Un ami a invité deux pour un petit dîner, mais avec quelques grands vins.
Nous avons commencé avec un Domaine David Léclapart NV Champagne. Ce vin a un bouquet énergique - forte composante de levure, d'agrumes et de fleurs. En bouche, il a été très sec. Très agressif et incisif, et quelque peu surprenant étant donné les aromatiques effusives. On m'a dit que c'est un vin de dosage zéro. Je n'ai pas noté d'information supplémentaire sur la bouteille (cuvée, etc.). J'ai aimé ce vin, qui m'a rappelé un riesling GG de Keller. Il serait agréable de déguster ce après avoir été ouverte un jour ou deux, ou apres quelques années en la bouteille.
Nous avons ensuite eu une paire de vins blancs. La première était le Domaine des Comtes Lafon 2008 Meursault Charmes. C'est un svelte Meursault, séduisante. Il est très lisse, la structure enterrée sous les fruits et la richesse. Il avait typicité Meursault. J'ai été séduit par ce vin. Il était servi avec un Evening Land 2009 Seven Springs Vineyard "La Source" Chardonnay. Dominique Lafon est un propriétaire et un participant actif dans ce projet de l'Oregon. Le vin a été remarquablement subtile pour un Chardonnay du New World, avec une grande retenue. Ce ne fut pas une grande différence de Meursault en composés aromatiques et de la texture - fruits un peu plus rond et une touche plus exotique. Il n'a pas eu la même structure ensevelis sous les fruits, cependant.
Les deux vins ont été servis avec Sole Meunier. Les deux correspondent assez bien. Le Evening Land montrant un fruit un peu plus ouvertement avec le plat. Le Lafon est devenu plus sévère (dans le bon sens, pour soutenir la richesse de la pêche) et une note brillante d'herbes est sorti.
Le vin qui suit a été un remarquable Domaine Moillard 1971 Chambertin-Clos de Bèze. Ce fut ouvert au dîner. Les aromatiques ont été magnifiques de la première coulée. Il y'avait un noyau solide de fruits - initialement de cérise et fruit rouges, mais quand la nuit passait, plus prunes. Parfums intrigants de cuir, aiguilles de pin, rose musquée, de gravier, limon, sous bois allaient et venaient, comme la nuit passait. Le vin a été bien construit, avec juste un soupçon des meilleurs tanins et un petit baiser d'acidité volatile. Il était grand, très masculin et Chambertin. Quel plaisir d'avoir ce vin. Le vin a été servi avec un risotto aux champignons. L'accord ne fonctionne pas si bien. Je pensais que la shitake n'était pas cuit comme bien (longue) comme ils auraient dû être (et, en général, de trouver ce champignon au moins adaptés aux vins rouges). L'accord avec les blancs s'est bien passé.
Après une salade, nous avons servi un Comté de 15 mois avec un Michel Gahier 2002 Arbois Vin jaune. Le vin a été l'un des meilleurs jeune vin jaune j'ai goûté et l'accord était la plus belle de la nuit. Je vais coller une note ci-dessous d'un autre thread sur ce vin et comment je l'ai ouvert:
"J'ai apporté un Arbois Vin Jaune 2002 de Michel Gahier à un dîner. Je l'ai ouvert cinq jours avant le dîner. Ouverture de la première, il a eu un très bel équilibre. Il n'était ni au corps léger, ni lourd: pas aussi puissant qu'un Puffeney, mais pas aussi léger qu'une Macle. Le qualité "oxidation" a été assez forte. Le vin était un peu austère, mais j'ai été frappé par lui. Cinq jours plus tard, «l'oxydation» avaient presque complètement disparu. Les aromatiques vraiment épanouie: les noix et les amandes à la fois était evident. Et aussi au caramel et même le chocolat blanc. Il y'avait une qualité de fruit difficile à identifier. Et, d'épices, cannelle parmi eux, allaient et venaient à chaque gorgée. Il avait une qualité douce pour elle. On a dit qu'il avait le goût d'amandes glacées. Ce fut un grand vin qui va bien chez un dîner avec certains bourgognes célèbre. C'était un vin très différent de celui du vin de cinq jours avant. Ce sont les expériences de ce type qui me conduisent à ouvrir n'importe quel vin sous voile pour un dîner plusieurs jours avant le dîner.'
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