Grande première : papa n'a pas été le premier à mettre un commentaire sur la dernière réunion de notre groupe de dégustation.

En général son premier CR a lieu dès que le dernier d'entre nous quitte la maison. Etait-il trop "fatigué" cette fois ci ???

Il s'est toutefois bien rattrapé depuis et, une fois de plus, il n'est pas évident de donner ses impressions après lui, il a en déjà tellement dit ...

J'adore le champagne et j'ai été très déçue par le Deutz 1998.
Je l'ai trouvé dur et acide en bouche et n'ai eu aucun plaisir à le boire.
Le Vouvray m'a semblé très équilibré. Je l'ai trouvé un peu sucré, mais c'est peut être du au fait de l'avoir bu juste après le Deutz dont j'avais encore l'acidité en bouche.
Le Saint Peray était également très équilibré et agréable à boire. Il m'a semblé plus élégant que le Vouvray. C'est celui que j'ai préféré.

Dans la seconde série j'ai apprécié la nef des fous : au nez poire, abricot et note anisée, bonne longueur en bouche, et l'Harmonie au nez de pêche et de fenouil.
J'ai par contre était déçue par le Viognier, le nez de pêche et d'abricot était très léger, la bouche également.

En ce qui concerne les Crozes :
Le domaine du Colombier avait des arômes de bonbon au fruits rouges et une petite note fumée. L'acidité en fin de bouche ne m'a pas plu.
Le domaine Combier sentait le cassis, la framboise (fruits frais cette fois) et le fenouil caramélisé. Je l'ai beaucoup apprécié.
Le troisième (Yann Chave) était également excellent mais beaucoup plus dur. J'y ai retrouvé des odeurs animales, de cuir, d'épices et de poisson fumé (pour ce dernier je pense que je suis la seule...).

La Turque 1986 était un délice.
Après des odeurs de confiture de cassis et de fraise, de laurier et d'estragon nous avons eu droit à une bouche d'un raffinement rare.

Je me permets d'ajouter un petit commentaire hors dégustation, quitte à "dégouter" les autres...
Papa et maman sont allés manger chez des amis à Douai ce midi. N'arrivant pas à terminer la 6ème et la 7ème bouteilles (précision, ils étaient 4...), ils sont venus à 4 chez nous avec "les restes", savoir un Jasmin 83 et une Turque 91.
Le Jasmin avait un nez de confitue de fraise des bois et de poivre. Il était délicieux, mais ce n'était rien à compter de la Turque 91 qui était largement supérieure. C'était même au dessus (et pas qu'un peu...) de la Turque 86.
2 Turques dans le même WE, c'est tout de même pas mal.

Lors de la dégustation des bordeaux suivants, j'étais plutôt en cuisine, je les ai peu goutés car ayant perdu du temps, je n'arrivais plus à suivre... Mes verres n'ont toutefois pas été gâchés, mon père les ayant vidés de manière "autoritaire"(et pas dans le seau...).

Le Pichon Lalande 86 avait des notes fumées (havane) et de cassis. J'ai préféré le grand puy lacoste, plus équilibré à mon goût.

Le léoville barton 86 m'a beaucoup plu, mais m'a laissé une impression de verdeur en bouche. J'ai préféré le 89, plus rond.

Le palmer 89 avait des odeurs animales, il était un peu trop "dur" pour moi, le fait que ce soit le dernier d'une belle série de rouges doit certainement jouer.

L'excellent dessert amené par François accompagné du Lafaurie-Peyraguey 86 fut un vrai moment de bonheur... Martin en a parlé tout le WE...

Que dire de plus à part, vivement la prochaine dégustation !!!

Marion

PS : Xavier, il reste deux petites bouteilles du nez du vin à la maison. On te les garde précieusement.

Merci, Marion, pour ce beau compte-rendu.

Une seule faute d'orthographe dans le nom d'un vin que je me suis permis de corriger

J'avais passé 3/4 d'heure à faire un beau résumé des vins de ce midi et au moment de poster, la Livebox s'est mise hors service !!!

Comme d'habitude !!!!

Tout est perdu.
Quand on tape avec un doigt, c'est pénible...

Je ne peux intervenir que le soir et, là, je suis tributaire des caprices d'une machine qui coupe mes messages et ne me permet pas de répondre à mes mails !!!

Affectueusement,

"Papa"

Premier vin de ce midi, bu chez Jean-Pierre et Marie-Hélène,
si la Livebox le permet (il y en a encore 5 à commenter):

-Weingut Johannishof
Rheingau 76
Johannisberger Spätlele
Quäliteitswein mit Prädikat
Riesling
G.H. Efer

Un beau nez d'agrumes, d'abricot sec, de miel...
Une bouche de V.T., concentrée et savoureuse, mais sans trop de sucre, ample et équilibrée, grasse et fraîche et surtout très longue.

Un très beau vin jeune et au bel avenir

cordialement,
Thierry

Je remercie la Livebox de me permettre de poster le second commentaire de la série de six:

-Tokajiaszu
5 Puttonos 71
Export Monipex Budapest

Ambré, il offre un nez d'agrumes confits avec quelques touches de noix.
La bouche est savoureuse, équilibrée entre le sucre et la vivacité, ample. Elle se caractérise par une agréable amertume avant la longue finale...

Un vin de plaisir, très séducteur!

Cordialement,
Thierry

Par où commencer ce CR pour une soirée aussi réussie, les mots me manquent mais reviennent vite !!!

Je commence donc par remercier Sophie, Thierry et Marion pour leur accueil sans faille, un très beau repas dans une ambiance très chaleureuse et conviviale.

Nous entamons donc la 1ere série par trois vins avec des bulles :

VOUVRAY EFFERVESCENT – FOREAU : belle couleur jaune or avec beaucoup de bulles présentes, joli nez assez puissant, en bouche les bulles sont très fines, c'est assez long et personnellement j'ai trouvé ça très bon, une découverte et une belle surprise à 10€ la bouteille !!!

ST PERAY – ALAIN VOGE - 2004 : encore une découverte !!! La couleur est assez semblable que pour le Vouvray, les bulles un peu moins présentes, le nez est très agréable, la bouche est longue et fruité, c'est très typé, Mr Bécuwe soulignera son côté cidre, c'est vrai. C'est bon mais peut-être un peu trop typé pour moi.

CHAMPAGNE DEUTZ BRUT MILLESIME 1998 : Ma déception, c'est jaune pale, très peu de bulle (le verre ???), au nez j'ai une impression de caramel ?? En bouche, bof pas de bulle du tout, c'est plat sur mon 1er verre, j'y reviens donc sur un second essai et là j'ai des bulles fines et agréables malgré tout ??? Pas plus de commentaire.

La 2eme série arrive, vins blancs secs.

MONTLOUIS/LOIRE – DOM DES LOGES DE LA FOLIE – LA NEF DES FOUS – 2004:
On peut tout de suite souligner la très jolie étiquette très «mode» dans les mauves, effet assuré sur la table, à l'oeil c'est jaune pale, le nez est plutôt discret sur la poire???, en bouche j'ai trouvé l'attaque plutôt franche, c'est rond avec une belle acidité et c'est assez long. J'ai trouvé ça pas mal du tout.

COTEAUX DE L'ARDECHE – JM GERIN – VIOGNIER – 2004 : Au nez, c'est très fruité, VIOGNIER oblige, abricot et anis, l'attaque est belle mais j'ai trouvé la bouche sans grand intérêt, bof.

ST PERAY – ALAIN VOGE – HARMONIE – 2004 : jaune pale avec une robe grasse, le nez est très beau, j'ai l'impression d'avoir sous le nez un yaourt aromatisé à la pêche, en bouche c'est onctueux et long. Globalement, je l'ai trouvé un peu lourd et chaud, sur l'appellation que je découvrais, je pense que je dois y revenir, je suis persuadé que nous pouvons nous entendre.

3eme série : CROZES-HERMITAGE

DOMAINE COMBIER – 2004 : à l'oeil ça scintille, au nez c'est très beau sur la vanille, la cerise et le cassis, la bouche est onctueuse et ce vin est doté d'une belle acidité, c'est franchement très bon et à 12€ la bouteille, j'en redemande.

DOMAINE DU COLOMBIER – 2004 : Oui. J'ai trouvé ce vin assez basique, au nez c'est déjà vu, en bouche un peu d'astringence mais au final ce n'est pas mauvais.

DOMAINE YANN CHAVE – 2004 : à première vue c'est très très foncé voir carrément opaque, Thierry me fait remarquer que cela est du à la non filtration du vin, le nez est sur la vanille, les épices et des senteurs animales, la bouche est grasse et trop acide à mon goût, je n'aime pas trop.

J'en termine là pour ce soir, les 7 dernières (les plus belles) bouteilles viendront demain.( je suis obligé de sortir pour poster, pas vraiment pratique mais wanadoo m'a promis un rétablissement dans le courant de la semaine).

Bonne soirée à tous.

Cordialement.

Xavier.

Suite de la série de six:

-Coulée de Serrant Moelleux 1995.

J'étais heureux de découvrir cette bouteille: je n'en avais qu'une et je l'ai offerte à Yves.
Le nez va de l'abricot à la craie, en passant par le miel.
La bouche est ample, grasse, marquée par le sucre auquel répond avec bonheur l'acidité. Elle présente une amertume de noyau de pêche avant la longue finale savoureuse.

-Pichon Comtesse de Lalande 1970.

Un nez fabuleusement classique et charmeur de cassis (fruit et feuilles), d'épices , de cèdre et de tabac blond.
Une bouche de grand vin vieux, ample, concentré, aux tannins soyeux et très, très long... Avec du volume, un remarquable équilibre qui transforme l'ensemble en une douce caresse en bouche et une élégance folle!
C'est superbe...

cordialement,
Thierry

Merci, Xavier,

Pour cette première moitié de compte-rendu.
Je vois que je ne suis pas le seul flamand à avoir des problèmes avec wanadoo

Je vais tenter de commenter les deux derniers vins de la série de six de ce midi.
Nous sommes aller terminer ces bouteilles, comme l'a dit Marion, chez Martin et elle.

-Côte-Rôtie 1983 Jasmin.

Nez de confiture de cassis et de fraise des bois, de poivre gris et de moka.
Bouche savoureuse et ronde, volumineuse et charpentée, avec une trame de tannins fins et denses qui épousent la belle acidité. La longueur est remarquable!
Un vin bu sur deux heures et qui s'améliore sans cesse pour arriver presque au niveau du suivant:

-La Turque 1991 Guigal.

Ce sera, peut-être encore cette année, ma bouteille de l'année!
Le nez est puissant et élégant: casis, mûre, bois neuf, épices...
La bouche est une merveille: un charme fou difficile à décrire... Savoureuse et longue, elle est ample et ferme, avec ses tannins soyeux, l'alcool et l'acidité s'unissent à la matière pour donner un ensemble sensuel et distingué.
C'est fabuleux !!!!

Un grand merci à Jean-Pierre et Marie-Hélène pour ces six vins de rêve

cordialement,
Thierry

CR du 17/03/2006 : la suite.

COTE-ROTIE – LA TURQUE – GUIGAL – 1986 : et s’il n’en restait qu’un…ce serait La Turque, un très grand moment ET un très grand vin, comme l’a souligné Thierry, le vin de la soirée, je n’avais jamais rien dégusté de tel. A l’œil, un joli pourpre brillant, au nez, vanille, confiture de fruit rouge et noir, et enfin une bouche trèèèèès longue : un délice !!!

GRAND-PUY LACOSTE 1986 : très bon, bien équilibré et long, encore jeune et frais, un régal.
PALMER 1989 : mon deuxième grand moment de la soirée, il est très fin, puissant et long. C’est drôle, les mots sont difficiles à trouver pour exprimer notre ressenti quand on s'attaque à de si grands vins, pas encore assez d’expérience pour aborder de pareils monuments !!! Dans le même registre, j’ai presque du mal à avouer que je n’ai pas vraiment apprécié PICHON-LALANDE.

Les 2 LEOVILLE BARTON 86 ET 89 n’ont pas été très causant (pour moi) mais comme Marion, j’ai préféré 89 plus rond.

LAFAURIE-PEYRAGEY 86 a conclu admirablement la soirée avec ses 14,5°, ses notes d’ananas, sa belle longueur, je l’ai gardé très très longtemps en bouche. Excellent.

Merci encore Thierry pour cette superbe sélection, c’est quoi le programme de la prochaine ???

Bonne nuit.

Xavier.

Xavier,

Merci pour cette seconde partie de compte-rendu.

Pour Palmer, je te remercie de donner des impressions plus nettes que les miennes: il a été servi à un moment où je commençais à "fatiguer"

Amitiés,
Thierry

Quelle rencontre, les amis flamands! Bravo!
Pour revenir au commentaire de Thierry concernant Pichon Lalande 86, je ne suis qu'à moitié surpris par son CR. Chaque fois que j'ai eu l'occasion de le boire (3 ou 4 fois en tout), il m'a toujours laissé sur ma faim. Impénétrable dans ses premières années, bien que puissant et volumineux, il est ensuite resté engoncé dans une sorte de gangue tanique dominant son fruit durant l'adolescence. Lors de ma dernière rencontre avec cette bouteille il y a environ 3 ans, je lui avais trouvé une structure austère, limite déséquilibrée.. A lire Thierry aujourd'hui, c'est un peu comme si, en s'intégrant, les tannins avaient "mangé" les autres components..?

En passant, on en trouve régulièrement en vente sur Ricardo. Je ne sais s'il s'agit d'amateurs déçus qui profiteraient encore de sa cote actuelle pour faire du cash avant la campagne 2005?

Alain

Que dire aprés tous ces CR, si ce n'est répéter ce qui a déjà été dit et que ce fût une superbe soirée et... une amnésie totale sur la fin de la soirée (sic). Je pensais que les tanins protégeaient d'Alzeimer!
Une petite réflexion. Les compétences de Thierry ne sont nullement en cause mais est-ce que La Turque était bien placée dans l'ordre de service et n'a-t-elle pas écrasée les "pôvres" Bordeaux qui ont suivi ? Et le premier à trinquer était Pichon.
Une autre question aprés sa dégustation de La Turque 91, les grandes cuvée de Guigal sont trés chéres mais trés bonnes mais ses génériques (CR et Côte Rôtie) ne sont pas donnés et trés moyens surtout depuis quelques années. Je pense que certains vignerons qui faisaient trés bien (dont Charvin me semble-t-il) vendent maintenant en direct ce qui fait baisser sa moyenne.
Daniel

Quelle place aurait pu occuper La Turque ???

Cordialement.

Xavier.

Daniel,

Merci pour tes remarques.

1- J'ai mis la Turque 86 à cet endroit pour que nous en gardions un souvenir précis: toi comme moi n'avons qu'un vague souvenir de Palmer 89

2- Tu as bien fait d'oublier tes notes et de passer les prendre ce soir, cela nous a donné l'occasion de goûter ensemble le beau Côte du Rhône 2000 de Charvin, offert par Gzavier ( cf. ma note dans sa rubrique )

3- A côté de la perte des fournisseurs qui mettent maintenant en bouteilles eux-même leur production, il y a aussi la création de Château d'Ampuis. Je me souviens de nos rencontres face aux bouteilles de Côte Brune et Blonde 95 dont nous avions acheté "quelques" bouteilles, malheureusement, en cette année de création de la nouvelle cuvée d'Ampuis

Amitiés,
Thierry

Bonsoir à tous,

Comme le souligne Daniel, que dire après tous celà...!

C'est vrai que, parmi cette assemblée, je n'en mène pas large.
Je partage avec des amateurs plus que confirmés des flacons d'exception.

La métaphore qui me vient à l'esprit est l'apprentissage de la conduite au volant d'une Rolls.

Si le bithume est ainsi très agréable à arpenter, je n'ai pas la capacité de savourer toutes les subtilités de la superbe mécanique de ces grands vins.

Malgré celà, à mon niveau, j'ai pu apprécier les qualités exceptionnelles de la Turque.

Mais commençons par le commencement.

- Les bulles : Les premiers flacons étaient destinés à la selection des vins du mariage. Nos approches étaient donc subjective. D'ailleurs, les appréciations dépendaient de " les invités au mariage vont-ils apprécier ce vin ?".
C'est donc, semble-t-il sur le moment, le Vouvray qui l'a emporté sur le Saint-Péray (plus fleuri, plus fruité). Mais objectivement, le second prédominait (plus complexe, impressions cidrées, poire confite). Le mariage peut aussi avoir des vertus pédagogique.....

- Montlouis, Viognier, Saint Péray : Toujours optique mariage : Comme le Colombier (ci-dessous), le Viognier est apparu assez "classique", sans grand intérêt dégustatif, sauf à permettre à un néophyte de déterminer la typicité du cépage au nez. Le Montlouis m'a surtout laissé une forte impression de poire (que j'apprécie !), agréable en bouche, avec toutefois une note de fleur blanche encore bourgeonnante (encore un peu verte). Et puis le Harmonie qui s'est démarqué, avec (comme l'a bien illustré Xavier), cette impression très nette de yaourt à la pêche : mon préféré. On continue dans la démarche pédagogique !!

- Les Crozes : Le Colombier m'a laissé le même sentiment de "classique", comme le souligne Thierry, un peu synthétique (le prix n'en vaut pas la bourse). Le Yann Chave m'a marque par sa puissance, pour un vin aussi jeune !!! Belles notes de cuir. Mon préféré, juste devant le Combier, qui selon la majorité est le numéro un, ce que je comprends aisément, mais tout est une affaire de goût... Ce qui d'ailleurs est confirmé par les différences d'appréciations "Parker/impressions LPViens expérimentés" sur les flacons suivants.

- La chevauchée fantastique des années 86-89 : n'étant que piètre cavalier, à l'aise uniquement sur poney, je me permettrai de ne pas galoper dans mes déclinaisons interprétatives des vins suivants. Ce n'est certainement pas par fatigue du pianottement de mon clavier, mais c'est qu'après tout ce que je viens de lire, je reste bouche ouverte, toute ouïe, comme l'élève passionné par les démontrations que son professeur couche sur le tableau noir.
Je vais surtout mettre à contribution ma mémoire, afin de mettre à profit cette merveilleuse occasion d'enrichissement culturel que nous ont offert les auteurs de ces flacons, mais également leurs fournisseurs.
Encore une fois, un très grand merci à Thierry qui, il y a un peu plus de quatre ans, a eu la bonne idée de se connecter à internet (on connaît la suite, son unique doigt destiné à la frappe également...), et il y a un peu plus longtemps, a eu l'autre bonne idée de se poser la question suivante : "C'est quoi ce Léoville Las Cases ? Tiens je vais goûter pour voir, pour changer des pures malts.".
Mais il est impossible de remercier Thierry sans remercier, également, Sophie et Marion, qui décuplent la réussite de la soirée par leurs talents culinaires et leurs bonnes humeurs malgré cet affront à la mode paritaire que sont les réunions de dégustation...

Martin.

Bonsoir à tous,

J'ai à nouveau dégusté le Combier 2004 au Cosi à Lille (resto italien - place Sébastopol), et bien pas de doute, c'était une nouvelle fois très bon pas d'erreur possible, mon invité va lui aussi aller faire un petit tour du côté de chez Mr Coste sur le net pour passer commande.

Cordialement.

Xavier.

Martin,

Merci pour cette intervention

Tu fais bien de souligner la partie repas:

j'aime mieux ce type de dégustation au cours d'un repas qui n'est pas réduit à un plat que la soirée pendant laquelle on boit d'abord puis on mange en vitesse une assiette avec le reste des vins...

A mon avis, le vin est destiné à être bu à table et la dégustation comparative doit se faire dans ces conditions

Ce n'est que l'avis d'un amateur, mais je sais que mon ami Yves partage mon avis.

affectueusement,
Thierry

Thierry,

En lisant la note de Marion, je m'aperçois que tu n'es pas un petit buveur. D'accord le soir , comme moi.

Amitiés,

Daniel

Daniel,

C'est pour cela que je me demandais si je n'avais pas rédigé un post dans un état second, suivi d'amnésie totale

amitiés,
Thierry

Les amis,

Merci de m'envoyer un petit mail pour retrouver vos adresses:

Ce n'est pas un poisson d'avril!

Mon outlook express est tombé en panne, j'ai perdu tout mon fichier d'adresse et tous mes documents...

J'en ai ouvert un nouveau... Tristement vide

cordialement,
Thierry

Après des semaines d'absence, la lecture de cette grande saga amicale et familiale qu'est le cercle LPV Flandre Intérieure est totalement jouissive.
Ne changez rien au style ou à l'ambiance, on se régale.

Amicalement

Vincent

Merci, Vincent,

C'est un peu notre blog rendu possible par le suport LPV...

Amitiés,
Thierry

La commande groupée est répartie.
Il ne me reste en cave, à part mes bouteilles, que les cartons des belges, Marc et Laurent.

Merci à tous d'avoir fait si vite pour venir chercher vos bouteilles ou d'avoir proposé une date si proche de celle de la livraison pour les emporter, dans les cas des deux amis belges.

La prochaine réunion, celle de mai....
On la fait où?
A la maison ou chez François, comme il l'évoquait lors de notre dernière rencontre?

Amitiés,
Thierry

Je renouvelle avec grand plaisir ma proposition d'organiser la prochaine réunion chez moi, si vous êtres tous conscients que l'on sera loin du niveau proposé par Thierry lors des 1ères soirées...

Je serai en mesure de vous proposer quelques dates ainsi qu'un choix de thèmes tournant autour de la bourgogne après le w.end prochain

françois

François,

Un grand merci pour cette proposition.

Il faudra voir ensemble comment compléter la série de vins à déguster;)

Amitiés,
Thierry

bonsoir à tous,

voilà la proposition finalisée :

* Thème : Dégustation de 8 vins dont 2 à l'aveugle de 7 domaines différents.
* Support pédagogique : livret pédagogique remis à chaque participant comprenant la présentation des A.O.C. (surfaces, production, terroirs) accompagnée d'une carte avec la situation géographique de chaque climat concerné et les fiches techniques des vins.
* Détail des vins :
Blancs : Rully 2004 de Vincent Dureuil, Saint-Aubin 1° cru en Remilly 2002 de Sylvain Langoureau, Auxey-Duresses Les Hautés de Gilles Lafouge + un vin mystère,
Rouges : Maranges 1° Cru Les Clos Roussots 2002 Charleux Père et fils, Ladoix 1° cru la Corvée 2002 de Guillaume Guiton, Morey 1° cru aux Cheseaux 2001 Arlaud Père et Fils + un vin mystère.

L'intervenant préfère se limiter à 8 bouteilles pour une question de timing - il a un peu halluciné quand je lui ai donné le nombre de vins dégustés lors de nos dernières soirées : les bourguignons sont vraiment des pti' joueurs ...

Par contre, il ne reste plus comme vendredi disposnible - si l'on reste sur ce jour - que le 26 mai.

Merci de me donner votre réponse assez rapidement sur cette date ou vos autres disponibilités en juin.

françois

ps : Alex est évidemment le bienvenu

Merci, François...

Mais le 26 mai ne me convient pas: repas des médecins et des cadres du service...

Début juin?

Peut-on apporter un Grand Cru d'une Grande Année de Bourgogne à faire déguster à l'aveugle à l'intervenant?

amitiés,
Thierry

j'ai demandé les dates de dispo en juin que je vous communiquerai sous peu.

pour le reste, je crois que je vais me la jouer T.D. sur ce coup là et refuser catégoriquement toute participation.

je complèterai avec les moyens du bord, pour (tous) ceux qui trouveraient le programme trop peu désaltérant...

bonne soirée
francois

François,

La curiosité peut pousser à voir l'intervenant face à un grand cru connu... A l'aveugle...
Puisqu'il prévoit de nous mettre face à cet exercice

Amités,
Thierry

en juin : le 2 et le 23

après il risque de faire chaud en flandres !!

j'attends vos réponses...

françois

François,

Le 2 me convient...

Je vais demander à Marion et Martin qui ont un panne internet en ce moment,

Amitiés,
Thierry