Marc, on peut très bien considérer que certains producteurs vont adapter leur production en fonction des commentaires lus sur un forum : moins de bois, plus de finesse... Dans ce sens, un forum comme LPV peut très bien être un outil pour toucher plus de clients. On peut imaginer ce scénario pour des domaines qui se cherchent encore en style.

Denis

Non, ça ne me semble pas difficile, c'est le principe.
Certains interviennent et n'ont pas peur de la confrontation avec les avis divers exprimés ici.
D'autres pas, c'est leur choix. Mais nous n'avons aucunement l'intention d'édulcorer le contenu pour favoriser la venue de l'un ou de l'autre.

Luc

Pour connaître un peu Marc, je pense que ce qu'il entend signifier, c'est que si on commence à discuter de l'idée de médiatiser LPV pour le faire devenir un outil de consommation classique, la modération naturelle que défend justement Luc et qui est notre ADN car elle finit toujours pas se faire sur ce forum, apportant bien plus de vérités que des propos artificiellement sous contrôle aseptisé, ce travail collectif donc où l'avis excessif, les certitudes des uns sont toujours tempérés, recadrés, mis en perspective par l'avis des autres risque de ne plus être viable.

Toute ressemblance avec l'impossibilité pour les médias classiques de faire un travail d'enquête indépendant sur les annonceurs qui les font vivre ne serait pas fortuite.

Oliv

Marc C écrivait:

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> Une fois de plus je ne réclame rien mais il me
> semble difficile de faire intervenir des
> producteurs avec ce type de message qui me semble
> difficilement conciliable avec un "outil du
> producteur au consommateur". C'était le sens de
> mon intervention, ce n'est qu'un avis suite au
> point soulevé par Jérôme. A titre personnel, je
> n'adhère pas à ce type de message mais ça c'est
> mon problème.
>
> Marc

Sur le fil consacré au SVI de Paris 2015, il y a par exemple un commentaire peu élogieux sur les vins de Florian Beck- Hartweg et une remarque sur l’accueil un peu moyen. Je n'ai pas l'impression que ça empêchera Florian de continuer à intervenir ici. Que ces vins déplaisent à certains et qu'ils en fassent état ici, rien de plus normal.

Ensuite, on peut faire confiance aux modérateurs pour supprimer les propos qui dépassent le cadre d'une critique virile mais correcte pour tomber dans la diffamation voire l'insulte. Je crois me souvenir d'un message assez chaud qui racontait les déboires d'un LPVien avec Hervé au Bizeul au Grand Tasting 2014, et ce message a disparu de la circulation assez vite il me semble.

Mais je n'ai jamais dit qu'il ne fallait pas de diversité ni dire qu'on n'a pas aimé et pourquoi. Je pense juste qu'en y mettant les formes cela rendrait sans doute le dialogue plus facile avec le producteur et ce serait certainement plus constructif comme démarche. Pour moi ce n'est pas de l'édulcoration mais du savoir vivre sur support écrit. Manifestement ce sentiment n'est pas partagé et bien très bien, on passe à autre chose surtout que je n'ai rien compris.

Marc

c'est juste plus clair dit comme ça.

nous sommes d'accord sur l'essentiel, donc

Est-ce que les administrateurs ont la pratique de wineberserkers ?
Il est peut-être plus petit que LPV, je ne sais pas. Il a été créé en janvier 2009 et a 11.200 membres inscrits.
Il me semble très actif. Sur la première page des cent inscrits les plus anciens, il y en a 5 qui dépassent les 20.000 messages.

Le forum a une structure nettement moins pertinente que LPV auprès duquel il apparaît comme assez embryonnaire.
Mais il est suivi.
Le sujet sur Kurniawan par exemple a fait 859.400 vues avec 7949 messages dans cette discussion.
Le sujet sur "quel est votre dernier achat" a 184.000 vues et 5.462 messages

Ce que je ressens sur ce forum, c'est qu'on ne remarque pas du tout les modérateurs, que je n'ai quasiment jamais vu modérer, même si le fondateur Todd French a 32.710 messages. Ses messages doivent porter sur le vin.

Et on parle de vignerons et de domaines, mais il ne viendrait à l'idée de personne de jouer un rôle dans le circuit producteur / consommateur.

Ce forum reste un forum d'amateurs qui discutent sur le vin. Il n'a pas la structure intelligente de LPV et se fiche de créer une relation avec les producteurs, même s'il y en a qui interviennent.
Il y a des échanges parfois vifs, mais jamais des querelles de doctrines aussi exacerbées que sur LPV.

Je ne vais que sur le forum qui parle du vin. Il y a en d'autres pour des voyages, des dégustations, des achats, mais je n'y vais jamais.

Si je cite ce forum, c'est que j'ai le sentiment que LPV devrait rester sur une ligne forte qui est : "des consommateurs parlent à des consommateurs" et racontent leur vécu, sans avoir la hantise de ne pas être à la hauteur de ce que veut LPV.

rester au niveau de la spontanéité des contributions me semble un bel objectif, et ce sera plus sincère que de vouloir avancer sur le chemin qui consisterait à dire que LPV détient une partie de la vérité sur un vin.

Comme l'a dit Jérôme, c'est la masse spontanée des témoignages qui fait la valeur de LPV. Sur certains vins, cette accumulation est pertinente et sur d'autres moins.
Viser d'autres objectifs me semble inopportun, mais bien sûr je ne suis qu'un LPVien espsilonesque.

Winebersekers a instauré un système de cotisation qui permet aux membres d'accéder à une version du forum sans publicité.
Car la publicité est présente sur ce forum, ce qui permet son financement.

www.wineberserkers.c...

Ca me donne pas envie d'y aller ; en effet, on peut se passionner pour le vin, se faire avocat une vin, décider du vin, tracer sa cave , rechercher un vin mais le berseker ?

Une question naïve, LPV avec un financement serait-il un meilleur LPV ? Je suis certain que cela permettrait de soulager nos administrateurs d'une charge financière qui s'ajoute à une charge de temps passé sur le forum, mais y-a-t-il des projets dans les cartons qui nécessiteraient financement pour prendre vie ? Oliv semble penser que oui.

Olivier

J'avais également évoqué cela dans un précédent post. Les volontaires pourraient participer en envoyant le montant de leur choix, et sous leur avatar serait inscrit "donateur 2015" par exemple. Cela se fait sur d'autres fora.

il faudrait, on pourrait ...

Olivier,

Ta question est loin d''être naïve, elle est machiavélique et inappropriée. Tu postules pour un huitième siège ? Laisse donc les sept en paix, qu'ils réfléchissent et décident entre eux, et à nous d'obtempérer. Essayons de rester dans nos clous :
" des consommateurs qui parlent à des consommateurs " dans le cadre de la charte, et basta !

-

merci Jean Marie.

Jérôme Pérez écrivait:

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il faudrait, on pourrait ...

C'est juste une proposition. Maintenant vous en faites ce que vous voulez. Sachez simplement que des gens sont prêts à mettre la main à la patte (ou au portefeuille ). Ni plus, ni moins.

Florian, bien avant que tu n'arrives sur ce forum, certains en parlaient déjà.
7 personnes prennent les décisions pour l'avenir de LPV depuis 13 ans. ça n'a pas changé.

Comme quoi, cette idée n'est pas forcément sote. Maintenant, c'est vous les tauliers...

oliv, tu nous racontes la suite ? -))

Ta question est loin d''être naïve, elle est machiavélique et inappropriée.

Mazette ! En la posant si je ne me doutais pas d'une chose, c'est qu'on puisse y projeter tant de mauvais sentiments. La question des resources est publiquement posée et je demande ce que cela recouvre, on a le droit ? Si maintenant il faut un siège pour poser une question

O.

PS : Jérôme à raison, il est grand temps de clore cet aparté !!

Jérôme Pérez écrivait:

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> oliv, tu nous racontes la suite ? -))



S il vous plait les amis, laissons place aux CR's a venir maintenant, [size=x-small]je vous le demande a genoux[/size]

La dégustation du samedi est un peu l'apogée du symposium, un moment qui, pour certains amateurs, justifie à lui seul leur venue au bord du lac.
Cette année et après la monumentale dégustation de la précédente édition, c'est le domaine Armand Rousseau qui s'y colle.

Ouf, retour aux fondamentaux de l'évènement avec le Président Mauss aux commandes et un Eric Rousseau qu'on sent heureux d'être là même si les feux de la rampe ne constitueront jamais l'univers d'expression favori de cet homme de vignes et de cave plus que de représentation.
Les verres sont servis, chacun est à son poste.....
Silence dans les rangs....

En piste !

---

Gevrey-Chambertin, 2005


Jolie robe grenat pourpre, sans aucune trace d'évolution.
Nez assez serré, pas très ouvert, sur un ensemble plutôt délicat de petits fruits rouges et d'épices douces. L'aération dans le verre améliore un peu l'ensemble en libérant du fruit.
Attaque en bouche agréable, sur une texture charnue au beau volume suave et frais, bien élancé par une présence acide parfaite.
Ensemble délicat, sans grande réserve de puissance mais qui serait sûrement gourmand si l'aromatique n'était pas si fermée.
Finale assez courte, aux tanins encore à polir.
Bien.

Chambertin Clos de Bèze, 2011


Robe pourpre assez claire, d'une grande jeunesse.
Nez absolument pas en place, où un végétal assez fort, sur l'anis vert, prend le pas sur le fruit (groseille) et où l'élevage classieux, sur les épices douces se fait un peu prégnant.
Très belle attaque ample et dense mais assez serrée, sur une matière comprimée d'une concentration renfrognée puissante.
L'ensemble est large mais sans dureté, sur des tanins présents mais pas agressifs et une acidité assez haute qui renforce cet effet de manque d'aménité.
La finale serrée, ferme ajoutée à une aromatique très fermée, où seul l'élevage s'exprime, confine à l'austérité.
Il est urgent d'attendre que le vin se place et se détende.

Chambertin, 2011


Robe grenat sombre à coeur mais claire sur le disque.
Nez sur les petits fruits rouges mais marqué d'un végétal assez présent, sur la rafle, un côté gazon après la pluie assez net.
Bouche souple en attaque, semblant moins dense que le Clos de Bèze, avec un curieux creux au coeur, comme si le vin refusait de se lancer pour tenir sa trame et prendre son envol.
Une forme de déséquilibre se crée, sur un végétal assez présent et des amers secs qui créent une forme d'aridité.
L'acidité en revanche n'est pas saillante mais le vin semble souffrir d'un petit déficit de fond.
La finale assez discrète aromatiquement reste assez sévère et n'apporte que peu de plaisir.
Décevant en l’état.
A revoir car je ne retrouve pas le vin sérieux bu sur fût.

Chambertin Clos de Bèze, 2000


Robe claire, presque rubis avec un petit début de roussissement.
Joli nez d’évolution en cours, très fin, sur le tabac et le thé fumé, de très délicates et charmantes notes de fleurs séchées.
Très jolie bouche fine et fraîche, au déroulé franc, sans matière puissante mais d’une belle tenue et droiture, sur une suavité délicate et une qualité de tanins remarquable.
La finale en revanche manque peut-être un peu de présence et de capacité de relance à ce niveau d’appellation, toute en délicatesse soyeuse et sur des goûts délicieux de pot pourri.
Un parfait vin de pdf, qui ne gagnera plus, je pense, à être attendu.
Très bon.

Chambertin, 2000


Robe un tout petit peu plus sombre que le Clos de Bèze mais toujours claire.
Nez plus dense et mat à la fois, au fruit moins apparent, comme enfoui sous une note épicée.
Bouche beaucoup plus puissante que le Clos de Bèze, avec plus de fond et de chair et qui s’épand sur le palais avec beaucoup de profondeur, sur un toucher d’une grande présence et une belle acidité.
L’aromatique reste toutefois plus stricte et les tanins plus fermes.
La finale aux tanins encore présents, moins déliée et soyeuse confirme le côté plus anguleux de ce vin.
Avantage en dégustation au Clos de Bèze à mon goût mais quelque chose me dit que le Chambertin répondra mieux à table où les accords gastronomiques gommeront cette impression de légère sévérité.
Très bien.

Chambertin Clos de Bèze, 1991


Superbe robe rubis pourpre légère d’une grande jeunesse.
Nez ultra complexe, sur un tout petit grillé, entre la peau de poulet et le poivre blanc, qui enrobe un splendide bouquet sur les petits fruits rouges frais et les épices douces. La classe !
Bouche impactante, immédiatement salivante, d’une tension droite et d’une puissance toute en profondeur d’une impressionnante densité, aux goûts francs et très complexes, compromis parfait de notes fruitées (fruits des bois) et épicées d’une grande précision.
La concentration naturelle du vin est remarquablement maitrisée, sur des tanins encore à polir et un équilibre formidablement rythmé et présent en bouche.
La capacité de relance de la finale qui déroule sur le palais toute sa persistance est celle d’un grand vin à l’avenir encore ouvert.
Le vin le plus jeune de la dégustation.
Superbe !

Chambertin, 1991


Robe avec un petit surcroit de profondeur mais qui reste claire, sur un rubis franc.
Nez plus généreux et fondu que le Clos de Bèze, sur un très bel ensemble gourmand qui oscille entre des notes de grenade fraiche, de menthe enrobées d’un léger résiné épicé très élégant. L’ensemble est moins puissant mais d’une grande évidence.
Très belle attaque juteuse, pleine, d’une jolie chair au velouté confortable. Le toucher de bouche est d’une grande présence, sur une acidité mure parfaitement intégrée.
La structure tannique importante mais sans sécheresse élance l’ensemble et ouvre une finale d’une puissance parfaitement contenue et d’une grande persistance.
Très beau vin, qui titille furieusement une envie de passer à table.

Chambertin Clos de Bèze, 1988


Robe rubis tuilé très claire.
Nez au bouquet noble et délicat, sur les fleurs séchées, des notes mentholées et un fruit un peu lointain qui lui donne un petit côté strict.
Bouche agréable à l’attaque, d’une fraicheur due à une acidité droite et une matière un peu fragile toutefois et qui, allié à un fruit presque éteint, produit une forme d’évolution austère qui fait perdre la gourmandise qui aurait pu relancer le vin.
L'ensemble est fin, à l'équilibre délicat sans réserve de corps et de puissance.
Finale d’une petite fermeté tannique qui accroit ce sentiment de finesse un peu coupable.
A boire.

Chambertin, 1988


Robe beaucoup plus profonde que le Clos de Bèze, sur des atours nettement roussis.
Nez fin, sur des notes d’évolution certaines, sur le cèpe séché, le bouton de rose, le thé à la menthe.
Très belle bouche ample à la chair douce et au toucher soyeux, sans aucun accroc, à l’intégration de l’acidité exemplaire.
Goûts floraux d’une grande délicatesse, modèle d’une évolution agréable et parfaitement réussie.
Grande finale élancée, au déroulé fondu et fin mais sans aucune faiblesse de structure.
Très beau.



Une dégustation très intéressante dont je retire un élément factuel qui m’est apparu fondamental : ces deux chambertin sont des vins à boire à table.
Là où un Clos Saint Jacques ou une Ruchottes peuvent se présenter de manière plus amène, avec des tanins littéralement de soie pour le premier, les deux Chambertin ont une puissance tellurique et des tannins puissants qui exigent à mon sens la présence de plats de viande pour révéler leur équilibre et sublimer leur puissance.
Autre point indispensable pour boire ces vins à leur meilleur : les attendre !
La garde permet de fondre un élevage parmi les mieux maitrisés de la région et de l’intégrer à des matières toujours d’une extraction délicate, aux robes classiques et aux maturités fines.

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La nuit est tombée sur le lac, le dîner de gala s'annonce !

Et j'ai toujours pas solutionné mon histoire de cravate...

Affaire à suivre...

Oliv

Encore un super CR Olivier. Merci. Je connais Clos de Beze 91, une bouteille superbe.
Didier

Gilbert becaut, aurait ( selon la légende) découpé sa première cravate à pois dans une robe de sa maman ...
Il avait par la suite fait de cette coquetterie une marque de fabrique ...

La jolie brune aurait elle accepté de sacrifier un morceau de robe pour t'en faire une cravate ?

Autre solution se dessiner une cravate directement sur la chemise...avantage pas de problème de nouage

Sinon super série de CR, sur le dernier est ce un effet de photo ou les robes ( tiens , puisqu'on en parle...)même des plus jeunes sont elles légèrement cuivrées ?

Laurent

Les robes présentaient en effet des atours tuilés qui auraient pu laisser craindre une sénilité en bouche.
Preuve s'il en était de la capacité du pinot à délivrer des bouches pleines sans avoir à aller extraire plus que ce que le raisin a à offrir.

Oliv

Chambertin Clos de Bèze, 1991 ……….
.La capacité de relance de la finale qui déroule sur le palais toute sa persistance est celle d’un grand vin à l’avenir encore ouvert.
Le vin le plus jeune de la dégustation.
Superbe !

Certains "amis de Jongieux" se souviennent encore d'une fantastique bouteille de ce vin bue il y a déjà un bon nombre d'années ( 6 ou 7 ? mais c'est quelque part sur LPV ) :)o

Raymond,
Beau souvenir en effet sur la cuisine de Jean-Philippe et c'était chez toi :

Le Chambertin Clos de Bèze Armand Rousseau 1991 est un vin d’une délicatesse extrême. Le nez subtil laisse deviner un goût charmant, délicat, complexe. Ajoutons à cela la personnalité bourguignonne et l’on obtient une séduction de première grandeur. Mais le plus extraordinaire, qui m’a quasiment mis K.O. tant le choc est incroyable, c’est que le vin et le veau paré de son coulis forment une continuité gustative inouïe. C’est l’accord parfait que l’on cherche toujours et que l’on ne rencontre que rarement. Quand on mange ou quand on boit, on a strictement la même empreinte gustative, d’une linéarité enthousiasmante. Jean-Philippe avait goûté le vin pour ajuster son coulis. Et c’est extraordinaire. Les deux vins rouges (l'autre est VSU 74) ont des ressemblances dans la perfection, mais des dissemblances dans leurs discours. L’accord du veau est confondant de transcendance.

ça date de 2008

"""Bernard Noblet, sous le charme des 1991 "":....Lors d'une dégustation au domaine , il avait sélectionné Echezeaux 91 . Il doit certainement se souvenir de nos échanges au sujet de ce Clos De Béze 91 de Rousseau ..

Confirmation que le Gevrey 2005 n'a pas grand chose pour lui .....et je compte même revendre mes dernières bouteilles sur Ebay ><

Merci Raymond de nous rappeler cette belle journée .....je constate également que j'avais pris une sage décision de ne pas ouvrir mes 2001 en 2012 à Roanne ....j'avais un tel souvenir de ce 91 ( malheureusement ..l'unique bouteille ) .

En écho au séminaire mentionné plus haut, je vous recommande la lecture de cet entretien remarquable entre Bernard Magrez et Hervé Bizeul.
Beaucoup de choses sont dites, et bien dites, sur le monde du vin et de la communication.

bonvivantetplus.blog...

Oliv

Le vin n'est forcément source de conflits, l'image est belle... [size=x-small](cliquez pour agrandir)[/size]

A retenir la définition de grand terroir d'H.B. !

Merci Oliv.
Superbe reportage, juste, clair, précis.
Allez, juste la dernière phrase d' Hervé Bizeul:

La France a le problème de tous les enfants surdoués, un énorme potentiel et un gigantesque manque de confiance. Il y a 12 % de calcaire dans le monde, nous en avons 60 %, les grands terroirs viticoles sont chez nous, cette pluralité par endroits inexploitée est une richesse. Il faut arrêter de faire du France-bashing.

Forza!

jlj