Voilà, notre première rencontre a eu lieu : celle-ci nous a permis de faire connaissance et de réaliser une belle dégustation, en passant un moment
convivial et d’échanges.

La liste des participants: Lelie et Mme, Xavier, Niko, Sébastien et Mme, Jean-Christophe, Cécile et moi même.

Le thème : "coups de coeur" avec

- Vouvray, Huet, Clos du Bourg, 2004.
- Anjou blanc sec, R Leroy, Les Noëls de Montbenault, 2004.
- Saumur blanc, A Foucault, Domaine du Collier, 2004.
- Montlouis, F Chidaine, Les Bournais, 2004.
- Arbois, S Tissot, La Mailloche, 2002.
- Collioure blanc, La Rectorie, 2004?
- Clos Fourtet, 1996.
- Tour Haut-Caussan, 2003.
- La Tour Carnet, 2001.
- Champagne F Boulard Blanc de blanc, 100% Chardonnay.
- Sociando-Mallet, 2003.
- Pavie-Macquin, 2003.
- Madiran, P Barré, Cuvée Charles Batz, 1999.
- Coteaux du Layon, R Leroy, Les Noëls de Montbenault, 2001.

Les vins n'ont pas été dégustés à l'aveugle (problème logistique que nous résoudrons pour une prochaine rencontre).
Trois vins ont subi un double carafage (Sociando-Mallet, Pavie-Macquin, Madiran) et d'ailleurs ces vins ont été dégustés à table (manque de temps, notre passion pour la discussion et les échanges nous ayant emportés ...).

Pas de problème de bouteille, hormis une bouteille de Jadis 2001, que j'ai préparé le matin. Le vin n'était pas au mieux, je pense à un problème de conservation (il s'est encore dégradé depuis hier).

Dégustation éclectique du fait du thème, mais très bon niveau pour une première rencontre.
Je remercie d’ailleurs les participants pour leurs apports et l’enthousiasme à partager notre passion commune.
Nul doute qu’il y aura une suite; déjà un thème Rhône sud est évoqué pour une prochaine rencontre.

PS : Je n’ai pas le temps de mettre mes notes à jour, car nous devons redescendre dans notre région d’adoption (pour certains notre « temple »).

Quoi quoi !!
qui a dit Rhône sud...;-)
On attend les commentaires...

Docadn, ce n'est qu'un projet mais celà semblait intéresser nos participants du jour.
Promis, demain je met mes notes à jour et j'essaierai de te remettre sur les rails du Chenin..................

Grrrr...enache.
;-)

Voici venu le temps de vous révéler mes impressions, sur les vins de cette dégustation.

- Vouvray, Clos du Bourg 2004, Huet :
Robe, jaune clair brillante, qui a perdu les reflets verts de sa jeunesse.
Nez, légèrement fermé (T°de service un peu trop froid), on arrive quand même à percevoir des notes de fruits blancs (poire), agrumes.
Bouche, belle attaque vive sur la poire, puis le milieu de bouche nous montre un bel équilibre de matière, le fond de bouche révéle des notes agrumes (pamplemouse rosé), bon équilibre général, le vin est accessible sur le fruit.

- Anjou blanc sec, Les Noëls de Montbenault 2004, R Leroy :
Robe jaune soutenue.
Nez, légèrement typé botrytis, sur le coing, les fleurs blanches.
Bouche, c'est droit, bonne attaque avec un bel équilibre, tendu, belle minéralité avec en fond de bouche une note métallique, bonne persistance aromatique.

- Saumur blanc, A Foucault, Domaine du Collier, 2004 :
Robe jaune clair, léger reflet vert.
Nez frais, floral, sur les agrumes puis les fruits blancs, l'élevage est encore marqué par un élégant fumé.
Bouche, grosse minéralité, juste ce qu'il faut de matière pour balancer une belle acidité. Le fruit s'exprime de fort belle manière, la finale est belle, bonne persistance sur des notes de poire. Encore un peu marquée par l'élevage ce vin a déjà évolué depuis ma dernière dégustation et il devrait encore évoluer dans le bon sens.
Un beau vin dans un millésime pas facile.


- Montlouis, F Chidaine, Les Bournais, 2004 :
Robe jaune doré.
Nez, sur le coing, miélé, tilleul.
Bouche l'attaque est ample, le vin est riche mais une bonne acidité vient bien l'équilibrer, aucune lourdeur.
Le fruit explose sur le coing, des notes florales. Belle persistance.

- Arbois, S Tissot, La Mailloche, 2002 :
Mon premier rendez-vous avec cette Mailloche 2002 si souvent encensée, que je me faisais un plaisir de découvrir ; malheuresement sur celle-ci, nous avons eu un léger problème de bouteille.
Je laisserai donc le spécialiste qui vous en parlera mieux que moi. Dommage.

- Collioure blanc, La Rectorie, 2004 ? :
Robe jaune clair.
Nez fin sur des notes de réglisse/d'anis.
Bouche, nous jouons sur un registre de finesse, le vin est porté par une légère acidité en milieu de bouche qui révéle la poire, la pêche blanche. Peut être, un petit manque de longueur. Je ne connais que trop peu ces vins blancs du sud pour vous en dire plus.
Ce sont des équilibres différents du Chenin, mais à table, il se comporte bien.

- Clos Fourtet, 1996 :
Robe rubis, avec une légère trace d'évolution.
Nez sur le cuir puis les fruits rouges, tout en finesse.
Bouche, c'est fin, les tanins sont polis, belle finesse aromatique, agréable en l'état mais un petit plus sur la matière lui aurait donné du volume. L'équilibre est bon.

- Tour Haut-Caussan, 2003 :
Robe soutenue.
Nez sur le fruit mûr (cassis), fin.
Bouche, l'attaque se fait sur la finesse, puis elle prend du volume pour jouer sur une texture veloutée.
Les tanins sont présents mais commencent à se fondre, pour laisser le fruit s'exprimer.
Belle longueur, pas de lourdeur, pour un 2003, bravo.

- La Tour Carnet, 2001 :
Robe rubis.
Nez peu expressif, à l'agitation quelques notes d 'élevage, un peu de pruneau.
Bouche, belle matière, tout de suite séduit par le côté élevage (vanillé/grillé), le milieu de bouche est un peu court, je retrouve le pruneau, bonne longueur mais trop marqué par le bois (pour moi).
Certains ont aimé ce que je lui reproche, car pour moi c'est un vin un peu pommadé, bien sur dans l'état de la dégustation.

Pris par le temps qui passe, nous décidons de prendre place à table, pour cela nous allons faire une transition avec le vin suivant qui nous permettra de nous remettre en bouche.

- Champagne F Boulart Blanc de blanc, 100% Chardonnay :
Robe jaune clair, bulle fine.
Nez, légèrement beurré, fruité, fin.
Bouche, superbe attaque, belle matière, des notes beurrés, des arômes de fruits blancs.
Bon Champagne qui joue sur le registre du vin.

- Sociando-Mallet, 2003 ; ce vin a été double-carafé :
Robe sombre, très sombre.
Nez, sur les fruits noirs mûrs, légèrement marqué par le boisé.
Bouche, belle matière c'est soyeux, le fruit s'exprime, les tanins sont présents mais pas dérangeant, ils s'intégrent bien au vin. Finale peut être un peu courte mais une bonne persistance quand même.

- Pavie-Macquin, 2003 ; ce vin a été double-carafé :
Robe sombre.
Nez explosion de fruits noirs mûrs, très élégant, mais on fait aourgh ! ! ! ! ! ! !monstrueux. (une case de ma mémoire me met en alerte et me dit, tu connais ce nez ; ben mais c'est bien sûr, lorsque Nidal a ouvert Pavie-Macquin 98, j'ai déjà eu ce ressenti).
Bouche, c'est velouté, le vin s'exprime pleinement, les tanins sont ronds, serrés, le vin est riche, le fruit envahit le palais, l'équilibre est quasi parfait, je n'ose vous parler de la longueur qui est longueeeeeeeeee…..
En fond de bouche de bouche cette note de crayon à papier, je ne sais pas si on peut l'associer à de la minéralité ?
Bref, superbe bouteille qui me fait penser, que nous avons bien fait, de faire l'effort financier pour l'encaver.

- Madiran, P Barré, Cuvée Charles Batz, 1999 ; ce vin a été double-carafé :
Robe opaque.
Nez sur la mure, myrtille.
Bouche étonnante de fraicheur pour du Tannat, les tanins sont fondus, la matière est moyenne mais il n'y a pas de désiquilibre, les fruits noirs explosent surtout la mure, la finale est plus dure mais tellement agréable.
Bonne surprise, je ne le connaissais qu'en version 2001.

- Coteaux du Layon, R Leroy, Les Noëls de Montbenault, 2001 :
Robe d'un beau doré.
Nez typique botrytis.
Bouche, la bouche se tapisse d'un nectar doux mais aérien, les notes de coing, de miel, de pain d'épices, superbe longueur avec pour finale une pointe de minéral qui vient nous remettre la bouche en harmonie. Nectar divin, mais que la bouteille semble petite…………..

Voilà, donc à bientôt pour une nouvelle rencontre.

content de voir que ca s'est bien passé
par contre, je suis etonné de ne lire que tes commentaires, mais ou sont passé les autres participants ??

tous partis trouver du pavie macquin ?

Belle série Laurent.
Si je te comprends bien, je dois me ruer sur Pavie-Macquin 2003

Olivier

Et comment Olivier, j'ai vraiment l'impression que c'est un vin qui fera date, en Rive Droite, dans le millésime 2003.

Daniel

Daniel,

Je te promets de faire l'impossible

Olivier

Sébastien, nous aurions aimé avoir les tiens ;-), mais l'essentiel n'est pas dans les commentaires.

L'essentiel, c'est que des amateurs, comme moi, aient réussi à sauter le pas et à participer à cette rencontre.

Comme nous avons passé un bon moment, je suis certains qu'ils ne vont pas tarder à intervenir, puis maintenant, je suis confiant pour que nous établissions un programme de rencontre régulière.

Je crois que de genèse, nous allons passer à vie de d'un CDR-LPV Picardie.

Olivier, effectivement une beau vin que ce Pavie-Macquin 2003 qui réussit à éviter les pièges de ce millésime, bravo.
Si tu ne le connais pas, il se pourrait bien que nous fassions une entorse bordelaise, prochainement.

Oui oui je vois !

Olivier

chinbourg Écrivait:

---

> Sébastien, nous aurions aimé avoir les tiens ;-),
> mais l'essentiel n'est pas dans les commentaires.

oui c'est vrai mais quand j'ai ecris "commentaires" je ne pensais pas specialement a CR
amusant le fait d'avoir degusté un champagne boulard alors qu'il aurait presque pu etre present si on etait pas en periode de vendange.
j'espere en tout cas etre present pour la prochaine

En effet, amusant mais pas surprenant, car Bruno a rencontré Francis Boulard et il a voulu nous faire découvrir une de ses cuvées.

Nous nous ferons un plaisir de te rencontrer Sébastien.

TeK Écrivait:

---

> oui c'est vrai mais quand j'ai ecris
> "commentaires" je ne pensais pas specialement a CR
>
> amusant le fait d'avoir degusté un champagne
> boulard alors qu'il aurait presque pu etre present
> si on etait pas en periode de vendange.
> j'espere en tout cas etre present pour la
> prochaine

Je n'ai pas pris de notes donc difficile de faire un CR aussi détaillé que celui de Laurent. C'était ma première dégustation de ce type donc je ne m'en sentais pas capable.

Pour les bons moments passés je rejoins ce qu'a dit Laurent. J'ajouterai que pour un débutant comme moi, cette rencontre m'a permis de découvrir des cépages, des terroirs et des vignerons, le tout raconté par des passionnés, le top !

Pour les flacons dégustés, j'ai particulièrement apprécié le Montlouis de Chidaine, et le Vouvray de chez Huet (bouteille finie sur le repas)
Concernant les rouges que je ne connaissais pas, la Tour Haut Caussant m'a semblé particulièrement réussi... et le Madiran m'a surpris.
Le Coteaux de Layon a conclu en apothéose cette superbe dégustation qui restera pour moi un grand souvenir (normal, la 1ere :-))

La prochaine sera (normalement) sur le Rhone Sud et je me creuse déjà la tête pour déterminer quels flacons je vais amener...

Amitiés
NIKO

PS : Pour Pavie Macquin 2003 je compte murer une partie de ma cave pour ne plus en ouvrir lol

Niko,

Ce qui est bien, c'est que tu as su apprécier deux vins vinifiés différemment; Huet peu d'élevage=> qui donne un Clos du Bourg 04 éclatant de fraicheur et de fruit.
Chidaine élevage plus long => qui donne un Bournais, rond, riche, sur d'autres notes de fruit.

Dommage, elle était trop petite cette dernière bouteille.

A bientôt.

J'ai oublié de vous faire part de mes tiercés gagnants:

1 Anjou blanc sec, R Leroy, Les Noëls de Montbenault, 2004.
2 Saumur blanc, A Foucault, Domaine du Collier, 2004.
3 Montlouis, F Chidaine, Les Bournais, 2004.

1 Pavie-Macquin, 2003.
2 Sociando-Mallet, 2003.
3 Madiran, P Barré, Cuvée Charles Batz, 1999.

Le Champagne était super aussi, ainsi que le Layon.

Laurent,

J'ai oublié de mentionner que la Mailloche était extraordinaire.... mais le lendemain à la maison lors d'un repas en famille !!!

Pourquoi le vin ne s'est pas exprimé lors de la dégustation ? tu seras surement mieux répondre que moi, en tout cas pas de problème de bouteille pour moi.

Amitiés
NIKO

Niko,

Justement mon peu d'expérience dans les vins du Jura me faisait penser à un problème de bouteille. Surtout que Bruno me confirmait, qu'elle ne se goutait pas comme ils avaient eu l'habitude de la déguster.
Bon alors, belle et bonne surprise!

Nous aurions peut être du la préparer avec plus de précaution, si on refait une dégustation avec un ou des vins du Jura, nous essaierons de nous renseigner auprès des spécialistes, pour savoir comment faire.

Bonsoir à tous,

Tout d’abord un grand remerciement à Laurent pour avoir lancer LPV Picardie, sa générosité est à la hauteur du Pavie-Macquin 2003 dégusté !
Merci aussi à tous pour cette première rencontre ou toutes les bouteilles dégustées étaient à la hauteur de cette naissance.

Laurent a bien décrie les vins, je rajoute seulement quelques compléments dans la mesure de mes modestes compétences :

- Vouvray, Clos du Bourg 2004, Huet :
Un chenin sec comme je l’aime, on retrouve un peu de la typicité de l’année 2002 dans cette cuvée : souplesse et minéralité.
Accompagné sur le poisson (loup) lors du repas, l’accord était parfait. La T° du vin étant revenue plus propice, des aromes de fleurs blanches se dégageaient (acacia), puis en bouche une finale sur les agrumes. Un équilibre très plaisant.

- Anjou blanc sec, Les Noëls de Montbenault 2004, R Leroy :
Un chenin sur un terroir de schiste, voila qui est intéressant : ben, c’est comme qui dirait métallique (sic ?) en bouche.
Au nez, j’ai ressentie des notes de miel et d’épices.
Un très beau vin.

- Saumur blanc, A Foucault, Domaine du Collier, 2004 :
Nez sur les fruits blancs et une bouche où la poire domine. Je pense que l’élevage masque encore trop les aromes mais il devrait être
somptueux dans quelques mois.

- Montlouis, F Chidaine, Les Bournais, 2004 :
C’est passerillé nous a dit Laurent ! ben, c’est surtout plein de miel et de coing au nez!
La bouche est ronde et longue, c’est très riche !
Un bel équilibre qui est le fruit d’un trie sévère lors des vendanges, du beau travail qui se ressent en bouteille !

- Arbois, S Tissot, La Mailloche, 2002 :
La petite déception de la journée, bouteille légèrement oxydée où les notes de noisettes des dernières bouteilles dégustées ont disparues.
Problème de bouteille ou évolution rapide du vin ?
Ps : J’en profite pour remercier Olif de la découverte des trésors vineux du Jura !

- Collioure blanc, L’Argile de La Rectorie, 2004 :
C’est 2004 et c’est beaucoup de grenache gris dans la bouteille.
Vin de pierre et de schiste, de mer et de montagne, de soleil et de vent.
Un nez sur un alcool de fruits à noyau du genre mirabelle.
En bouche, une chair veloutée prend possession du palais, c’est riche et frais avec une finale minérale.
La puissance de ce vin incite des accords avec des plats robustes.

- Clos Fourtet, 1996 :
Je confirme le cuir au nez, les petits tanins donnant une bouche charnue et équilibrée.
J’ai eu la chance de finir la bouteille le soir même, les aromes de toastés et d’épices enveloppaient le nez avec une finale souple et longue.
Superbe !

- Tour Haut-Caussan, 2003 :
Voila un vin qui fait honneur au médoc, c’est fin et sans lourdeur, un nez de fruit noir très mur et une belle bouche sur du velours.
C’est fin, ça se boit sans faim !

- La Tour Carnet, 2001 :
Ben la, plus de finesse.
Trop marqué par l’élevage sous bois à mon goût.
Quid de l’avenir ?

- Champagne F Boulard Blanc de blanc, 100% Chardonnay :
En honneur à notre vigneron absent pour raison de vendange;
Fruité et floral au nez, harmonieux et fin en bouche.
Un vin qui fait aimer le Champagne !

- Sociando-Mallet, 2003 ;
Un concentré de fruits noirs en bouteille (et au nez) !
Des petites notes de boisées/vanillées mais fines donnant un beau soyeux aux fruits.
C’est très bon maintenant .

- Pavie-Macquin, 2003 ; ce vin a été double-carafé :
Ben, je ne connaissais pas et je pleure toutes les nuitsde ne pas en avoir encavé.

C’est explosif au nez, atomique en bouche et immortel en finale.
Le tout sur un équilibre parfait.
J’ai soupçonné un moment Nico d’avoir mis 2003 au lieu de 1998 pour tromper Laurent

Voila 3 bordeaux 2003 qui me réconcilie avec cette année que je trouve pas si facile.

- Madiran, P Barré, Cuvée Charles Batz, 1999 ; ce vin a été double-carafé :
Noir c’est noir, mais beaucoup d’espoir encore dans cette cuvée.
Les tanins ont fait place au Tannat, les notes de fruits noirs laisse la place aux épices dans la finale.
J’aime bien même si c’est difficile pour lui de passer derrière tant de finesse.
Beaucoup plus à son aise avec la pièce de bœuf.

- Coteaux du Layon, R Leroy, Les Noëls de Montbenault, 2001 :
Buvez du layon, c’est bon !

Mais alors la, quand c’est équilibré comme cela, sans lourdeur vers le sucre ou l’alcool, quand c’est si bien travaillé dans une si belle année, c’est inoubliablement diabolique.

Noël en avance cette année, merci du cadeau.

Vivement LPV Picardie II.
Bruno.

Ben voilà, c'est Sébastien qui va être content de lire les impressions d'un autre participant.;-))))

Bruno, attention sur les Bournais, j'ai juste donner une sensation, car si celà avait été le cas, nous ne serions plus sur les mêmes équilibres. Mais comme tu le dis, si bien :
Un bel équilibre qui est le fruit d’un trie sévère lors des vendanges, du beau travail qui se ressent en bouteille !

Est ce que tu as vu le message de Niko?
Il a redégusté cette Mailloche le lendemain, il l'a trouvé extraordinaire, bonne surprise!

Sur le Collioure, j'ai du passer à côté mais celà ne m'étonne pas, je suis de plus en plus addict au Chenin, sur d'autres équilibres, j'ai plus de mal à analyser.

Merci à vous pour ces commentaires, donc à bientôt pour une aventure sud-rhodanienne.

PS: Les autres participants, n'étant pas rompus à l'exercice du ouaib, ne feront pas de commentaire; mais rien ne dit qu'avec le temps, ils se lancent...

De voir tous ces messages me fait encore plus regretter de ne pas avoir pu etre parmi vous.
Concenant la Mailloche, voici deux pistes, qui sont des classiques avec les vins du Jura. Soit servi trop froid, soit ouvert trop tard.
En esperant vous rejoindre a la suivante (pour moi, le rhone est en "terra incognita")
Teva

Bonjour Teva,

J'espère que ton bras va mieux.

Tu arriveras bien à nous trouver un ou deux bons petits Rhône-Sud, si vraiment tu cales, je te ferai une liste de ce que je peut apporter, puis on s'arrangera.

A bientôt.

Allez encore un effort, on est presque qu'à 200. ;-))))))))))))))))

Allez encore un effort, on est presque qu'à 200.

Tu ne serais pas un peu accro au compteur?

Merci Bertrand.

chinbourg Écrivait:

---

>
> - La Tour Carnet, 2001 :

> Certains ont aimé

Oui comme le GJE qui l'a classé 1er dans une dégustation de 80 crus de 2001.

Moi pas comprendre pourquoi...

Peut être notre bouteille avait un problème ><

NIKO

J'en ai bu une récemment et je l'ai ma foi trouvée fort agréable à boire. D'un style peut-être facile d'accès, mais ce n'est pas une tare en ce qui me concerne.

Luc

Luc, ce n'est pas une tare mais je n'ai pas éprouvé le même plaisir qu'avec la finesse de texture de Pavie Macquin.

Paradoxelement, mon ami Sébastien qui avait amené cette bouteille, lui il aime pour le côté enjoleur, le boisé séduisant joue son effet sur lui.
Comme quoi il en faut pour tous les gouts; mais aussi les limites de la dégustation à l'aveugle, car pour moi, il finit dernier de la dégustation des rouges ce jour là.

Laurent,

Si tu compares Tour Carnet 2001 avec Pavie Macquin 2003, c'est certain que Pavie Macquin c'est autre chose. C'est beaucoup plus cher aussi...
Place maintenant Tour Carnet 2001 au milieu d'une série de Médocs 2001 au style plutôt austère, le résultat ne sera sans doute pas le même.
Nous avons fait récemment l'expérience avec le 2002 (pourtant moins réputé) lors d'une dégustation de vins de la rive gauche 2002 avec le cercle belge, il a fait des ravages à l'aveugle !

Luc