Voilà  encore une belle soirée qui se termine...
La rencontre entre les Belges de LPV et Robert Creus a tenu toutes ses promesses et méritera un compte-rendu détaillé après un peu de repos.
Pour vous donner l'eau à  la bouche, voici la liste des quelques petits vins sans prétention dégustés lors de cette soirée...
à‰tonnamment, il y a quelques noms qui sont régulièrement cités sur LPV...

1. Domaine André et Mireille Tissot - La Mailloche 2001 - Arbois
2. Domaine André et Mireille Tissot - Les Bruyères 2001 - Arbois
3. Le Clos du Tue-Boeuf - Le buisson pouilleux 2000 - Touraine
4. Frédéric Turpaud - Le Clos de L'Hermite 2000 - Vin de Table de France
5. Domaine des Chênes - Les Magdaléniens 2000 - Côte du Roussillon
6. Thierry Navarre - Cépages oubliés du Languedoc - Terret 2001
7. Domaine de la Mordorée - Lirac Reine des Bois blanc 2002
8. Domaine du Vieux Télégraphe - Châteauneuf du Pape 1990
9. Domaine Santa-Duc - Prestige des Hautes Garrigues - Gigondas 1999
10. Terre Inconnue - Los Abuelos 2001 - Vin de Table
11. Le Casot des Mailloles - Soula 2001
12. Clos du Gravillas - Lo Vielh 2000 - VDP des Côtes de Brian
13. Capçanes - Costers del Gravet 2000 - Montsant
14. Tardieu-Laurent - Hermitage 1999
15. Domaine Limbardié - Tradition 2000 - VDP de l'Hérault
16. Chapoutier - Hermitage Chante-Alouette 1992
17. Guttiérrez Colosia - Palo Cortado Viejissimo - Xéres
18. Taylor's Flatgate Vintage Port 2000

De toute façon, c'était même pas bon...
18 bouteilles à  10... j'ai honte pour tous les participants à  cette mémorable soirée...

Luc

Message edité (10-10-2003 14:35)

Je dois vous dire que j'attends les cr avec impatience. Il y a dans cette liste pas mal de vins dont les compte-rendus m'intéressent beaucoup.

Ce fut en effet un grand moment de convivialité et de partage.

Les deux premiers vins servis en aveugle à  l'apéritif nous sont proposés par Laurent Lab, qui nous signale que l'un vient d'un terroir argileux et l'autre d'un argilo-calcaire.

n° 1 : robe d'or clair, nez de chardonnay (fruits blancs (pêche)), très minéral, mais aussi noix et brou de noix. Vin ouillé.

En bouche, la matière séduisante est portée par une bonne acidité, bonne persistance, longueur; notes boisées élégantes en finale. Un beau vin.

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n° 2 : robe également d'or clair, mais moins intense que pour le n° 1.
Nez aussi du cépage chardonnay avec fruits blancs à  pépins (pommes, poires), notes d'épices - curry nous dit Didier - vin faible en acidité, plus riche et plus gras que le précédent.
La bouche est en retrait par rapport au nez. Il apparaît peu causant, manquant de punch.

Le second vin est en retrait par rapport au 1er, plus expressif.

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n° 1 : argilo-calcaire : La Mailloche 2001, AOC Arbois de S. Tissot

n° 2 : argileux : Les Bruyères 2001, AOC Arbois de S. Tissot.

Quand j'ai voulu reprendre un chouia du premier, la bouteille était déjà  malheureusement vide.

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Le vin suivant est servi avec le jambon persillé préparé avec amour et patience par Laurent Lab. Savoureux, le plat bien entendu.

Le Clos du Tue-Boeuf - Le Buisson Pouilleux 2000 - AOC Touraine

Robe dorée un peu trouble.
Le nez de ce sauvignon est exotique et complexe : litchi, menthe, ortie (selon DidierD), feuilles écrasées, feuilles de plantin pour Eliane, mangue, pamplemousse.

Tout se retrouve en bouche, très aromatique à  l'attaque, d'une belle acidité, mais avec hélas une finale courte, à  l'opposé de ce que nous pourrions attendre de la matière.

Robert souligne cette contradiction pour affirmer que ce vin a eu ou a encore un problème, dont un des aspects est aussi la robe toujours trouble du vin.

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Les quatre vins blancs suivants seront servis avec la deuxième entrée, moules aux écorces d'orange confites et gingembre, préparée par Marc en cuisine pendant tout le temps que nous dégustions les trois vins cités ci-avant.

Luc, tu me corriges si je raconte des bêtises (aaa)

Amicalement,
Michel.

Ca en fait au moins deux qui sont rentrés sains (ou presque) et saufs au bercail...
Luc, je me permettrais d'ajouter un 19ème cadavre à  ton obituaire. Une bouteille de n°3 de Castelmaure 1998, tombée au champ d'honneur vers 3 heures la nuit dernière. Ne compte toutefois pas sur moi pour en faire un commentaire. Je me souviens juste que le vin était rouge et bon (aaa). Robert ce matin au réveil était remarquablement dispos, prêt à  aller guerroyer sur les terres de Thierry. Nous n'avons même pas réussi à  rater son train...!
En tous cas merci à  toute la tribu d'avoir répondu en masse à  mon appel à  la mobilisation générale des Ménapiens ! Ce fût un joyeux banquet, digne de la dernière page d'Astérix.
Amicalement,
Eric

Retour sans encombre vers 2h 30 du mat, lever à  7h pour conduire mes 3 pitchouns à  l'école, un peu dur mais finalement pas trop de séquelles, une bonne journée du lendemain de la veille!

sans entrer dans le détail des CR qui vont suivre, simplement mes préférences (sélection tout à  fait subjective!) parmi des vins qui m'ont tous accroché pour différentes raisons:

-Clos des gravillas: un pur carignan, typique qui démontre sans forcer le potentiel de ce cépage
-Domaine des chênes: l'accord parfait avec des moules au safran/orange
-Terre inconnue: de la garrigue, du fruit et une structure qui laisse rêveur, un grand vin plaisir
-Le vieux télégraphe, une bonne raison d'oublier ses vins en cave!
- limbardié 2000, dégustation après dégustation, malgré certains hauts et bas en fonction de la concurrence il confirme ce qu'il est; un très bon vin d'un rpt exceptionnel.
-clos de l'hermite de Frederic Turpaud, pour sa concentration et sa fraîcheur et ses arômes envoûtants de crême brulée
-hermitage de Tardieu Laurent pour sa rectitude
-le casot des mailloles, soula, pour sa puissance, sa complexité, son ambiguité aromatique, c'était le coup de coeur de mes vacances dans le Roussillon et il confirme!
-le xéres, à  apprivoiser mais quelle gamme aromatique
- le Taylors 2000, pour sa plénitude, difficile de s'en aller après un tel vin, on voudrait que la soirée ne se termine pas

Encore merci à  tous et particulièrement Eric et son épouse pour leur accueil et Marc et laurent pour leur talent culinaire

A +

Laurent M.

Episode suivant

(Désolé d'être aussi lent dans la transcription des posts, mais j'ai hélas peu de temps libre pour surfer)

D'abord un tout grand merci à  Marc pour son investissement culinaire qui nous a permis de découvrir et d'apprécier un plat étonnant.

Moules à  l'écorce d'orange confite et gingembre.

Même Eliane qui déclare ne pas aimer les moules, s'est régalée.

Ce plat apporte une symphonie de saveurs, où la chair tendre, mais salée et iodée des moules, nappées d'une réduction du jus de cuisson, se mêle aux arômes orientalisants des autres ingrédients. Un grand moment de dégustation.

3 vins blancs ont été présentés avec ce plat, dont deux créent l'accord parfait. Le quatrième blanc a été bu dans l'intermède entre les moules et le plat de résistance.

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Le Clos de l'Hermite 2000 de Frédéric Turpaud, Vin de table. 14,5 %

Carignan blanc, Rolle, Rousanne, Marsanne.

Or très pâle, vin concentré faisant de belles jambes sur les parois du verre.
Nez très aromatique, concentré : réglisse, oranger, notes florales et d'épices. Bouche idoine, longue, persistance, vin marqué par peu d'acidité.
Après quelques temps, arômes de crème brûlée, de cassonade.

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Les deux vins suivants sont servis en aveugle.

N° 2 : Or très pâle. Les arômes du vin (olfactif et gustatif) sont identiques à  ceux du plat. Mandarine et écorce d'orange. Notes de rhum (orange et bois).

cépages : maccabeu et grenache gris.

Domaine des Chênes, Les Magdaléniens, 2000, côtes de Roussillon.

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N° 3 :
Nous ne connaissons pas le cépage, mais Robert très vite cite Terret.

Nez légèrement oxydatif, liqueur de banane. Robert ajoute nez de marc, de fruit un peu blet, iodé. La bouche est superbe, la finale portée par la liqueur de bananes.

Cépages oubliés du Languedoc, Terret, 2001, de Thierry Navarre.

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Le dernier vin est La Reine des Bois, Lirac blanc, 2002 de La Mordorée.

Vin d'or pâle, très frais au nez avec de l'anis, du menthol, des fruits blancs dont la pêche. Trés aromatique. La bouche est grasse, puissante, très aromatique - Didier parle de bonbon style sugus ou fruitella. Alors que l'attaque et le milieu de bouche tiennent la palette aromatique, la finale me semble un peu courte (due à  la jeunesse du vin ou le millésime ?)

Néanmoins, un beau vin pour un millésime difficile.

Avec l'épisode suivant, nous aborderons les vins rouges.

Michel.

Michel,
Frédéric Turpaud interviendra peut-être pour confirmer que le troisième cépage est la roussane. Il n'y a pas de marsanne. J'ai retrouvé un post d'olif qui me semble faire foi.
Les cépages des Magdaléniens ne sont pas 100% sûrs. C'est à  vérifier. Grenache gris, c'est sûr. Je n'exclus pas qu'il s'agisse d'un monocépage.
Eric

Merci Eric,

Pour le Clos de l'Ermite, Robert n'a en effet cité que les premiers cépages.

Michel.

Le premier rouge carafé nous est servi en aveugle avant le plat.

Eric et Robert citent le Prieuré Saint-Jean De Bébian (Robert trouve que le nez du vin lui rappelle le Prieuré 89) ou un Châteauneuf du Pape.
Après quelques tâtonnements, Châteauneuf est confirmé, certains parlent du 1990 vu l'évolution sensible du vin et par déduction, trouvent le nom du domaine.

CNP Vieux Télégraphe 1990.

Robe évoluée tirant sur le brun. Belles jambes sur les parois des verres.
Le vin se révèle également évolué au nez, embaume la tapenade d'olives (noires), la garrigue, le laurier et le poivre. Notes de cuir, notes animales.

La bouche est à  l'unisson, la tapenade est omniprésente. Ce vin puissant présente équilibre et fraîcheur.

Grenache majoritaire, syrah et mourvèdre....

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Le plat concocté par Eric : Gigot d'agneau aux herbes, pommes rissolées aux thym et herbes de provence, haricots verts. Un bon choix classique qui ravit tout le monde.

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Le deuxième vin rouge est aussi servi en aveugle sans être carafé.

Nez poivré, notes de sous-bois (champignons), tannicité, un peu alcooleux (chaud) : vin du sud, Languedoc ou Rhône. Robert note garrigue et surtout génévrier.
La bouche est sur les notes de poivre, de boisé mâtiné de vannillé, superbe, ample, concentrée, belle matière.

Prestige des Hautes Garrigues, Gigondas 1999, Domaine Santa Duc.

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Robert nous sert le vin suivant dont nous pouvons tous apprécier l'étiquette :

Terre Inconnue - Los Abuelos 2001 - VDT

Robe pourpre très profonde. Plein nez de garrigue. Puissance. Compote de coulis de grenache dit Eric. Robert nous dit pourtant qu'actuellement son vin est sur la retenue !! Mâche, chocolat.
Bouche superbe, "à  boire et à  manger" selon Eliane. Tannins fondus, très enrobés, réglisse. Vin très concentré, donnant l'impression de boisé alors qu'il ne voit pas le bois. Matière somptueuse. Charnu, velouté et voluptueux.

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Le vin suivant nous est servi carafé.

Au nez notes de cuir, de magnésite (Didier), notes de réduction (sueur, salle de gymnastique (toujours selon Didier). La bouche est emplie d'arômes de cuir neuf.

Ce vin n'a pas été suffisamment carafé pour qu'il donne tout son potentiel.

100 % Grenache, Marno-schisteux, Collioure. Roussillon.

Casot des Mailloles. Soula. 2001

Il reste quatre vins rouges. Suite au prochain numéro.

Michel.

Tiré du site de Frédéric Turpaud:

"Le Clos de l'Hermite Blanc 2000
Terroir : Grâves calcaires

1854 bouteilles
Rendement : 30 Hecto/hect

Encépagement
Parcelle de 0,50 hectare
Carignan Blanc 21 ans : 40 %
Vermentino 18 ans : 52 %
Roussanne 27 ans : 8 %

Vendanges Manuelles
Récolte le 4 Octobre 2000 pour le Vermentino et la Roussanne
Récolte le 9 Octobre 2000 pour le Carignan blanc

Vinification
Vermentino et Roussanne vinifiés ensemble en cuves inox avec contrôle des températures
Carignan blanc vinifié en demi muit de 400 litres et élevage sur lies avec batonnage régulier
Fermentation malolactique effectuée
Assemblage en cuve le 22 juin 2001
Mise en bouteilles le 2 septembre 2001

Justement, il m'en reste une bouteille qui me fait de l'oeil à  chaque fois que je descends à  la cave. Je ne vais peut-être pas tarder à  lui faire un sort!

Olif

Message edité (10-10-2003 16:43)

Finalement, j'ai pris le temps de surfer.
Allez, un petit effort pour terminer les vins rouges. Après il reste un Hermitage blanc, un Jérez et un Porto. Le Castelmaure n° 3 a été bu par ceux qui ont fait la fermeture, dont je n'étais pas.

Clos du Gravillas, Lo Vielh 2000.

Belle robe et très belles jambes.
Nez animal, oxo (Eliane), sang de boeuf, suie, viande rôtie, mais aussi notes lactiques.
Bouche : Acidité et fruits, vin droit, plus tannique, plus dans la finesse, peut-être actuellement un peu dissocié vu sa jeunesse; mais acidité et matière le mèneront loin.

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Le vin suivant nous est servi en aveugle. Il constitue la contribution du fils d'Eliane, Olivier, l'Arlésienne de service.

Nez de fruits cuits compotés. Boisé vanillé très sudiste. Chêne neuf. Charnu. Contient sans doute du Tempranillo. Donc Espagne.

Capçanes. Costers del Gravet 2000. Montsant.

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Hermitage 1999. Tardieu Laurent

Cuir. Animal. quelques notes de réduction. Fourrure. Fruits rouges, tannins, puis agrumes, pamplemousse.

Grand vin en devenir.

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Le dernier vin nous est à  nouveau servi en aveugle.

robe rubis pourpre profonde. Nez de fruits noirs un peu confiturés, pruneau, fait penser à  un Bordelais.

Cerise noire, épices (girofle), menthol, tisane (tilleul). Bouche très agréable, ample, ronde, souple.

cépage : merlot.

Limbardié Tradition 2000. 14 %

Ce vin nous a à  nouveau totalement bluffé. Il concurrence les grand bordeaux jeunes. L'avantage est en sa faveur.

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Avec les fromages seront servis les trois vins qui restent. Les bouteilles qui restent seront employées lors d'un prochain dîner.

Ce vin blanc présenté en aveugle n'a pu être reconnu.

Robe or orangé. Nez très minéral, notes de réduction, mais aussi fruits secs (raisins de Corinthe, dattes), notes miellées.

La bouche ne tient pas les promesses du nez. On s'attend à  quelque chose de riche et de gras : manque de gras, pas de notes miellées, mais bien celles des fruits secs (la datte), vin très sec, forte acidité, très court.

Hermitage blanc, Chante-Alouette 1992. Chapoutier.

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Jerez. Palo Cortado Viejissimo. Dry. Gutierrez. 22 %

Robe couleur bois clair.
Nez de noix et de brou.
Puissance. Longueur. Acidité. Amertume. Bois, Noix, brou.
Un vin qui demande à  se laisser apprivoiser.

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Taylor Vintage Port 2000.

Robe profonde presque noire.
Fruit éclatant, fraîcheur, alcool.
Tabac, minéral, riche. Epices,
Vin ample et large, sans aucune lourdeur.

Le nectar, dira Marc.

Voilà , j'en ai fini.
Désolé si mes notes sont de plus en plus succinctes.

Quand nous sommes arrivés au porto, nous avions déjà  largement dépassé minuit et je n'ai pas souvenance que nous ayons beaucoup recraché les vins présentés en dégustation !!!

Quand on aime, on ne compte pas.

Michel.

Comment?!!! Limbardié tradition?!!! Encore lui?
Y avait-il David* à  ce dîner des Belges?
(bbb)

Non Jérôme, pas de David* au dîner des Belges.

Il n'est pas intéressé je crois par ce genre de manifestations.

Michel, quelque peu dépité.

PS : parmi les vins non dégustés ce soir-là  figurait aussi un Limbardié Tradition 1999, un côtes du rhône villages Les Mourillons 97 du Domaine Sainte-Anne, un grenache passerillé et un vin moelleux dont je ne connais pas le nom.

En relisant la liste des vins, je me rends compte que, mis à  part les 3 premiers blancs, tous les vins présentés étaient des vins sudistes. La personnalité de notre invité d'honneur a t'elle influencé à  ce point nos choix où ces choix reflètent-ils davantage nos goûts en matière de vins ? En rouge, pas de vins de Loire, pas de Bordeaux, pas de Bourgogne... alors que le choix avait été laissé complètement libre à  tous les participants. Un signe ?

Sur cette réflexion profonde, je vous laisse, parce que j'ai une petite dégustation ce soir. C'est vrai quoi, il ne faut pas perdre le rythme...

Luc

Message edité (10-10-2003 19:30)

Bonjour,

Quelle erreur et quelle horreur!!!! Non seulement au diner je me suis confondu entre les deux bouteilles, mais maintenant je rends compte que j'ai fait erreur dans l'assemblage des Magdaléniens. Le rectif pour les Magdalenièns 2000: 50% grenache blanc - 50% rousanne...
et donc pas Grenache gris et Macabeu comme je pensai au diner.

marc

Voilà , je viens de terminer la mise en ligne des comptes-rendus de tous les vins dégustés lors de cette mémorable soirée. Ils sont placés sous la rubrique correspondant à  chacun d'eux.
J'en profite pour remercier une fois encore ceux qui ont permis que cette soirée se déroule de la meilleure façon possible, en particulier EricD et sa charmante épouse pour leur accueil chaleureux.
Merci à  Robert d'avoir répondu présent à  notre invitation. La rencontre avec un viticulteur de grand talent, passionné et d'une grande gentillesse et simplicité a été un enrichissement pour tous les participants. Sa connaissance remarquable des vins de toutes les régions visitées ce soir-là  n'aura échappé à  personne, tout comme la qualité exceptionnelle de Los Abuelos 2001. En attendant de goûter les autres cuvées...

A bientôt pour de nouvelles aventures...

Luc

Bande d'ivrognes, va (aaa)

Quand on pense qu'il y a des gens qui travaillent au lieu de boire... et qui ne peuvent donc pas être présents à  de telles agapes (jjj)

Oui, je sais, c'est la jalousie qui me fait tenir pareil propos (bbb)

J'espère que la soirée a été plus que bonne.

Pour me venger, je vais aller corriger les contrôles de mes petits élèves et me venger injustement sur eux. (aaa)

Au plaisir de revoir les belges le plus tôt possible.

Olivier

En tout cas merci à  Eric (il avais pas une mine des plus grands jour le lendemain) et à  sa femme pour cet accueil
et à  TD et son épouse
Merci pour tous ces gens du nord pour qui la convivialité n'est pas que du blabla.
Mais ayant tenu le choc le premier soir
le deuxième bien que magnifique (c'est vrai que M. BECU y est allé de ses bouteilles) j'ai, devant la fatigue plus qu'envahissante, du refuser la bouteille que TD m'avait gardé pour l'après dîner.
Une bouteille de pichon longueville 1986.
Je sais j'ai plus la force de mes 20 ans.
J'espère que Thierry ne m'en voudra pas trop.
En tout cas venez nous voir dans le sud.

Robert,

C'était le Comtesse de Lalande et pas le Baron...
J'ai dit et redit "Pichon-Lalande 86". :-)

Mais, je reconnais que cela a dû être deux soirs fatiguants.

Pour rester en phase avec la charte des fondateurs du site, je n'ai commenté que les vins que j'ai payés, dans leurs rubriques...

Je te laisse donc le soin de mettre ou non une note sur l'un ou l'autre des 5 vins offerts par Daniel Bécu...

Je n'ai pas ouvert de rubrique sur notre rencontre, qui m'a honoré, mais qui me semble devoir rester de l'ordre du privé.

Sophie et moi avons cependant été vraiment heureux de te rencontrer.
J'ai fait un commentaire hors site de mes impressions à  Yves, Claude et Jérôme, que tu vas voir en fin de semaine.

Amitiés,
Thierry

j'avais bien compris et vue la belle fiancée.
C'est pourquoi j'ai dis Pichon longueville (comtesse de lalande) sinon j'aurais dis pichon baron.