C'est aujourd'hui possible avec www.vinexpert.com/ss...
. Cette entreprise quebecquoise vous fournit le matériel de base et vous pouvez produire au choix du Chardonnay, du Gewürtz, du Cabernet français, du barolo, ou de la Syrah australienne. Tous vos fantasmes sont réalisables.
Des copeaux de chêne sont à votre disposition, ainsi que des sachets de fleur de sureau pour renforcer le côté floral de vos vins blancs...
Faites la nique à Michel Rolland, grâce à Winexpert
"Des copeaux de chêne sont à votre disposition, ainsi que des sachets de fleur de sureau pour renforcer le côté floral de vos vins blancs... "
Pourqoi, ce n'est pas comme ça que l'on fait en France parfois ?
D'accord, je sors ! vite !
stef24
Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! (Charles Baudelaire)
Ayant vécu quelques années au Québec, je peux vous dire que la fabrication artisanale de vin est une chose bien vivante et très sympa. Elle est essentiellement le fait de la communauté Italienne de Montréal. Chaque année, les gens achètent leurs raisins au marché, spécialement importé d'Europe pour cela, puis font leurs vins (certains même osent la Grappa). Les résultats sont loin d'être terribles mais c'est franchement convivial (le pb c'est qu'il faut forcément y gouter quand on est invité ...)
Quand j'étais au Québec, j'ai dormi ches des personnes très charmantes qui achetaient de gros sachets de "poudre de vin". Elles en remplissaient un tonneau, qui restait dehors sous la gouttière, et que l'on mélangeait de temps en temps. Ils appellaient ça "faire du vin". Je n'ai pas goûté...
Et en termes de prix, c'est bien plus économique que d'acheter chez un vigneron.
Par ailleurs, quand on voit la qualité des vins vendus en magasin à 1,5 euros (en bouteille verre en plus), la qualité doit être proche. Là, c'est écologique : pas de contenant à recycler.
Francois, je suis contente, que quelqu'un au moins est allé voir ce lien - qui n'est qu'un exemple parmi d'autres, la presse professionnelle pour vignerons en regorge! Et ce n'est pas limité aux vins à 1,50€, malheureusement -
J'aimerais bien connaître les chiffres, peut être quelqu'un ici en sait plus que moi? Mais après mon humble expérience avec des confrères, je crois que c'est plutôt 80 à 90 % des vignerons, qui ont recours à l'un ou l'autre de ces produits au cours de la vinification.
Les cas, où ils soulignent travailler que avec des levures indigènes sont plutôt rares - et les acidificateurs se vendent par semi-remorque les bons années...