Je confirme ce que dit Vince2, j'ai passé plusieurs fois au Denner de Gland sans succès, mais sait-on jamais !

Calon-Ségur 1982

Le 6èmè de ma caisse et le meilleur. Servi non carafé, ouvert 2h avant !

Robe superbe grenat tirant nettement sur le vermillon mais dense et opaque.
Nez puissant, très mineral, cuir, cèdre mais pas de fruit.
En bouche attaque ample , tannins parfaitement fondus, matière veloutée, équilibre parfait , grande longueur.
Compagnon idéal d'un émincé de chevreuil sauce grand veneur-poivrade

Grand vin . Le type de Bordeaux qui remet la région à sa place: une des premières
.....après la Bourgogne si on ne tient compte que des réussites ( ne tirez pas c'est Noël ! )

Le type de Bordeaux qui remet la région à sa place: une des premières
.....après la Bourgogne si on ne tient compte que des réussites

Tout à fait d'accord ... sauf qu'en Bourgogne, les réussites sont bien plus rares qu'à Bordeaux!

Tiens: un sujet pour me faire des ennemis!!!

Ne croyez pas que j' ai une dent contre cette propriété, mais c' est l' un des seuls crus classés de la rive gauche de Bordeaux (avec les quelques crus "indignes" que tout le monde connaît!) dont je n' ai aucune bouteille en cave!! Pourquoi?

PREMIERE RAISON: ce vin que Parker aime bien pourtant (personne n' est parfait!), n' est jamais bien ressorti dans les nombreuses dégustations à l' aveugle que je fais depuis 1992 ...surtout comparativement à Montrose, Cos et même souvent Haut Marbuzet; il manque souvent de classe, d' élégance et est vraiment très faible dans certains petits millésimes (1991 et 1992 désastreux à mon avis: notés 12,5 et 13!); la dernière expérience est celle du 2000: quelle déception, devancé par de nombreux crus moins "réputés" encore une fois!mais noté 15,5 tout de même!...

SECONDE RAISON: cette propriété ne nous a jamais très bien "accueillis", refusant toujours de nous "fournir" des bouteilles quand nous faisions des dégustations horizontales dans les années 90...

Bon, Thierry a sans doute raison sur un point: la trilogie 1988 (noté 16 à 3 reprises), 1989 (15,50 de moyenne) et 1990 (15 de moyenne, avec cependant des notes en hausse:16 en 01/04) s'en sort assez bien... mais ma meilleure note reste celle du 1986 (16,25 de moyenne)...

Je ne m' attarde pas plus sur ce cru, ...j' espère que 2003 sera aussi "bon" qu' annoncé! (mais pas au niveau de Cos ou surtout de MONTROSE, vraiment impressionnant en fût!!!...cj

je crois que tu n'as pas à craindre de te faire des ennemis,mais sans doute serions nous nombreux à être déçus si calon n'était pas à la hauteur de ce que prédisent certains dégustateurs,il est vrai que le cru est sujet à controverse si l'on compare les avis de Parker et de Bettane et Desauve(2005);je ne connais que le 97 et c'est sans doute un millésime sur lequel il semble partial de juger calon,je pense donner une opinion sur 98 ces prochains temps,mais les amateurs "éclairés" que nous sommes ne souffrent d'aucune pression et ne sont pas assujetis à des pressions diplomatiques en dehors de leur seule passion
cordialement

Ouvert vers 18h, gardé au frais sans carafage jusqu'à 20h hier soir.

Calon Ségur 2000 - Saint Estèphe
Robe rubis foncé. Nez évolutif, floral et fruits rouges ainsi qu'un rappel de champignons. Très légère impression de réduction.
Curieusement, l'attaque en bouche est un peu diffuse, mais après quelques secondes, le vin emplit bien les papilles de son fruit mûr et de ses tannins soyeux. Longueur pas monumentale mais très agréable qui termine sur une note épicée.

30 mn plus tard, je commence à avoir quelques doutes car une odeur de brett fait petit à petit son apparition alors que le vin se réchauffe. En fin de repas, plus de doute: il y a un problème de bouchon! Le dernier quart termine dans le vinaigrier...

Probablement plus de chances avec la prochaine bouteille..!

Alain

Christophe,

faites-vous servir (à l'aveugle )

Montrose 88
Cos 88 et
Calon Ségur 88

vraisemblablement Cos arrivera en 1ère place, juste derrière et pas loin Calon S. ... puis très loin derrière, Montrose ...

de plus Calon Ségur 88 coute la moitié du prix de Cos 88 (et moins aussi que Montrose )

vous pouvez refaire le test en millésime 1982

nous attendons avec plaisir vos commentaires (pers. je les préfère aux notes.)

et pour terminer, la lecture du post intitulé "les 3 ténors de St Estèphe" vous interessera sûrement

bonne journée

Toutà fait d' accord, Claudius pour les 88...je n' ai plus ces bouteilles en cave, mais mes moyennes de notes de ce millésime correspondent à cet "ordre" de préférence: COS D' ESTOURNEL 88: 16,50...CALON SEGUR 88: 16+ ...MONTROSE 88: 15-; je ne recherche pas mes derniers commentaires, les notes suffisent à se mettre d' accord sur ce point...

Un CR en retard qui tombe à point nommé: (dégustation janvier 2006)
Une robe encore bien jeune, sans trop de densité, on dirait médium pour faire moderne: reflets cerise qui commencent à brunir.
Le nez a besoin de s'aérer, il est revêche au départ, animal, musqué, acéré. Il s'ouvre enfin après un long moment: ce vin est très à l'aise dans de grands verres, il a besoin d'air: alors là, c'est le grand Saint Estèphe dans sa splendeur: café, notes terreuse, du menthol.
En bouche, c'est un vin svelte, très tendu, vigoureux, sèveux. Saveurs épicées et torréfiées, belle longueur fraîche et élégante. Beaucoup de complexité.

Il faut laisser du temps à ce vin aujourd'hui pour qu'il s'aère: on peut très bien passer à côté. Je le savais, je n'ai pas hésité et j'ai été récompensé.

Merci à Anthony pour ce beau cadeau.

Calon-Ségur 1955

mise E.Zingg Zeeb, Berne, niveau bas du goulot

la capsule semble étrangement neuve sur cette bt à l'étiquette marquée par les ans. Je la découpe délicatement et constate avec surprise que goulot et bouchon disparaissent sous qqs millimètres d'un dépôt de couleur presque noire. Et moi qui croyais que le vin avait été rebouchonné ... je gratte et nettoie soigneusement le tout et fais doucement pénètrer la vrille; la résistance douce et constante du liège me laissent croire que le bouchon est encore en bon état et ne posera pas de problème ... il vient doucement et je crois le tour joué, lorsque je sens la résistance diminuer sous les doigts ... la moitié supérieure est extraite, cela sent merveilleusement bon la prune! avec délicatesse et un peu de chance je parviens à sortir la 2ème partie du bouchon sans laisser tomber la moindre particule de liège sur le liquide.

Le bouchon est complètement imbibé et exhale un parfum étonnant. Le 1er nez sur la bt est décevant, du volatile et ... pas grand chose ... je verse un 1er verre, la robe n'est pas très intense mais d'une teinte merveilleusement ambrée. Le nez se développe, commence à se dévoiler peu à peu, il s'agit bien d'un Calon Ségur ... similitude aromatique avec le souvenir des nombreux 88, 89 & 90 déjà bus. Quel plaisir intense et dire qu'il est de bon ton de critiquer les Bx! Après avoir humé longuement cette petite merveille, je me risque avec un peu d'appréhension à faire glisser la première gorgée dans mon palais ... je suis immédiatement rassuré et même un peu étonné, le vin est d'un vigueur surprenante! des tanins presque encore rocailleux demandent un peu d'air, attendons ...

Environ 1 heure plus tard, le vin est en pleine forme, un nez merveilleux fondu et complexe, miracle du temps, une bouche plus longiligne que large toute en saveur avec un pep étonnant. Les tanins et un peu d'acidité donnent une vivacité et de la structure au vin. Finale savoureuse d'une longueur moyenne. En bouche (pas à la robe) ce 1955 semble bien plus juvénile que les 2 bt de 1970 bues ces derniers mois. Ce 1955 s'est amélioré au contact de l'air, lorsque nous l'avons terminé, environ 3 heures après ouverture de la bt, il se montrait sous son meilleur jour sans laisser poindre le moindre signe de fatigue. Une très belle bt !

Une année qui réserve de très belles surprises !

Beau CR claude.

Et oui, Pascal,

J'ai le souvenir d'un Beychevelle 55, fabuleux, qui plantait Léoville las Cases 55.
Les deux bouteilles sortaient de la même cave...

Une vraie surprise

Amitiés,
Thierry

Calon-Ségur 1996

Comme dit Fabien dans un poste précédent au sujet de C.S. 96:
….."Un nez qui reste discret, on peut tout de même distinguer des arômes "forestiers" ...

Entièrement d'accord et je dirais même que mon Calon-Ségur d'un soir avait un côté très herbacé, très "foin", beaucoup "poivron rouge", ....en tout cas....un goût de "foin"!!!,rappelant un je ne sais quel "Château Bourgneuf-Vayron" - 1998 - Pomerol, comme deux gouttes d'eau !!!

Je fus déçu par ce dernier (le Pomerol) et je suis, un peu déçu, par mon C.S. 96.
Très frais en bouche...un vrai dentifrice Pessac-Léognanais !!!
Très sucré...avec un côté sacchariné, édulcoré, qui rappelle les très grands cru classés bordeaux 2000 goûtés dernièrement et qui m'ont carrément ......déçus !!! ( Calon-Ségur 2000, Brane Cantenac 2000, Lynch-Bages 2000), avec ce goût de Solipred...sucré chimique, un peu comme la Saccharine !!!

Je l'aurais attendu encore 5 ou 6 ans....serait-il , meilleur ???
La matière ne le dit pas. Les tanins non plus...!

Nidal, qui a, décidemment, la main lourde sur ses bordeaux fétiches !!!

Calon-Ségur 1982
Bouteille ouverte 2h avant .
La robe est tuilée mais encore très sombre et opaque.
Le nez est somptueux d'abord animal puis se développant sur des notes de fruits compotés,de tabac, d'épices, de cuir, très minéral aussi.
En bouche de l'attaque à la longue finale, pas une aspérité .Une merveille de complexité, de fondu et d'agrément.
Ca doit être ça le velours de l'estomac et non l'horrible piquette qui était vantée par la pub des années 70:).

Très grand vin . Bt encore supérieure à celle bue en décembre 2005.

Calon ségur 1996,
Revisité le lendemain avec une approche plus conviviale que celle de la veille ; absence du goût herbacé, tanins arrondis avec plus de souplesse et moins de fraîcheur repoussante....
Le tout, avec une marque de fabrique devenue constante sur ce millésime 1996 (A mon humble avis et d’après une petite dizaine de grand cru dégustés), à savoir une note rustique, un poil métallique, que je qualifierais de « très Médocaine ». Montrose 1996 était (et est toujours !) dans ce registre, Cos d’Estournel 1996 aussi, avec plus de fruit pour ce dernier…beaucoup plus !.

(Le qualificatif « rustique » n’est pas, forcement!, péjoratif !)

Nidal

Calon-Ségur 1982

Le bouchon est coloré sur toute sa longueur mais ne semble pas trop fatigué.

la robe est rubis se dirigeant tout doucement vers des tons tuilés, elle n'est pas spécialement dense.
Le nez est peu intense et ne présente pas les parfums délicats et racés que j'imaginais. Le registre tertiaire est déjà installé mais la classe n'est pas au rendez-vous.
En bouche, le vin manque de présence et de saveurs, la finale simple, présente un déficit de longueur,les tanins lègèrement grossiers et secs ternissent encore un peu le tableau.

86/100

C'est la seconde fois que je bois Calon Ségur 82 (la première remonte à 10 ans), les deux bouteilles ayant des provenances totalement différentes et pourtant j'ai été déçu à chaque fois.
Alors, réputation surfaite (94 pts RP) sur ce millésime ou tout simplement un manque de chance de ma part ?

Amitiés,
M@nuel.

manque de chance à mon avis

à part la robe, je ne retrouve pas du tout dans ton CR les impressions que m'avait laissé cette bouteille bu plusieurs fois il y a quelques années. Il est aussi possible que ce vin ait décliné depuis.

Par ailleurs, la dernière note de Parker, remonte à 6 ans, est de 93.

cordialement

Yves Zermatten

Je ne me retrouve pas non plus dans cette description.Problème de bt ?

Calon Ségur 2003 Saint Estèphe - Bordeaux

Nez principalement marqué par des fruits rouges et du moka, mais manquant malheureusement de netteté, avec une curieuse odeur de terre mouillée ainsi qu'une impression vaguement lactée. Légère sensation de volatile. Entrée de bouche progressive, principalement sur le fruit. Tannins fermes, présentant un déficit de finesse. Charpenté et puissant, Calon Ségur 2003 manque tout de même d'élégance face aux ténors de l'appellation Saint Estèphe (Cos d'Estournel 2003 et surtout Montrose 2003). Léger doute quant à la qualité de cette bouteille. A revoir..

Alain

Calon-Ségur 1988

comme c'est moi qui cuisine ce soir je me suis dit qu'avec des coquelets au four (gros sel, rosmarin, thym, ail et miel) Calon-Ségur 88 devrait faire l'affaire ... je viens donc de redresser la bt et l'ai évidemment ouverte ... (bt acquise dans une vente aux enchères). En découpant la capsule je découvre le bouchon recouvert d'une couche blanchâtre, d'origine cryptogamique je suppose. Le bouchon semble très fragile, en effet il est imbibé de bas en haut par le vin.

La robe tournoie maintenant dans le verre, quelle merveille huileuse aux reflets ambrés ... mmmmhhh! ... le premier nez est sur l'humus, sous-bois de forêt en automne avec en deuxième plan une délicieuse tarte aux pruneaux! ... en bouche les tanins dominent encore ... j'ai bien fait de l'ouvrir à l'avance

rendez-vous au 2ème épisode

M@nuel,

J'aurais également aussi tendance à dire manque de chance.

Je n'ai dégsuté ce vin qu'une seule fois il y a une semaine.

Vin carafé et servi à l'aveugle.

Belle robe cerise foncée. Le nez est complexe et profond et j'y ai trouvé des notes de prunes confites et de cassis.

L'attaque en bouche est encore sur le fruit, carressante et veloutée. Belle finale de très bonne longueur et complexe.

Si je devais émettre un bémol, c'est un léger petit creux en milieu de bouche qui m'a surpris. Mais dans l'ensemble une très belle bouteille.

Calon-Ségur 2000

2 bt bues par hasard (notre hôtesse en a une belle provision à la cave) après un magnum de Roc de Cambes 2000

vin méconnaissable depuis la dernière dégustation qui, il est vrai date un peu ... a perdu sa texture crèmeuse en bouche, le côté "rocailleux" St Estèphe, peu consensuel ou "politically correct", a fait son apparition ... tendu, sauvage ... grande concentration en bouche qui laisse penser qu'à métamorphose achevée on se retrouvera devant l'un des plus grands Calon-Ségur. Pas la moindre once de sécheresse en fin de bouche ni d'arômes "para-pharmaceutiques" évoqué sur ce forum

Conclusion: procure peu de plaisir en son stade d'évolution actuel, attendre qqs années, grand Bx en devenir

achat intéressant en-dessous de 45 €

Calon-Ségur 1970

3ème bt de ce millésime, 3ème bt sortie de la même caisse, 3ème bt différente

nez complexe sur les notes tertiaires ... en bouche? ... marqué par l'acidité et les tanins ... ma chère moitié dira: "tiens curieux, en bouche il semble encore trop jeune" ... peut-être parceque c'est son année de naissance

bonne année à tous

Il n'en y avait qu'une possible pour cette soiree du 14 fevrier, cette romantique bouteille de Calon Segur 1988 qui nous a ouvert son coeur.

Le nez est charmeur. Resolument tertiaire sur des notes de sous-bois, de champignon, de feuilles sechees, de tabac a pipe et de cendre froide, il genere sa complexite grace a une compote de petits fruits rouges acidules. Pas puissant pour deux sous, il joue sa gamme dans le raffinement et l'intensite.

La bouche de cette bouteille est legerement en deca des mes souvenirs. Fondue, legerement assechante, elle se laisse glisser comme un petit ruisseau lors d'une soiree d'ete sans orage. La finale est par contre remarquable, tant les fruits rouges acidules, meles a une amertume de belle forme se prolongent a n'en plus finir. 5 minutes apres avoir repose le verre, le gout vous reste colle au palais.

Une bouteille envoutant a defaut d'etre parfaite. Je ne commenterai pas le dernier verre le lendemain, car il est connu que les lendemains de hier dechantent assez souvent.

Copie / colle de decembre 2006:

Degustes en parallele Calon Segur 1988 et Lafon-Rochet 1996, 2 GCC de Saint-Estephe.

Le Calon a un nez d'humus intense avec une complexite tertiaire de toute beaute. La precision et la finesse des aromes est amplifie par des odeurs de boite a cigares et de terre. Un nez superbe, comme a son habitude.

Le Lafon a un air de famille, dans la finesse, avec des notes plus epicees mais encore sur la retenue.

En bouche, Calon est merveilleux et envoutant. Bouche fondue, dans la dentelle. Tout est en place et ce vin ravira autant les edonistes que les gastronomes.

Lafon a une bouche en demi-teinte, moins intense et etoffee que Calon, mais aussi une longueur moyenne.

Meme si Lafon doit encore etre attendu, Calon l'a supplante de plusieurs longueurs ce soir-ci.

nico le médocain

4éme vin: calon ségur 1990, un grand st estèphe, joli nez épicé , cuir, belle matière, la bouche est onctueuse, feux d'artifice de senteurs confiturées, boisé encore présent, finale très longue sur le fruit; remarquable! dommage, il manque un peu de concentration pour "décrocher la lune" mais quelle belle bouteille 17/20

St-Estèphe château Calon-Ségur 1957 : 16,5/20 – 23/3/07
Bon niveau. Nez de médoc évolué, herbacé, combinant des odeurs de fleurs, de graphite, de cèdre, de santal, de cassis (le fruit est encore très frais), de cuir. Bouche complète, avec de la douceur en milieu et un autoritaire retour ferme en finale. Jeunesse et rectitude pour une expression dont on se demande si elle n’implique pas une infime pointe liégeuse (à moins de la confondre avec un peu de rouille - aspect ferrugineux).

2004 constitue t-il une grande année pour ce domaine à environ 29 euros ??
merci

Parker : 88-90/100
Bettane : 18/20
Wine Spectator : 89-91/100
Decanter : 4/5
Jancis Robinson : 17,5/20
Quarin : 16,75-17/20
Le Point : 16,5/20

à toi de juger. à 29 euros, je tente (limite)...

Cordialement,
JU

..et pour être tout à fait complet, Calon Ségur 2004 = 88 chez Bertrand Le Guern

et 88.55 sur Winemega

Donc c'est plutôt pas mal..

Alain