oui je connais déjà 
bon café ce qui ne gache rien

Les GO evalueront la possibilite - lors de leur prochaine assemblee pleiniere - de renommer ce site LE SITE DES PASSIONNES DE VINS, DE SINGLE MALT, DE CIGARES CUBAINS ET DE PUR ARABICA.

Avons-nous oublie quelque chose ... ?

;
Anthony

Le thé !

Le chocolat !

Les femmes ! ;-))

Salut Didier,

Bon sang belge ne peut mentir, mais le chocolat, nous le mangeons beaucoup plus que nous ne le buvons.

Par contre, le thé est une boisson plus universelle que le café, et représente un univers plutôt magique.

Michel, un autre affaciniado (accroc en français) du thé.

Ouille David, je sens que Nat va réagir...

Et les cigares, Michel, tu les bois ? ;-)

Didier

Didier,

Pour les femmes, c'est de la provocation.
Si Nat réagit, c'est que ça marche !

Mais, à  propos des femmes, où sont-elles ?

Apprécient-elles le vin sans oser en parler ou ne trouvent-elles aucun intérêt d'en parler ?

"Où sont les femmes ?"

salutation cordiale

David

Non, pour les cigares, c'est non, ni en décoction, ni à  mâcher, ni à  fumer.

Je ne supporte pas l'odeur et la fumée de la cigarette, celle des cigares ou d'un bon tabac à  pipe en fin de repas, après avoir fini la dégustation des vins, cela va du supportable à  l'agréable, en fonction de la qualité du tabac.

Quant aux femmes, il y en a peu sur les forums vinicoles... un des derniers bastions du machisme qui résiste vaillamment à  l'invasion.

Mais sur lpdv, nous avons Eliane, qui côté vin, se défend plus qu'honorablement et pourrait en remontrer à  beaucoup d'entre nous !!

Et puis nous nous devons de rester sérieux, nous ne sommes pas là  pour la bagatelle, n'en déplaise à  certains.

Michel.

David, les deux sans doute : Vu que leurs maris, compagnons, .... passent leur temps à  ne parler que de vins et perdent beaucoup de temps à  pianoter sur ce foutu clavier pour parler encore de vin, elles trouvent sûrement que cela suffit et qu'il est inutile pour elles d'en ajouter une louche.
Le mec y fait tout le boulot de chercher, de se renseigner, d'acheter les bouteilles (garer au budget), il entretient son trésor, et offre ses flacons "au meilleur de leur forme" à  sa tendre moitié : c'est elle qui goûte et souvent tranche : horror ou gloria, comme disait l'autre.

Pourquoi perdre du temps à  en parler, puisque d'autres font cela beaucoup mieux que nous et peuvent traduire en mots "ad hoc" leurs impressions ? Elles préfèrent déguster que d'en parler....

Et Eliane est l'exception qui confirme la règle !!

Le cours d'oeno que je suis actuellement est fréquenté par à  peu près 40% de filles et elles aiment parler du vin et, pour la plupart, ce sont elles qui font les achats pour le ménage et passent des heures dans leur cave, monsieur se contentant d'apprécier.
Alors, autre hypothèse :
Les filles sont-elles moins accros du clavier?

Didier

Ce sont peut-être les nouvelles générations, Didier, le post-féminisme.

Etant les égales des hommes, certaines assument et c'est bien ainsi aussi.

C'est beaucoup plus porteur de discuter vins devant un bon verre et avec son/sa (ses) interlocuteur(s) (trice(s)) dans le même lieu, en temps réel, que devant un écran, aussi coloré soit-il, d'ordinateur et un clavier !!

Michel.

N'oubliez pas le cognac;

je viens d'y passer trois jours formidables, en pleine distillation, pour certains encore au charbon.

Et ca bouge : des cognacs de plus en plus purs, des single distilleries, des jeunes qui montent... bref, il aurait tte sa place ici!

Didier et David,

Je réponds un peu tardivement mais j'avais pris un peu de retard dans la lecture des derniers post et je profite de vacances pour le rattraper.
Je vois qu'il en faut peu sur ce site pour se faire une réputation de mégère non apprivoisée ;-)
(Moi-même, je ne répugne pas à  un peu de provocation..)
Quant au vin, il est vrai que je préfère de loin le déguster qu'en parler (ce que je fais très mal, d'ailleurs) A chaque fois j'ai beaucoup de mal à  mettre des mots précis sur des sensations, d'où ma "relative" discrétion sur ce site.
Et je n'envisage même pas d'être un jour capable de "décortiquer" un vin comme certains le font et à  dire vrai cela m'intéresse assez peu alors intervenir juste pour dire j'aime ou je n'aime pas, me ferait dire "... c'est un peu court jeune homme..."

Cordialement,
Nat (une autre droguée du chocolat)

Euh... je reviens à  la bouteille de l'année 2002...

Pour moi, une seule à  se rouler par terre cette année-là :

Richebourg 1992 Domaine Leroy.

En 2001:

Corton "Le Rognet" 1996 Bertrand Ambroise

En 2000:

Chevalier-Montrachet 1994 Domaine Leflaive

En 1999:

Côte-Rotie "La Turque" 1989 Guigal

En 1998:

Barolo "Cannubi Boschis" 1990 Luciano Sandrone

En 1997:

Côte-Rotie "La Landonne" 1988 Guigal

En 1996:

La Tâche 1990 DRC

Stop à  cette énumération un peu facile. Quand je repense à  l'émotion qu'on sucité ces flacons, ça fait un peu léger de les citer comme cela en vrac. ça fait aussi un peu frime, ce qui n'est absolument pas le but. Et citer qu'une bouteille par année, c'est dur !!

Cordialement,

Ekreviss

Salut
alors pour moi comme pour tous je pense, il y en a eu beaucoup cette année mais les quilles qui resteront dans ma mémoire sont :
en blancs L'argile de la Rectorie 1999 rien de plus que le plus bel équilibre de fraicheur et d'élégance (ce qui est très dur dans le sud de la France)
en rouge Aloxe Corton 1979 Tollot Beaut magnum pour le soir du nouvel an si vous en trouvez acheté
en doux Porto Quinta de la Rosa vintage 1999 cet été sous les tonnelles devant le Douro
le vin est inoubliable que lorsqu'il est bien accompagné

Je vais faire comme Ekreviss et renvenir en arrière :

1998 Chambolle-Musigny 1er cru 1969 de Grivelet

1999 Cà¶te Rotie Côte Brune 1991 de Jamet

2000 Darmagi 1996 d'Angelo Gaja

2001 Sassicaà¯a 1995

2002 Gewurztraminer Furstentum Cuvée Laurence 1995

Et non pas de Bordeaux… ma

Je vais faire comme Ekreviss et renvenir en arrière :

1998 Chambolle-Musigny 1er cru Les Vignes Du Château 1969 de Grivelet

1999 Cà¶te Rotie Côte Brune 1991 de Jamet

2000 Darmagi 1996 d'Angelo Gaja

2001 Sassicaà¯a 1995

2002 Gewurztraminer Furstentum Cuvée Laurence 1995

Et non pas de Bordeaux… mais deux vins issus de cabernet sauvignon
et rendez vous compte !! Pas de RIESLING mais un Gew. (qui est très loin d'être mon cépage préf., et d'un domaine qui n'est pas …)

Vincent,

peux-tu nous en dire plus sur tes impressions concernant Sassicaia 1995...à  l'époque où je l'ai rencontré, c'était un vin de style international et encore marqué par un élevage élégant...la typicité de ce vin ne ressortait pas encore

curieux de te lire

Pour 2002 voici mes préférés :
rouge
Cims de Porrera "Classic" issus de raisins de vignes centenaires, Vall Llach Mas Martinet, 1999
blanc sec
de beaux souvenirs, mais rien d'inoubliable
licoreux (salutations Jérôme)
Ambre 1997, Christophe Abbet

Benoît

Hou la la c'est vieux… et je ne prends jamais la mopindre note… (cancre historique désolé)
Souvenir d'un vin équilibré, très élégant, minéral avec un joli compromis entre la rigueur du cabernet et un côté mûr et un peu + sud que les vins du Médoc…mais à  mon sens on reste très européen et loin des caricatures Nouveau Monde (enfin celles que j'ai pu goûter…)

Un jour je prendrai des notes… enfin j'essaierai…!

1999 : Cheval blanc 1952
2000 : Rayas rouge 1978
2001 : Charme - chambertin 1996 Dugat-Py
2002: Beaucastel Hommage à  J. Perin 1998
2003 : L'évangile 1975.

bonsoir
la bouteille de l'année 2002, fut un gevrey chambertin 1er cru lavaux
saint jacques 1969 de chez Duroché pere et fils

J'avais pas vu le post sur Max Havelar : alors pensez-y !

De nombreuses marques de café ont accepté de se plier aux exigences de l'association Max H. -commerce équitable- qui propose à  ces marques d'acheter le café à  un prix qui permet aux producteurs de continuer à  faire du café plutôt que de la Cocaà¯ne... En Alsace on trouve Sati, Malongo, Warca, MONOPRIX, Méo, chez Artisans du Monde aussi... et tous bio !

Mes préférés (avec ma cafetière...) Sati et ensuite Malongo

Quoi c'est pas du vin !! désolé

TOKAJI ESZENCIA 1947, un des vins parmi les plus rares de la planète!
Les grains botrytisés ayant atteint une concentration optimale sont récoltés un à  un et déposés dans des bastes en bois à  double fond permettant de récupérer le précieux liquide libéré goutte à  goutte par le raisin, ceci par simple gravité. Suivi d'une légère fermentation naturelle, l'Eszencia reste sans intervention aucune durant plusieurs années (parfois jusqu'à  dix ans!) dans des fûts de chène. Le taux de sucre résiduel est monstrueux. Il faut un minimum de 500g/l pour prétendre à  l'appellation Eszencia. Par conséquent, ce nectar ne peut être réalisé que lors de millésimes exceptionnels. Certaines années, le niveau de sucre monte jusqu'à  700g/l ! Ce vin de légende était d'ailleurs tellement prisé par les Tsars qu'ils envoyaient leur garde personnelle protéger leurs précieux stocks lors des troubles occasionnels qui secouaient l'empire russe.

La robe de cet elixir est excessivement foncée, presque noire, très épaisse et ultra-concentrée. Incroyablement complexe, le nez exude des arômes délicats de fraise des bois, de miel avec une touche florale parmi tant d'autres choses délicieuses... Une fois en bouche, le liquide est sirupeux et envahit complètement les papilles, détruisant tout sur son passage! Une sensation unique.. Jusqu'à  un certain point, il offre une réelle saturation de sucre, mais comme par magie, tout finit par retrouver un équilibre grandiose alors que la longueur en bouche s'étire comme à  l'infini. Je n'ai jamais connu de vin aussi long de ma vie. Même plusieurs minutes après avoir avalé ce breuvage des dieux, les sensations en rétro-olfaction sont toujours aussi puissantes! Autre détail stupéfiant: après le repas, j'avais laissé les verres de dégustation en place durant la nuit, dans lesquels reposaient parfois encore quelques gouttes du précieux breuvage. Le lendemain matin, une délicate fragrance fruitée flottait majestieusement dans la pièce. Encore mieux: même après avoir rincé généreusement les verres à  l'eau tiède, ces derniers continuaient à  restituer les arômes inimitables de ce Tokaji. De toute évidence, ce vin ne peut s'accorder avec aucun mets. Sa puissance phénoménale écraserait tout. Mon seul repère approchant fut un vieux vin de Samos (1934) dégusté il y de nombreuses années. La texture de ce Tokaji peut éventuellement être comparée à  quelques antiques Xérès ou autres Solera, la magie du raffinement en plus.

Encore sous le choc plusieurs mois après..
Alain

Nouvel intervenant sur ce site, je vous livre mes 2 plus beaux flacons de l'année 2002 :

- en rouge : Veux Château Certan 1990.

- en blanc : Corton Charlemagne GC de Bouchard P&F 1999.

Cordialement. Nicolas.

En mémoire, juste parce que l'événement était plus une célébration qu'une dégustation : ambiance bougies, musique sans age : mes convictions laà¯ques et agnostiques en étaient presque bouleversées ! Un Yquem 90, qui m'a d'ailleurs presque davantage étonné le lendemain : un demi-verre conservé au frai a dévoilé une foison d'arômes, une finesse insencée. La veille, il avait dû rivaliser avec plus de puissance chez La Rame, réserve, 90.
Bien religieusement ...
Pascal Champain