Bonjour à tous,

Bu ce soir un Château de Myrat 2000, carafé 1 heure.

Un beau nez classique sur le pralin (++), le safran (+), l'orange amère, le caramel, l'abricot confit et le bonbon à la réglisse.

En bouche le vin présente une belle liqueur au bel équilibre grâce à à l'acidité bien présente et à la trame amère qui rappelle le safran senti au nez. La finale est belle sur le bonbon à la réglisse . Ca manque peut être un peu d'ampleur et de profondeur pour atteindre les sommets mais le vin se boit avec une facilité et un plaisir non dissimulées.

Un sauternes au dessus du niveau auquel on l'attend, qui s'est très bien présenté avec une buvabilité au dessus de la moyenne et au rapport Q/P très très favorable (payé 9,90€ il y a 3 ans) : 15,5/20

Bu Suau 1990 à Noël
Couleur vieil or, un peu ambré,
Nez d’encaustique sur la cire,
Bouche agréable, équilibré. Finale un poil courte
C'est pas mal du tout

Château de Myrat 2000
Le jour de Noël j'ai eu l'occasion de découvrir ce Sauternes. La robe franchement ambrée laisse à penser que le bouchon était défectueux. Le nez est plaisant, avec des arômes d'abricot, de miel et de figue. En bouche, les sucres sont bien fondus ce qui donne un bel équilibre avec l'acidité, le vin est très digeste et accompagne très bien la bûche traditionnelle. La fin de bouche est malheureusement un peu fuyante, mais ça reste un beau vin de dessert en l'état.

Cordialement,
Rodolphe

Château de Myrat 1998
GD, 1/2 bouteille. Est-ce l'effet GD ou sont-ce deux mises différentes, une bouteille sur trois se goûte mal à peu près. Mais un effet GD est sûr, il n'y a bien qu'en supermarché qu'on peut acheter du Sauternes à trois euros la bouteille. Du coup je vais finir spécialiste du Myrat GD 98, mais je ne regrette rien car celui de l'autre jour m'a ébloui, et m'a donné plus de plaisir que Suduiraut 99 bu juste après, comme quoi, vive les petits !

Robe ambre, nez puissant et précis de pâte de coing, safran, écorce d'orange, ananas, moka... En bouche, ampleur limitée, un manque d'acidité, mais finale correcte avec un "équilibre" alcool / amertume et des arômes de la famille minérale qui apparaissent.

Pas un grand vin, mais un second qui fait son job !

CR:MYRAT 2009

La couleur est jaune claire.
Le nez est sur l'ananas, la noix de coco, et la mangue.
La bouche est grasse, on retrouve les fruits exotiques, le sucre est bien présent mais pas imposant.
La finale est longue sur l'ananas et équilibré.
La bouteille a été aéré 24h.

Très bien

jmw

Château Suau - Sauternes 2001 :

Robe très soutenue pouvant laisser supposer un vin évolué. Au nez et en bouche, on a de l'écorce d'orange, un beau rôti, de la puissance également, ainsi qu'une belle acidité apportant un caractère digeste au vin. Belle longueur.

Après 48 heures (rebouché sans vide d'air), le vin a perdu de son acidité et laissé place à une évolution plus marquée sur le caramel, la crème brulée.

Très belle surprise que cette bouteille.

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Bu hier soir un Château de Myrat 2007.

La robe est étonnement évoluée pour un Sauternes (Barsac pour être exact) de 5 ans à peine et est d’un bel orangé.
Le nez est très puissant, complexe, sur des arômes d’abricot, de miel, quelques épices apportent de la classe.
En bouche, l’attaque est douce, le volume en bouche est excellent, d’un bel équilibre avec un joli sucré rôti et une acidité qui donne un côté dynamique au vin. Le vin est certes très sucré mais jamais lourd. La finale est moyenne.

Un très joli vin, à la robe évoluée mais encore jeune en bouche. Tout le monde à table l'a beaucoup aimé et l'a préféré à un Rayne Vigneau 2005 bu deux jours plus tôt. Très Bien +

Quentin

J'ai bu ma dernière demie de Myrat 1998, et il était fidèle à lui-même, bien agréable malgré ses imperfections, et à l'avant dernière gorgée de mon dernier verre, il m'a gratifié d'une timide queue de paon (j'imagine ses détracteurs croire que j'affabule, mais non, beau retour sur les fruits après l'impression d'une finale pierreuse.)
J'ai donc pu réitérer l'expérience lors de ma dernière gorgée, au revoir, compagnon d'une époque révolue, puisse ta finale augurer de ma renaissance !

Château de Myrat – Sauternes 2004

Bouteille bue au cours d'un superbe repas , accompagnée d’un Sablé breton aux pommes "façon tatin", rhubarbe et clémentines

Mathieu (aka denaire)

Belle robe ambrée (assez surprenante pour une bouteille de 9 ans, tant elle évoque un vin qui en aurait quelque chose comme 10 de plus).

Très joli nez, sur l’abricot, la cire, les agrumes confits.

Bouche suave, une certaine acidité donne un bel équilibre. Elégant, en finesse, belle longueur.

Très belle bouteille, et bel accord.

Très Bien

Florian (aka legarçon)

Le nez évoque le miel, enrobant tantôt des agrumes (orange sanguine!), et des fruits jaunes (abricots secs).

En bouche, le vin est généreux, beaucoup de rondeur. L'alcool pourtant bien présent est bien équilibré par une certaine fraîcheur.

Bien +

Château de Myrat 2001 Sauternes
ouvert en demi-bouteille
nez sur l'abricot, les fruits confits, le safran ++, semblant légèrement tourbé et profond
la bouche se révèle avec un sucre discret, là mais au second plan, les amers sont magnifiques et le vin se développe magnifiquement en milieu de bouche
bonne longueur mais qui semble manquer d'un peu d'ambition et c'est dommage je trouve
une belle bouteille pour l'apéro mais que je ne ferais pas vieillir
bien+

Château Suau Barsac 1990

Classique en accompagnement d'un Foie gras poché

Robe un peu plus soutenue que celle de Sideway sur le 2OO1,
Vieil or, orangé
Au nez, des arômes de porto, puis on évolue vers de l'écorce d'orange, citron
En bouche : même chose qu'au nez, porto dans un premier temps, puis les agrumes, l'abricot soutenu par une belle acidité.

très bien
Cordialement

Gaëtan

Suau 2011

On n'attire pas les mouches avec du vinaigre.
Dans le rôle du sucre : Suau.
Dans le rôle de la mouche, moi.

"Comment un 2e cru classé de sauternes peut-il sortir un vin à 13,95 € ?" me suis-je demandé hier soir, face à cette bouteille.
N'ayant rien à perdre - hormis mes 13,95 € - je me suis lancé.

Couleur jaune citron pas très appuyée.
Premier nez fortement réduit, presque hydrogène sulfuré, vinylique, puis un peu d'ananas.
Première gorgée sur le sucre, avec des parfums exotiques (ananas, coco).
Longueur faiblarde, sur le sucre et un simple jus d'ananas.
Pas de richesse, pas de rôti, pas de classe.

C'est certes bien jeune mais, de mon point de vue, il n'y a pas grand chose dans cette bouteille pour qu'elle se révèle d'ici quelques années.

J'ai perdu 13,95 €, mais je suis un peu moins bête puisque je n'en rachèterai pas.
L'expérience par l'échec, en quelque sorte.

Vincent

Bu ce midi une demi-bouteille de Château Myrat, Sauternes 1996.

Le nez est puissant, sur l’ambre, la cire et les fruits confits et rôtis (abricots, agrumes) et une touche de safran. La bouche est surprenante car fraiche, avec un sucre discret (belle trace de boytiris) laissant la place à des amers très bien dosés. L’équilibre est parfait avec une finale légèrement mentholée. Très belle longueur en bouche qui reste sur le safran.


Excellente demi-bouteille.

Amicalement,

Romain.

Ayant acquis récemment un lot de bouteilles de Château de Myrat 1992, 1993, 1995, 1996 et 1997, je tente hier soir un millésime jugé médiocre : le 1992.

La robe d'un jaune or est pourtant belle et le nez, même s’il reste discret, est engageant. En bouche, l’attaque et sur l’écorce d’orange et ensuite c’est la chute…. Un vilain goût métallique et une acidité trop prononcée viennent gêner la dégustation. Dommage mais je m’y attendais un peu. J’avais prévu un dessert (acheté en pâtisserie) à base de mousse de mandarine et même si le défaut métallique est gommé, le vin reste plat et sans grand intérêt. Sur le site du Château j’apprends que les millésimes 1992, 1993 et 1994 sont « de petites années victimes du gel ».

Pour me consoler, j’ouvre un Château de Myrat 1997 bien meilleur, au nez de citron confit, mirabelle et miel. La couleur est plus orangée que le 1992 et la bouche est tout en douceur, principalement sur le miel et les fruits confits.

Parce que j’aime le recyclage, j’ai utilisé ce soir le Myrat 1992 pour compléter la sauce au miel de mon poulet à la cocotte. Accompagné de carottes, navets et oignons, c’est quand même une fin plus digne que l’évier .

Amicalement,

Romain.

Robe brillante de couleur abricot aux reflets cuivrés.
Nez légèrement éthéré sur les fruits confits, le zeste d'orange, le pamplemousse et le safran.
Attaque en bouche sur l'acidité, avec toujours ce léger côté éther.
Je trouve que ce vin manque de définition et de longueur.
A regoûter.

Château de Myrat, Sauternes 1996

Robe d'ambre clair, le nez est agréable, sur la confiture d'orange amère, légèrement beurré, le zeste d'agrume, l'ananas. La bouche est délicate, sur un équilibre joliment moelleux plutôt que liquoreux, c'est frais, beurré, équilibré, avec une finale délicate aux beaux amers qui filent la métaphore de la confiture d'orange. Très bon.

Château de Myrat, Sauternes 2001

Partant en vacances demain, j'avais tout de même envie d'un apéro et je me suis que ce n'est pas une quinzaine de jours qui va mettre à mal un sauternes.
Je farfouille dans ma cave et dégote cette bouteille de ce fabuleux millésime.

Bonne pioche, le nez est sublime sur l'abricot confit. Grosse matière en bouche avec cette belle acidité propre au millésime qui confère aux vins un potentiel de garde insondable.

C'est encore très riche, un peu de patience va certainement diminuer le ressenti très liquoreux.

La robe est pas mal foncée mais on s'en fiche complètement.

Grand vin, assurément

Cote IW : 37 € - à méditer