Néanmoins, je persiste à penser que le language a évolué pour devenir incompréhensible pour le commun des mortels, Peynaud avait mis des termes simples, le met au défi quiconque de comprendre de quoi on parle sur certains commentaires glanés sur la RVF (si j'ai le temps je retrouverai des exemples.)
ah mais ça je suis bien d'accord avec toi.
ça c'est ben vrai.......Mais sans les éternels bavards, pseudo littéraires, il n'y aurait plus que des critiques de dégustation sur LFV X(
Didier
Douce amertume ou nobles amers, j'ai tendance à utiliser ces expressions, mais toujours pour relever les qualités d'un vin.
et amers prononcés c'est une qualité ou un défaut jean-marie?
sans adjectif adjoint, il me semble que parler d'amertume ou d'amer n'a pas la même connotation dans un CR de dégustation (et non dans le larousse), mais je peux me tromper.
Bien visé Laurent ! Je te concède ma subjectivité totale en matière d'amer...Le sucre est mon ennemi depuis plus de 35 ans, je le fuis et le combat en tant que tel (diabète). Alors forcément, les ennemis de mes ennemis sont mes amis...
Amers prononcés ? Certainement un défaut, encore faudrait-il juger sur un vin précis. Je suis par ailleurs un adepte du Fernet-Branca
, tu connais ? L'exemple type d' amers très prononcés. Originaire de St-Louis, j'apprécie ce breuvage depuis les années 60. Mais ce n'est pas un vin !
Rachid, j'ai honte, mais j'étais pressé, le repas était prêt, la première "boite chaude" de la saison avec un superbe chardonnay 2009 ouillé !
Ah, oui, c'est pour quand t'as un crampe à l'estomac ! Dans le Fernet-Branca, à l'instar d'autres amers à base de plantes et d'alcool, l'amertume est équilibrée par une dose de sucre qui en fait quelque chose qu'on peut avaler. Divers pays ont le leur, du canton d'Appenzell à la Sibérie.
Dans le Fernet-Branca, à l'instar d'autres amers à base de plantes et d'alcool, l'amertume est équilibrée par une dose de sucre qui en fait quelque chose qu'on peut avaler
Absolument faux ! Je pense que tu n'as jamais bu une goutte de Fernet.
Il y a eu dans le passé, l'apparition une version "mentholée", le Brancamenta, version sans sucre également, mais qui n'a jamais conquis les puristes. La recette de cette boisson est restée secrète. On sait qu'elle est à base d'une infusion de plantes (plus de 20) distillées, 40°C d'alcool, vieilli un an en fût de chêne.
Divers pays ont le leur, du canton d'Appenzell à la Sibérie.