Un Fred en grande forme! (tu)A l'écrit comme à l'oral!

Si tu sais où je peux trouver des Terres salées, je suis assez preneur de ce blanc.

A bientôt Fredo!

Fredo, on dirait que t'as fait des progrès sur les photos !!!!!!!!!!!!!!

En attendant de compiler les notes de notre belle journée au soleil , j'aimerai vous faire part de ce qui est arrivé à un des flacons que j'avais apporté (Lacoste Germane, "le Cade 2003" ) qui était opposé dans la "6ème" à un certain Daumas Gassac. Comme Guy Lux et Bilto, j'avais choisi de miser sur un "Challenger" qui était opposé à une "pointure", car leur structure me paraissaient similaires.
Bref je vous explique : samedi soir, ouverture du dit flacon (rappel, Lacoste Germane "le Cade 2003" : 80 % C sauvignon, 10 syrah, 10 merlot) : un peu de réduction, trame serrée. Je décide de laisser le fond de verre jusqu'au couché. Le vin se présente pas mal. Je décide de lui faire passer la nuit à la cave, sans bouchon pour prendre l'air doucement. Le matin avant de retrouver les zouaves, je regoûte : mieux mais je lui inflige un petit passage en carafe d'une heure. Remise en bouteille : le vin est très beau, comme je l'ai goûté il y a 15 jours avec ses géniteurs.
30 minutes de voiture et nous voici arrivés. Le flacon attend sagement son tour (3 heures), bouchon dessus, dans la pièce de dégustation. Service dans les verres et là, patatra !!! Bouchonné (et pas qu'un peu).

Jamais eu d'expérience de ce genre, j'aimerai qu'on m'explique SVP ?!

Il doit y avoir des Terres Salées - en blanc et en rouge - chez Vins Etonnants (c'est Eric qui me les a fait découvrir il y a ... environ 5 ans).

Tout d'abord merci pour ses supers Crs. Pour répondre à didier, j'ai commandé Terres Salées 2007 il y a peu sur le site cité par Eric ci dessus. Mon CR de Janvier 2009:

Bu ce soir "les Terres Salées 2007" 100% Bourboulenc.
Nez: Très expressif sur des arômes d'abord fumés,puis qui évolue sur des notes assez vives, assez tendues de citron notamment.
Bouche: On a un très bel équilibre car le vin est gras avec une belle minéralité. On retrouve le coté tendu du vin et la longueur est là..

Belle découverte pour moi que ce vin dont le Rapport Q/P est excellent. Certainement une bouteille que je vais faire découvrir à l'aveugle à quelques amis qui vont encore se dire que le prix ne fait pas la qualité du vin .

Une remarque: Je connais peu le cépage bourboulenc en 100% comme ici: je ne m'attendais pas à cette fraicheur. Je pense que le terroir y est pour quelque chose et notamment le fait qu'on est sur des anciens marais salins. A découvrir si vous en avez l'occasion je pense.

Arnaud Seigneurgens

rzac23 écrivait:

---

> Au fait, ne serais-tu pas à la base de la perte
> de note de Didier... !!!

Je sais qui a les notes de Didier.
Je monnaye l'information contre... Faites-moi une offre en MP. Côte iDealwine plus 10%.

[size=x-large]Ah ![/size] [size=large]ah ![/size] [size=medium]ah ![/size] [size=small]ah ![/size] [size=x-small]ah ![/size]
[size=x-small](toujours mon rire satanique)[/size]

Vougeot, [size=x-small]qui ne fera pas ce CR cette fois-ci, tout ayant été déjà dit.[/size]

Gildas écrivait:

---

> En attendant de compiler les notes de notre belle
> journée au soleil , j'aimerai vous faire part de
> ce qui est arrivé à un des flacons que j'avais
> apporté (Lacoste Germane, "le Cade 2003" ) qui
> était opposé dans la "6ème" à un certain Daumas
> Gassac. Comme Guy Lux et Bilto, j'avais choisi de
> miser sur un "Challenger" qui était opposé à une
> "pointure", car leur structure me paraissaient
> similaires.
> Bref je vous explique : samedi soir, ouverture du
> dit flacon (rappel, Lacoste Germane "le Cade 2003"
> : 80 % C sauvignon, 10 syrah, 10 merlot) : un peu
> de réduction, trame serrée. Je décide de laisser
> le fond de verre jusqu'au couché. Le vin se
> présente pas mal. Je décide de lui faire passer la
> nuit à la cave, sans bouchon pour prendre l'air
> doucement. Le matin avant de retrouver les
> zouaves, je regoûte : mieux mais je lui inflige un
> petit passage en carafe d'une heure. Remise en
> bouteille : le vin est très beau, comme je l'ai
> goûté il y a 15 jours avec ses géniteurs.
> 30 minutes de voiture et nous voici arrivés. Le
> flacon attend sagement son tour (3 heures),
> bouchon dessus, dans la pièce de dégustation.
> Service dans les verres et là, patatra !!!
> Bouchonné (et pas qu'un peu).
>
> Jamais eu d'expérience de ce genre, j'aimerai
> qu'on m'explique SVP ?!

Gildas,

Bouchon dessus, à l'endroit ou à l'envers ?

Luc

Salut Luc,

Il m'est deja arrive de subir (rarement heureusement) de legers desagrements avec un bouchon remis en place a l'envers et baignant dans le vin un peu trop longtemps avant son service.
Mais mon impression etait plutot d'avoir affaire a un "faux gout" discret en arriere plan un je ne sais quoi d'un peu sale/poussiereux ou de metallique, pas un gout liegeux de vin bouchonne.

Amities,
dfried

Luc, le bouchon a été remis à l'endroit

Y'a pas, c'est taquin le bouchon !
Chez moi, ça disparait , chez Gildas, y'a génération spontanée !

en même temps sur le nombre de flacons servis ça fait pas tant que ça
mais quand ça arrive àc celle qu'on a amené, c'est vrai que c'est rageant
même chose pour moi avec le cru peyraguey 97

.je ne comprends pas ce Faugères du Domaine St Antonin 2005 surtout dans ce millésime

Moi, c'est en 2006 que je ne l'ai pas compris.

au vu du 98, même si l'époque n'est peut-être pas la même, on peut être optimiste pour le 2005 m^zeme si en l'état il colore les dents et est très dur
le temps parlera pour ou contre lui mais en l'état, c'est clair que ce n'est pas son heure !

J'avoue avoir été un peu surpris par l'aspect peu flatteur de la cuvée Magnoux 2005 du Domaine Saint Antonin, pourtant donné comme 6e plus grand vin du Languedoc dans le millésime 2005, toutes appellations confondues, dans le "spécial millésime 2005" de la RVF (RVF 502, juin 2006, p188 et 192). Comme quoi...

C'est la première bouteille que j'ouvre depuis son achat au domaine en 2007. J'avais pourtant essayé de préparer le vin en le carafant à la maison, en le remettant en bouteille pour le transport puis en le re-carafant une heure avant notre repas. Visiblement, cela n'a pas été suffisant. Cette bouteille est une de celles qui ont le moins plu et je trouve les copains un peu sévères avec elle. A défaut d'un fruit éclatant, elle m'a semblée équilibrée. En ce sens, je ne suis pas d'accord avec Franck. Mais peut-être est-ce l'aveuglement ?

Face à cet échec relatif, je me suis livré à une expérience :
J'ai ramené la bouteille entamée chez moi.
Le dimanche soir, elle n'était pas ouverte.
Le lundi soir, elle n'était toujours pas ouverte.
Je n'ai pu la goûter le mardi.
Et le mercredi soir... elle n'était pas plus ouverte, mais le vin commençait à être oxydé.

En l'état, bien malin qui, en l'état pourrait juger de son avenir. Mais j'ai envie de faire confiance aux deux dernières bouteilles qui me restent. Quand je vois comment le 98 se comporte, j'ai très envie de croire que Magnoux 2005 est armé pour la garde. Je poursuivrais donc l'élevage avec patience. Et comme mes enfants, je continue de l'aimer malgré ses périodes difficiles et les mauvaises notes...

Vougeot

En effet Vincent, je n'ai pas compris ce vin en effet, mais cette dureté m'a étonné compte tenu de la renommée de la cuvée.
Supposons qu'il soit très jeune (d'ailleurs c'est un fait et non une supposition) et qu'il lui faut se mettre en place avec le temps. A revoir dans 10 ans pour se faire une réelle opinion.
Après il y a toujours la possibilité d'une bouteille un peu foirée.

Ma petite contribution

Voilà un joli thème autour de vins qui fleurent bon le soleil. La règle était simple : apporter un ou plusieurs flacons, blancs, rouges ou sucrés appartenant à la région Languedoc. J'avais le privilège de capitaliser et d'organiser les apports de chacun, pour cette énième rencontre LPV du comité Haute-Normandie.

C'est l'ami Olivier qui nous accueille dans sa grande maison.
Les flacons sont présentés par paire à l'aveugle et dévoilés au fur et à mesure.

Les blancs
1 - Costières de Nîmes Mourgue du Grés « Galets Dorés » 2007
2 - VDP du Gard Mourgue du Grés « Terre d'Argence » 2006
Le premier vin est arômatiquement simple sur le citron vert. La bouche est vive, sur une finale saline. Le deuxième possède indéniablement plus d'ampleur avec des notes d'abricots et fumées. La finale est un peu plus courte, un peu plus portée par l'amertume.
Avantage plaisir pour les "Galets Dorés", pour sa fraîcheur et sa vivacité

3 - VDP de l'Hérault Daumas Gassac blanc 2005
4 - VDP Côtes de Thongue Domaine de l'Arjolle "Equinoxe" 2005
Le Daumas offre un nez élégant de fruits blancs, profond, on monte en gamme. La bouche débute doucement, et gagne en puissance à mesure de la gorgée.
L'Equinoxe est porté par un boisé et un fumé envahissant et racoleur, confirmé en bouche.
Avantage à Daumas Gassac, plus afirmé et plus nature.

5 - VDP du Gard Roc d'Anglade 2004
6 - VDP Côtes Catalane Jean-Philippe Padié « Milouise » 2006
La robe du Roc d'Anglade est légèrement trouble. Au nez, pas de doute, c'est nature avec au départ quelques senteurs de pommes (levures). Puis viennent enfin à l'aération de beaux arômes profonds et enivrants de fruits blancs, de fleurs avec des pointes de fenouille et d'anis. La bouche est d'un grand équilibre et s'exprime par une grande pureté. Superbe finale vibrante.
Le Milouise se présente sur des notes fumées et une pointe oxydative. Les arômes de fruits viennent en profondeur. La bouche est ample, généreuse mais un peu lourde à cause d'un boisé pas tout à fait intégré.
Le Milouise n'en reste pas moins un beau vin, mais étouffé ce jour ci par un Roc d'Anglade qui atteint là des sommets.

Pour ma part, c'est Roc d'Anglade qui domine cette première série de blanc par sa classe suivi par Daumas Gassac.
Côté miam, les vins sont accompagnés de divers terrines maison et de fromages de l'excellente maison Priet de Vernon

Quelques rouges maintenant : il sont au nombre de 13. J'ai volontairement choisi de les présenter par paire pour faire soit un match, soit une évolution d'un vin sur 2 millésimes différents ou encore une étude de domaine avec plusieurs cuvées du même millésime.

Pour commencer, un trio ! En fait, Franck qui avait apporté le premier rouge avait décidé au dernier moment de placer un autre vin dont personne à part lui ne connaissait la provenance : nous l'appellerons donc "7bis"
7 - Côtes du Roussillon village Clos de l'Oum 2006 « la Compagnie des Papillons »
8 - Coteaux du Languedoc Montpeyroux domaine des Grecaux 2003 « Terra Solis »
7 bis - Côtes du Roussillon village Clos de l'Oum 2005 « la Compagnie des Papillons »
Autant le dire de suite, Clos de l'Oum 06 paraît très jeune et semble fermé. Pas évident de tirer des notes de rose, de violette, de café et de boite de tuyas. La bouche est gourmande, malgré une certaine fermeté à cause de tanins serrés. Mais on devine là un certain potentiel. Bien
Le Coteaux du Languedoc du domaine des Grecaux est ce que l'on appelle un rescapé : en effet, Jean-François ayant oublié un de ses vins, nous faisons appel à notre hôte Olivier pour lui extirper un flacon de sa cave ! La robe est clairement évoluée, mais au nez, du fruit, du fruit, du fruit et du vrai (papaye, grenadine, myrtille). La bouche est simple et tombe assez vite, mais peu importe, on prend le vin comme il vient, avec plaisir.
Le vin qui sort du chapeau se présente carafé : pas de doute, il y a un certain lien de parenté avec le n°7 : la structure est plus fine, plus élancée et la matière plus arrondie. C'est bien un "Clos de l'Oum" grand frère d'un an du Clos de l'Oum 2006. Très agréable, il remporte d'ailleurs ce Trio

9 - VDP de l'Hérault Mas Laval "les Pampres" 2007
10 - Costières de Nîmes Mourgue du Grés « Terre d'Argence » 2005
Mas Laval "les Pampres". Que dire de ce vin ? Incroyable de faire aussi simple et aussi bon ! Ca explose de fruits rouges de partout. Il possède un petit côté enjoleur, mais c'est tellement gourmand, croquant ! Le vin comme ça, c'est pas compliqué, on est obligé d'aimer.
Le "Terre d'Argence" 2007 débute par quelques épices. Le vin semble manquer de structure car l'alcool domine, les tanins sont incroyablement secs. J'ose espérer que le vin est dans une phase ingrate. Je ne peux pas croire qu'on puisse râter un 2005.
Avantage pour qui vous savez

11 - VDP d'Oc dom Lacoste-Germane « le Cade » 2003
12 - VDP de l'Hérault Daumas Gassac rouge 2001
Grosse déception, car le Lacoste-Germane est bouchonné. J'avais fait un pari en l'opposant à Daumas-Gassac, car je trouvais les styles proches, l'encépagement majoritaire étant le Cabernet Sauvignon.
Le Daumas me rappelle un certain Chasse-Spleen 2000 avec ses notes de café marquées, mais heureusement plus encore. Il paraît assez proche d'un beau vin de Bordeaux. Il est avenant, l'acidité est agréable, la bouche est ronde, mure avec un fond minéral. C'est bon, mais ça reste classique, ça manque un peu de folie. Autant le dire, ce vin a beaucoup fait parler. La moitié des dégustateurs pensent que c'est un bon vin, l'autre le trouve anodin, trop dans les standards bordelais. Une fois de plus, Gassac provoque la discussion !

13 - Faugères domaine St Antonin “cuvée Magnoux” 2005 Frédéric Albaret
14 - Faugères domaine St Antonin “cuvée Magnoux” 1998 Frédéric Albaret
Le 2005 paraît fermé au nez et assez austère en bouche : les tanins sont très très serrés. Malgré tout, le vin possède une belle longueur et semble se destiner à quelques années de garde pour s'exprimer dans les meilleures conditions car tout est là. Pour beaucoup, la question est de savoir si ce vin vieillira. Pour moi, c'est OUI.
Le 1998 représente le graal de tout dégustateur patient : quelques années de cave lui ont permis d'arriver lentement à mâturité avec beaucoup de classe. Mûre, fruits noirs, avec des pointes d'encre d'école au nez, la bouche est ronde à l'attaque, avec une légère sucrosité. Le tout est hyper équilibré et confirme sa bonne tenue malgré un peu plus de 10 ans au compteur.
Le match pour le millésime 1998, bien entendu, mais on en reparlera du 2005... dans 10 ans.

15 - Faugères Léon Barral 2005
16 - Faugères Léon Barral « Jadis » 2005
Voici une paire intéressante. D'une part elle permet de continuer l'exploration du terroir de Faugères, d'autres part, ce sont les 3 cuvées rouges du domaine Léon Barral que nous allons aligner à la suite et dans un grand millésime (merci JF)
La cuvée dite "Tradition" s'engage d'emblée via un côté "nature" (cidre). Pour sa défense, le vin n'a pas été carafé. C'est épicé, c'est rond, c'est gourmand, c'est bon !
Avec "Jadis", on franchit un pas : le vin est plus classieux, plus élégant, plus complexe aussi. Jolie bouche, bien structurée, chaleureuse, mais de haute tenue. Gros potentiel.
Coup de Coeur pour Jadis.

17 - Faugères Léon Barral « Valinières » 2005
18 - Cx du Languedoc VV Pic St Loup les « Métaieries du clos » Clos Maries 2002
Attention, voici "THE Match". Celui pour lequel on hésite pas une seconde à faire des kilomètres.
"Valinières" de Barral à tout d'un grand vin : énorme volume en bouche, tanins d'une extrême qualité et finesse, du fruit à revendre. Il déborde de partout, est généreux comme pas deux. Si jeune et d'une grande buvabilité. Il fait soif !
Face à ce monstre, le Clos Marie est légèrement en retrait, mais n'en reste pas moins un très beau vin. Réglisse, zan, pointes d'orange, la bouche s'étire longuement et onctueusement.
Mais "Jadis" est un vin qui marque, on ne peut que l'apprécier.

Une petite douceur pour terminer.
19 - VDT Languedoc Domaine de Ravanès 1998 l'Ille
Joli nez d'orange confite avec quelques notes de sparadrap. Je lui trouve une certaine ressemblance avec les vins de Tirecul la Gravière. Bouche sur le raisin de corinthe, avec une amertume en avant mais intéressante. Petite déficience de longueur, mais un vin agréable et bien fait.

Voilà pour cette superbe journée, passée comme d'habitude au milieu de passionnés et de gens vrais qui aiment le partage...

Il y eu quelques "Off", hors thème : les commentaires à suivre prochainement...

Il est bien possible que notre prochaine rencontre soit tournée vers le Chenin de Loire.

Il est bien possible que notre prochaine rencontre soit tournée vers le Chenin de Loire.

On avait pas dit "Loire"....jusqu'à Sancerre ???!!! Car là je vais être [size=x-large]TRÈS[/size] frustré

Non non non Franck. Une fois de plus, tu n'as pas écouté les gentils LPViens Remarque de l'ami Vougeot : "la Loire, c'est bien, mais c'est large. Il faut restreindre !". C'est vrai que depuis le Muscadet jusqu'à Sancerre, ça fait une trotte et quelques cépages

Bon...je vais devoir improviser ! Et tant que c'est dans la Loire ça me convient de toutes façons...
Vincent, un bon Bourgueil gorgé de poivron ça te fait envie ? :DX(

"La robe du Roc d'Anglade est légèrement trouble. Au nez, pas de doute, c'est nature avec au départ quelques senteurs de pommes (levures)."

Gildas, sauf erreur de ma part, Roc d'Anglade ne fait pas de vins "nature".

Sinon même pas cap les normands, nous on va faire la Loire du Muscadet à Sancerre!

Merci Enzo
Gildas, on va pas se démonter hein ?!!!!:)o

j'savais qu'ça te ferait plaisir Christophe!
qu'est-ce qu'ils ont ces normands, ils ne veulent pas boire de bons sancerre!?

j'savais qu'ça te ferait plaisir Christophe!

Tu voulais dire Franck ? :D

Gildas écrivait:

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> 6 - VDP Côtes Catalane Jean-Philippe Padié «
> Milouise » 2006

> Le Milouise se présente sur des notes fumées et
> une pointe oxydative. Les arômes de fruits
> viennent en profondeur. La bouche est ample,
> généreuse mais un peu lourde à cause d'un boisé
> pas tout à fait intégré.
> Le Milouise n'en reste pas moins un beau vin, mais
> étouffé ce jour ci par un Roc d'Anglade qui
> atteint là des sommets.
>
J'ai eu l'occasion de goûter Milouise de Padié à Vinautore samedi dernier.

Je ne connais pas le blanc de Pedreno (une merveille de chenin paraît-il) mais j'ai vraiment beaucoup aimé Milouise et n'ai pas été, pour ma part, perturbé par le bois.

Merci en tout cas de nous avoir fait partager ces belles expériece Gildas.

sorry Franck :)o