Billet
Le vin à boire vite, cette illusion tragique.

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Michel Bettane qui prend la plume pour nous dire que c'était mieux avant. Quelle originalité !

Michou écrit:

Michel Bettane qui prend la plume pour nous dire que c'était mieux avant. Quelle originalité !

Tout le monde ne fera pas la même lecture que toi.
Notamment cet extrait vers la fin:
"...sans doute les meilleurs jamais produits depuis un demi-siècle"

 

l'extrait serait plus complet avec le fait que ces vins minoritaires, pour les identifier, il faut lire la revue

starbuck écrit:

Michou écrit:

Michel Bettane qui prend la plume pour nous dire que c'était mieux avant. Quelle originalité !

Tout le monde ne fera pas la même lecture que toi.
Notamment cet extrait vers la fin:
"...sans doute les meilleurs jamais produits depuis un demi-siècle"


 

C'est le seul passage intéressant et je suis d'accord avec lui. Bordeaux est une région très intéressante avec de formidables vins à tous les tarifs.
Pour le reste, il se borne à faire toujours la même critique des vins natures.

La critique sur l'étiquette comme seul argument marketing me paraît loin d'être infondée de même que la propension à tout trouver exceptionnel du moment que c'est nature (les cavistes engagés ont un pouvoir d’auto persuasion qui me fascine), le pendant du plus ancien, c'est grand c'est un bordeaux élevé en fût de chêne quand même. Les mêmes comportements, les mouches ont changé d'âne, c'est tout.

Un amateur dégagé (salutations à Pierre, amateur de Bordeaux devant l'éternel !)

Marc C écrit:

La critique sur l'étiquette comme seul argument marketing me paraît loin d'être infondée de même que la propension à tout trouver exceptionnel du moment que c'est nature (les cavistes engagés ont un pouvoir d’auto persuasion qui me fascine), le pendant du plus ancien, c'est grand c'est un bordeaux élevé en fût de chêne quand même. Les mêmes comportements, les mouches ont changé d'âne, c'est tout.

Un amateur dégagé (salutations à Pierre, amateur de Bordeaux devant l'éternel !)

Marc qui cite Roger Couderc, chapeau bas !