Pas de sens caché à mon intervention, juste que ta réponse à Olidesalm (la plupart des gens liront cette impression à sa juste valeur, c'est à dire aucune, sauf vous évidemment) m'a paru aussi inutilement méchante à son égard qu'était mal venue et injustifiée ta remarque sur le vin de Meyer.
J'ai trouvé que ceci méritait d'être relevé, spécialement eu égard à la volée de bois vert que s'est ramassée Pierre-Alain Benoit sur les 200+ messages de son fil Beaujo 09.
Ni pompier, ni pyromane, ni non plus redresseur de torts. N'y vois que fantaisie et légèreté de ma part.
cdt
thierry
le vin d'alsace dégusté, a été décrit par Adnane de façon très soft parce qu en fait ce vin présentait un défaut de vinification manifeste et en ce qui me concerne était limite buvable; un nez de vernis à ongle à la limite du supportable et je ne saurai affirmer s'il s'agit d'un vin mal protégé mais celà y ressemblait et le mot "trituré" correspond au ressenti du moment; pour autant la démarche du vinificateur est sans doute tout à fait louable mais il est clair que le résultat n'était pas au rendez vous..... dommage
bertrand
chacompte écrivait:
> Pas de sens caché à mon intervention, juste que ta
> réponse à Olidesalm (la plupart des gens liront
> cette impression à sa juste valeur, c'est à dire
> aucune, sauf vous évidemment) m'a paru aussi
> inutilement méchante à son égard qu'était mal
> venue et injustifiée ta remarque sur le vin de
> Meyer.
>
> J'ai trouvé que ceci méritait d'être relevé,
> spécialement eu égard à la volée de bois vert que
> s'est ramassée Pierre-Alain Benoit sur les 200+
> messages de son fil Beaujo 09.
>
> Ni pompier, ni pyromane, ni non plus redresseur de
> torts. N'y vois que fantaisie et légèreté de ma
> part.
> cdt
> thierry
Encore désolé, mais je n'ai vraiment pas suivi le fil et la volée de bois vert qui s'en est suivie.
Désolé de ne pas tout lire, mais c'est terriblement étranger à mes dernières lectures.
La remarque sur la "juste valeur du propos" est plutôt à mon encontre si vous (re)lisez bien le texte...
Encore une énième fantaisie mal comprise, voire de l’auto-dérision, pratique
dont la compréhension peut vous sembler sombre, mais oui, il existe encore des gens qui aime rire
de leurs propres travers. Mais puisque vous n'êtes ni pompier-pyromane
ni redresseur de torts, mais plutôt un joyeux drille, pourquoi alimenter et créer ici ce que vous regrettez ailleurs ?
A moins que le fait de discuter de vin ne vous intéresse guère et que seuls les échanges polémiques sans fin vous passionnent !?
Une passion pour le bois vert, un humour que je ne saisis pas (je me sens moins seul avec le mien, pour le coup) !?
Pour en revenir justement au vin, Bertrand évoque, avec moins de fantaisie mais beaucoup de justesse, le cas critique en question. La "légèreté discutable" de mon propos s'avère presque "polie" !! Retenons en effet que c'est dommage pour ce vin et qu'au bout du compte, seul le contenu est jugé sérieusement, le reste n'est que cris et interprétations hâtives...
enzo d'aviolo écrivait:
> "un nez de vernis à ongle à la limite du
> supportable"
>
> la présence d'acétate n'est pas forcément liée à
> un défaut de vinif.
Salut Enzo,
C'est vrai, mais la forte présence d'acétate peut-être aussi engendré par un manque de maîtrise d'une "vinif
débridée par une activité soutenue des levures".
Orientée comme cela je trouve la critique d'un vin plus intéressante car elle s'inscrit non pas dans une explication "fantaisiste" mais dans un questionnement.
J'avais réagi à quelques phrases de docadn parce que connaissant le travail de P. Meyer en cave, c'est à dire aucune correction technique, au point il est vrai d'assumer des vins avec un taux de volatile important, le terme de triturage m'avait choqué.
La fantaisie mène à tout, même au questionnement, la preuve . Nous sommes tous plus ou moins sensibles à la puissance sémantique et celle des adjectifs usités (quelque soit le mode de narration utilisé).
Nous avons pas mal débattu sur ce vin (sur les autres aussi, je vous rassure). Nous étions une majorité à ressentir un franche déviance olfactive et gustative.
En conclusion, deux certitudes se dégagent. La première est quasi immuable : Nous ne traduisons et n'exprimons que des impressions.
La seconde, c'est que le bouchon n'est absolument pas responsable de la déviance constatée...
Adnane,
Désolé mais pas de cr pour moi, j'y ai renoncé, mon gout étant si personnel (hein Luc et Laurent...), que je garde pour moi mes appréciations...
Néanmoins, c'est avec grand plaisir que je vous reverrai, ici ou ailleurs!