Il considère que boire 150 vins par jour ne permet pas d'avoir une bonne vision de chaque vin dégusté. Comme il dit, il faut s'asseoir pour comprendre une bouteille.
It’s the difference between shaking hands with someone, followed by a quick chat, and spending the evening with someone.
Eric B écrivait:
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> C'est la question que se pose Jamie Good de
> Wineanorak ici :
> www.wineanorak.com/w...
> asting-versus-drinking-again
>
> Il considère que boire 150 vins par jour ne permet
> pas d'avoir une bonne vision de chaque vin
> dégusté. Comme il dit, il faut s'asseoir pour
> comprendre une bouteille.
>
> It’s the difference between shaking hands with
> someone, followed by a quick chat, and spending
> the evening with someone.
Encore un qui découvre l’eau tiède On peut faire une analogie avec les livres, ce n’est pas lisant uniquement le quatrième de couverture qu’on peut les juger pleinement.
I can taste 150 wines in a day and give a relatively accurate verdict at the commercial level. But I cannot taste 150 fine wines in a day and discriminate among them.
Comme il l'écrit, cela dépend de la finalité. Dans un salon, je vais déguster pas mal de vin si l'unique objectif est de me faire un avis rapide en vu d'achats. Maintenant s'il s'agit de découvrir des vins je vais limiter drastiquement ma liste. Et pour m'en faire une idée plus précise, effectivement cela se fera autour d'une table et en le buvant à divers stade de son évolution. Mais bon, en même temps ce n'est pas mon métier.
Ce que dit Jamie Good tombe sous le sens!
Goûter 150 vins par jour, c'est en quelque sorte du speed-dating oenologique! Il est évident qu'en procédant de la sorte, on ne va pas pouvoir se faire une idée précise des vins dégustés. Par contre, on pourra détecter ceux qu'il vaut mieux laisser de côté.
A mon sens, ces dégustations-marathons servent juste à faire un premier tri. Ensuite, on pourra toujours affiner ses choix en dégustant à tête et langue reposée les vins qui auront émergé de ce premier contact.