"Loïc Pasquet promeut une philosophie bourguignonne des climats, mais avec un fort accent sur les cépages que l'on ne retrouve cependant pas en Côtes de Nuits".
Ben évidemment, il n'y a qu'un seul cépage utilisé pour les vins rouges sur la route des Grands Crus.
Y'a quand même quelque chose de drôle à lire de pareils boniments. Et certains se font prendre ? Liber Pater propose-t-il ses vins à la dégustation des professionnels ? Je serais curieux de lire ce qu'en pensent Bettane, Desseauve ou nos amis de la RVF ?
totolouga a répondu au sujet : Liber Pater, Bordeaux
Rien compris non plus à la parabole ellipsoïdale Perezienne.... mais étant donné la lenteur de mon cerveau à appréhender certaines choses je ne m'en inquiétais pas trop cependant me voilà pleinement rassuré. Merci Hervé!
Raboso del Piave DOC a répondu au sujet : Liber Pater, Bordeaux
Comme nom de cuvée, le latin denarius est vraiment la grande classe !
Cela donnera l'occasion à certains d'écrire qu'il a vendu son âme au diable pour trente deniers. Pas moi par contre, je m'en garderais bien!
Jérôme Pérez écrit: Volontairement accessible : 500 euros HT la bouteille. 6000 bouteilles
Merci qui ?
Oui Jérôme, merci qui ? Pas compris ton ellipse pour le coup mais je suis peut-être le seul.
Cordialement,
Hervé
Grâce à son coup de gueule, Pasquet s'est senti obligé de diviser par 2 le prix de la bouteille.
Par 60 si je compte bien (de 30 000 € à 500 €). Autant dire qu'il nous la donne. Mais attention, ce n'est pas le même terroir. On ne peut donc pas parler de second vin, même si on peut parler de second attrape-couillon !!! .
C'est bradé, mais ça ne rentre toujours pas dans mon panier. Ça déborde encore de partout.
N'empêche, diviser le prix par 10, c'est phénoménal.
Liber Pater ou l'allégorie du triomphe de la vertu?
Par moment, on reprendrait espoir (enfin, un peu. Faut pas pousser non plus...)