Soirée en petit comité pour LPV Vaucluse : l’un est resté à Donetsk taquiner l’ukrainienne à l’insu de son plein gré, l’autre est en stage à Tain l’Hermitage, le troisième accueille sa douce et ses marmots de retour de vacances, enfin Patrick fait héroïquement face à la meute des festivaliers !
Nous nous retrouvons donc à quatre autour de quelques vins de ma cave (j’ai retiré un rouge compte tenu des deux dernières défections) :

Champagne – Jacquesson – Cuvée 734
Bordeaux – Pavillon Blanc du Château Margaux – 2008
Terrasses du Larzac – Les Vignes oubliées – 2010
Pessac-Léognan – Ch. Latour Martillac – 2006
Jura – Cuvée Tradition – Domaine Macle – 2006
Trabener Würzgarten – „Rickelsberg“ – Weingut Trossen – 2007

Ces vins sont servis à l’aveugle au cours d’un repas très agréable :
Apéritif : lamelles de jambon ibérique, tartines de rillettes de canard ou de tapenade noire
Terrine de poisson
Tranches de gigot d’agneau, tapenade, chèvre, le totu cuit au four, servi avec un flan de courgettes à la menthe
Comté 12 mois, comté 24 mois, ossau-iraty, parmesan
Tarte chocolat-noix, tarte poire-coco-amande


Champagne – Jacquesson – Cuvée 734
54% chardonnay, le reste en pinots noir et meunier. Base 2006 (3/4), le reste en 2005 et 2004.
Belle robe dorée (tirant sur l’or rose, traces d’évolution). Bulle plutôt abondante.
Une certaine finesse au nez, sur les agrumes confits (pointe saline – amère) ; notes de sous-bois.
En bouche c’est tout d’abord un peu fluet, avant que la bulle assez présente, et le gras d’un jambon ibérique, ne viennent réveiller les papilles. On retrouve un vin sapide, assez rond, avec une évolution assez sensible contrebalancée par une amertume qui lui donne du caractère. L’émotion n’est pas immense mais le plaisir est là.

Vin carafé.
Jacquesson Brut 2002
Nez bavard, beurré-brioché d'une belle puissance et d'un profil aromatique très séducteur. La bouche est tendue sur la brioche, avec une superbe mâche et beaucoup de puissance.

Il a tenu la dragée haute à la Grande Année de Bollinger sur le même millésime et a eu ma préférence en tous cas.

Un grand merci à Sebounet(tu) pour ce grand vin diablement classieux sur un tartare de saumon qui frétillait de la rencontre.

Jacquesson 1995 champagne extra-brut "signature"

flacon acheté 79 euros cave bérigny

55% de pinot noir issu des grands crus "ayet" et "sillery"

45% chardonnay issu de "avize" et "chaully"

dégorgé juillet 2005

à l'ouverture déja 2 surprises : je trouve le niveau étonnament bas (5 cm du bouchon environ) et ce même bouchon qui reste en l'état sans "éclater" comme on dit

le nez est brioché sur les fruits jaunes, avec une note préseentes de noisettes pas fraiche tendant vers la noix lui donnant un impression d'oxydatif, pas ce que je prééfère

la bouche est gourmande mais d'un équilibre pas souverain, la bulle est fine et discrète et apporte de la fraicheur, mais l'ensemble reste trop simple pour son pédigrée et son prix et la finaale est amère et pâs noble du tout

déception car j'en attendais bien plus...

assez bien+

Salut frédo;

pas de bol sur ce repas quand je vois le clos de Bèze et çà... Car ce vin, je l'ai bu il y a un peu plus d'un an, et je l'ai trouvé tout simplement sublime.

arrête je suis déja tout vert...
mais dès que possible je vais aller voir mon caviste et lui arracher l'oreille
les bouchons qui n'éclatent pas c'est du à quoi ?

les bouchons qui n'éclatent pas c'est du à quoi ?

Bouchon défectueux? Ca m'arrive sur des champagnes qui ont passé 20ans et encore, m'enfin là, un 95, c'est bizarre.

je trouve le niveau étonnament bas (5 cm du bouchon environ)

Je pense que là est le véritable nœud du problème, et çà rejoint le premier point! Mes 95 n'ont pas bougé d'un iota, et j'ai encore fait récemment l'acquisition de 82 qui ont un niveau remarquable! Donc là, un 95 qui a un niveau qui n'est déjà plus dans la normal, c'est qu'il y a un renard dans le poulailler! Si en plus on a une présence oxydative qui entame l'équilibre, c'est plus un renard, c'est un loup!

Les 2 sont liés, on peut mal conserver une bouteille sans que son niveau descende, mais si c'est le cas, c'est que le bouchon est en cause. Surtout que tu es allé acheter cette bouteille chez un caviste, et j'imagine que tu y as tes habitudes, que tu n'es pas allé voir un blaireau... Et 95, c'est encore (relativement) jeune, qui plus est sur une bouteille de ce standing. Donc va lui en toucher 2 mots, les affres du bouchon touchent aussi les champagnes malheureusement, mais dans une moindre mesure.

Sinon, je t'assure qu'avec une bouteille en forme, c'est un vin qui envoie du gros!

amadeusmaldoror écrit: Vin carafé.

Pourrais tu être plus précis...
Etait-ce vraiment utile sur ce champagne??
Le vin était fermé???

Bouchon qui "n'éclate pas"...bon à la limite s'il reste en forme de "cheville" comme on dit ici..Sur un vin dégorgé depuis +/- 10 ans rien de rare....mais le niveau traduit une étanchéïté deféctueuse, une canette tout simplement laissée debout trop longtemps (suffisamment pour bouchon qui sèche...) ?

frédo

Jacquesson 735

Robe bien pâle.
Le nez est vraiment bien, profond et vineux. Frais.
La bouche est gourmande et vineuse mais un petit déficit de précision? Belle longueur. BIEN+

Un nez génial au vu de ma petite expérience mais une bouche un peu en deçà. Mais du plaisir clairement.

pour info fredo, le bouchon est resté droit, tel un bouchon de vin tranquille...

Comme on le dit frédo et moi, cela traduit certainement une étanchéité défectueuse

Jacquesson - Extra Brut - 1996

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Robe jaune foncé, nette.
Au nez : une oxydation élégante sur un arôme intense de pomme. Derrière, on est sur le beurre et de manière discrète sur du fruit rouge et du cuir.
Les bulles sont fines. L'acidité est à peine et juste enrobée pour donner une bouche vive sans être agressive. Finale citronnée d'une longueur correcte.
Un vin qu'il ne faut pas boire trop frais.
Simplement un beau champagne qu'il ne faut pas boire trop frais à mon sens ( autour de 14° ).

Jmm

Bonjour Jmm;

Ce champagne t'a donné l'impression d'être à point ou il faut l'attendre encore? Quel est son potentiel de vieillissement selon toi?

Bonjour,

Pour l'heure, aromatiquement, il ne montre pas de traces 'd'oxydations' excessives, loin de là. L'odeur de pomme est encore relativement fraîche.
Sur la plan de la structure, il n'y a rien qui puisse dire qu'il faille se dépêcher. Pour moi, au contraire, l'équilibre est là, l'acidité est présente mais dompté, et on peut penser qu'il peut gagner en compléxité si cet arôme de pomme évolue ou laisse place aux autres.
Sur certains Bollinger, bus au même âge, comme le RD 88, il y a avait à la fois, plus d'oxydation sur le plan aromatique mais aussi plus de compléxité et de profondeur.

Jmm

De ce que j'en ai bu, 96 évolue très lentement, surtout lorsqu'il est bien conservé.

Deux autres précisions :

Dégorgé en janvier 2006.

Je viens de finir le fond de la bouteille laissée au frigo depuis vendredi soir : Il s'est légèrement arrondi et surtout il est passé sur une trame citronné de bout en bout. Il évolue bien.

Jmm

Jacquesson 1996
A l'ouverture, le nez est envahi par des effluves puissantes de pomme au four.
Aprés quelques minutes dans le verre apparaissent de fines notes oxydatives qui ne feront que s'intensifier lentement.
En bouche les agrumes frais ajoutés à la sensation que le champagne n'est quasiment pas dosé tendent bien un ensemble harmonieux.
La bulle est présente mais fine.
Excellent champagne

Eric

Jacquesson "Ay Vauzelle Terme" 2002

Je crois que je viens d'entrevoir le sommet de la hiérarchie champenoise...

Ce champagne à une robe d'un or resplandissant, les bulles sont au rendez-vous. Je n'ai pas pris de note, j'ai préféré m'y plonger pleinement et l'apprécier a sa juste valeur. Mais c'est un champagne extrêmement vivant, soyeux...et d'un équilibre phénoménal, proche de la perfection. J'ai bu également "Jacquesson 2002" qui est très bon, mais l'Ay Vauzelle Terme 2002 est définitivement un cran voir deux au dessus, malgrès ce que j'ai pu lire...

Je ne regrette pas d'en avoir encore en cave.

19,5/20

oh que oui c'est sublime : les parcellaires 2002 sont ce que j'ai gouté de mieux ces 24 derniers mois...mais aussi celles qui ont un potentiel certain...un peu de patience peut être pour les prochaines ?

vinozzy écrivait:

---

> oh que oui c'est sublime : les parcellaires 2002
> sont ce que j'ai gouté de mieux ces 24 derniers
> mois...mais aussi celles qui ont un potentiel
> certain...un peu de patience peut être pour les
> prochaines ?

C'est sur qu'elles peuvent attendre encore quelques années sans problèmes.

Bocanegra écrivait:

---

> Jacquesson "Ay Vauzelle Terme" 2002

> J'ai bu également "Jacquesson 2002" qui est très
> bon, mais l'Ay Vauzelle Terme 2002 est
> définitivement un cran voir deux au dessus,
> malgrès ce que j'ai pu lire...
>
> Je ne regrette pas d'en avoir encore en cave.
>
> 19,5/20

Je ne sais pas si on peut formellement se permettre un avis définitif sur un vin quel qu'il soit, alors sur une seule dégustation... De mon côté, j'ai eu l'occasion de déguster en 2 occasions les parcellaires avec le millésimé 2002, ce dernier a remporté les suffrages dans l'ensemble, et ce sans compter le prix. Ce qu'il en sera dans 5, 10 ou 20 ans, wait and see.
Cela dit, sur une des dégustations, Bollinger Grand Année 2002 a mis tout le monde d'accord, parcellaire ou pas

Christophe

Jacquesson 735
Vin ouvert pour l'apéritif d'hier, je me retrouve totalement dans les CR dédiés à cette cuvée, très beau nez, belle complexité, bonne longueur, avec cependant une bulle un peu présente et agressive. Mais cela reste un très beau champagne, peut-être un peu en dessous du 733, mais largement au-dessus du 734!
Le 736 devant avoir comme base le millésime 2008, cela promet de belles choses.

Christophe

Jacquesson Cuvée 735

Ouvert et servi à environ 14 degrés.

La robe est d'une belle couleur avec une effervessance très discrete (servi en verre à vin)

Le nez est comme j'aime, vineux !!!
Quelques notes toastés, pain grillé, fruits sec.

En bouche, l'effervessance est plus présente avec une amertume qui peu déranger. Personnelement, j'aime ce type de vin.
Une matière qui prend les joues avec un point négatif sur la finale qui est trop courte a mon gout.

Salut à tous,

ouvert ce midi une bouteille de : Jacquesson 2002

Bouteille ouverte sans préparatifs à l'apéritif. La couleur est belle. Le nez dévoile des arômes beurrés / briochés principalement avec un peu de noisette. En bouche la matière est imposante, vineuse, c'est assez rond, avec une certaine classe ; ça se boit facilement.
Pour moi plutôt un vin de gastronomie, c'est bon mais un peu moins à mon goût pour l'apéritif.

J' ai failli l' ouvrir ce week-end! merci lpv car çà a l' air assez fermé ou limité non?

Paulo,
pour moi un peu en deça de ce que je t'attendais, effectivement peut-être un peu fermé en l'état. Peut-être qu'avec plus d'aération ?

Cédric

Jaquesson dégorgement tardif 1988

Ce DT de 2009 est une bombe atomique. Le nez est magnifique. On y trouve de la rose, du lys, des fruits secs, un léger côté chocolaté et un côté vieux pinot. C'est minéral aussi. J'en oublie sûrement bien d'autres face à cette énorme complexité. En bouche, c'est l'illumination. Ce vin est très puissant, bien crémeux avec une bulle bien fine et une longueur exceptionnelle. La salinité et le côté citronné apportent également beaucoup au charme du vin. C'est un champagne bien ouvert qu'on a là pour un 1988. A chaque fois, c'est un enchantement et un coup de coeur.

Maher

Gouté chez un caviste.

Jacquesson 736
Ce champagne m'a fait une belle impression, vif et tendu, certainement trop jeune mais le vin parait déjà en place. On a de la maturité et de la tension, des agrumes, du citron et une longue finale. Dans quelques mois ça risque d'envoyer.

Jacquesson 2002
Le champagne fait beaucoup plus posé, il y a un petit début d'évolution, c'est assez ample avec une belle fraicheur et de la puissance. Autant ma première rencontre avec ce champagne avait été un échec, autant là je suis impressionné, c'est un très joli champagne. Il y a une belle longueur.

Le 5 décembre 2012, nous avons eu le privilège de recevoir Monsieur Jean-Hervé Chiquet, copropriétaire avec son frère Laurent de la prestigieuse Maison Jacquesson.
Je dis « privilège » car c’est un bonheur de se faire expliquer par son principal instigateur les choix effectués par cette Maison et c’est un grand plaisir de pouvoir déguster autant de belles cuvées.

Jean-Hervé Chiquet est propriétaire d’une grande Maison mais c’est surtout un grand Monsieur, un vrai visionnaire tout en gardant un contact facile et naturel, qui a fait des choix de qualité (travail à la vigne impressionnant) et de transparence (contre-étiquette donnant toutes les informations importantes).

Cuvée 734

L’assemblage comprend 54 % de chardonnay et le vin de base (70 %) est du 2006.

La robe est de couleur paille, avec des bulles qui semblent d’une belle finesse mais que je ne jugerai pas de façon sûre en raison des verres classiques qui ne facilitent pas ce jugement.
Le nez est assez ouvert et frais ; il prodigue des arômes de fleurs blanches, d’agrumes, de pomme verte, et quelques notes briochées et miellées.
La bouche est très vive, marquée par une acidité notable mais pas dérangeante ; les agrumes et la pomme verte reviennent, sur une longueur honnête et une finale légèrement amère.
Un bon Champagne d’apéritif : 15 / 20.

Cuvée 735

L’assemblage comprend 50 % de chardonnay et le vin de base est du 2007.

La robe est de couleur paille.
Le nez s’ouvre sur une palette plus fruitée, principalement des fruits blancs, complétée par des notes beurrées.
La bouche tranche avec le nez, montrant une belle fraîcheur, sans acidité marquée, mais également du volume et de la concentration.
Un bon Champagne d’apéritif ou pour accompagner un poisson : 16 / 20.

Cuvée 736

La cuvée comprend 53 % de chardonnay, 29 % de pinot noir, 18 % de pinot meunier, et le vin de base est du 2008 (66 %), qui est un millésime très réussi par la Maison. Le dosage, toujours très faible chez Jacquesson, est encore réduit dans ce cas : 1,5 g/l !

La robe est de couleur paille.
Le nez dévoile une belle intensité et une grande finesse. Le premier nez est grillé et sur la noisette puis ce sont des arômes de fruits confits (abricot, melon) qui apparaissent.
L’attaque est ronde et volumineuse, vite surpassée par une grande minéralité et une superbe tension qui procurent à la bouche une longueur phénoménale.
Un excellent Champagne de gastronomie : 17 / 20.

Millésimé 2002

En majorité pinot noir.

La robe reste invariablement de couleur paille.
Le nez, intense et très fin, s’équilibre entre floral, fruité (beaux agrumes), grillé et brioché.
C’est la minéralité et la fraîcheur qui frappent en bouche, le toucher de bulle est très fin et persistant : on est proche des sensations de la Cuvée 736, avec moins de puissance mais un potentiel très important.
Un très bon Champagne (16,5 / 20) qui va gagner en complexité dans les 5 à 10 ans.

Millésimé 1997

Je n'ai pas noté l'assemblage ...

Pour une fois la robe tire vers le doré. L’élevage légèrement oxydatif et le temps ont fait leur œuvre, d’autant plus rapidement que le millésime n’est pas parmi les plus grands.
Le nez très intense est dominé par les arômes tertiaires : fruits secs (noisette et même un peu de noix), raisins secs, sous-bois, truffe, le tout sur un fond où le fruit n’est pas absent.
La bouche est puissante et complexe, sur la même gamme aromatique, le côté tertiaire (raisins secs, noix) étant agrémenté de notes réglissées sur la longue finale.
Un superbe Champagne pour qui les apprécie vieux. Il me paraît à point : 17,5 / 20

Cette Maison innovante nous a enfin fait déguster des Cuvées millésimées de lieux-dits.

Cuvée « Caurne Bautray » à Dizy, 2002

Aucun dosage !

La robe est de couleur paille.
Le nez est intense et finement noisetté et brioché, avec un festival de fleurs blanches et de fruits blancs.
L’équilibre en bouche est remarquable entre corpulence et finesse mais c’est celle-ci qui l’emporte finalement. La finale élancée, toute en fraîcheur, nous ravit.
Un très beau Champagne élégant : 17 / 20.

Cuvée « Champ Caïn » à Avize, 2002

Dosage : 2 g/l.

La robe est presque dorée, en tout cas plus profonde que celle du Caurne Bautray.
Le nez est très intense, avec des arômes de fruits secs (noisette), de grillé, de fruits blancs et quelques touches de pâtisserie sans que cela alourdisse l’ensemble, qui montre une belle finesse.
La bouche est racée, séveuse, non dénuée de complexité grâce à suffisamment d’acidité, mais d’un volume et d’une matière tellement énormes que je n’ai rien noté d’autre …
Nous avons affaire-là à un grand Champagne, trop jeune certainement, à attendre pour qu’il s’agisse et se complexifie : 17 / 20 mais maintenant mais 18 / 20 pour son potentiel.

Cuvée « Terres rouges » à Dizy, 2007

Il s’agit d’un rosé de saignée issu de 100 % de pinot noir et doté d’un dosage de 3,5 g/l.
La robe est d’un rouge framboise clair plus que rosée.

Le nez est ouvert sans exubérance, sur un fruité magnifique (petits fruits rouges) avec quelques notes poivrées du plus bel effet.
La bouche est incroyablement corsée et vineuse, tout en restant sur le fruit (cerise, framboise), dotée d’une fraîcheur et d’une allonge très intéressantes. Une touche sucrée semble ressortir en finale, mais c’est la maturité du raisin qui s’exprime et non le dosage.
C’est un très bon vin de pinot noir, vinifié comme un Champagne ! 16,5 / 20.

Encore un grand merci à Jean-Hervé Chiquet, qui nous a fait passer une excellente soirée, tant pour l’expression de sa vision du Champagne que pour nos papilles.

Amitiés oenophiles,

Jean-Loup

Merci pour ces notes fort intéressantes...