Le lapsus qui tue !

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Pourquoi aimer les bordeaux 2013 ?

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Primeurs 2013 : pas de baise de prix pour les grands crus

Oliv: Le lapsus qui tue !

N'empêche qu'il y en a qui se feront effectivement b...

[size=x-small]bon, je vais pédaler...[/size]

jlj

J'ai aussi bu un marquis de Terme 1997 (bouteille) qui etait loin de sa mort ou plutot tres en retard au vu du millesime et de sa mort annoncee (comme fx le pretend). Donc annee pourrie, sans doute, mais vin mort en 7 ans, je ne pense pas, meme pour 2013

Denis

2014 s'annonce assez bien? Selon quel horoscope svp?????

Reaction honnete, deja on peut se tromper en novembre, mais faire des predictions ou des proba en debut avril c'est un peu comme le loto non?

En effet, il n'y a pas d'interet financier a acheter ce genre de vin en primeur.
C'est sans compter qu'un yquem de 20 ans d'age ne se vends pas beaucoup plus cher.... Alors selon moi aucune hesitation possible: ne pas acheter en primeur....

Pour 2014, je suis pret à prendre les paris qu'au moment des primeurs dans un an, ils monteront les prix en disant que le millésime est forcemment meilleur que 2013.

En ce moment ils nous disent qu'ils ont maitrisé le déluge de flotte parce que c'est précisemment le 2013 qu'ils vendent.

Lors d'une FAV de printemps, le vendeur disait à un client potentiel qu'il fallait acheter du 2011 parce que son prix va augmenter puisqu'il est meilleur que 2012 et encore plus que 2013 tout en coutant moins cher que 2010.
Comme par hasard, il y avait très majoritairement du 2011 à vendre.

En général un marchand adapte son discours au produit qu'il a à vendre.
Et le client potentiel garde la liberté de ne pas acheter.

Commentaire reçu sur ma page Facebook de Bettane & Desseauve

Chapelle d’Ausone, Saint-Émilion grand cru
[91/100] Délicatesse et subtilité du tanin, allonge racée, fruit précis.
Petit Cheval, Saint-Émilion grand cru
[91/100] Rondeur gourmande, grain de tanin ultra précis, merlot (79 %) avec de la fraîcheur, une persistance réelle, une grande texture. 10 000 bouteilles seulement.
Magrez-Fombrauge, Saint-Émilion grand cru
[91/100] Gras, onctueux, longueur, intensité, sérieux.
Château Monbousquet
[91/100] Gras et ample avec de l’intensité. Fruit précis et onctueux, belle saveur franche.
Château Pavie-Decesse, Saint-Émilion grand cru
[91/100] Grande intensité, onctuosité et puissance, beaucoup de caractère, de puissance.
Château Jean-Faure, Saint-Émilion grand cru
[91-92/100] Très belle dimension à la fois intense et noble : tanin ferme, mais serré, chair élégante, intensité, grande finale sur le fruit et les épices fins. Réussite majeure.
Château La Dominique, Saint-Émilion grand cru
[91-92/100] Avec son nouveau chai imaginé par le célèbre architecte Jean Nouvel, La Dominique prend un nouveau départ. Robe profonde, dimension gourmande, vin hédoniste et généreux.
Château Larcis Ducasse, Saint-Émilion grand cru
[91-92/100] Parfum séduisant de fruits rouges et de fleurs, allonge non dénuée d’ampleur, charpentée par un tanin ferme, mais sans rudesse, conclu par une longueur veloutée.
Château Laroze, Saint-Émilion grand cru
[91-92/100] Parfum floral subtil, beaucoup de nuances en bouche, tanin fin, sveltesse, grande finesse artiste et profonde. Réussite majeure de l’année.
Virginie de Valandraud, Saint-Émilion grand cru
[91-92/100] Grande dimension savoureuse, onctueuse et riche, tanins présents, mais avec volupté, intensité et persistance.
Clos La Madeleine, Saint-Émilion grand cru
[91-92/100] Nez floral, délicat et fin, allonge subtile mais d’une réelle profondeur, race délicate, grande finesse.
Château Beauséjour-Bécot, Saint-Émilion grand cru
[92/100] Gourmand, savoureux et harmonieux, gommant avec beaucoup d’élégance et de savoir faire tous les aspects sévères du millésime, long et profond.
Château Bellevue, Saint-Émilion grand cru
[92/100] Très beau corps, élégance profonde et racée, grand équilibre, fruit parfait.
Château Pavie-Macquin, Saint-Émilion grand cru
[92/100] Dimension fruitée et florale, bouche sans lourdeur, droite et assez minérale, longueur ferme et fraîche.
Château Villemaurine, Saint-Émilion grand cru
[92/100] Grand nez floral, texture noble, tannin très fin, réussite majeure cette année dans ce secteur.
Château Canon-la-Gaffelière, Saint-Émilion grand cru
[92-93/100] Belle définition, harmonieuse et profonde, avec une réelle finesse de tanin et une maturité de fruit séduisante ; allonge svelte, racée, franche et nette.
Clos Fourtet, Saint-Émilion grand cru
[92-93/100] Finement floral, matière remarquable, texture d’une impeccable précision, soutien tannique racé et noble, réussite majeure sur le plateau, une des réussites du millésime.
Château Beauséjour, Saint-Émilion grand cru
[93/100] Arômes brillamment floraux, vigueur et finesse en bouche, tanin fin, mais musclé, précision presque parfaite de la définition du vin. Grande race.
Château Bellevue-Mondotte, Saint-Émilion grand cru
[93/100] Gras et intense, mais finesse tannique brillante, saveur racée, allonge.
Château Canon, Saint-Émilion grand cru
[93/100] Joli nez de violette, corps équilibré, texture noble, ensemble d’une rare pureté et précision de définition (dégustation à l’aveugle de l’Union des grands crus).
Château Troplong-Mondot, Saint-Émilion grand cru
[93/100] Boisé luxueux, mais ne masquant pas une matière sensuelle et complète pour le millésime. Hommage posthume à l’œuvre de Christine Valette qui a fait revivre cette propriété.
La Mondotte, Saint-Émilion grand cru
[93/100] Plutôt en délicatesse qu’en force : allonge subtile et profonde, fruit précis, brillant.
Château Trottevieille, Saint-Émilion grand cru
[93/100] Réussite majeure du millésime. Équilibre de texture et de tanin, élégance très proche d’Ausone.
Château Cheval Blanc, Saint-Émilion grand cru
[94/100] Représente 60 % de la production, avec 53 % de cabernet franc et 47 % de merlot. Nez très floral, pâte d’amande, souplesse racée, onctuosité délicate, l’acidité présente donne de la fraîcheur et pas de la raideur, énergie discrète. Très Cheval, très 2013.
Château Figeac, Saint-Émilion grand cru
[94/100] Fruit harmonieux avec beaucoup d’ampleur et de rondeur. Ce figeac renoue avec sa vraie tradition – 50% de cabernet-sauvignon – et séduit par son ampleur racée et de grande fraîcheur, ses tanins précis et sa longueur persistante. Un figeac remarquablement complet et franc.
Château Pavie, Saint-Émilion grand cru
[94/100] Musclé, sculpté, plus dans l’intensité que dans l’onctuosité, long, ferme, intense.
Château Le Tertre-Rotebœuf, Saint-Émilion grand cru
[94/100] Vin de grande et forte constitution, ce qui est une rareté dans le contexte du millésime, avec une ampleur gourmande et une générosité maitrisée impressionnantes. Encore une fois, Françoios Mitjaville démontre avec un éclat brillant la capacité du Tertre Roteboeuf à délivrer une interprétation unique des « petits » millésimes !
Château Valandraud, Saint-Émilion grand cru
[94/100] Robe profonde, intense et sève, grand corps musclé et enrobé, surpuissant mais réussi.
Château Angélus, Saint-Émilion grand cru
[95-97/100] Onctueux, texture raffinée, tanins de compétition, grand style harmonieux et équilibré : comme en 1992, Angélus passe des caps dans les millésimes compliqués. Cette fois, c’est le sommet qu’il a atteint.
Château Ausone, Saint-Émilion grand cru
[97/100] Vraiment impressionnant à la naissance et au dessus de tout ce que nous avons dégusté sur la rive droite, ce qui n’est pas un sujet d’étonnement. Admirable arôme de raisin
Valère

Château Cheval Blanc, Saint-Émilion grand cru
[94/100] Représente 60 % de la production, avec 53 % de cabernet franc et 47 % de merlot. Nez très floral, pâte d’amande, souplesse racée, onctuosité délicate, l’acidité présente donne de la fraîcheur et pas de la raideur, énergie discrète. Très Cheval, très 2013.

François est pigiste chez B&D ?

Je note Jean Faure, qui m' avait impressionné en 2009-10 sur le millésime 2005. Je ne sais pas si le style me plairait toujours autant mais en buvant ce 2005
les adjectifs: précis, fin, plein et concentré, fruité/épicé m' étaient venus à l' esprit. Vraiment une super bonne affaire à l' époque. Malheureusement ma tirebouchonnite
aiguë ne me permet pas à l' heure actuelle, de dire si le style un peu "moderne" ne gâcherait pas en partie mon plaisir, ce qui est loin d' être sur.

J' ai régulièrement voulu racheter un millésime (une vingtaine d' euros), ne passant pas le cap en bon buveur d' étiquette un peu hautain devant ce St Emilion
typique "grandesurface/foireauxvins". Je goûterai le 2013.

Nez très floral, pâte d’amande, souplesse racée, onctuosité délicate, l’acidité présente donne de la fraîcheur et pas de la raideur, énergie discrète. Très Cheval, très 2013.


En fait tout est dit, il faut savoir lire entre les lignes.

Pas mal pour plus de 300€ la quille.

jmw

Je n' avais pas lu mais c' est clair que ce genre de parler c' est vraiment du foutage de gu...e. A part les passionnés comme nous, qui possède les clés pour décoder
le message des guides, dilué avec autant de mens..ges.. oops: de diplomatie?
Bien vu en tout cas!

Michel Roland déclare que 2013 n'est pas grand mais en surprendra plus d'ici qqs années
il compare 2013 à 1992 et 1997 en disant que toutefois qu'aujourd'hui on sait comment réagir et que faire dans un millésime si difficile

bref aucune raison d'acheter

Leoville Las Cases 1992, une des réusssites du millésimme, était excellent dans sa jeunesse (5 ans après), mais à l'époque 100 francs en FAV (soit 15€)
Aujourd'hui c'est... avis de décès

Des grands Bordeaux rouges en 1997, je cherche, je cherche.J'ai arreté de chercher

Claude

Las Cases 1992 jeune était très séduisant, mais Barton l'était également dans ce millésime... Et pour moins cher.
Ils devaient être, tous les deux, bus assez rapidement.

Des grands Bordeaux rouges en 1997, je cherche, je cherche.J'ai arreté de chercher

tertre roteboeuf bu il y a peu, sans contestation.

Oui, voilà un second cru classé pour 100 balles dans un petit millésime ça vaut le coup de tenter, mais bon compte tenu des prix actuels...

Tout à fait d'accord pour dire que certains millésimes jugés "faibles" peuvent réserver de bonnes surprises (1992, 1993, 1997 entre autres).
Par exemple, récemment, j'ai beaucoup aimé Palmer 1997. L'année 2013 réservera sans doute de belles cuvées à boire dans les 10 ans.
Je pense que ce que les amateurs contestent dans ces millésimes "faibles", ce sont surtout les prix de sorties souvent trop élevés

Charly

Si l'on compare 92,93, voire 94 et 97 avec tout ce que j'ai gouté dans ces millésimes, 2004 et 2008 se retrouvent au Panthéon des années dites faibles.

Il y a dans les millésimes très faibles, toujours des vins, (mais quand meme peu), qui arrivent à etre agréables, relativement vite.
En 84, La Louvière avait tiré son épingle du jeu, ainsi que Figeac, que j'avais "glouglouté" abondemment
Mais s'il faut gouté cinquante vins pour en trouver un de bon ???

Vu le marché actuel, déjà que l'on peut retrouver des vins de 2010 avec des rabais substanciels chez certains vendeurs, les 2013 se retrouveront bradés ou avec des promotions dans les ventes futures.
Au vu des de sortie des 2013, les ventes aux enchères sont riches en très bons millésimes accessibles et à meilleur prix que ce fameux 2013

Claude

Bordeaux

Palmer, Troplong-Mondot : deux géants en Primeurs :

www.terredevins.com/...

Philippe

Bon et bien voilà :

Château Margaux 2013 : 250€ HT
Château Mouton Rothschild 2013 : 250€ HT
Château Lafite Rothschild 2013 : 330€ HT

Qui n'en veut ?

Et Grand Puy Lacoste qui avait un bon rapport qualité prix 35€80 HT

En dehors de Yquem et s'il ne devait y avoir qu'un seul liquoreux...Rieussec ou Climens 2013 (je peine a trouver des notes conparatives pour cea deux vins mais je crois savoir qu'historiquement Rieussec est supérieur a Cliemens ?) ?

Merci davance, Nicolas

Rieussec historiquement supérieur à Climens :S

Je ne vais pas t'aider mais moi je prendrais plutôt Suduiraut qui est un château que j'affectionne particulièrement. Un peu plus que Rieussec que j'ai pourtant aussi en cave.

Pour notre ami Bob, la préférence va plutôt à Climens
Amicalement
Valère

Ils ont surtout rien de comparable...

jmw