Domaine Coche Dury, Meursault "Les Rougeots" 2010   En écrivant le titre, j'avais tapé 1er cru, tant ça pourrait sembler logique.
Cette bouteille a d'ailleurs bien baladé mes amis à l'aveugle mais à aucun moment ils n'ont pensé être seulement face à un village.
Et oui, pour ceux qui suivent ce fil, cette fois c'est Gérard qui est à l'aveugle face à une Coche Dury !
Une bouteille que j'avais échangée sur LPV dans la rubrique dédiée pour une valeur n'ayant rien à voir avec sa côte.
Encore merci à celui qui m'a permis d'y avoir accès, elle a subi le sort qu'elle méritait, à savoir être bu entre amis passionnés.

Un nez d'une incroyable complexité à ce niveau d'appellation.
Des agrumes, un peu de gras et beaucoup de minéralité.
Je perçois assez nettement des céréales grillées, est-ce le terroir qui parle, le savoir faire du vigneron ou mon imagination ?
Peut-être un peu des 3 !
J'ai aussi la bergamote que je perçois dans les chardo bien nés.
On ne se lasse pas de sentir, de goûter et d'y revenir après les rouges.
La bouteille sera vide à la fin de la soirée et en débarrassant la table j'ai fini au goulot les 3 ou 4 dernières gouttes qui avaient la même saveur que la première gorgée. Instant dévotion !!! 

Alors si cette bouteille est excellente, elle a tout de même une petite limite qui est sa longueur en bouche.
Mes amis y voyaient un 1er cru et la bouteille suivante va nous le confirmer.

Un repas, mes amis ...

 Domaine Coche-Dury, Monthélie, 2018

Bue  au Soufflot

Ouverture immédiate. 
Robe rubis claire. Nez de très beau pinot; très fruité et avenant sur la framboise, la groseille et la cerise. Très primaire. Bouche de demi-corps, assez fluide et longiligne, sans tanins majeurs. Aromatique sur le bonbon kréma, avec ces notes gourmandes, primaires et fruitées.Très sympathique à boire pour lui-même, semble néanmoins un peu moins dense à coeur que l' Auxey Duresses bu la semaine passée. Très Bien - (15,75/20)

Domaine Coche-Dury, Meursault Perrières Premier Cru 2014
Joli nez, très fin, frais. Notes d'amande, de beurre.
Bouche puissante mais aussi aérienne. Fraicheur, finesse, belle texture: c'est excellent et très long.
A l'ouverture, le vin est assez marqué en bouche par la réduction qui serre un peu la finale mais l'aération lui fait le plus grand bien.
Très bon mais pas génial non plus. Je trouve que les derniers millésimes ont perdu cette formidable densité en milieu de bouche qui faisait la singularité des vins du domaine.

 

Domaine Coche-Dury Meursault Les Rougeots 2009 

Robe jaune or, un peu plus claire que le Chablis, faisant jeune ; nombreuses larmes.
Nez, boisé au départ, pas trop expressif, mais s'ouvre peu à peu sur les fruits blancs, la noisette.
Un petit côté végétal, sur la pinède, assez fugace.
En bouche, c'est plus chaleureux que le Chablis, petite pointe d'alcool (discrète).
C'est puissant, mûr, sans manquer d'élégance, ni de finesse ; bel équilibre.
Le boisé est finalement bien fondu ; notes de fruits secs, d'amande et finale sur les agrumes, le citron.
Le vin s'ouvre vraiment au fil de la dégustation ; c'est très plaisant, avec une belle évolution dans le verre vers le côté fruité et la finesse. 

jlj
 

Domaine Coche-Dury : Bourgogne blanc 2018

Robe or très clair étincelante.
Nez intense de fruits jaunes, d’anis, de menthe. Légère touche réglissée.
Bouche médium, belle, longue, terminant sur une note légèrement saline.
A l’aération, flagrances de chèvrefeuille. La sensation saline s’intensifie, rendant le vin bigrement surprenant et intéressant. Un vin au final frais, tendu, presque crayeux.
Très bien et complètement différent du gras habituel. Mais en relisant mes notes, je m’aperçois que j’avais déjà identifié cette salinité sur le 2013. Comme quoi, il faut toujours tout noter... et se relire.

Cordialement,

Hervé

Bu avec le ZWTG


  Domaine Coche-Dury, Meursault Les Chevalières, 2011

 

Oliv
Bouchon très curieux car marqué d'une affreuse trace noire qui m'a fait craindre une cata et pourtant parfaitement intègre et adhérent.
Nez classique et assez changeant, qui oscille entre réduction grillé, notes minérales de pierre frottée et un fruit citronné presque médicinal très agréable.
Bouche structurée et effilée à la fois, sur une trame acide que je trouvais un peu mordante à l'ouverture.
Mais le vin n'a cessé de gagner en volume et en chair au réchauffement. Le fond de bouteille laissé à l'air et à la température était impeccable de tenue et d'allonge.
Un vin très classique de ce que je connais du domaine et irréprochable de qualités si on aime ce style.

Une très grosse pensée pour mon Al' qui m'avait offert ce vin au temps des plus belles heures à ses côtés.


Claudius
Très beau nez sur une note de réduction, la pierre à fusil et une note grillée 
En bouche note de citron agréable et goûteuse qui tend le vin, note minérale marquée, longiligne, intense et droit.
Belle longueur, spécialement pour un blanc.
Ensemble élégant avec beaucoup de personnalité.
Excellent

Domaine Coche-Dury, Bourgogne, 2018

Robe jaune pale, 
Le nez est immédiatement envoutant sur les fruits et fleurs blanches , un peu de gras et des arômes très pregnants de noisettes grillées, le tout dans un équilibre subtil. 
Très beau volume initial en bouche avec un léger creux et une finale plutôt courte rappelant le niveau d'appellation, l'ensemble étant porté par une subtile acidité évoquant finement la chair de citron jaune qui confère une grande fraicheur au vin.

Une bouteille que j'ai personnellement adoré et dont les effluves de grillé seront restés présents dans le fond de la bouteille pendant plusieurs jours.

 
 

Domaine Coche-Dury - Puligny-Montrachet Les Enseignères 2014

Poupinet : nez très expressif, ça chardonne, qqs notes exotiques, en bouche c’est à la fois riche, concentré et équilibré, là encore des fruits exotiques se mêlent aux fruits blancs plus classiques du chardonnay, très belle mineralité qui emmène l’ensemble vers une belle longueur pour un village, bien qu’un peu plus court que le précédent, pas d’élevage perceptible ce qui renforce le côté explosion de fruits, beaux et légers amers, c’est vraiment très bon et équilibré, ce vin ‘’coche’’ toutes les cases, excellent 

Garfield : Nez d'emblée atypique pour moi j"hésite entre un chenin à la Chidaine et un Chardonnay d'un millésime chaud...tout faux    On perçoit surtout des fruits exotiques au nez, quasi pas de grillé qui pourrait aider, le vin est assez large avec une acidité haute mais plus sur la largeur que sur l'allonge. Manque un peu de complexité et d'élégance, pas au dessus du niveau village à mon sens. Autant les Meursault village m'ont constamment scotché sur la concentration et la chair, autant je trouve souvent les Enseignères un peu maigrichons chez Coche. Bien + /Très bien

Domaine Coche-Dury, Bourgogne Chardonnay, 2014

Nez entre fleurs blanches et fruits jaunes.
Bouche précise, c'est très droit et pur, bonne longueur.
Le vin gagne en puissance avec l'aération.
Très jolie bouteille, et remarquable pour le niveau d'appellation.

 Domaine Coche Dury, Meursault (rouge) 2017

 

Une rareté dégustée à l'aveugle pour le premier verre, la robe est rubis, le nez évoque clairement le pinot avec les fruits rouges et une pointe végétale, la bouche est assez fluette, avec une acidité très haute (qu'on tolère je trouve mieux sur les blancs que sur les rouges), un côté un peu sauvage/rustique qui m'évoque un terroir frais de côte de Beaune (je pensais Auxey) et j'évoque 17 sur ce côté léger qu'on ne retrouve pas sur les autres millésimes récents (hors 21 que je n'ai que très peu gouté).

Sympa, sans plus, je suis toujours étonné que ce domaine fasse des rouges fluets et souvent acides et des blancs aussi denses et élevés (dans le sens travaillés, pas forcément ou l'élevage prédomine).

Bien -

 Domaine Coche Dury, Aligoté 2017

 

Bue à l'aveugle, nez sur la poire, la craie, végétal, légère vanille, ça ne fait pas chardonnay de manière assez unanime, connaissant l'apporteur d'une part et me souvenant de ce côté champagne sans bulles comme assimilé dans ma bibliothèque interne à l'aligoté, je tente ce cépage, bingo.

Un vin plaisant mais assez variétal pour le coup, loin du Pillot bu aussi à l'aveugle récemment, un peu sec et acide à mon goût. Finalement ça concorde avec le ressenti sur le Meursault rouge bu quelques jours auparavant, je suis curieux de voir ce que les chardonnay 17 donnent chez Coche, j'espère qu'ils auront plus de corps et de jus.

Bien -

Domaine Coche-Dury - Meursault 1er cru Genevrières 2016

Robe or, reflets verts.
Nez sur le zest de citron vert, pointe végétale.
L'attaque est élégante, avec une acidité maitrisée, on retrouve en bouche le côté végétal, verveine, pour finir avec un gras enrobant et une pointe d'amertume (légèrement verte à mon gout).
La longueur est correcte, sans plus.
Un bon vin.


Domaine Coche-Dury -Meursault Perrières Premier Cru 2014

Le nez est marquée par une joli grillé/toasté en premier nez, puis c'est l'essence d'agrumes confits.
Nez magnifique.
La bouche est traçante, avec une attaque minérale, pierre à fusil, pour s'ouvrir sur les notes d'agrumes confits.
L'acidité contrebalance superbement le côté huileux, c'est long et tendu. Grosse persistance aromatique en bouche.
Finale superbe avec une note saline.
Un vin magnifique deux crans au dessus du Genevrières.
Grand vin.

 

Domaine Coche-Dury, Auxey duresses 2009

Nez très agréable sur la rose et les fruits rouges
En bouche, même élégance avec malgré tout une finale assez courte.
Est très certainement à son apogée
Très agréable à boire, surtout au vu des chaleurs actuelles mais manque de complexité
Joli accord avec une petite côte de veau grillée et des gnocchi beurre de sauge
 

Bonjour,

Domaine Coche Dury - Meursault 2017



la robe est claire, translucide et cristalline. L'aromatique est déjà complexe et combine les notes florales, de fruits blancs, d'agrumes et de pomme verte, de brioche légère, que renforce un caractère épicé qui évoque le gingembre. L'ensemble est précis et envoutant...
La bouche révèle une énergie certaine, la tension du vin le porte vers une finale dans laquelle la sensation de minéralité s'exacerbe. L'équilibre est souverain et ce vin encore dans ses limbes apporte déjà un plaisir conséquent.
Une bouteille à la hauteur de la réputation du domaine bien plus intéressante que le 2018 bu il y a quelques mois.

 

Domaine Coche Dury - Bourgogne 2017

Dégustée à la Régalade de Clermont-Ferrand, 70€ sur table
Je pensais que c'était le 2018 sur la carte, auquel cas je me serais abstenu de choisir ce domaine.

j'étais passé à la boutique juste avant et le patron m'avait dit qu'il lui restait du 2017.
N'ayant encore jamais été déçu par un blanc de ce domaine, je me suis laissé tenter.
Et puis Coche sur 2017, ça ne devrait pas être mal.

Ce fut effectivement le cas.
Une bouteille plaisante, assez semblable à beaucoup de 2017 bien nés dans un premier temps avec de la minéralité, des agrumes fraiches et une belle tension.
Au fur et à mesure de l'avancement du repas et de l'aération de la bouteille et des verres, je trouvais que le vin cocheduryssait de plus en plus avec un léger fumé et une pointe de pop-corn grillé que je ne saurais attribuer au vin ou à mon imagination.
La longueur en fin de bouche rappelle les limites de son appellation régionale qui ne se limite pas à la Côte d'Or puisqu'il y a des raisins du maconnais depuis 2016 dans cette cuvée.

Toujours est-il que je ne regrette pas d'avoir choisi cette bouteille, les occasions de boire un vin de ce domaine dans ce grand millésime à Chardonnay seront probablement rares.

 
 

Domaine Coche-Dury - Auxey-Duresses rouge 2017

Robe rubis translucide très claire.
Nez rentré de fumé, de noyau de cerise, d'herbe fraîche.
Bouche de demi-corps, fraîche, sur une longueur honorable. Finale vive sans être verte, mais on sent clairement le millésime.
A l'aération, le vin gagne en volume mais demeure limité dans son expression.
Décevant et surprenant comparé à la dégustation du simple Bourgogne rouge du même millésime il y a deux ans qui s'était révélé magnifique.

Cordialement,

Hervé

Je sollicite les lumières d'un coche-duryste pratiquant pour me renseigner sur le "simple" Bourgogne rouge du domaine.

J'ai offert il y a 1 an le bourgogne rouge 2018 que j'ai pu dégoter à bon prix à un ami qui m'a dit que nous le boirons ensemble. Je m'interroge sur la fenêtre de buvabilité de cette bouteille : j'ai bien conscience au vu de ce que j'ai lu sur LPV qu'elle n'atteindra pas des sommets de complexité, mais tout de même, j'aimerais bien la boire au bon moment et comme je ne connais pas du tout le domaine...
Peut-être est-il prêt à boire, d'ailleurs ?

Si quelqu'un peut me renseigner, merci par avance !  CR sur LPV à la clef bien entendu

Bonjour,

Pas de prise de note mais, découverts hier à l'occasion de l'enlèvement des 2020, l'ensemble des vins dégustés (Bourgogne blanc, Meursault, Rougeots, Puligny) se sont montrés sous un cousinage certain, extrêmement droits, purs, à l'allonge cristalline et tranchante. Peut-être le Puligny s'est-il paré , par rapport aux autres, de flaveurs légèrement plus florales. Et un Monthélie rouge d'un croquant jouissif. Dégusté simultanément, le Puligny 2018 s'est montré plus mou, même un peu pataud. Mais le comparatif avec les 2020 ne pouvait que le desservir.

Cordialement,

Hervé

Dégusté à cette occasion

Domaine JF Coche-Dury, Auxey-Duresses rouge 2007

JLJ
La robe est claire de couleur mais très légèrement trouble, voilée. Nombreuses larmes.Nez délicat, sur les fruits rouges, la groseille, des épices.De corps moyen, acidité bien présente, c'est élégant et intéressant ,,, mais je reste un peu sur ma soif à la levée de la chaussette. Sans doute aurait-il dû être bu il y a quelques années ?
Peterka
Bouquet assez ouvert assez léger sur les fruits rouges macérés, la framboise bien mûre et un côté plus sauvage évoquant la ronce. On perçoit également des notes d’écorce de chêne et d’encens qui survolent le tout. La bouche est nette et précise avec une matière fine et assez fraîche. C’est équilibré mais de format modeste et exprimant une retenue suscitant davantage une impression mitigée qu’un plaisir franc. Longueur correcte et ferme.  

Domaine Coche Dury – Meursault 1er Cru Genevrières 2013

Robe légèrement plus dorée que le précédent, le nez diffère radicalement du précédent, on est sur les fruits exotiques (passion, ananas) sans être exhubérant pour autant à la Chidaine, ce n’est pas sucrailleux. La bouche est d’une superbe ampleur, finale traçante aussi. Aucun grillé ou caractère corsé comme on pouvait trouver auparavant chez JFCD. Si je ne connaissais pas l’apporteur je n’aurais pas trouvé le domaine. Du coup en partant du parcellaire du domaine, Meursault Caillerets m’irait bien, sur ce côté calcaire et une aromatique pas polymorphe comme l’est Genevrières. Raté…


Très bien +, ce côté monolithique sur l’aromatique me déçoit (à minima) pour un Genevrières, le 2012 m’avait plus impressionné il y a 2 ans.

dégusté lors d'une mini paulée lyonnaise

 

Bonjour à tous les amateurs du Domaine Coche-Dury.

 

J’ai une question un peu particulière mais peut être ici il y aura quelqu’un qui saura me répondre. A quoi est-ce que correspondent les abréviations sur les bouchons? Initiaux de metteur en bouteille? Secteur de production? 
Sachant que les lettres varient en fonction des millésimes mais aussi en fonction des crus du même millesime.
Ainsi, les Bourgognes blancs 2017 qu’on avait pu déguster (tous faisant partie de la même allocation, j’ai entendu qu’il y a une variation des bouteilles sous appellations génériques) le bouchon est marqué AL alors que pour les Meusault villages du même millésime apparaissent les lettres F.S. (Sur la photo à gauche, écrit avec des points cela fait penser à des initiaux effectivement). Sur les millésimes 2016 et 2015 des Bourgognes blancs et des Meursaults les lettres étaient MS systématiquement. 
Est-ce que quelqu’un connaît l’explication?
Je vous remercie.

Belles dégustations,
Anastasia

Bonjour à tous les amateurs du Domaine Coche-Dury.



J’ai une question un peu particulière mais peut être ici il y aura quelqu’un qui saura me répondre. A quoi est-ce que correspondent les abréviations sur les bouchons? Initiaux de metteur en bouteille? Secteur de production? 
Sachant que les lettres varient en fonction des millésimes mais aussi en fonction des crus du même millesime.
Ainsi, les Bourgognes blancs 2017 qu’on avait pu déguster (tous faisant partie de la même allocation, j’ai entendu qu’il y a une variation des bouteilles sous appellations génériques) le bouchon est marqué AL alors que pour les Meusault villages du même millésime apparaissent les lettres F.S. (Sur la photo à gauche, écrit avec des points cela fait penser à des initiaux effectivement). Sur les millésimes 2016 et 2015 des Bourgognes blancs et des Meursaults les lettres étaient MS systématiquement. 
Est-ce que quelqu’un connaît l’explication?
Je vous remercie.

Belles dégustations,
Anastasia

Ce sont tout simplement les initiales du bouchonnier.

FS : franciscosagrera.com/
MS : Manuel Serra à Girone
AL: Alcork à Séville*


* Les vieux LPViens savent pourquoi ce sont mes préférés !

Une précision (merci à Patrick Essa).

AL n'est pas l'entreprise espagnole que je cite mais Aquitaine Liège à Canejan.
 

 Domaine Coche-Dury, Auxey-Duresses 2017

Ouverte en binome avec un très joli Saumur 2016 du Collier, il a un peu pâti de la comparaison. Comme souvent sur les rouges Coche que j'ai pu gouter, une certaine rusticité et acidité qui dénotent un peu à l'époque actuelle des pinots modernes soyeux. La robe est rouge grenat, légèrement translucide, le nez est joli sur les petits fruits rouges et les épices, la bouche montre une acidité assez haute qui s'estompera un peu avec la charcuterie, les petits fruits rouges acidulés, grain de tanin un peu ferme, c'est bon mais sans plus, jamais trouvé un rouge du domaine au niveau des blancs. Bien 

LPV Beaune #39 : On a raté le Coche !

 Coche-Dury Meursault 2010

VVIGNE
Malheureusement une bouteille qui malgré sa robe de belle tenue nous a offert une belle déception...
Aromatique beurrée, matière assez stricte à l'acidité asséchante, finale courte...
ED


KRABB
Robe or clair, nez beurré mais un peu beurre resté au soleil, lourd...
Matière stricte et asséchante, pas de longueur, de volume.
Sans intérêt.

Contexte
Domaine Jean-François Coche-Dury Puligny Montrachet Les Enseignères 2007
Premier nez discret sur le sésame grillé pour ensuite se révéler rapidement sur des arômes de citron jaune, de fruits exotiques, d’abricot et de verveine. C’est profond et assez complexe. La bouche est riche et fraîche à la fois avec une puissance contenue, du gras et un élevage épicé magnifiquement intégré. C’est assez joufflu mais bien concentré avec un retour salin qui imprègne une finale de très grande persistance. Grand vin.

Pierre

Domaine Coche-Dury Volnay premier cru 2017 : nez sur les petits fruits rouges, très fin, bouche gourmande mais élégante, toujours sur les fruits rouges, les tanins sont présents mais fondus, comme il faut, pas d’élevage ressenti, longueur moyenne, on y revient, c’est très bon.

Dégusté à  cette occasion

domaine Coche-Dury, Auxey-Duresses 2017
Robe assez claire. Très joli nez mix floral / fruits rouges et noirs acidulés, un peu de ronce, petites épices douces. Le vin est plutôt en dentelle, en finesse avec une note acidulée agréable et des notes florales en rétro. Très légère accroche résiduelle. Longueur honorable. Très agréable, on se ressert volontiers. Des notes de pot-pourri apparaissent au réchauffement. Pas la grosse claque du 2002 mais un très très beau Pinot qui se boit déjà bien, tout le monde l'a apprécié avant la levée de la chaussette et l'a mis sur le podium de la soirée, et certains l'ont même placé en 1er ou grand cru beaunois.
TB++ (17)

Domaine Coche-Dury - Bourgogne Chardonnay 2008

Robe sans évolution notable.
Nez fin, assez peu expressif, sur des notes de fruits secs / pralin.
En bouche, le vin révèle une certaine ampleur pour un générique mais reste assez "simple" sur une aromatique citronnée. L'acidité est encore marquée et c'est peut-être ce qui permet également à ce vin une parfaite tenue dans le temps.
Très belle longueur, mais globalement ce vin ne transcende pas (plus?) son appellation même s'il a su arriver à ses 15 ans sans encombre et peut encore tenir davantage (sans qu'il n'y ait grand chose à gagner).

Merci à celui qui me l'a offert, sachant que j'aimais bien le domaine