Ok aussi pour la minéralité, même s'il semble que Bertrand soit un peu fâché avec ce terme !

Dans la mesure ou souvent ça masque verdeur ou faux goût ... et aussi manque de fruit.

Bertrand,

Un cabernet franc ligérien peu mûr et minéral, élevé dans des barriques pas trop nettes ?

Je vais publier un cr sur les liquoreux de Bordeaux (appellations satellites).
Les notes étant polémiques, les commentaires forcément imparfaits, dois-je m'en tenir à la description du nom des cuvées ?

le Sommerberg 2002 est mur, fruité, sans faux goût (ou alors vraiment il y a des maniaques de l'aseptisé) et très minéral.
La minéralité encensée par certains correspond souvent pour moi en effet à un fourre-tout bien pratique.

Vin100,


Tu veux dire pour la bouteille que tu as dégustée ... ?

Bertrand,

Un cabernet franc ligérien peu mûr et minéral, élevé dans des barriques pas trop nettes ?

Heu ... qu'est ce je viens faire là dedans?

Et si tu publie ton cr sur les bordeaux dans cette rubrique, ce n'est pas avec moi que tu auras des ennuis ... hé, hé!

comment ça ??

oui

j ne peux pas parler cde celles que je n'ai pas bues

3eme rencontre avec ce vin et sa grande qualité vient en partie de ce qu'il réunit des caractéristiques qu'on croit parfois à tort incompatibles : maturité et fraicheur, matière et finesse, fruit et minéral et ceci sans la moindre sous-maturité (ou alors si qq'un trouve que ce n'est pas mûr...je m'incline)

sinon je parlais de gens qui voeint de laminéralité là où il y amanque de maturité, so2 éxagéré, etc

3eme rencontre avec ce vin et sa grande qualité vient en partie de ce qu'il réunit des caractéristiques qu'on croit parfois à tort incompatibles : maturité et fraicheur, matière et finesse, fruit et minéral ...

Ce que tu décris là , Vin100 , n'est-ce-pas ce qui caractérise un grand vin ?

ben si un peu, modestement

mais j'ai du mal à employer de tels termes (avec mes 1m70 j'ai appris la modestie)

mais c'est "pas assez cher" ça ne coute que 15/16 euros... ça ne peut pas être un Graaaaaand vin

des pentes impressionantes, une terre drainante et qui souffre au moindre déficite de pluie, 20hl/ha en 2002 et je connais un paquet de gens qui ralent en Alsace et ailleurs parce que les vins sont devenus trop chers !!!

et qui n'hésitent pas à dépenser le même prix dans un Chablis moyen vendangé à la machine ...mais c'est écrit Chablis !!!

Vin100 ,

Je ne connais pas le vin dont tu parles . Par contre je suis sensible à la description que tu en fais . Rien de plus , rien de moins .

Domaine Boxler
Le domaine Boxler produit des vins cristallins, purs, dotés d’une minéralité racée. La dégustation se concentre sur des rieslings secs, virils, corsetés, de garde (et de repas). Les trames acides de ces vins au caractère trempé sont vigoureuses. Le GC Sommerberg constitue ici un véritable fief du riesling sec.

un fief du riesling "presque" sec

Vin100,

OK.

Pas goûté de VT ou SGN chez ce producteur ...

ce n'est psa ce que je veux dire :les Sommerberg "classiques" ne sont jamais (ou presque) totalement secs. Le L31E dont je parle ne l'est pas et je le sens... J'aurais bien aimé l'apprécier à 2gr de SR !!

SGN en riesling ici je crois me souvenir qu'il n'y en n'a pas eu. VT très rarement. Un vin de glace en 1996 si je me souviens bien, mais réservé à la consommation familiale...

Selon Tanzer :

Boxler :
1997 Domaine Albert Boxler Gewurztraminer Vendange Tardive
1997 Domaine Albert Boxler Riesling Vendange Tardive

selon nous (infos producteurs) :
Bott-Geyl Riesling Grafenreben 2000. 0 g
Domaine Weinbach Muscat Réserve Clos des Capucins 2002. 3 g de sucre
Domaine Trimbach Pinot Blanc 2001. 4 g
Domaine Trimbach Riesling Clos Ste-Hune 1995. 5 g
Domaine Boxler Riesling GC Sommerberg 2002 (L31). 6 g
Domaine Boxler Riesling GC Sommerberg 2002 (L31E). 8 g

Domaine Barmès-Buecher Muscat Ottonel SGN 2000. 380 g !
Domaine Barmès-Buecher Pinot Gris SGN 2000. 400 g !!
Domaine Barmès-Buecher Riesling Herrenweg SGN 2000. > 500 g !!!

Moût de Raisin Partiellement Fermenté – Causse Marines – Graal 1999 580 g
Montilla-Moriles – Toro Albala – PX Arrope 2002 900 g

8g je les sens !!!
Indiscutablement pas un vin totalement sec pour moi que ce L31E 2002. Dans 5/6 ans on ne percevra plus le sucre.

j'avais dit UNE VT (je ne parlais que de riesling)

mais le vin de glace 1996 est parait-il formidable (mais je ne fais pas partie de la famille)

Montilla-Moriles – Toro Albala – PX Arrope 2002 900 g
je ne considère pas que ce soit du vin mais plutôt du sucre de raisin. En plus lalégislation française dit que le vin est obtenu de la fermentation de raisins ou de jus de raisins frais, et ici ce n'est pas le cas je crois.

la voie suivie par François Barmes est respectable, elle ne me parle pas. Je ne lis pas le Guiness Book des records, je bois encore moins les records.

Montilla-Moriles – Toro Albala – PX Arrope 2002 :
PP(pas noté) – LG(pas noté)
- 900 g de sucre pour un sirop cristallisé, sans alcool, qui relègue le Graal de Causse Marines au rang de vin tendre. « Arrope » désigne un procédé de dessiccation et chauffage à partir de raisins très riches.
- Ce « non vin » qui rechigne à couler du flacon et macule littéralement le verre interpelle le pâtissier/chocolatier présent ce soir là. On y décèle des goûts de fruits caramélisés (cassis, mûre, guigne, églantine). A servir en coulis, en toute décadence kitsch.

Je ne lis pas le Guiness Book des records : moi non plus


je bois encore moins les records : moi, cela m'arrive que l'on m'en propose (ou d'en proposer). Curiosité ...

mais je ne refuserais pas de goûter si on m'en propose.
C'est plutôt l'idée qu'on en fasse qui mesurprenne, pas qu'on le goûte. J'aime l'idée qu'on fait des vins pour qu'on les boive et pas pour qu'on les goûte.

Je comprends bien que l'on considère que les Sommerberg de Boxler sont secs.Perso je perçois la sucrosité en attaque, même si elle est très vite relayée par l'acidité et la minéralité.

j'avais oublié cette rubrique.

Aujourd'hui j'ai redécouvert le Rebgarten 2004 (1er millésime) de LAurent BArth.C'est diablement bon, avec de belles notes d'orange amère et qqs touches florales (et celui qui trouve une trace de soupçon de miette d'hydrocarbure, franchement je doute ... sauf s'il déguste en sachant que c'est un riesling et qu'il s'attend à trouver ce qu'il cherche). S'apprécie réellement sec, mais riche et sans aucune austérité nie verdeur et une belle fraicheur nullement tranchante.

J'avais goûté les vins de ce jeune vigneron en décembre en sa présence mais dans le cadre d'un salon et là je l'ai apprécié avec plus d'attention, dans un restaurant qui mérite le détour (ouvert depuis 15 jours) servi (au verre) à la bonne T° (un peu trop frais mais comme il a esoin de temps pour s'exprimer il redescend gentiment) dans un verre adapté (Schott Schwiesel).

c'est ou ce resto?

j'ai trouvé dans bonnes adresses