages de Maxi-livres.

Mais je ne veux certainement pas abuser de la gentillesse des LPViens. Je trouve déjà que les administrateurs ont été très sympa de laisser développer ce fil toute à la gloire de Crus classés du Médoc

J'ai par contre contacté les vignerons indépendant pour être mis en relation avec la librairie du Salon de Paris. Merci de m'avoir soufflé l'idée

Eric B écrivait:

---

> La comparaison avec Patrick est peut-être un peu
> forte

Je me suis mal exprimé, il ne s' agit pas de comparer le fond ( qui pour Cornélie relevait du rescue d' une entreprise ) mais la forme de ce que je nommerais une communication alternative. Quand je parle d' un tract, il faut entendre folder d' information et non pas tract de réclame.

Daniel

Eric,

Quand on lit les pages 10 et 11 ton livre, on ne peut s'empêcher de poser notre regard sur deux châteaux: Haut-Bages Libéral et Grand-Puy Ducasse. Comment peut produire des vins comme ils en ont produit quand on a pour voisins Lynch-Bages ou Latour? As-tu un avis sur la question (et des raisons d'espérer)?

Arnaud

Il ne suffit pas d'être "à côté" d'un grand pour en avoir le potentiel. Il faudrait avoir leur carte pédologique pour en juger exactement. Mais d'après la carte que tu cites, Haut-Bages Libéral n'est ni sur une terrasse 3, ni sur une terrasse 4, qui sont de loin les plus qualitatives. Son vignoble semble reposer directement sur le socle marno-calcaire, peut-être recouvert par des alluvions récentes (la Gironde est toute proche). Quant à l'emplacement de Grand-Puy Ducasse sur la photo, c'est celui de son château, en plein Pauillac, pas de ses vignes (qui sont en partie entre Pedesclaux et Pauillac).

Je te conseille de regarder le chapitre "le poids de l'histoire" consacré à Beychevelle, qui montre, carte à l'appui, que ses plus beaux terroirs ont été vendus et ont fait naître Ducru-Beaucaillou, Branaire et Gruaud Larose. Si tu rajoutes là dessus qu'il tarde à bien valoriser ce qui lui reste, on comprend mieux pourquoi ce domaine est l'un des moins réguliers du secteur.

Comment expliques-tu la relative discrétion de Branaire-Ducru par rapport à ses voisins?

Arnaud

Ne l'ayant pas étudié, je ne connais pas plus la problématique de Branaire que ça.

Ce qui est sûr, c'est que le classement de 1855 n'est que la photographie d'un instant donné, qui correspond aux efforts produits par les propriétaires dans les 20 ans qui ont précédé. Ceux qui se sont relâchés entre 1835 et 1855 se sont retrouvés dans les oubliettes, alors que leur terroir était prometteur. Après, c'est dur de remonter : ça demande de gros efforts à la vigne, au chai et dans la comm'. Lynch-Bages a montré le premier que c'était possible. Pontet-Canet l'a fait plus récemment. Apparemment, le chai de Branaire a l'air relativement top (même pas vu, la hooooonte) mais faut croire que ça suffit pas pour faire partie de l'élite bordelaise..

Apparemment, le chai de Branaire a l'air relativement top (même pas vu, la hooooonte) mais faut croire que ça suffit pas pour faire partie de l'élite bordelaise..

Avoir la carte ou ne pas avoir la carte, tel est le dilemme. Paris Première en a même fait un programme phare de sa rentrée 2010!

Extrait à voir ici .

Arnaud

Bonjour,

je viens de terminer le livre et je ne peux que féliciter les auteurs pour ces moments agréables passés dans le vignoble médocain. On s'y croyait presque, c'est tout dire, et après chaque chapitre, on a envie de gouter (ce qui m'est malheureusement financièrement pas possible.....)

J'étais particulièrement intéressé par les dégustations parcellaires et c'est là qu'on comprend qu'a 300 mètres près, avec le même cépage, la même équipe et le même climat, mais pas le même sol, la qualité et la personnalité du vin peut être totalement différente. Je ne sais pas si un deuxième volume est en cours (on avait parlé un moment de la rive droite), mais j'ai une suggestion pour encore améliorer... A la fin du livre, je pense qu'il y a de la place pour mettre en parrallèle les dégustations parcellaires des différents chateaux et la pédo-geologie des sols, non pas à l'intérieur d'un chateau, mais sur l'ensemble des dégustations. comme il n'y a a jamais que 5-6 parcelles dégustées pour certains chateau et donc 2-3 par cépage, la mise en commun des dégustations devrait permettre de mieux comparer, pa rexemple, des vieux cabernets entre-eux sur différents sols et/ou différentes appelations..., ou des merlots de différentes origines ou de différents âges, etc... Bon vu d'ici ça à l'air simple, mais en pratique surement pas.

Juste pour dire que je suis acheteur de tout livre identique sur d'autres régions, quelque soit celle-ci. Il y a le filon bourgogne bien entendu, mais à mon avis, il a moyen de bien s'amuser dans d'autres régions (languedoc, rhone sud ?) avecdes vins moins prestigieux peut-être mais peut-être plus à la portée de mes finances. Car c'est ce qui m'a le plus frustré à la lecture de ce livre, c'est que Mouton ou Lafitte, je n'y gouterai sans doute jamais...

Merci pour ton message, Quatrequart

C'est vrai que les dégustations parcellaires sont intéressantes. Le sol ayant un impact direct sur le "micro-climat", il peut y avoir une différence de ce dernier, même à 300 mètres de distance (différence de température, d'hygrométrie...).

Je ne sais pas si les comparaisons inter-châteaux par type de terroir apporteraient vraiment quelque chose. Il y a trois millésimes différents (2007, 2009 et 2009), des méthodes de vinif et des micro-climats différents. Pas concluant, quoi.

Il est maintenant certain que le prochain sera Saint-Emilion. L'éditeur a donné son feu vert, et nous (les deux auteurs) en avons discuté longuement par téléphone il y a quelques jours. Nous avons déjà plein d'idées en tête qui ne demandent qu'à se concrétiser X(

ok, c'était juste une idée en passant...

Pour St-Emilion, il y a un chapitre consacré à la pédologie de la région qui a été publié dans le catalogue d'expo "Vignobles et geologie" (Yves Quinif, David Leuxe, Gilles Quinif, Faculté Polytechnique de Mons, 2007). Je ne sais pas si tu en a connaissance ni si ça peut aider, ç'est plutôt fouillé côté geologie mais ça reste assez basique côté vin (pas de dégustations ni de chateau en particulier).

Avec toute cette pub sur LPV, les ventes vont explosés.

Justement, un peu de retenue ne ferait pas de mal. Pensons aux cavistes à qui nous ne permettons pas de parler des vins qu'ils commercialisent ...

C'est bien, on a même les photos pour donner envie de l'acheter... Franchement...

Un article de plus dans terre de vins de ce mois ci ....et une très modeste contribution sur mon blog dans les idées de cadeaux vinesques pour Noel...Je trouve que c'est un très beau cadeau pour un amateur de vins, original qui plus est

Et une pleine page dans le dernier N° de la revue/catalogue de 1855.com, titrée "Un grand pas vers le paradis" (page 8).
En PDF ici.

Bonjour,
J'ai rédigé un billet portant sur le Sud de l'appellation Pauillac ainsi que sur le secteur de Trintaudon (très convoité par bons nombres de Crus Classés sans jamais l'avouer au grand public )
Pour ceux que ça intéressent... livremedoc.canalblog...
Peio

5 exemplaires présents dans le rayon des livres de Noël de Carrefour Lormont (33)

[size=small]Et y a même 5% de remise sur la librairie [/size]

Si c'est la même chose dans tous les Carrefour ...

Je me suis acheté ce cadeau ( que m'offrira mon cher beau-frère pour Nöel... ) à la FNAC d'Annecy. Etant conditionné dans son emballage d'origine, je n'ai même eu le temps de l'ouvrir car ma dulcinée me l'a confisqué : au secours, vivement le 25 !!!
SEB

Un article de fond dans le dernier numéro de la RVF, écrit pas "notre" Eric B
"La véritable histoire des trois Léoville"

C'est passionnant ! Mais accrochez-vous... Heureusement qu'il y a l'arbre généalogique !

Pourquoi ne te lancerais-tu pas dans une carrière de généalogiste, Eric ?

Bravo !

---
Julien

Pour les lecteurs du livre, y a pas de gros scoop. La partie généalogique (arbre compris) est dedans. Par contre, j'explique plus la genèse de mes recherches en détaillant les contradictions qu'il pouvait y avoir entre les châteaux et les auteurs des années 80 comme Ginestet et Pijassou, aucun n'ayant donné jusqu'ici la bonne explication . Alors qu'elle existait dans les archives de Las Cases. Mais personne ne s'était donné la peine d'y jeter un oeil, se contentant de répéter à l'envi les légendes médocaines...

Ca ne se voit pas du tout dans le livre, mais j'avais fait aussi l'arbre généalogique des propriétaires successifs de Margaux de 1400 à 1800 afin de ne pas raconter de bêtises dans l'historique, car là aussi, beaucoup d'erreurs circulent, même dans les ouvrages dit sérieux...

Bonjour,

Jacques Perrin parle du livre d'Eric sur son blog, c'est ici :

Blog Jacques Perrin

Serge

A signaler qu’Eric Bernardin est également blogueur à l’enseigne de A boire et à manger

étonnant la peine qu'ont les professionnels du vin à citer LPV ...

ou après tout peut-être pas si étonnant ?

pour paraphraser Cervantes: Don Quichotte à Sancho Panza "Les chiens aboient? ... signe que nous avançons"

"les ch... oups pardon les pros se taisent ... signe que LPV prend de plus en plus de place"