Bonjour,
publicité non cachée et "revendiquée" pour des gens qui savent encore le respect, que dis-je, "l'amour" du client.
J'ai acquis pour les millésimes 2005 et 2006 des vins en primeurs au Domaine de l'Angélie. Sous cette dénomination se "cache" un petit négoce de vins et d'épicerie fine, perdu, mais vraiment perdu en Charente.
Quelques précisions pour vous situer la chose :
1. Les primeurs ont été commandés et étaient payables HT en deux fois (à la commande et en septembre). C'est bien.
2. Les primeurs étaient livrables en temps et en heure, sans aucune difficulté (comme indiqué premier semestre). C'est normal.
C'est maintenant que les choses deviennent intéressantes :
3. J'ai proposé d'aller chercher, venant de Bordeaux, ces primeurs.
- Pas de problème. Vers quelle heure comptez-vous passer ?
- En fin de matinée.
- Très bien, nous mangerons donc ensemble au restaurant…
4. Arrivés dans une cadre enchanteur (cf petite photo), accueillis par un chien tranquille et sympathique, nous faisons, ma femme et moi, la visite des réserves, où sont entreposés les vins et les produits à la vente.
5. Déjeuner au restaurant avec le propriétaire qui a toujours quelque chose à raconter, entre sa vie professionnelle, ses voyages, son ancienne activité de maire de la commune etc.
6. Il paie le déjeuner pour nous trois.
7. Nous revenons au Domaine, pour emporter nos vins et… il nous offre un bocal de foie gras mi-cuit, élaboré pour lui, par l'un des grands spécialistes sis à Peyrehorade. (
)
J'ai payé mes primeurs le même prix qu'ailleurs, voire même pour certains 3 à 5 euros moins chers.
Pour 2008, il propose, pour faire "face à la crise" un paiement échelonné en trois fois, toujours HT (commande, septembre, novembre). Ayant des contacts privilégiés avec Barton, il en a chaque année.
Et après il y en a qui vont aller mettre leur argent chez des gens qui ont des problèmes logistiques et des difficultés à livrer les primeurs 2003…
Suivez mon regard.
Voilà la publicité est terminée.
Cela nous change un peu… vous ne trouvez pas ??
Très cordialement.
Hervé