Je découvre un nouveau millésime, Pessac-Léognan blanc 2010 du Domaine de la Solitude.

Le nez est très marqué par le sauvignon: zestes de citron, citron vert sur un fond de poire et d'amande fraîche.
La bouche est concentrée, savoureuse et fraîche au premier contact, c'est bon voire même très bon. La matière dense possède un léger gras et donne un beau volume, une acidité citronnée la traverse et donne une ossature au vin. la finale est longue, sur les agrumes et de délicats amers.

Un très bon rapport qualité/prix.

Nouvelle rencontre avec ce rouge 2012, bu sur deux jours.
Un vin très agréable à l'excellent rapport qualité/prix, cette fois encore.

Domaine de la solitude Pessac-Leognan rouge 1999

Le vin est encore assez jeune avec des jolis fruits noirs, c'est suave et soyeux. Il y a du café et un beau volume tout du long avec une longueur correcte. Le vin est a maturité et loin de fatiguer.
Ce vin m'a d'autant plus plu qu'il n'a pas eu de problème a passer après un pradel 2010 au top épanoui et fruité a mort.

Dégusté hier soir chez mon père une bouteille du Domaine de la Solitude, millésime 2000.

Bouteille remontée de sa cave puis ouverte sans aération préalable (ce qui lui aurait été grandement bénéfique).

Malgré ses 17 printemps ce Pessac Léognan se portait comme un jeune garçon en culotte courte avec une robe rouge vive profonde sans trace d'évolution notable.

Le nez était surtout orienté sur des fruits rouges (fraises, cerise) et noirs (myrtilles et mures) avec peu de notes tertiaires. Un nez en tout cas superbe qui apportait déjà du plaisir avant de porter le vin à mes lèvres.

En bouche le vin est puisant : les tanins ne sont pas encore bien intégrés, mais quelle matière, quelle puissance, quelle longueur....et une jolie matière complexe qui permet de passer un très beau moment de dégustation.

Mon père dont la vue commence à baisser pensait avoir pris une bouteille de 2010 - au vue de la couleur de la robe et au nez, je partais également sur un vin relativement jeune d'un beau millésime et donc 2010 ne me choquait pas plus que cela....mais en regardant l'étiquette quelle surprise de voir que c'était en fait un vin de 17 ans !

Ma première rencontre avec ce vin et ce fut une bien belle rencontre....mais à attendre encore quelques années pour en profiter d'avantage.

Très bien +
Nicolas

J ai eu l occasin de déguster un 2012 sur le stand du Domaine de Chevalier au grand tasting à Paris , c était très bon
didier

Domaine de la Solitude Pessac-Léognan 2016

Frais, souple en bouche, avec des arômes de fruits noirs, une touche de bois et de fumée en finale, c’est un vin plaisant, simple et lisible.

Pas un blockbuster mais bien fait pour le prix, il s’est démarqué par rapport à d’autres jeunes Pessac au verre à Bordeaux qui paraissaient beaucoup plus rustres. 

Bu à cette occasion www.lapassionduvin.c...

Domaine de La Solitude Pessac-Leognan 2014

Robe claire, rez réduit, ça pétarade ( Boisson-Vadot ?) du souffre ?agrumes blancs,bouche fraiche, tendue, citron et amers de pamplemousse en finale, jolie bouteille,dommage le nez.

Stéphane

Domaine de la Solitude - Pessac-Léognan (rouge), 2016

Désgusté au cours du déjeuner dominical. Arrive le fromage, mes convives ont soif (ainsi que votre serviteur, il ne faut pas le cacher !).

Carafé et dégusté aussitôt.

Je ne comptais pas attendre encore beaucoup de temps pour l'ouvrir, mais en l'ouvrant je pensais faire une petite bêtise en tombant sur un vin fermé et tannique.
Que nenni.

Le nez est ouvert, avec une petite profondeur, très fruité et plutôt sur le cassis. Peu de ressenti d'élevage.

La bouche n'est pas très complexe, mais fait parfaitement le travail et apporte du plaisir. Elle est à l'image du nez : sur le fruit, avec le cassis en embuscade, ouverte, soyeuse et délicate, avec une longueur honorable.

Garde : Un second sympathique, qu'on peut boire mais qui peut se regoûter avec plaisir dans 2-3 ans.

Bonsoir les mangeurs de viande
Semaine passée, alors qu'une mienne amie s'occupait du barbecue qui allait accueillir la côte de boeuf juilletiste et ses chipolatas folkloriques, nous sortons nos bouteilles sous chaussettes pour remplir les verres un peu à l'avances.
J'avais ouvert les 2 vins 1h30 avant chez moi, et contrariée par l'austérité olfactive et gustative de ce  Domaine de la Solitude 2010 , je décide de prendre une 3e cartouche, une bouteille hommage à Pierre Mirande qui vignifiait aussi le Chateau Divon, Ad Astra , en appellation St Georges St Emilion, 2014.

Faisons court, c'est un vin frustrant qui s'est présenté à nous: muet au nez, austère en bouche, pas de défaut, juste que monsieur a décidé de bouder ce soir là.
Pas de bol, il avait en face un vin de Laurent et Marie Maynadier, Au Pied de mon arbre, Fitou 2011 qui lui avait un nez ouvert sur les fruits acidulés, noirs, épicé, éclatant.

Le Pessac a été rebouché, nous n'étions que 2 sur les 5 à croire en sa capacité de rédemption.
Amen.
Nos amis ont emporté la bouteille qui a été bue entre le samedi et le lundi suivant, juste rebouchée: l'oxygénation lui a fait grand bien, il s'est ouvert, a surement préféré le petit comité de dégustation et a savouré ma frustration, il a fait le bonheur de nos amis.
Nous n'en aurons pas profité mais il apporte quelques certitudes:
- il faut laisser sa chance à un vin qui n'a pas de défaut
- il faut aérer
- la micro cave n'est pas si mal que ça
- les vins de Laurent sont bien moins caractériels que ces foutus bordeaux prétentieux
Agnès

PS: nos amis avaient aussi amené un vin de secours, heureux hasard, un St Emilion GC de la Rose Cote Rol de Pierre Mirande en mode 2006. Lui aussi un peu muet et un peu mieux sur les 2 j suivants, mais  moins enthousiasmant que les précédents 2006 bus.

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Merci Agnès !
J’aime bien le blanc mais je n’ai jamais été enthousiasmée par le rouge. Même si je n’ai pas de reproche particulier à formuler, je ne l’ai pas trouvé tres sexy non plus.

Amities
Thien 

La silitude, ça n'existe pas

Si.
C'est aussi subtil qu'un battement de sol.
Ok, je corrige, merci Mon Bon Michel

mgtusi écrit:

La silitude, ça n'existe pas

Agnès a détecté que la Solitude avait bien plus les pieds dans le sable ( la silice ) que dans les graves de l'AOC revendiquée. D'ou probablement le terme de silitude.....
En blanc, on peut s'accommoder de ce genre de terroirs trés commun, la tech peut compenser. En rouge c'est plus difficile.
Sinon, le secteur est un joli terroir pour pinus sylvestris.

agitateur écrit:

Sinon, le secteur est un joli terroir pour pinus sylvestris.

Le pénis de Stallone ?