Château Palmer 2006

Nez intense, puissant et gourmand sur des notes de fruits rouges et noirs bien mûrs. La bouche est une caresse. Elle est à la fois dense et juteuse et se termine dans une longue finale parfaitement équilibrée. Un vin qui apporte beaucoup de plaisir.

Château Palmer 2005
Bouteille bue le lendemain du 2006, elle va parfaitement accompagner un superbe chateaubriand.
Le nez est profond, complexe et puissant. On y décèle des notes de fruits noir avec un côté plus terrien, sérieux que le 2006.
La bouche est absolument extraordinaire. Elle est d'une densité et d'une puissance immense tout en étant sublimée par une texture séveuse, soyeuse de première grandeur. Les tanins sont mûrs et d'une grande finesse, la longueur infinie.
Du plaisir à l'état pur, grand vin. Au demeurant, ma femme a préféré le 06 qui est moins puissant mais tout aussi mûr et soyeux.

Bonsoir à tous,

CR rapide d'un visite ce jour à Palmer : Au menu Alter Ego 20 et 17 Palmer 20,12 et 09. Tout les vins sont ouvert depuis la veille. Pas de prise de notes sur le moment, je transcris de mémoire.

Alter Ego 2020.

Nez intense de fruit rouge, limite exubérant, vraiment marquant parmi tout ce que j'ai gouté rive droite et gauche confondues ( expérience certe limitée mais tout de même ! ), ça donne vraiment envie d'y tremper les lèvres. La bouche est toute en souplesse avec toujours ce caractère fruité, la longueur est correcte mais elle manque un peu d'intensitée à mon goût ce qui me laisse une sensation de creux. Un copain glisse en rigolant qu'on pourrait presque déjà se croire sur un premier vin à l'aveugle. Bon je suis un peu dur mais c'est très bon et la bouteille ne ferait pas lond feu sur une tablée.

Palmer 2020.
Nez encore relativement fruité, mais plus fermé et plus nuancé,  plus profond. La bouche est plus dense, sans pour autant être massive, toujours aussi soyeuse et cette fois la finale est belle et son intensité décroit de manière régulière sans cette impression de ''creux" comme sur Alter. Les tanins sont très légérement perceptible et rapportent un poil de mordant assez agréable.

Alter Ego 2017
Nez assez différent du 2020, moins de fruit mais pas pour autant de l'évolution. La bouche me semble plus complexe que le 2020, et me laisse moins cette impréssion de creux en finale.

Palmer 2012.
Là attention ça commence à envoyer sévère dans le verre. Le nez est super expressif et complexe sur des notes de sous bois dans un premier temps puis sur de légères notes fruitées qui se dévoilent à l'aération. La bouche est toujours dense, mais garde une finesse assez incroyable. La texture de ce vin est franchement superbe. Je l'avais gouté il y a un mois, avec une ouverture à la volée, j'étais un peu resté sur ma faim ( pour ne pas dire déçu), et cette fois c'est complètement autre chose. Le vin que j'ai préféré.

Palmer 2009.
Nez légérement évolué, mais un poil différent du 12. Les notes de sous bois sont moins évidentes mais il reste très complexe. Les tanins me semblent un poil plus accrocheurs que sur le 12 mais là attention je chipote.

Bref un super moment passé au château, avec une démarche et une philosophie super intéréssante et qui pousse à se questionner. En plus de cela des vins superbes, j'ai vraiment été frappé par le coté dense des vins, mais sans paraitre lourds ni massifs ! C'est ce qui fait sa marque, à mon humble avis.

MAtteo

Margaux
Château Palmer : « donner à vivre le lieu ».

www.terredevins.com/...

 Château Palmer 1983, Margaux

On est clairement dans le tertiaire. Cendre, viande faisandée, tourbe, de la terre, truffe. Quelle complexité !
Le nez est magnifique et le fond de verre dingue. 
En bouche, le touché est soyeux, l’équilibre d’école. Le volume n’est pas énorme mais le vin est dense et il y a une belle longueur.

Grand vin

LLDA écrit:

 Château Palmer 1983, Margaux

On est clairement dans le tertiaire. Cendre, viande faisandée, tourbe, de la terre, truffe. Quelle complexité !
Le nez est magnifique et le fond de verre dingue. 
En bouche, le touché est soyeux, l’équilibre d’école. Le volume n’est pas énorme mais le vin est dense et il y a une belle longueur.

Grand vin

On a eu la chance de le boire grâce à Jo lors de notre soirée Margaux 83 en 2017, effectivement grand vin.

Stéphane

LLDA écrit:

 Château Palmer 1983, Margaux
On est clairement dans le tertiaire. Cendre, viande faisandée, tourbe, de la terre, truffe. Quelle complexité !
Le nez est magnifique et le fond de verre dingue. 
En bouche, le touché est soyeux, l’équilibre d’école. Le volume n’est pas énorme mais le vin est dense et il y a une belle longueur.
Grand vin

LE grand millésime de Palmer de ces décennies de la fin du XXème siècle. Très supérieur au 1982, millésime de référence en Bordelais. Le toucher de bouche est sidérant, la longueur jouissive.

Jean

Margaux Château Palmer 1996

Nez évolué de cassis, de cigare, de graphite, de cèdre et de sous bois. Pas de doute, le Bordeaux mature bien né est présent.

Belle bouche, sur un registre alliant élégance et finesse. Il est vrai que ce n’est ni le Bordeaux le plus profond ni le plus démonstratif que j'ai pu boire, mais on comprend vite que ce n’est ni le style, ni le but de ce vin que de s’affirmer tout en puissance. Jus soyeux, texturé, acidité effilée et douce complexité entre fruits noirs, cigare, et un boisé parfaitement intégré, on a ici un vin d’une élégance folle. Bel équilibre qui permet au vin d’envisager un avenir serein. Grande finale se partageant entre graphite et menthol, qui s’étire sur une belle longueur fraiche et sapide.

Beau Bordeaux, que du plaisir!

La nouvelle offre commerciale de Château Palmer


"La signature « hermitagée » d’un Grand Margaux 

Découvrez le millésime 2021 de Château Palmer Historical XIXth Century Wine, cuvée inédite et confidentielle élaborée par le prestigieux Cru Classé de Margaux dans l’esprit des « hermitagés », une tradition bordelaise du 19ème siècle que le Château Palmer a choisi de faire renaître.Cette ancienne coutume a été créée pour s’adapter au goût des Anglais, grands importateurs de crus bordelais. Elle consiste à intégrer, lors de l’assemblage du vin, une faible proportion de syrah de la Vallée du Rhône septentrionale, notamment de la réputée colline de l’Hermitage, pour lui apporter puissance et structure.
Fruit d'un assemblage de 49 % de merlot, 39 % de cabernet-sauvignon et 12 % de syrah, Château Palmer Historical XIXth Century Wine L.20.21 révèle un équilibre inédit entre un alcool modéré, une acidité rafraîchissante et des tanins d'une grande harmonie.

Le mariage réussi de deux superbes terroirs nationaux.

Une cuvée de collectionneur au style unique" ... 285€ 

Château Palmer Margaux 2005



Déguster à l’aveugle.
Robe de couleur rubis encore sombre avec des reflets sur les bords.
Le nez est complexe sur la cerise noire et les fruits murs. Il continuera à s’ouvrir sur notes plus floral tout au long de la dégustation.
Le touché de bouche est magnifique, le jus joue à la fois le gamme de la puissance et la finesse. Tanins, alcool, et aromatique tout est en place, les gorgées sont ciselées pour un pur instant de plaisir.
Sans doute mon plus beau bordeaux de la décennie.