ce soir en rentrant après un sublime que dis-je, un transcendental Schostakovitch j'ai ressenti le besoin de gâter aussi un peu mes papilles...
ergo, un CDR 2001 de Charvin a explosé aromatiquement dans le magnum de Spiegelau que je me suis servi alors que ce n'était qu'un pétard mouillé dans le chianti classico choisi par ma chère compagne!
difficile art du vin, il faut non seulement attendre le bon moment, mais il faut soigner le service et trouver les verres adéquats. Aussi quel plaisir suprême lorsque, se laissant guider par l'instinct tous les choix s'avèrent être justes pour créer un instant magique de bohneur terrestre.