de l'aiglefin directement importé d'Islande, légèrement saupoudré de farine et poà«lé avec romarin/gros sel/poivre...delicious!
avec ...
une magnum de Pavie 90, superbe (la bonne mise).
La catastrophe prévisible se confirme, le poisson et le liquide interagissent comme si qqn avait décidé d'enfermer Arafat et Sharon dans une roulotte hermétique pendant le mois de juillet.
Le palais en prend un coup...un ami biochimiste, complice dans cette expérience n'a pas su m'expliquer le pourquoi d'une telle réaction: amertume et gôut de métal en bouche...?
Aà¯e ! Un mauvais souvenir. J'ai voulu me rendre intéressant en cuisinant un petit plat pour ma femme préférée ! Je tiens à souligner qu'il m'arrive la plupart du temps de m'en tirer avec les honneurs mais ce soir là j'étais en petite forme !
En entrée saumon fumé (de bonne qualité) avec une crême pimentée ! J'ai sous estimé le dosage du piment (je crois qu'il s'agissai de raifort ?) et le plat est devenu immangeable ! Le vin blanc choisi a laissé la place à une grande carafe d'eau ....
Ensuite, j'ai voulu me prendre paour un grand cuisinier en utilisant le livre RVF-Sanderens (excusez l'orthograf!) et j'ai essayé de faire du sandre à la crême au bacon, recette qui m'avait interpellée. N'ayant pas de sandre je fis la recette avec des rougets. Totale improvisation et exécution on ne peut plus approximatif de la recette ! Résultat ! Une horreur immangeable ! Le poisson tombait en ruines, la sauce était écoeurante et on se demait bien ce que le bacon faisait là !.... Je me souviens encore de la tête perplexe de ma femme après la première bouchée !
Le vin servi (exécuté?) sur les 2 plats était un gewurztraminer 1998 de Fernand Stentz. Un vin très racé, aromatique et typique qui ne méritait vraiment pas un tel traitement ! Et qui n'allait pas du tout avec les plats de toute manière ....
Mais comme on dit en anglais "practice makes perfect" !
Il y en a beaucoup mais un qui me revient à l'esprit est l'utilisation d'un vin blanc de m.... en bouteille plastique pour faire la sauce de quenelles de brochet. Funeste erreur, rien qu'à la cuisson cela empestait d'aromes vinaigrés peu avenants. Le plat est parti à la poubelle. Depuis, je ne prends jamais du bas de gamme pour des sauces aux vins.
Une triste expérience qui m'est arrivée la semaine dernière, en fin de repas ! (ccc)
Après avoir dégusté quelques verres d'une très belle bouteille de Refosco dal Penducolo Rosso de La Viarte (j'adore ce vin !(hhh)) en compagnie d'un jolie plateau de fromages et de charcuteries locales, j'ai cédé à l'appel de la salade... Une sorte de rampon quelque peu amer mais loin d'être désagréable.
Et c'est là que tout s'est écroulé : j'ai voulu finir mon verre et le vin qui était magnifique quelques minutes plus tôt s'est révélé imbuvable ! La salade lui a donné une amertume insupportable !(eee) Heureusement que c'était en fin de repas et qu'il ne restait plus grand chose dans mon verre...
C'est décidé, je ne toucherai plus de cette saleté tant qu'il restera une goutte de vin dans mon verre... et s'il ne doit en rester qu'un ce sera mon Spiegelau ! (aaa)
Rien de plus simple qu'un fromage bleu...avec du 1er Gd.C.C. Pauillac Ch.Latour 1971 (il y à 15 ans): le fromage est plus fort que Latour, qui en devenait ... imbuvable.
Au chapitre des réussites: du Pinot Noir d'Alsace (même de qualité indifférente...) aux plats épicés (que ce soit Thai ou d'Inde): le vin devient savoureux, doux, suave. Le mariage parfait!
Samedi chez des amis… huit à table 16 bouteilles (je sais c'est un peu juste mais bon, l'une des participantes était enceinte de huit mois et buvait moins que d'habitude (bbb))… fin de repas 15° bouteille Quarts-de-Chumes 2001 Pierre Bise avec une tarte aux pommes… un délice
Idée de notre hôte (un désastre à venir mais ce n'est pas moi le responsable) : des bulles… Pourtant ce sont de vrais amateurs mais l'ambiance festive aidant !!
Je mets le nez dessus, la tarte est toujours dans l'assiette -nous n'avons pas fait de coupure- les arômes et la bouche moelleuse du 1/4 sont toujours présents… désastre j'ai presque la nauséee. La bouche confirme… c'est le dégoût (15 bouteilles avant aussi) je ne prendrai qu'une gorgée de ce Bollinger Grande Année 1996…