Ce soir, suite à la superbe dégustation de sociando mallet que nous avait évoqué de façon remarquable Olif, j'avais décidé d'ouvrir un 1995 et c'est là que mon malheur commence, la hantise que nous avons tous : LE BOUCHON et bien oui elle était bouchonnée, que dis je c'était du jus de liège.
Je ne crois pas me tromper en disant que nous avons tous vécu cette mesaventure, qui nous fait passer de la colère à la tristesse et à la décéption.
On se dit alors que cela ne tient pas à grand chose, malgrés toutes les précautions que l'on prend pour les conserver, peu etre que c'était le destin de cette bouteille marié a ce bouchon, qui pour ma part ne présentait pas de défaut.
Alors pour ne pas rester sur ma fin je suis redecendu à la cave et j'ai pris une vieille connaissance qui me réchauffe toujours le coeur un vin de mon pays que j'aime tant (pour ceux qui connaissent un domaine de peyra cuvée les liens AOC cotes d'auvergne), et la magie est revenue, la décéption c'est éffacée.
voilà c'était un petit billet d'humeur qui de triste est redevenu heureux.
BIEN A VOUS
Jerome
Pour te consoler un peu, la même mésaventure avec un 90 il y a quelques semaines...snif...le pire c'est quand on en a qu'une dans le millésime, ce n'est pas mon cas j'espère que ce n'est pas le tien non plus.
J'ai donc ressenti la même chose sans passer par la case colère.