Domaine crée en 1952
Le domaine possède 15 hectares dont 12 plantés de vigne :
Nebbiolo (7 hectares), Barbera (2 hectares), Dolcetto (1.5 hectares), Chardonnay (1.5 hectares)
Production annuelle moyenne : 65000 bouteilles

Frédéric

Moccagatta Barbaresco "Bric Balin" 2004

Bouteille ouverte 8h à l'avance et caraféee 2h (il en avait besoin )

Au nez on perçoit très légèrement la vanille ,le café, la réglisse et un peu d'épices
Un nez assez puissant.

En bouche , le vin est ample , juteux , avec des fruits rouges et encore très légèrement tannique.

C'est souple , le vin se boit facilement.

Le "hic" , c'est que ce vin n'a pas une personnalité très marquée et n'a pas à mes yeux la complexité attendue.

Un vin que l'on pourrait qualifier "d'international" pour utiliser une expression à la mode et sans vouloir relancer la querelle "modernistes / traditionalistes" montée en épingle par les journalistes il y a quelques années au sujet des vins Piémontais, on est en plein dedans.

Quand on boit les vins de Rinaldi et de Burlotto et qu'on passe à ceux de Moccagatta , la différence de philosophie semble assez nette.

On est chez un domaine "moderniste" (élevage en barrique Bordelaise , utilisation des dernières technologies...) et cela se ressent dans le vin que nous avons bu.

Bon mais pas ma tasse de thé

14/20

Frédéric

[size=x-small] Par Olivier Mottard le 27/09/2006 [/size]

Moccagatta Barbaresco Bric Balin 1998
Inexpressif et complètement fermé malgré un très long carafage.

[size=small] Pour finir l'année 2009 en beauté [/size]

Moccagatta, Barbaresco, Bric Balin, 1996

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Le nez est un compromis entre les fruits rouges et les épices.
La bouche est belle, sur une aromatique similaire au nez, d'une grande puissance.
L'ensemble est gras en texture mais tendu par une belle acidité.
L'accord sur le Jarret de Porc à la choucroute est magique car le gras du plat absorbe la charge des tanins que je ne percevrai qu'une fois le vin regouté seul.
Un superbe vin de repas.

Domaine Moccagatta, Chardonnay " Buschet " 2016
Robe jaune légèrement doré, avec au nez un côté fumé dominant, au bouche c'est très concentré, élevage en barrique bois, ça se ressent ... ainsi qu'un côté toasté.
Milieu et fin de bouche sur les agrumes, avec un belle tension. Finale trèèèès longue.
Très beau vin, taillé pour la garde, que j'ai eu plaisir à boire maintenant.

Barbaresco Moccagatta Bric Balin 2006
A l'ouverture, il présente des arômes de fruits noirs, exprime une puissance tellurique contenue représentative de l'image que j'ai du millésime 2006 et rappelant les Barolo de Serralunga ou Monforte plutôt que ceux de La Morra (même si c'est un Barbaresco !).

Après 4 heures de carafe, il n'a pas beaucoup évolué et se présente très agréablement mais le fond de bouteille après 48 heures est absolument somptueux.

Bien que le domaine soit étiqueté moderniste alors que je ne bois quasiment que des traditionnalistes, j'ai énormément apprécié.
Un des mes nebbiolo préférés depuis un bon moment.
Très très belle bouteille.

Voilà un CR de moins à faire puisque j'adhère complètement à tes propos ,je n'ai dégusté ce vin que sur la première phase ,effectivement une grosse puissance,une certaine rusticité et des tanins un peu encore fermes.Si je comprends bien 48 heures après le vin a évolué très favorablement.
Cordialement
Bernard

DUROCHER écrit:

Voilà un CR de moins à faire puisque j'adhère complètement à tes propos ,je n'ai dégusté ce vin que sur la première phase ,effectivement une grosse puissance,une certaine rusticité et des tanins un peu encore fermes.Si je comprends bien 48 heures après le vin a évolué très favorablement.
Cordialement
Bernard

En effet, le premier soir, il était très bien mais un peu eclipsé par le  Rioja La Rioja Alta Reserva 904 1968 servi en parallèle.
Deux jours plus tard, c'était le même vin mais avec tout en mieux !