Une question que je me pose :
Quand un vin est produit et que l'INAO spécifie une quantité limite pour certains cépages
Exemple : 30% maxi de Lledoner pelut à Fitou
Comment l'INAO et ses contrôleurs procèdent-ils pour débusquer les éventuels tricheurs ?
1 - En regardant la proportion en cépages des surfaces cultivées ?
2 - En procédant à l'analyse du produit final ?
3 - En visitant par surprise le vigneron ?
Personnellement, je trouve aucune solution fiable.
On en revient donc à une combinaison d'engagement du vigneron et d'un contrôle du produit final.
Tout ça laisse quand même du mou dans la démarche qualitative surtout si, je suppose que c'est le cas, les contrôles ne sont pas systèmatiques et impromptus.
En tout cas, merci beaucoup pour le renseignement !
il faut savoir que cela dépend des appellations. Certaines imposent un encépagement du somaine, ou du moins certaines contraintes et fourchette minimale et/ou maximale, d'autres s'intéressent aux assemblages dans la bouteille. Il est évident que la première forme est facilement contrôlable mais ne garantit pas la composition de l'encépagement du vin alors que la deuxième est difficilement contrôlable.