Merci Nidal pour ce petit mot. Tu sais que tu es le bienvenue à Paris avec ton épouse et ton fils. C'est moins loin que Toulouse
Charles, je pense qu'au delà du millésime dont je m'étonne qu'il n'ait pas donné lieu à un Montrachet (tu dis qu'il n'est pas sorti d'ailleurs donc il ne faut pas que j'en déduise hâtivement qu'il n'a pas été produit !), tout le monde comprit l'émotion et le plaisir que je connus en dégustant Rayas 1998, samedi soir.
Comme tu as pu le voir, j'ai suivi tes conseils de service.
Jean-Philippe Durand
"La cuisine n'est que passion et partage" - Marc Meneau
tout le monde comprit l'émotion et le plaisir que je connus en dégustant Rayas 1998, samedi soir.
Comme tu as pu le voir, j'ai suivi tes conseils de service.
Jean Philippe , j'ai compris ...je te réserve le 90 pour une prochaine rencontre .
Si le domaine n'a pas sorti le Mt 1992, c'est qu'il a jugé que le vin n'atteignait pas le niveau d'excellence exigé.
Le Bâtard-Mt, 12 ares, n'est pas commercialisé. Le millésime 1998, dégusté au domaine est de qualité.
" Je n'écris pas pour une petite élite dont je n'ai cure, ni pour une entité platonique adulée qu'on surnomme la Masse. Je ne crois pas à ces deux abstractions, chères au démagogue. J'écris pour moi, pour mes amis et pour adoucir le cours du temps. " Jorge Luis Borges
Charles,
J'ai dégusté plusieurs millésimes du Bâtard sur lequel je fantasmais à mort, car c'est le vin rare par excellence.
J'ai eu la chance de recevoir en cadeau une bouteille de 1998 que j'ai ouverte au Lucas Carton où Alain Senderens a fait un repas sublime où il y a eu Romanée Conti DRC 1956, La Tâche 1972 et ce Bâtard, ce qui faisait trois vins du Domaine au même repas.
C'est ce jour là qu'un américain qui dînait seul sur Hermitage La Chapelle 1961 (oui) m'a fait un accord de troc : un verre de Romanée Conti contre un verre de La Chapelle 1961. Pas mal comme troc !
Etait-ce à l'époque de Jérôme Moreau, sommelier prometteur ?
J'ai eu la chance de boire La Chapelle 1961 et La Tâche 1956 (pas la R-C !). Le premier en impose, le deuxième est émouvant.
" Je n'écris pas pour une petite élite dont je n'ai cure, ni pour une entité platonique adulée qu'on surnomme la Masse. Je ne crois pas à ces deux abstractions, chères au démagogue. J'écris pour moi, pour mes amis et pour adoucir le cours du temps. " Jorge Luis Borges