clem1280 écrivait:

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> Espérons que ça fasse évoluer le nouvel ensemble.
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> cdt.
>
> christophe

Il semblerait que l'objectif soit celui-là

C'est du moins ce qui se dit là

merci pour l'article

j ai hate de voir le résultat

christophe

Château Labégorce-Zédé 2003
Un vrai Margaux. Le nez est sur la cerise. En bouche le vin est délicat et frais, plein de fruits noirs, boisé complètement intégré, sans note solaire propre à ce millésime. La finale est longue. Il est à point avec une heure de carafage.
Je finis la bouteille ce soir...mais ce vin m'a déjà procuré beaucoup de plaisir bien qu'il soit plutôt "simple",

Labégorce-Zédé 2005, Margaux :

Belle robe grenat.

Au nez, un beau cocktail de fruits noirs (cerise, mûre).

En bouche, c'est un vin aux tannins fondus, équilibré, autour des fruits noirs avec un joli soyeux et une finale sur l'amande avec une petite amertume. C'est un agréable bonbon à déguster. C'est un margaux plus en puissance qu'en finesse.

Pas une grande longueur, mais finalement les bouteilles se vident à vitesse grand V.

Je ne suis pas sur qu'il gagne énormément à la garde Très bien maintenant.

Pour les 40 ans d'un ami, j'ai cherché des bouteilles de 1971, dont celle ci.

Labégorce-Zédé, Margaux, 1971

Le veille, nous nous interrogeons sur la "stratégie d'ouverture". Finalement, craignant que le vin ne s'effondre avec une ouverture trop longue, nous décidons de nous retrouver pour l'ouvrir vers 10h30 le lendemain, pour un repas prévu vers 13h30.

A l'ouverture, le bouchon se casse, mais nous le sortons malgré tout sans aucun autre dommage. Le bouchon est long, bien conservé, à peine imprégné. Avides, le nez sur le goulot, nous sommes rassurés, le vin nous semble sauf. Quelques gouttes dans un verre, une belle robe assez tuilé, mais encore bien rouge.
Au nez, c'est très joli, du cuir, du pruneau, des fruits compotés, du tabac. La bouche est belle, très harmonieuse, une matière soyeuse, nous sommes presque surpris de la délicatesse de ce vin, et le laissons tranquille jusqu'au repas.

3h plus tard, le vin s'est densifié, tant dans sa couleur qu'au nez et en bouche. Nous retrouvons les mêmes arômes, et la compagnie d'une très bonne côte de boeuf au barbecue, (accompagnée de pommes de terre de l'Ile de Ré juste braisées entières) lui conviendra à merveille.
La fin de bouteille se troublera, résultat de nos manipulations insuffisamment délicates.

Labégorce Zédé n'est pas réputé comme un très grand vin, mais nous avons été surpris, petits connaisseurs que nous sommes, de la capacité de garde et de la qualité qu'il présente après 40 ans.
Belle émotion, beau vin.

Labégorce-Zédé 2002, Margaux

Bu en premier lors d'une soirée Margaux vendredi soir (venaient ensuite dans l'ordre : Prieuré Lichine 2006, Rauzan Ségla 1999, Pavillon Rouge de Château Margaux 2000 et enfin Dufort Vivens 2005) :
ouvert 1h avant, le vin ne fait pas l'unanimité autour de la table, sur 5 dégustateurs, 2 le trouvent fin, souple et aux tannins fondus, 3 le trouvent serré, fermé, tendu et peu avenant.
Ne m'a pas convaincu en l'état. A revoir.

Labégorce-Zédé 1990

Mes impressions sur ce vin qui a été depuis son achat il y a presque vingt ans conservé à la lumière naturelle indirecte.

Robe: rubis tendant vers le pourpre, intensité forte
Nez: des arômes de thé, bruyère, légers arômes copeaux de bois. Egalement des arômes de pruneau et d'amande amère. Mais au-delà de tous ces arômes, c'est le fruité du cassis qui ressort.
Bouche: une attaque ronde. Une structure loin d'être imposante, mais agréable. Légère astringence. On est plus sur la délicatesse qu'autre chose. Si le nez pouvait laisser supposer que ce vin a 15 ans d'âge, la bouche lui en donnerait 10.

48 heures après, pas d'évolution notable, cela m'étonne, mais tant mieux.

Un vin apaisant.

Luc

Château Labégorce-Zédé 2000
bouteille dégagée à l'épaule 2h
joli nez sur les fruits rouges et un léger boisé
en bouche le vin est sur la finesse , les tanins sont fins et fondus . Les aromes sont dans un registre tertiaires , sous bois , champignons .
Bon vin classique à boire maintenant . Manque un peu de puissance ( volume en bouche ) pour en faire un très bon vin .

Labégorce-Zédé 2004, Margaux

Ouverte et épaulée 1h à l'avance
Juste aprés l'ouverture le nez est sur la myrtille , et des notes florales
Aprés 1heure le nez se concentre un peu , je trouve des notes plus puissantes de fruits noirs , leger boisé , des notes de poivrons ( effet psychologique du au fait que je savais que c'était du Cabernet en majorité ???????? )
En bouche les tannins sont souples , le vin est fin , trés agréable malgré la chaleur ambiante , une légere amertume en finale
La longueur est correcte

Etant peu habitué à boire des vins du Bordelais je me suis régalé

Château Labégorce-Zédé 1991

Ouvert sans aucune illusion, juste pour voir.
Aussi bien au nez qu'en bouche, il serait impossible de dire : "petite année".
Bien sûr, il n'y a pas la richesse des grandes années.
Mais je dois dire que j'ai été grandement étonné de voir le vin à ce niveau.
Belle surprise.

Château Labégorce-Zédé 1989
Bouteille en parfait état extérieur, niveau dans le goulot, conservée en cave climatisée jusqu'à mon achat l'année passée.
Le bouchon sort facilement en une pièce, imbibé sur quelques mm mais avec des traces de remontée du vin presque jusqu'à son extémité sur un côté.
Ouverte 4h à l'avance, et dégustée avec un magret de canard.

La robe est légèrement évoluée, sombre avec un bord tuilé.
Au nez, de la cerise et du cuir, plutôt frais et peu concentré.
La bouche est tannique et serrée, avec une bonne structure, des arômes secondaires marqués, avec du cuir et du tabac, mais encore beaucoup de fruit (mure, cassis). Le boisé est très peu présent, et les fruits plus "frais" que "confiturés".

Très belle surprise pour ce second vin que je craignais un peu dépassé par ses presque 25 ans!

17,5/20

Château Labegorce Zédé, Margaux, 1974



Bouteille ouverte environ 3 heures avant le repas.
Le bouchon m'en a fait voir, il était complètement collé au verre du goulot.
Du coup quelques miettes sont tombées dans le flacon.

A l'ouverture, l'odeur n'est pas très engageante, très vinaigrée...
Un peu plus de deux heures après, il s'est bien amélioré sans être très appétissant.
Sans carafe sous la main, je sers les premiers verres 1/2 heure avant qu'on y goûte vraiment.
Et l'oxygénation a à nouveau fait son oeuvre en nous révélant un vin tout à fait correct, sans être non plus extraordinaire.

Sa couleur est largement tuilée mais délivre encore de beaux reflets grenat lumineux.
Le nez est très boisé, mais assez classieux, santal.
En bouche, c'est encore là. Bien fatigué mais on peut trouver des cerises à l'eau de vie, un peu de pruneau, du cuir, de l'humus et une finale sur la tabac.

Un quarantenaire issu d'un millésime pas très bien noté mais qui a fait son office sur un beau rôti.

j'ai été agréablement surpris par ce vin :

Qui parierait un kopeck sur le Château Labégorce-Zédé Margaux 1991 ? L'année souffre d'une piètre réputation.
C'est donc une immense surprise de boire un vin bien charpenté, de belle mâche, et d'une honorable puissance. Rien ne justifierait que l'on classe ce vin dans les petites années. Son message est subtil, délicat et de grand intérêt.

Qui parierait un kopeck sur le Château Labégorce-Zédé Margaux 1991 ? L'année souffre d'une piètre réputation

Le problème de 1991, c'est une gelée printanière (20-21 avril) qui a massacré les jeunes rameaux. Il a fallu repartir ensuite sur les bourgeons secondaires, d'où des gros retards de maturité, parfois jamais atteinte. Si ce n'est que Labégorce (Zédé) est l'un des domaines les plus proches de la Gironde qui a créé une "couverture protectrice" par la chaleur qu'elle dégage. Le gel a donc dû être très limité dans ce secteur. Et comme l'été a été chaud et sec, ils ont dû avoir une bonne vendange.

Château Labégorce-Zédé 1959

Bue sur une blanquette de veau à l'ancienne (accord peu classique...).

Le niveau est bas et le haut du bouchon, noir et à moitié "mangé", laisse craindre le pire : il vient pourtant entier et en bon état au débouchage.
Dans le verre le vin est trouble et la couleur rouge-orangée. Ouille, ça n'augure pas grand chose de bien !
Le nez en revanche va se révéler fabuleux de complexité au fur et à mesure de l'aération: cuir, tabac, bois precieux, sous bois, humus, orange sanguine, prunes...
En bouche les tanins de ce jeune homme de 56 ans sont encore bien présents et la longueur est excellente. Quelle énergie !
1959 est décidément une année indestructible, de mon expérience.
Bouteille achetée il y a 2 ans (avec 6 petites soeurs d'un niveau goulot) à un ancien traiteur parisien fort sympathique de 86 ans, lui aussi en pleine forme !

Domaine Zédé – Margaux 2004

Assez engageant au nez avec du fruit et des arômes tertiaires. Par contre, après une attaque toute classique, ça s'est mis à sécher, on avait l'impression de lécher le bouchon de liège. Imbuvable.

Julien

Chateau Labégorce-Zédé Margaux 1983

Robe sombre, au nez c’est flatteur, bien mur, la bouche est dense mais soyeuse, belle acidité, équilibre, très beau vin , on change vraiment d’allure. Excellent

En savoir plus sur lapassionduvin.com/f...

Stéphane

Château Labégorce-Zédé, Margaux, 2005.

Bouchon liège imbibé sur deux millimètres, millésimé et estampé 'Margaux / mise en bouteille a la propriété'. Robe grenat vive à la bordure à peine jaunie. Le nez chaud, fruité, humus forestier, à l'aération moka et épices douces.
En bouche c'est très suave, fruits rouges et noirs, fraise, cerise burlat. Initialement le bouquet est ouvert mais marqué par le bois, élevage et tanins fondus. Pointe menthol sur la finale, fort bon, du corps et de la longueur.
Cela faisait un certain temps que je n'avais pas eu l'occasion de goûter un vin de Margaux et je ne suis pas déçu, et par le millésime non plus que je n'ai jamais aussi bien goûté qu'avec cette bouteille. Même s'il n'y a pas urgence j'imagine que le vin est à son apogée. Dépôt limité, bouteille avec niveau très légèrement bas au goulot, acquisition d'enchères, bue rafraichie (16/19°C). J'espère que mes acquisitions de Labegorce 2015 seront du même tonneau.
Repas champignons de paris, boeuf poire, céleri, carottes, riz, brillant savarin, fruits et chocolat sarments du médoc ( www.mademoiselledema... ).