Retour de vacances et pour éviter la déprime ,ouvert hier midi un Sociando Mallet 2001carafé 3heures et gardé à 17 degrés. le nez est sympa évoquant les fruits,le café..et en bouche c'est comme il y a1 an c'est à dire que pour moi ce n'est pas prêt,très fermé et pas grand chose en plaisir; tant pis , on attend encore.Bernard.

Bon c'est l'épidémie des verticales de Sociando Malet ! Lse bouteilles ont été ouvertes et carafées 4h avant puis repassées et bouteille pour la dégustation.,

Sociando Malet, Haut Médoc 2006 : La robe est relativement foncée et brillante. Le vin laisse de belles larmes sur le bord du verre. Le nez n'est pas trop expressif sur le fruit frais , beaucoup d'alcool, la vanille et le café. La bouche pour moi manque d'envergure, est dure, âpre. Le vin ne s'améliorera pas pendant les 3 h de dégustation. Le vin est fermé à double tour, plat et dur, les tannins sont asséchants. Clairement refermé en ce moment, cependant le potentiel est là. Le vin manque pour moi d'une pointe d'acidité à ce stade. A REVOIR

Sociando Malet, Haut Médoc 2005 : La robe est identique sans trace d'évolution. Là c'est autre chose, le nez est plus expressif avec un coté sous bois, chocolat, cerise avec une bonne dose d'alcool, le tout reste séducteur et frais avec des touches de menthol. La bouche est plus acide, sur la framboise, le vin tapisse la bouche avec son ampleur tout en fraicheur puis fini par une finale ou l'acidité ressort sur la groseille. Les tannins sont présents mais pas du tout dérangeant .On en prend plein la gueule ! J'ai vraiment été étonné par le coté accessible et gourmand de ce millésime, on a un potentiel énorme derrière au vu de la matière. A revoir dans 5 ou 10ans TRES BIEN

Sociando Malet, Haut Médoc 2004 : La robe est foncée, pas de trace d'évolution. Le nez est sur le bois, la truffe, le café,les petits fruits rouges c'est puissant et très ouvert au niveau du nez. Le nez est très frais . La bouche l'est aussi, on est sur une belle matière tout en fraicheur, avec de petites touche de poivron et de fruit rouge. Accord très beau sur un carpaccio de canard, cébette, vinaigre à la pulpe de framboise et zeste de citron vert. Le zeste de citron vert emmenant le vin vers une finale en haute altitude. Plus ouvert et accessible que 2005, j'aime beaucoup ! TRES BIEN+

Sociando Malet, Haut Médoc 2003 : La robe est foncée, épaisse, elle laisse de belles larmes sur le verre. Le nez propose moins de fraicheur, on est sur les pruneaux, le confit. La matière est volumineuse, limite grasse, ample. Je m'attendais à une matière plus chaude et la pas trop on a un peu de fraicheur en fin de bouche et une acidité présente qui servent la longueur. Le vin est quand même bien ouvert et se présente harmonieusement. TRES BIEN

Sociando Malet, Haut Médoc 2002 : Le nez est expressif, sur le tabac, le cigare, un léger fruité avec des touches de fraise. La bouche est clairement décevante, avec de l'acidité certes, mais une bouche maigre, manquant d'ampleur simple et courte. Je suis clairement décu par le 2002, c'est certe une mauvaise année, mais je ne le trouve pas au niveau de sociando malet. J'ai déjà goutté des 2002 mieux réussi notament sur Pichon Baron ou Pavie Macquin. BOF BOF

Sociando Malet, Haut Médoc 2001 : Toujours peu de trace d'évolution sur la robe. Le nez est plus discret, sur le cèdre, le café, le tabac,le poivron. légère touche de gelée de groseille. La bouche est massive, ample, puissante ,sur le café, le chocolat, la cerise. Les tannins sont encore très présents et assèchent un peu la bouche C'est un très beau millésime chez sociando malet, la matière est là, la puissance aussi mais quelques années de mieux lui feront du bien pour d'assagir. A revoir BIEN+

LE BLOG DE MON CLUB

Un an après (voir plus haut le 3 octobre 2010), voici à nouveau Sociando-Mallet 1990.
Naturellement, mes commentaires ont été écrits sans lire ceux d'il y a un an.

La bouteille a été bue sur deux jours.
La robe est encore assez sombre, avec des reflets à peine orangés.
Le nez, d'une belle intensité, présente en premier des arômes balsamiques (pin, cèdre) et fumés. Puis la complexité arrive : cuir, animal, chocolat, avec un fruité secondaire très perceptible.
La bouche est fort élégante, d'une belle austérité : poivron perceptible mais non gênant, bois précieux, notes animales. Encore charpentée, avec de la fraîcheur, mais la finale est un peu asséchante.
Peu d'évolution le lendemain, l'élégance ressortant un peu plus.

Un très beau vin qu'il ne faut plus attendre car la finale asséchante se confirme (mais passe mieux à table). 17 / 20.

Jean-Loup

Dégustation de ma dernière bouteille de Sociando Mallet 2000 le week-end passé.
Conservation parfaite depuis son acquisition en 2005.

J'avais conservé un bon souvenir de ces flacons dans ce millésime que j'avais déjà bu à de nombreuses reprises. Bien qu'assez marqué par le poivron, j'avais toujours réussi à en faire abstraction pour finalement trouver du plaisir.

Bouteille ouverte puis carafée dans la foulée durant 1h-1h30.

La robe commence légèrement à tuiler mais la couleur reste quand même assez sombre.

Au nez, il n'y a malheureusement qu'une seule chose qui ressort...du poivron
Il faut vraiment le vouloir pour tenter de percevoir un peu de cassis et quelques notes d'encens.

En bouche, je trouve le vin "fluet" et marqué par une acidité assez dérangeante. Cela aurait pu passer mais je ne retrouve une nouvelle fois que le poivron en bouche...
Pour caricaturer, du poivron, encore du poivron, toujours du poivron et cette fois, impossible pour moi d'en faire abstraction.
La longueur est moyenne.

Une grande déception pour ce dernier flacon qui ne m'a offert aucun plaisir et qui me fait douter de la pertinence à garder les nombreuses bouteilles de 2005 que j'ai encavé lors de leur sortie...Et voilà l'éternel problème des changements de goûts...qui refait surface.

Wait and see...

ce n'est pas un problème de changement de gout, mais propre à sociando
sur les 4 2000 que j'ai goutées, 2 étaient comme ça, les 2 autres provenant d'un véto au physique de bûcheron n'avaient pas ce défaut (achetées en primeur alors que les 2 premières en FAV...)
je n'ai pas ressenti ce défaut sur les 2 2005 que j'ai goutés (une en FAV et l'autre en provenant)

Joon1,

Cela ne m'étonne pas... Comme je l'ai déjà fait remarquer plus haut dans le fil, le poivron sur SM 2000 est une caractéristique tout à fait normale, et ces notes de poivrons m'ont même été vantées lors d'une dégustation avec des représentants de SM...

Personnellement, j'ai beau chercher, je ne vois pas l'effet positif qu'apporte le poivron, bien au contraire....

J'EN AI UNE BOUTEILLE EN CAVE ,CADEAU, CHER, POUR SON BUDGET, DE MON FILS !

IL ME DEMANDE REGULIEREMENT / QUAND VA T-ON L'OUVRIR? ET LA DEGUSTER ?

Comment lui dire qu'à en croire Joon1, il vaut mieux penser à autre chose....et conserver cette bouteille en souvenir ?

surtout ne pas ouvrir pour le moment, phase "ingrate". J'ai adoré ce vin dans sa jeunesse (vers 4-5 ans), maintenant j'attends encore 4-5 ans.
JC

En effet, il vaut mieux oublier SM 2000 pour quelques années, car il ne se goûte vraiment pas bien pour le moment. D'autant plus que SM est un vin de longue garde, donc tu ne prends aucun risque de le laisser reposer... bien au contraire, cela ne peut que lui faire du bien!

Demoiselle de Sociando-Mallet 2006
bonjour, je me retrouve parfaitement dans le commentaire de "Guimz":
En effet, on trouve une belle robe non évoluée. Au nez ça poivronne légèrement, avec des notes fruitées que l'on retrouve bien en bouche qui évoquent la cerise amarena. Les tanins sont souples, et le boisé se fait discret. C'est un vin simple mais plaisant à table dès à présent.
Ce vin bien qu'agréable est en dessous du superbe 2003, mais très nettement supérieur au 2004 qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.

cordialement

eric

Sociando-Mallet 1989

bouteile non carafée , achat en primeur ..au siecle dernier
couleur rouge sombre , non tuilée
nez de sous bois , cuir , cedre
bouche : trés bel equilibre , on retrouve les aromes due nez , mais aucune note de fruits , longueur en bouche tres courte , pas de puissance aromatique ,complétement dominé par le plat : magret de canard sauce aigre douce miel - balsamique
un peu déçu pas rapport au battage mediatique fait autour de ce vin

Sociando-Mallet 2005

Robe , rien de noir , rubis , j'y vois un vin pas trés profond .
Nez , Minéral , rien de fruité .
Bouche , astringente , végétale , crayeuse et trés claire , sans lourdeur , sans moelleux , ciselée et fluide .
Finale , un coté vert , acide

Conclusion , un vin léger et vert , on sent un travail de vinification précis mais la maturité des raisins est en doute .ce vin a 6 ans , et ce coté végétal s'attenuera certainement , le risque de voir sa trame de venir d'une banale maigreur est bien présent .
Déçu , car d'une part je temp ne l'arrangera pas beaucoup sur sa corpulence ( j'en ai encore 3) et d'autre part je m'attendais à quelques chose de beaucoup plus costaud .
14/20

Finalement vu les commentaires tu aurais pu mettre un 9/20

Je suis étonné parce que le 2005 est un des rares SM que je n'avais pas trouvé végétal. Ceci dit je l'ai goûté peu de temps après la mise en bouteille, il a peut être évolué

J'ai longtemps hésité avec un 13 , et puis en ce moment je bois tant de vin à moins de 10 € notés 14 ou 15 que je me suis alligné .

Ce qui m'a fait le plus peur c'est les commentaires sur la verticale d'en haut de page ! des aromes de menthol , de groseille , de chocolat , cerise et gourmand !!! l'opposé de se que j'ai bu !
De plus , je suis certain de sa conservation idéale , la bouteille a toujours été à une température de 12 à 15 , je l'ai ouvert 7 heures plus tôt et je n'ai jamais vu un Medoc aussi léger dans un énorme millésime !
Je me suis précipité sur sa composition et j'y ai vu qu'il n'avait que 5% de Cabernet franc , donc son coté végétal est une pure anomalie .
J'ai regouté à midi est c'est touours aussi flagrant , léger et seule une finale un peu boisé se fait sentir ; si j'avais pas de doute sur sa provenance , je m'interrogerai sur une éventuelle contrefçon . donc je peux revoir ma note à 12.5 /20

Je me suis précipité sur sa composituion et j'ai vu qu'il n'avait que 5% de Cabernet franc , donc son coté végétal est une pure anomalie .

Parce que tu crois que le cabernet sauvignon ne peut pas apporter d'arômes végétaux ? :

Eric B écrivait:

---

> Parce que tu crois que le cabernet sauvignon ne peut pas apporter d'arômes végétaux ? :

Disons que j'ai toujours vu que c'etait la caractéristique des cabernets Francs , et que le cabernet Sauvignon dit "végétaux" sont bien souvent du à un millésime moyen ou une vendange mécanique voire une récolte prématurée .
j'ai quand même bu quelques bouteilles de Medoc avant d'arriver à cette petite conclusion ; Autant sur un rive droite ou Loire je n'aurai pas été plus surpris que ça , mais quand tu sais la chaleur qu'il y a eu en 2005 , ça laisse songeur .

mais quand tu sais la chaleur qu'il y a eu en 2005

Ben justement, il y a eu de très fortes contraintes hydriques en 2005 (plus qu'en 2003 malgré les apparences) avec pas mal de blocages de maturité. Vu qu'à Sociando, les vignes sont bien chargées en feuilles et en fruits, ils sont plus susceptibles d'avoir ce type de problème que ... Pontet Canet, par ex

Sauf qu'on est sûrement sur un problème de bouteille car je pense que 2005 se présente comme un vin mûr.

Dégusté ce week-end un Sociando Mallet 2004.

Robe : sombre, peu de traces d'évolution.
Nez : assez expressif avec des notes de cassis et fruits rouge, sous-bois.
Bouche : On retrouve les notes fruitées et un peu de fraîcheur en finale. Les tanins sont maintenant assagis.

ASSEZ BIEN + / BIEN -
Pour moi ce vin est à son apogée.
Je suis juste légèrement déçu par le volume & la longueur en bouche.

François

Eric B écrivait:

---

> mais quand tu sais la chaleur qu'il y a eu en
> 2005
Ben justement, il y a eu de très fortescontraintes hydriques en 2005 (plus qu'en 2003 malgré les apparences) avec pas mal de blocages de maturité. Vu qu'à Sociando, les vignes sont bienchargées en feuilles et en fruits, ils sont plus susceptibles d'avoir ce type de problème que ...Pontet Canet, par ex

ça tiens la route , je comprend mieux ma déception .
Il me semble également qu'il rammasse pas mal manuellement (du moins pour le 2005) d'ou mon étonnement mais le domaine est si grand que la végéation a du jouer comme tu le dis .

Sociando-Mallet 2002
J'ai sournoisement profité de la présence de nombreux non-connaisseurs lors d'un récent repas de fête, pour ouvrir un 2002, année décriée s'il en fut, y compris par Jean Gautreau lui-même.
Je l'ai simplement remonté de cave la veille au soir, et ouvert 24 heures plus tard, 1h30 avant le repas.

Eh bien mes invités ont beaucoup apprécié ! ils m'ont demandé si j'en avais d'autre et ils souhaitaient s'associer à moi si j'en commande à nouveau !
Pour ma part je l'ai assez bien goûté le lendemain midi (il restait environ la moitié d'une bouteille). Belle robe sombre, sans trace d'évolution. Certes l'élevage est bien présent (cuir, café froid) et la longueur est moyenne mais le nez est flatteur sur des fruits noirs légèrement confiturés et le vin a très honorablement accompagné un ragoût de boeuf. Les tanins sont correctement intégrés et je n'ai pas ressenti la verdeur végétale (poivron) dont on parle souvent. On est plutôt sur des nuances mentholées / réglissées en fin de bouche.
Je retenterai prochainement...

Hubert

Sociando-Mallet 2002

et bien, nous avons gouté ce 2002 de la même façon, c'est à dire assez satisfaisante.
De mon coté, je ne l'ai ouvert et juste épaulé que 3 heures avant, et j'ai bien ressenti ces parfums de poivron, mais pas sur un registre dérangeant, plutôt mûr. Le vin était en place, sans traces notables d'élevage, et finalement agréable. Bu un peu froid, il donnait même une impression de puissance relative.
En revanche, le soir le vin m'a paru totalement dissocié et plus du tout en place. C'était hier, il m'en reste un fond à terminer ce soir, et je compléterais si ça en vaut la peine.
EDIT: le soir, donc le lendemain soir de l'ouverture, bouteille conservée fermée mais sans vide d'air, le vin s'était "remis en place" et se goutait de nouveau fort bien, voire un poil mieux. conclusion: une bonne et longue ouverture lui font du bien
cdt
thierry

Hé bien tu vois Hubert! Comme quoi il faut partir d'une mauvaise impression pour rebondir sur de bonnes sensations.
Le contraire est plus navrant.
Tant mieux

[size=x-small]J'ai effectivement contribué à dénigrer un peu ce milléime de Sociando[/size]

bonjour

si j'en crois la RVF le 2000 commencerait 'enfin' à s'ouvrir...

voilà une bonne nouvelle pour ceux qui désespéraient !

si j'en crois la RVF le 2000 commencerait 'enfin' à s'ouvrir... écrit:

Je n'ai pas osé aborder le sujet consacré à Sociando Mallet dans la RVF. Je ne veux pas paraître rabat-joie, mais quand on lit les CRs, on se demande si on boit les mêmes vins...

Dans toutes les bouteilles goûtées, aucun des commentaires ne mentionnent une quelconque absence de maturité des cabernets...qui pourrait donner une impression de poivron. Pourtant sur tout les SM que j'ai goûté, il y avait bien ces touches de poivrons (2000, 2001, 2002, et même 2005 bien que plus léger) !!

On ne peut quand même pas faire abstraction de ça dans un CR de plus de 10 millésimes? Si?

Ce qui est quand même étonnant c'est qu'à lire l'ensemble des CRs, on dirait qu'il n'y a eu aucune millésime raté du 1995 jusqu'au 2006
Ah si...ils ont quand même dit que le 2007 était "moins charnu et long qu'à l'habitude" (pas grave, ça mérite quand même un 14/20).

Pour finir, la touche finale : "[...] Dans les plus grands millésimes il peut égaler certains premiers crus classés et autres "supers" seconds ! [...]"

Pour avoir fait l'expérience la Fleur Cardinale 2005 (ah mince, c'est un St-Emilion, il est hors-jeu du coup?...) avait mis à genou le pauvre Sociando Mallet 2005...Ah oui pardon...SM 2005 vaut 19,5/20 pour la RVF (Une "légende du cru [...] profondeur immense.".

Peut être que je suis à côté de la plaque...et ce n'est pas impossible du tout.

Ah la la...tout le monde il est vraiment beau quand même

Je rebondis sur le message de Damien, dans lequel je me retrouve complément.

J'ai souvenir de mon père qui me parlait de SM comme LE super rapport qualité-prix de Bordeaux.

Mon expérience sur quelques millésimes (1983, 1986, 1988, 1995, 1996, 2000, 2001, 2003, etc.) considérés comme réussis à très réussis, est assez hétérogène. Parfois j'ai eu droit à de belles bouteilles, assez austères mais vraiment intéressantes, plus rarement j'ai eu le sentiment de faire face au même vin que la RVF (un grand vin en gros), et très souvent j'ai été déçu (austérité, doublée d'arômes de poivrons verts, tannins astringents, etc.).

Je me demande si cette énorme disparité n'est pas le résultat de le taille du domaine et de la faible sélection qui y est effectué. J'ai souvent eu l'impression que sur un même millésime les différences pouvaient être gigantesques, avec des vins allant du médiocre à l'excellent (en l’occurrence sur 1995 et 1996, j'ai bu autant de SM très bons que... très insipides... pour ne pas dire médiocres). Bref, ne se pourrait-il pas qu'il y a des différences très substantielles entre les mises qui pourraient expliquer nos différences de ressenti?

Tout ceci fait que je considère Sociando comme un achat relativement risqué. Avec la baisse de prix du 2010, je pense que cela peut de nouveau valoir le coup, du reste j'en ai pris une caisse avec mon père -D

Cordialement,
Philippe

Sociando-Mallet 2002

J'ai un bon stock de Sociando en cave.
Je pense que c'est le vin que nous avons tous acheté à nos débuts.
J'ai ouvert un 2002 lundi.
Comme souvent j'ai été déçu.
C'est tout a fait buvable, ça a bien vieilli.
Mais je trouve que ça manque de maturité, de profondeur, de longueur.

Ma note: 13/20

Des sociando,je préfère 1990, 95, 96 et 2005.

'Si on relie ce dernier post avec la rubrique : Peur sur (la) Vitisphère, il y a là vraiment matière à réfléchir.

Jmm

Si j'ai bien compris, Jean Gautreau doit jeter l'ancre et renoncer à tenir les rênes...

Déjà pour rebondir sur une précédente intervention je suis également très agacé par le côté consensuel de la RVF sur la verticale de Sociando Mallet. Je pense que l'honnêteté de la RVF peut être sérieusement remise en question. En premier lieu on ne peut que sourire du commentaire et de la note attribuée au millésime 2000. Tous les amateurs qui interviennent sur ce site ou sur d'autres ont écrit et continue d'écrire leur déception sur ce vin.

A moins que soit lié au fait que les journalistes de la RVF ne dégustent que les vins qu'on veut bien leur fournir...

Luc