hier soir dégustation de qqs vins issus de ce (prétendu ?) grand terroir.
Une dominante : un côté "couillu" et un toucher de bouche marque par un duo amer/ astringent.
En résumé et pour faire vite (plus d'adsl) le grad gagnant de la soirée SGN 1994 de Deiss (comme quoi je ne tape pas systématiquement sur les "noms")qui montre que puissance, concentration, sucres résiduels et finesse ne sont pas antinomiques suivi d'un joli 2002 de Vincent Stoeffler (dommage qqs grammes de SR superflus) et le 1995 de Mittnacht-Klack (dans un style rugbyman avec en corolaire un manque de finesse). Un peu déçu par le 1983 VT de Hugel qui trahissait tout de même l'époque qui était à des rendements autres que ceux que l'on connait actuellement malgré un charme indéniable.
«Un homme se doit de croire en quelque chose... Moi, je crois que je vais boire un autre verre !»