Ce dîner s'est passé chez Laurent, à dix convives, avec des vins de ma cave.
Je vous en donne la primeur, car dans mes bulletins, ce récit sera peut-être relu et corrigé, car je relis toujours, et paraîtra dans trois semaines, puisque j'ai toujours un stock tampon d'histoires à raconter, en n'étant pas sur l'événement.
Là, comme c'était hier, c'est tout chaud.

Bonne lecture.

Le 59ème dîner de wine-dinners se tient au restaurant Laurent. Je me dirige vers cette belle rotonde que l’on voit de l’entrée, donnant sur le beau jardin aux marronniers complices. Une supernova m’aveugle. Patrick Lair, en m’attendant, a disposé les bouteilles du repas face au jardin, et Yquem 1949 brille comme un lourd diamant jaune sur les doigts d’une fée. Les niveaux des bouteilles sont tous exceptionnels, alors que toutes sauf une n’ont jamais été rebouchées. Le Château Grand Lambert 1924 a été rebouché en 1984. Les bouchons sortent facilement. Celui de Yquem s’effrite car il est très imbibé, celui du Nuits 1915, d’origine, fait tomber le monopole qu’avaient les vins de la Romanée Conti, car sous la capsule un fort sédiment sent la terre comme le constatera Christèle, charmante sommelière de précédents dîners, qui s’intéressait, comme Patrick Lair, aux odeurs de ces merveilles. Tous les parfums sont idéaux, pas de menace d’évanouissement et au contraire, il se dégage tant d’envoûtement de la bouteille d’Yquem que je referme bien vite afin que ces senteurs enivrantes soient partagées par tous mes convives. Tout s’est si bien passé, dans l’ambiance amicale de ceux qui préparent un chef d’œuvre, qu’un observateur de passage aurait dit : « c’est si simple que ça ? ».
Je me promène dans le quartier lourd en antiquaires et en boutiques de mode exhibant des robes portées par des déesses de plastique et je reviens pour accueillir les convives. Il y a un journaliste japonais qui rapportera sans doute l’événement à des connaisseurs qui ont une érudition rare, un journaliste d’un grand hebdomadaire qui racontera le dîner, le rédacteur en chef d’une revue professionnelle sur la viticulture qui aura vu une autre vision du vin, des jeunes mordus de mes dîners qui étranglent une nouvelle fois leur cagnotte, mon frère et son épouse qui voulaient voir enfin ce dont on parle souvent car je ne peux m’empêcher de raconter en famille ces aventures, un ami de quarante ans, à l’époque où l’on se disputait les prochaines danses dans des rallies, entre deux épreuves de mathématiques, et la plus fidèle de ces dîners, qui a probablement assisté à un bon tiers d’entre eux, dont l’enthousiasme est un support moral important.
Nous prenons au bar une coupe du magnum de champagne Rothschild à Epernay Réserve Vintage 1973 qui surprend par la jeunesse de sa bulle. La couleur est belle et dense, les petits toasts au saumon glissent en bouche avec bonheur et excitent cette belle bulle. Le goût s’est arrondi, concentré, et c’est un vin qui s’est simplifié, mais a gagné une longueur et une expressivité vineuse rare. Je ne m’attendais pas à tant d’élégance de ce champagne que je ne connaissais pas. Nous reprenons ce champagne à table. Il est donc opportun que je vous en donne le menu.
Le menu composé par Alain Pégouret et Philippe Bourguignon : Saint-Jacques marinées dans un lait crémeux au goût fumé, folichonne de concombre et raifort / Cuisses de grenouilles et haricots coco façon blanquette, jus en écume et noix de muscade / Jarret de veau de lait cuit doucement, légumes de chez Joël Thiébault rehaussés d’un jus acidulé / Râble de lièvre rôti au genièvre, mille-feuille de pomme gaufrette au chou rouge / Poire pochée au tilleul de Carpentras, mont-blanc et meringue mi-cuite. Nous nous connaissons tant avec Philippe Bourguignon que j’ai approuvé sa proposition sauf sur un plat. Malgré mon amour inconditionnel du lièvre à la royale et malgré la confiance indéfectible que j’ai pour mon Nuits Cailles 1915, j’ai demandé un râble. Là aussi, l’observateur de passage de tout à l’heure, s’il était revenu pour ce dîner aurait dit : « c’est si simple que ça ? », tant tout apparaissait naturel, simple, sans la moindre question.
Entre temps, la bulle du champagne s’évanouissait petit à petit, le champagne devenait plus vineux, et avec le sucré des coquilles Saint-Jacques, l’accord était magique, perturbé par cette folichonne de concombre excentrique mais pas par le raifort qui donnait une excitation justifiée au champagne.
On allait goûter deux vins sur les cuisses de grenouille. Le Saint Saturnin rosé grande sélection, VDQS de l’Héraut cuvée 1959 a une couleur d’un beau rubis raffiné, un pâle de Ceylan. Le nez est renversant de pureté, et j’ai adoré au-delà de l’imaginable ce rosé qui arrivait à exister à coté d’un des monstres sacrés de Bordeaux, le Laville Haut-Brion blanc 1976 qui dans cette année sèche et chaude explose de puissance alcoolique et de complexité. L’émulsion et les haricots coco formaient avec le rosé un accord qui prenait au ventre. Objectivement le rosé allait mieux avec le plat que le Laville, puissant, sûr de lui, qui méritait les applaudissements pour son talent intrinsèque. Le plat est une merveilleuse mise en valeur des vins.
Comme dirait un présentateur télé, c’est sous un tonnerre d’applaudissement que trois cheminées de centrales atomiques, trois jarrets de veau cuits vingt heures apparaissaient à notre table. J’avais annoncé dans le programme : Château Ausone 1955 (le deuxième 5 est supposé). J’avais bien supposé car le bouchon impeccable et d’origine révéla Château Ausone 1955. L’odeur d’emblée était sensuelle. Ausone nous annonçait : ce coup-ci, je ne joue pas les chochottes pudiques, je vous montre ce que je sais faire, et sur la délicieuse viande, un chaud vin de plaisir, rond en bouche, profond comme seuls les grands savent l’être ravit chacun des convives. Et le Magnum de Château Grand Lambert, Veuve Blanchet Ména, Pauillac 1924, comment allait-il se comporter ? Il évolua grandement dans nos verres. La première odeur fut plus sensuelle que celle de l’Ausone, le palais étant plus frêle. Puis, on commence à comprendre un peu plus le vin au message subtil. Dire que c’est un Pauillac n’est pas aisé. J’ai eu peur en milieu de bouteille car je sentais le vin qui se fermait, mettant en avant son acidité. Et tout est revenu, le vin s’améliorant encore pour délivrer en fin de bouteille un message de pur charme à la longue trace raffinée. C’est du velours, du tissu délicat à coté d’un Ausone conquérant, une magnifique et rassurante réussite de cette année.
Ma belle-sœur qui a vécu toute sa jeunesse à Bordeaux, a tété le Bordeaux à sa source, allait avoir un de ces chocs tragiques, quand des vérités que l’on croyait intangibles explosent sur une gorgée de vin. Le Nuits les Cailles, Morin Père & Fils 1915, le même que celui qui avait séduit Alain Senderens, est tellement parfait qu’on ne peut plus ignorer la Bourgogne. Le râble lourd, goûteux forme avec ce vin extraordinaire un accord viril. Comment expliquer quand un vin a tout pour lui. C’est George Clooney invité dans un pensionnat de jeunes filles. C’est Catherine Zeta-Jones arrivant dans une réunion de collectionneurs de timbres. Toutes les dentelures vont s’écorner. Jeune de couleur dans sa bouteille soufflée très ancienne et lourde, au nez précis de pur bourgogne, ce vin a tous les dons, dont celui de l’exactitude de ton. Difficile d’ajouter des caractéristiques quand on a la définition précise du bourgogne que l’on désire.
Le sauternes Joanne, appellation contrôlée, que j’ai situé vers 1950 a été l’objet d’une question que Patrick Lair a posée à Olivier Castéja, en lui décrivant l’étiquette au téléphone. De recoupements effectués on peut penser qu’il est de 1950 à 1955, avec cette jolie inscription : « expédié en cercles par Joanne ». En cercles, on peut supposer à bon droit que c’est en fûts. Le vin a une couleur qui ne pâlit pas à coté de celle d’Yquem, mais par précaution on va le boire avant, sur un délicieux dessert qui répond à mes désirs, car il n’y avait que trois saveurs, toutes complémentaires. Une poire délicate qui montrait tout le coté virginal et frêle du Joanne, une crème de châtaigne qui le renforçait et un marron glacé qui lui, allait affronter l’Yquem. Beau sauternes générique de pur plaisir comme le fut le rosé du début de repas. Quand Château d’Yquem 1949 arrive, on se tait. Cet or profond comme de l’acajou blond, ce parfum inimitable que seul Yquem possède, et puis en bouche, ce lourd jus de pure jouissance à la persistance infinie. C’est précis comme la Vénus de Milo, attirant comme le sourire de Laetitia Casta, et solennel comme le couronnement de Napoléon 1er. Il y a tout dans ce vin là.
Les votes de premier couronnèrent cinq fois Yquem, trois fois le Nuits Cailles, une fois Ausone et une fois le Laville Haut-Brion. Les plus votés furent Yquem, Nuits Cailles, Ausone et le champagne.
Mon vote personnel fut dans l’ordre : château d’Yquem 1949, Nuits Cailles Morin 1915, Champagne Rothschild 1973 et le rosé Saint-Saturnin 1959. Bien sûr, le rosé n’a pas la classe ni d’Ausone, ni du Laville Haut-Brion. C’est donc par pure coquetterie que je veux honorer ce sans grade du fait d’un accord merveilleux avec les grenouilles. De même, l’émotion était plus rare avec le Nuits Cailles 1915 qu’avec l’Yquem. Plus inespérée, plus inattendue. Mais l’Yquem est tellement parfait que je voulais aussi sacrer cette forme ultime de l’accomplissement du vin.
Des plats merveilleux d’une simplicité sereine, un service du plus haut niveau. L’un des plus beaux accords de dessert et sauternes, puisque c’est souvent la partie qui pèche le plus, quand le pâtissier fait un dessert comme un dessert et non pas comme un goût adapté au sauternes. Des vins sublimes, une atmosphère joyeuse. Comme après chaque dîner on se dit que ce fut le plus grand.

La journee commence bien ... Merci pour ce beau recit de soiree.

J'ai eu un sourire a vous lire sur le concombre. Voila un legume (en est-ce un ?) que je n'arrive pas a ingurgiter (je ne le digere pas) mais qui de surcroit ne me semble aller avec aucun vin tant sa saveur envahit le plat tel une bombe atomique. Il ne reste plus rien sur son passage ... que l'odeur et le gout du concombre.

Si on voit le coté positif des choses, j'ai eu un commentaire sur le concombre.

François, vous n'allez pas nous faire une déprime à chaque fois que vous n'avez pas de commentaires à vos posts. Cela arrive à nous tous, et on n'en pleurniche pas pour autant Je pense que ça fait partie de la vie du "posteur". On croit parfois qu'on va lancer un débat ou une polémique, et puis, rien . Et puis d'autres lancent des sujets que l'on peut trouver abslolument navrant, genre "je cherche un nom pour mon chien", et 37 personnes interviennent sur ce sujet... Allez comprendre .

Ne vous formalisez pas... Sachez que votre récit a dû en réjouir plus d'un, et c'est déjà pas mal

Que cela ne vous empêche pas de participer

Eric

Bonsoir François,

votre dernier message m'incite à vous répondre.
Comme sans doute beaucoup de personnes sur ce site, je lis avec régal toutes vos interventions, à la fois pour le fond (de bouteille ), la forme, et le plaisir que l'on a toujours à voir une passion de ce type s'exprimer.

Mais en l'occurence, l'expérience que vous décrivez est, à mon grand regret, si loin de mon quotidien oenologique que je n'ai pas grand chose de valable à apporter au débat.

Donc, même s'il n'y a pas beaucoup de commentaires, continuez s'il vous plait à partager vos expériences sur ce forum, pour notre plus grand bonheur.

Cordialement

Jean-Paul

Itou...
Imaginez Proust se lamentant parce que personne ne veut commenter La Recherche... il faut parfois écrire pour être seulement lu. Et ne vous plaignez pas, vous êtes lu de votre vivant!
C'est anecdotique, mais j'ai des amis qui possèdent une bouteille de Moët et Chandon 1924... qui a un niveau mi-épaule. Mais cette bouteille ne sera jamais bue, elle a une valeur sentimentale qui dépasse le plaisir de la consommer.
Cordialement,
Frédéric

Bonjour François,

je rejoins les précédent messages, mon premier acte sur LPV (le matin à l'embauche) est de vérifier si il n'y a pas de nouveaux récits sur ces fabuleux diners. Vous êtes assurément lu à défaut d'être commenté

Cordialement,

Il faut sauver le soldat 1924.

Il faut absolument boire cette bouteille.
Le sujet est très important, alors je vais faire un sujet spécial sur cela.

Frédéric, lisez bien ce que je vais écrire.

Pour le reste, excusez mon prurit. Mais je mets ces messages pour créer un dialogue. Pas pour me regarder le nombril. Je n'ai pas besoin de m'exhiber. Je veux faire triompher mes idées qui sont positives pour tout le monde.
Lisez ce nouveau sujet.

Nota pour les gestionnaires du site : j'aimerais bien un forum intitulé "les vins anciens", et je veux bien animer les discussions sur cette sous-partie de la passion du vin.

François

Nous nous sommes posés la question de savoir s'il fallait ouvrir un forum consacré aux vins anciens. Dès lors que nous avons décidé d'organiser les discussions en fonction des régions, une telle rubrique risquerait de faire doublon. Cela dit, la question reste ouverte car, compte tenu de ta science en la matière, cela pourrait être très très intéressant, surtout si tu t'engages à l'animer (à part toi, qui pourrait d'ailleurs le faire ?

Nous en reparlons et nous te tiendrons informé.

cordialement

Yves Zermatten

PS Je porte volontiers la cravate, mais je suis attaché au tutoiement, de rigueur sur LPV !

L'idée de François me semble tenir la route , à condition qu'il ne nous fasse pas le coup du " vous ne commentez pas mes récits ", et comment le faire si nous n'avons pas dégusté les vins. Pour ma part , je suis de tout coeur avec lui, j'aime sa façon d'écrire. Je lui parlerai plutôt de Montrose 2003 que de Montrose 1903. Qu'il veuille bien m'excuser pour cette petite digression.

Un forum spécial sur les vins anciens peut se justifier, parce que, quand des contributeurs parlent d'un vin et de leurs impressions sur les 96, 98, 00, 01, 02, 03, si j'arrive en disant que j'ai adoré un 1915, c'est comme si je venais d'une autre planète. Et ça complique le débat plutôt que le simplifier. Donc, je ne vois pas un gros risque de doublon.

Sur le tutoiement, j'estime qu'après une bonne dégustation, on se tutoie, ça me va. Mais tant qu'on n'a pas essuyé ses lèvres après les mêmes vins, je suis plutôt réservé, car ça dévalorise un peu le tutoiement.

Quand j'achète un téléphone portable, j'ouvre la boîte et je lis : "ouais, super, tu viens d'acquérir un téléphone hype", ça me troue.

je suis capable de parler le sms, de parler djeune. Mon tube du moment, c'est "Don't cha".
J'embrasse, mais je tutoie pas. (1)

(1) si je savais où se trouvent les émoticons, j'en aurais mis des tonnes après cette phrase d'humour.

François,

On est pas des "djeunes", mais depuis la création du forum, tout le monde se tutoie sur LPV. Cela n'empêche pas le respect, mais, par égard aux autres participants que je tutoie vertement, je ne vois pas pourquoi je ferai exception à cette règle tacite parce que tu bois des vieux vins, que tu portes cravate et que tu as la plume facile. Avec tout mon respect, j'espère que tu comprendras cette position. Je précise, pour te tranquiliser, qu'égalité de traitement n'équivaut pas à mes yeux à égalitarisme ravageur

Cela dit, tu peux me vouvoyer si tu préfères

cordiales salutations

Yves Zermatten

PS

un petit mot de courtoisie à la fin du post, c'est pas mal non plus, même si c'est un peu ringard et pas très djeune !

PS2 je ne suis pas capable de parler sms Je hais cette forme d'expression, justement par son caractère minimaliste; on élimine tout ce qui est superflu ou réputé tel.

PS3, les emoticons sont disponibles en cliquant sur la fonction "Mise en forme des messages et Smileys", juste au dessus de la fenetre dans laquelle vous ecrivez.

PS4 le "vous" est venu naturellement, alors je le garde.

Ces usages sont compliqués, je verrai comment je m'adapte.
Quant aux formules de politesse, je suis plutôt contre.
Un forum, c'est une discussion.
On discute.
Et quand je discute avec des amis, je ne finis pas chaque phrase par : "avec mes amitiés".
ça rend le style plus direct si on échange.
Certains mettent un proverbe en fin de message.
C'est bien une fois (pas au sens belge).
Mais cela n'ajoute pas à la discussion.
Si je mets en fin de message une phrase que j'adore, car je m'en inspire pour garder en toute circonstance une certaine humilité : "plus le singe monte haut, plus il montre son derrière", vous vous lasserez au bout de la millième.

Là dessus, tu ou vous, je ne sais pas. je lutte plutôt contre le "tu" banalisé.

Anecdote. Je vois un ministre qui dans un journal (un ministre !) fait une lettre ouverte à un cheminot en grève.
Et il commence par :
"tu crois que la grève est justifiée par ..."

Si un ministre tutoie un cheminot, je ne vois pas pourquoi le cheminot ne tutoierait pas le ministre. Et là, c'est le début du n'importe quoi.
Quand Fabius invite des gamins de 12 ans à l'Assemblée Nationale, et dit : "aujourd'hui, c'est vous qui gouvernez la France", c'est le début du n'importe quoi.

Donc, tu ou vous, on verra. Phrase de politesse : non dans un dialogue.
Proverbe. Pas pour moi.

Tout ça, ça ne fait toujours pas beaucoup de questions sur mon dîner. Mais je vais m'adapter. Pensez simplement une chose, c'est que boire Yquem 1949, c'est une étape dans sa vie : on touche à la perfection gustative absolue.

Lisez ce qui suit, mais pour la dernière fois :

Cordialement
François

"Le Smic est à mille millions, pardon, mille milliards, pardon cent mille millions de milliards de centimes. Ah, c'est difficile les chiffres !". (Henri Krazucki)

Je ne vois pas la commande en question sur les smileys.
Sur le site, il y a la barre verte où il y a le mot forum.
Au dessus, il y a une vigne, avec le logo du site LPV.
Au dessus, j'ai une barre de type Google. Et j'ai plusieurs commandes.
Et au dessus de l'adresse, c'est le bandeau classique de type messagerie.
Où devrait se trouver cette commande ?

A l'endroit où vous rédigez votre message. Juste au-dessus, vous verrez "mise en forme des messages et smileys".

Luc

Je dois être miro, c'est sûr.
Là où j'écris, il y a marqué Action : les forums, les discussions, chercher, s'authentifier. En dessous, il y a marqué : prévisualiser et valider. Voilà pour le carré de saisie.
Au dessus, il y a options, répondre, répondre en citant, envoyer ce message à un modérateur.
Tout ça, ça bouge avec le curseur vertical.
Il y a au dessus le bandeau fixe du site, avec LPV?, Archives, La Charte, Forum, Recherche, Nous contacter, Liens et Aide.

Ensuite il y a ma barre Google avec rechercher, nouveau, Google actualités, les pop-ups, l'orthographe, deux smileys de vote, des options de la barre Google et une stylet de fonction de temps de recherche.

Je remonte, mais je n'ai toujours pas trouvé votre fonction.

Je suis miro, c'est sûr.

Il s'agit de la phrase en gras "Mise en forme des messages et Smileys"
(en dessous de la case à cocher "Ajouter ma signature).

En fait c'est un lien ouvrant une fenêtre pleine de smileys, mais qui ne fonctionnent pas toujours.

Cordialement,
dfried

pas vu.

j'ai pas.

désolé de vous embêter

Peut être faut il s'identifier pour avoir accès à ces smileys ?

c'est ici :

EDIT : peut être faut-il être enregistré pour voir ces options

François,

Il faut effectivement être enregistré pour bénéficier de toutes les fonctionnalités du forum. Cliquez sur "s'authentifier" et le problème sera réglé.

Luc