2 jours de vendnage en Alsace chez les Schueller et comme toujours qqs bouteilles à  déguster à  table

D'abord en première mondiale (ou presque) avant tous les magazines… le Cornas 2002 de Th Allemand mis en bouteille dimanche dernier et deux bouteilles ouvertes avant-hier soir…

Le Cornas car sur ce millésime Thierry a préféré ne faire qu'une cuvée. C'es très bon très fin très élégant avec un très beau fruité. Evidemment ce n'est pas un monstre de puissance et la fraicheur est assez marquée (ce qui n'est pas forcément pour me déplaire… ce doit être mon côté snob septentrional (bbb)).
Noté on en boit on en reboit

HIER
Meursault Perrières 1996 de Vincent Dancer
Noté : soyons indulgents je crois qu'il s'agit de son premier millésime… à  6/8 euros ce serait un achat envisageable)

Pinot noir Vin de Pays de Franche Comté serge Ballot (un peit intrus que j'ai amené) 2002 : pas grand évidemment mais un joli vin de soif plein de franchise et sans saloperies (bio, et juste un peu de SO2… pas trop)… et à  5 euros. Beaucoup ont trouvé plus d'intérêt dans ce vin que dans le précédent !!

Pinot noir Puffeney (2002 je crois): après le précédent n'a pas emporté l'adhésion et les gens ont préféré se resservir du précédent. Un peu bon chic bon genre… bien élevé… mais trop lisse et sans personnalité… 12 euros c'est bien trop.

Clos du Curé 2000 domaine de Lisson (Pinot noir) :
Plus riche plus mûr … trop de bois c'est le reproche unanime (barriques neuves), un côté sud inévitable mais tout de même bien équilibré c'est le P.N. le plus intéressant de la soirée et d'assez loin (merde je défends un P.N. du sud).
Heureusement le P.N. cuvée réserve 1983 (bue mercredi soir) des Schueller est nettement au dessus de la mélée… on aimerait rencontrer plus souvent des Bourgognes dans un aussi bel état de conservation.
Le LN012 2003 (autre P.N. de Bruno) bu également la veille m'a beaucoup moins enthousismé (je l'ai dit à  Bruno) et confirmé ce que je pensais de ce millésime : robe noire (autant voire plus que le Cornas de Th. Allemand), arômes très mûrs(trop); mais lourdeur par manque d'acidité et de minéralité. Alors à  voir dans le temps…………

Brunello di Montalcino 1993…… oublié le nom… je demanderai
On monte encore d'un cran -voire deux- par rapport à  Lisson (mais pas par rapport au PN de 1983) même si comme d'habitude il y a un petit "goût" qui me déplait en finale sur les vins de Brunello… mais c'est tout à  fait personnel et je ne peux même pas le définir.

Deux trois choses à  faire je reviens