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Et maintenant les compte rendus du rouge.
DAUMAS GASSAC rouge 1994
dt : Couleur grenat, intense, moyennement évoluée.
Nez intéressant , pas encore en phase tertiaire, évoquant les feuilles sèches, le jus de viande, les épices douces, le bois précieux. C'est plutôt complexe et engageant.
Bouche d'abord austère et marquée par une masse tannique imposante. L'aération épure le vin et le rend plus aimable. La matière est dense, les tanins massifs ne déséquilibrent pas trop le vin. Fin de bouche légèrement asséchante malgré tout.
Impression générale : vin viril mais de bon niveau. Pas le top niveau du Cabernet Sauvignon car il lui manque clairement de la finesse mais ça tient la route. Sur une viande rouge, le voie me semble adaptée...
Pas d'urgence à le boire. Ça pourra peut être gagner en soyeux.
Bien.
DAUMAS GASSAC rouge 1997
Pins : Légère réduction à l’ouverture.
Servi un peu frais, ce qui fait ressortir ce poivron peu plaisant. Au réchauffement, des notes de musc, de fourrure sont présentes. Belle aromatique.
En bouche, c’est fin, les tannins sont totalement fondus avec une matière bien présente. La finale est soutenue par un trait vert mentholé.
Une bouteille de 20 ans qui devait envoyer dans sa jeunesse… Très bien.
the_ej : Robe grenat encore sombre.
Nez très bordelais et assez austère : poivron rouge grillé, suie.
Bouche encore un peu ferme à mon goût et là aussi austère, plus tout à fait primaire, pas encore vraiment tertiaire.
Moins emballé que le blanc. Il passait après une GDP 2012 et une longue série de pinots, ça ne l'a pas aidé je pense...
Tonioaja : Poivron rouge et épices au nez, trait végétal, et boîte à cigares.
Belle matière, tanins arrondis, structure équilibrée mais l'ensemble est froid, austère, et le plaisir est réduit pour moi ... C'est un peu borderline sur la maturité excessive.
C'est clairement a l'opposé des rouges sudistes que j'aime . ...
Et pour un style bordelais, j'achète un Bordeaux.
DAUMAS GASSAC rouge 1998
Vaudésir : Robe assez claire, nez fin, élégant, richesse et densité en bouche, mais fraicheur, équilibre, pas mal du tout, encore très jeune je trouve, c'est assez digeste , vraiment bon aussi. (16) Très bien
Je n'achèterais pas mais vaut le coup quand même.
Pas assez d'expérience de la région mais beau vieillissement
Yves(yr) : Un vin totalement différent des autres, évolué mais de noble manière : Du cuir, des épices et une heureuse note mentholée bien fraiche. Le vin est arrondi, trame tannique présente mais qui se fait discrète. Bel équilibre général. J’aime bien, je pense à un millésime 98/99 ?
DAUMAS GASSAC rouge 2000
GAET : Robe violette, avec des reflets orangés. De fines larmes s'écoulent le long du verre
Nez sur l'orange sanguine, avec une pointe de poivre
En bouche on est sur la finesse, la délicatesse. On a une belle longueur avec une légère astringence en fin de bouche qui invite à se resservir
Beau vin qui gagne à l'aération
DAUMAS GASSAC rouge 2001
mgtusi : Bouchonné.
Gilt : Le vin présente une robe rouge tuilée.
Le nez est intense et dominé par une compotée de fruits; arrivent ensuite des notes de viande et de fumée.
La bouche est complexe et veloutée.
Une trame tannique un peu sèche gène un peu; la bouche se partage entre principalement les fruits noirs et le café.
Vin agréable qui est partagé entre un beau nez et une bouche légèrement altérée par une certaine sécheresse.
Je mets à ce vin de note de 14; je n'achèterait pas ce vin au prix domaine et hésiterais quant au prix primeurs.Je dois avouer qu'après avoir acheté tous les ans en primeur durant une dizaine d'années j'ai arrêté.Ce domaine a eu cependant pour mérite de faire connaitre le Languedoc de façon qualitative.
Ce vin a été acheté en primeur auprès du domaine et a été ensuite conservé en cave enterrée.
Je le trouve atypique par rapport aux autres vins de la région à savoir plus bordelais (austérité) que sudiste.
DAUMAS GASSAC rouge 2003
icna : Servi légèrement rafraichi dans des verres standards
Le nez est sur le poivron vert et les fruits noirs.
La bouche est bien construite avec du fond et des tanins qui commencent a être fondus. Il y a une élégance toute bordelaise avec un joli toucher. L'aromatique n'est pas hyper sexy mais présente une bonne harmonie quoique on sent que le potentiel de complexité est encore à venir. Il y a du volume et une belle longueur un peu marqué par un léger végétale mais qui devrait plaire aux bordophiles.
La bouteille s'est bue avec plaisir.
Bien
Modeste 1er : A - Pas d'aération préalable
Robe sombre, légèrement trouble, fin disque brun
Nez de cabernet (cassis, mûre) avec une pointe de verdeur (poivron, romarin). Simple mais tentant
La bouche est fraîche , les tanins sont encore présents (sans trop d'astringence cependant). La matière me semble assez fluide. ça se boit bien mais on ne peut nier un certain déficit de chair par rapport à ce que l'on attendrait, notamment sur ce millésime. Le milieu de bouche présente un creux, la persistance est moyenne, et plutôt sur l'alcool. Ce n'est pas très équilibré. J'ai été globalement déçu par l'aromatique, plutôt monolithique sur les fruits noirs, et sans grande ampleur. Un manque d'étoffe que seul la présence tannique permet de masquer à ce stade.
C'est Assez Bien (14).
B - je ne connais pas le prix catalogue, je crois que c'est entre 20 et 25 euros il me semble ? Dans cette fourchette-là je ne rachète pas ce vin si je suis sûr qu'il ne m'apportera pas plus de plaisir que ce soir. Mais c'était peut-être une bouteille un peu en-dedans...
C - Bouteille achetée sur ebay (20 euros) il y a 1 an. Je ne connais pas très bien la région, mais pour cette gamme de prix, que ce soit en terrasse du Larzac (Mas Jullien, Terrasses d'Elise...) ou en cote du roussillon (Clos des Fées...) j'ai souvent goûté mieux, voire beaucoup mieux.
DAUMAS GASSAC rouge 2004
CÉPAGES: 72.4% de Cabernet Sauvignon, 5.8% Syrah, 2.6% Malbec, 6.3% Merlot, 4.4% Cabernet Franc, 3.6% Tannat, 3.1% Pinot noir, 1.8% variétés rares.
Acidité (sulph) 3,44 g/l, pH 3,49, Alcool 13,2°.
Jean-Luc Javaux : Pas sûr que je serai aussi précis dans les commentaires... ?
Ouvert et bu sur deux heures sans préparation préalable.
Belle robe, grenat, vive, brillante, pas très concentrée.
Le nez n'est pas très expressif, mais on finit par y déceler cuir, humus, champignons, épices, quelques notes d'élevage et un peu de fruits rouges.
En bouche, l'attaque est plutôt vive, c'est droit, fin ou fluide, en tout cas pas une matière imposante... Elancé par une belle acidité, avec des tanins intégrés et n'impactant aucunement la bouche, le vin finit sur des notes de tabac et de sous-bois ; cela se boit facilement mais ce n'est quand même pas très complexe, ni très long.
Correct (13)
hyllos : Décanté environ une heure.
Que dire de ce vin, assez élégant, très, très retenu, austère. La bouche est dure, tannique et un peu tertiaire. Ca n'est pas mauvais mais c'est sec et ça livre peu de plaisir, on s'imagine un moine des temps médiévaux en train de se punir d'avoir oser imaginer un vin suave. Correct... mais sans plaisir (12).
DAUMAS GASSAC rouge 2005
(63.1% Cabernet Sauvignon. - 7.9% Cabernet Franc. - 7.3% Merlot. - 5.2% Syrah. - 3.7% Pinot noir. - 3.3% Malbec. - 1.6% Tannat. - 7.9% variétés rares : Nebbiolo, Barbera, Dolcetto, Armigne, Arenie, Bastardo, Saperavie, Tchkaveri, Montepulciano, Areni Noir, Tchekavesi, Souzon, Brancalleo, Petit Verdot)
PV : (contexte) J'ai découvert l'existence de Daumas Gassac grâce aux interventions d'Aimé Guibert dans Mondovino au tout début de ma vie d'amateur et j'ai eu la chance de pouvoir de participer à une dégustation des vins du Mas en sa présence en 2005 où deux vins que j'avais jugés à l'époque exceptionnels, le 1988 et le 1982, m'avaient convaincus d'acheter les prochains millésimes (2004 et 2005) en primeur.
Heureusement, je me suis vite arrêté dans mes achats car toutes les bouteilles de ces deux commandes dégustées depuis se sont révélées décevantes.
L'avant-dernier 2004 bu, il y a 4 ans, était plus proche de l'eau aromatisée que du vin et le dernier, bu l'an dernier, fut sûrement le meilleur mais était plus proche d'un petit cru bourgeois médocain d'année moyenne que du grand vin languedocien revendiqué par son auteur.
Ce 2005 a été débouché et goûté directement à sa sortie de cave à 14 degrés et bu sur environ deux heures. Le bouchon est impeccable. Sur le premier verre, le vin est très discret avec des arômes de fruits, un toucher de bouche élégant et une grande fluidité qui rappellent plus un pinot noir bourguignon qu'un cabernet d'une année solaire. Au fur et à mesure de la dégustation, le vin s'ouvre et se complexifie un peu, gagnant des notes de tabac et de poivron en finale, mais ça n'en reste pas mois relativement simple.
Au final, on a un vin agréable car léger et pas trop alcoolisé ce qui est appréciable par ce temps caniculaire. En revanche, on est clairement loin de la race d'un grand Médoc classique (ce qui est semble t'il le but visé par le domaine) ou de l'aromatique méditerranéenne et sauvage d'un beau Languedoc. Pour rigoler, je sors mon vieux guide Bettane & Desseauve et je lis "une longueur exceptionnelle, un grand vin de civilisation" : quelle blague !
13,5-14
hyllos : Non décanté. Regoûté sur 4 jours.
Nez de cassis, mûre. Tapenade et touche de vieux bois. Le nez n'est pas moche mais pas rassurant. Clairement et drôlement évolué. La bouche est acide et dure avec un côté quasi lacté. Finale sur l'acidité et l'alcool, décharné et démembré. Le pruneau et la poussière viennent doucement épicer un ensemble bien médiocre.
Le vin est en soi buvable, mais clairement il est trop vieux et oxydé. Peut-être même défectueux vu ce trait lacté/poisson pourri.
A J+1 il a viré tapenade au nez et en bouche... c'est charbovary... id est : "La conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue, et les idées de tout le monde y défilaient dans leur costume ordinaire...". Aucune espèce d'intérêt, flagada. Cuit. Au moins, il n'a plus ce côté vieille huître du premier jour...
10 ou moins...
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DAUMAS GASSAC rouge 2006
didierv : Bouchon impeccable à peine marqué sur 1 mm
Bouteille ouverte dimanche matin 9h00 pour un repas à 14h00
Jolie robe foncée très médocaine avec un début d’évolution
Le nez est beau sur le cuir, la prune, du végétal très typé cabernet sauvignon avec en complément des notes sanguines
Les tanins anguleux et la forte acidité de l’ouverture sont derrière et la bouche montre maintenant des notes de cuir, de quetsche, du sous bois léger avec un fond de fruits rouges
L’équilibre entre acidité et tanins est bon même si un peu rustique
Bel accord avec la côte de boeuf/ béarnaise
Repas du soir
Le nez a peu changé. Des notes boisées , des notes parfumées cèdre/garrigue sont apparues rendant le vin plus aimable
Les tannins se sont assouplis
Mais en bouche on ressent plus d’amertume ainsi qu’une touche végétale qui peut faire penser à un léger déficit de maturité
C’est assez monolithique et pas très complexe avec toutefois une bonne longueur
Pas vraiment de plaisir a boire ce vin qui est vraiment classique de chez classique
Je me suis plus régalé hier soir avec un OTT rouge 2011 autrement plus parfumé et plaisant
La finale est sur l’amande
Au final des vins qui sont bons, sans plus et qui ne procurent que peu d’émotion.
Je trouve ces vins aujourd'hui un peu démodés. J’espère que les DAUMAS récents apportent plus de plaisir
Le blanc ne gagnera rien à vieillir. Il me semble en phase descendante.
Le rouge peut encore évoluer 4 /5 ans. Evolution favorable? Je n’en sais rien.Question de gout.
A 18 € le prix que je les ai payés au départ le rapport Q/P n’est pas terrible, mais c’est pas scandaleux.
A plus, il y a beaucoup mieux pour moins cher y compris à Bordeaux pour le rouge. Quand au blanc, l’assemblage des 4 cépages est tellement atypique qu’il n’y a pas de comparaison possible.
En multi cépages dans la région, Mas Jullien joue largement dans la division au dessus.
DAUMAS GASSAC rouge 2007
mgtusi : Sans détail d'ouverture et service
Excellente surprise
La robe est profonde, grenat sans trace d'évolution.
Très beau nez sudiste sur l'olive, le thym.
En bouche, belle profondeur, de la matière, grosse acidité qui porte le vin. De la finesse.
Où est le cab/sav ? (80% !).
Un fort joli vin avec des accents de Rhône Nord.
A) Très Bien (16)
Non et non, à ce prix je trouve mieux ailleurs
C) Atypique car plus proche d'un Rhône
DAUMAS GASSAC rouge 2008
98 000 bouteilles et 3 600 magnums.
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Tout était pourtant mis en place pour que cela se passe bien.
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Vougeot : Bouteille échangée avec un LPVien normand, conservée en cave naturelle depuis son achat en primeur. Etiquette protégée au cellofrais. Bouchon impeccable, juste imbibé sur le miroir.
Niveau de la bouteille parfait.
1er nez : fruits cuits dominants. Pruneau puis cassis confiturés. Un peu d’acidité volatile. Les épices apparaissent ensuite et rappellent un peu certains Brunello ou Chianti.
Couleur : belle couleur grenat profond, dense, brillante, sans réelles traces d’évolution.
2e nez : un peu plus complexe, avec une note de cacao, un trait végétal et l’alcool qui se fait plus présent.
Bouche : un peu maigrelette. L’acidité et l’alcool ressortent sur fond de pruneau et de chocolat. C’est fluide, sans grand volume.
Bu sur une ratatouille et des cuisses de poulet rôties, le vin se révèle anodin. Ma femme aime son équilibre, mais trouve un manque de complexité à ce vin âgé de 8 ans.
A l’aération, le vin gagne un peu de volume, mais aussi de l’amertume. A contrario, le nez se fait plus mutique, moins intéressant. La finale n’est pas transcendante et fait penser à celle d’un bordeaux sup’ rapidement acheté en grande surface.
Le soir, avec 8 heures d’aération, conservation au frigo, le vin est un peu plus marqué par le cuir. Son amertume est toujours présente et la finale est fuyante, sur le cuir et le caco. Dommage ; le nez reste pourtant intéressant.
Le fond de la bouteille présente un dépôt important (tartrate et lies).
Bilan : on ne peut pas dire que ce soit un mauvais vin ; loin de là. Mais c’est un vin sans émotion, sans surprise, sans réel charme. Trop cher, surévalué par les professionnels de la profession. Ne vaut pas son prix, ni en primeur ni en prix public conseillé. Trop de barrouf’ pour pas grand-chose, finalement.
Pas surpris…
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Quand le contenant est plus joli que le contenu.
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Bilan 2 : Je préfère clairement le Daumas Gassac blanc au rouge. Mais, une fois de plus, ce vin ne me procure pas d’émotion. A prix public quasiment identique, je préfère Simone. Et de loin.
Toujours trop cher. Ne vaut pas son prix, ni en primeur ni en prix public conseillé. Ma femme est prête à l’acheter 12 €. Quant à moi, j’ai vu Daumas Gassac blanc et rouge à 47 € - oui ! 47 € - chez un caviste de Portbail. De mon point de vue, en rouge comme en blanc, il y a 35 € de trop.
Pour être tout à fait complet sur ma notation :
- En rouge, ça vaut 11.
Je n'achèterai sûrement pas ce vin. Je préfère que d'autres le fassent à ma place et m'en servent un coup de temps en temps.
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La belle robe qui cache un mannequin anorexique.
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DAUMAS GASSAC rouge 2009
Jean-Loup GUERRIN : Bouteille épaulée une heure avant dégustation.
La robe est très sombre et a perdu ses reflets violets de jeunesse sans encore gagner ceux tuilés d'évolution.
L'aération a bénéficié au nez qui a pris de l'intensité par rapport au moment de l'ouverture de la bouteille. Les fruits noirs sont très présents et se teintent d'arômes typiques du cabernet sauvignon (balsamiques, cigare) ou de l'élevage (vanille, grillé). Quelques notes réglissées apparaissent au réchauffement dans le verre.
L'équilibre de la bouche est déjà bien abouti : l'amplitude et la chair dense au grain fin s'accompagnent d'une sapidité légèrement fruitée mais surtout austère, et d'une fraîcheur inattendue pour le millésime. Une longueur honnête et une finale sans charge tannique complètent un ensemble très bien réalisé. Il ne développe cependant pas assez de complexité pour procurer l'émotion et la note "Excellent".
Ce sera donc Très Bien, sans plus.
A noter que l'accord était fort réussi avec un filet mignon de porc aux champignons.
Par contre, Excellent : le soir le fond de la bouteille montre des arômes plus civilisés et fruités en bouche.
Frisette : Ouverture immédiate.
La robe est grenat rubis, sans signe d'évolution. Le nez est immédiatement porté sur le poivron rouge et le cassis. L'aération révélera des notes empyreumatiques et caoutchouteuses. La bouche est porté par une acidité très haute, mais sans réel soutien, la matière confinant au maigre. L'aromatique est sur la cassis, le poivron et le menthol, avec un soupçon de pneu brûlé. La fraîcheur est très (trop?) importante (VE? Rafles non mûres ?). On a un équilibre vraiment sur le fil. La finale est assez modeste, avec des tanins encore un peu saillants et verts. Bref, on ne peut être et avoir été. Pour moi le mythe est déchu, et je ne comprends pas l'engouement qui persiste encore autour de ce domaine, surtout à ce niveau tarifaire (+/- 30€). La seule satisfaction est que je viens de terminer mon stock. Fini, terminé, rideau, merci d'être venu, au revoir.
Je retrouve globalement les mêmes sentiments que lors d'une soirée languedoc (TGJMSS, CR que tu retrouveras Matthieu), simplement Assez Bien (14/20)...mais p***** qu'est ce qu'on ce fait ch*** en buvant ça!
DAUMAS GASSAC rouge 2010
Vaudésir : Robe rubis, nez assez frais, fruits léger, en bouche c'est plus frais, plus léger aussi, un peu végétal certains la voit en début de déclinaison, on a changer de cépage, au moins on a pas de tour de chauffe avec celle-ci. (11/12) passable/assez correct
Je n'achèterais pas ce vin quel que soit son prix.
Pas assez d'expérience de la région mais j'ai gouté et bu bien meilleur pour le même prix, ça doit pas valoir plus de 15€??
DAUMAS GASSAC rouge 2012
Mattlebat : Vin 3 : Un nez avenant de prune, de cassis, puis une pointe de réduction oeuf animal, belle note de réglisse, d'épice, sur un fond cacao, c'est équilibrée voir élégant. La bouche est charpentée, tanins soyeux, c'est gourmand, équilibrée, sur le cassis, pointe fruit rouge, notes épices, réglisse, fond cacao. La finale tient sur la structure qui est élégante, le fruit rouge se fait plus présent que le cassis, les épices, et ce fond cacao. TB 90 16 Très joli vin que ce Mas Daumas Gassac 2012.
Pour ce vin je suis prêt à mettre entre 20 et 30 €
Il provient de la cave achat internet primeur de mon ami Mathieu.
Par rapport à la région, je le positionne, sur cette bouteille, plutôt dans la très bonne moyenne, et en général dans la moyenne haute.
Pour autant je ne suis pas client au domaine.
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Etiquette à l'image du vin...