Une petite question très technique qui m'est venue en lisant l'anecdote de Gruaud-larose relatée par jean-claude :
A supposer qu'on élégisse (ça veut dire enlever de la matière) une barrique d'un an, n'obtiendrait-on pas alors à moindre frais quasi l'équivalent d'une barrique neuve ? (On pourrait même la réchauffer pour retrouver le bon goût de brûlé (bbb))
Je crois que Ducourneau avait émis l'idée qu'en changeant uniquement les disques, on renouvelait un tiers du bois. Donc un tiers de bois neuf chaque année à moindre frais.