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Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?

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Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ? a été créé par chrisdu74

Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?
J’ai eu le privilège de m’occuper de la sélection et de l’ordonnancement de cette soirée. Mes commentaires ci-dessous ne sont donc pas à l’aveugle.
Magie de l’anniversaire, Tophe et Matt se sont fendus de quelques notes bien utiles pour relativiser les points de vue   


Adieu Judru, before, off et autres distractions... Avec l'expérience, on est maintenant ultra efficaces, on attaque le repas bille en tête.

Tartelette fine morteau poireaux et oeuf poché
 

Comme je ne foutais rien, j’ai eu le loisir d’observer la brigade coachée par Eric aux fourneaux et à la baguette, p… le boulot pour ce plat! 

Pour certains, fêter les 10 ans c’est vider les fonds de cave (Naan je déconne c’est moi qui leur ai demandé) alors sur l’unique plat à rouge, on va enchaîner une paire de vieillards et une paire de rouges pas si jeunes… 


Côtes du Jura Pinot-Poulsard 1971 Château de La Muyre
Eric a apporté cette bouteille, un vin qu’il avait déjà servi lors de son bizutage Juratourien il y a bientôt 6 ans, quand on vous dit que c’est un anniversaire 

Chris :  Robe diaphane, petite réduction mais plutôt joli nez fruité avec quelques notes qui évoquent le vieux vin et peut-être un tout petit liège. Bouche de belle tenue, pas de tannins même si ça finit un peu sec sur la longueur; ça évoquerait un poulsard d’Overnoy en un peu plus sec. Décline rapidement dans le verre mais on ne peut quand même pas lui en demander tant. 

Matt : Robe claire de poulsard, trouble, le nez est un peu fatigué, avec des notes de scotch et térébenthine, pas folichon mais la bouche est plus jeune, très douce. Toutefois le vin a dépassé son cap optimum.

Tophe : Robe claire, trouble, nez floral, jolie bouche mais s’effondre vite. B+ 


Arbois Trousseau Bérangères  J.Puffeney 1983
Une bouteille que Matt n’a pas osé apporter pour la dégustation du matin chez J.Puffeney mais qu’il fallait bien boire un jour

C : Le nez fait plus frais que le précédent, on trouve des fruits rouges. La bouche est fruitée aussi, plus vive, avec plus de corps que le précédent mais quand même sur la finesse

Matt : La robe est nettement plus foncée mais le nez est quasi mutique, la bouche présente elle une belle énergie (surtout pour son âge), il y a plus de fruit, ça "trousseaute", selon son géniteur cette bouteille était extra il y a 2 ans environ. Ici, ce n'est pas le coup de coeur mais un joli trousseau avec encore de la vie, mais qui commence à décliner.

Tophe : Robe limpide, plus colorée, nez peu causant. Beau fruit, un vin encore tout debout mais que ne me transporte pas pour autant. B. 


Arbois Ploussard 2011 dom. Overnoy-Houillon
On aborde la sélection officielle du festival. Quand j’ai vu cette bouteille dans les propositions d’Hubert, je n’ai plus vu qu’elle 

C : Alors la robe wahoo, le nez wahoo, la bouche fraîche, avec un tout petit gaz, évanescente même si un peu tendue avec une finale mentholée; très peu de matière, aucune aspérité, un côté grenadine light, de la salinité. C’est encore assez jouissif même si j’en avais bues une paire encore plus formidables de ce Rayas du Nord ; Début de fin de course ou bouteille un peu fatiguée ?

Matt : Robe saumonée, visuellement je pense déjà à Overnoy. Le nez est d'abord très floral, hyper expressif, m'évoque un trousseau de Guillaume Overnoy (et non Pierre) acheté il y a quelques années avec le groupe. Ca me fait aussi penser à certains cinsault peu extraits type "5SO" de JF Coutelou.
Aromatiquement très addictif pour moi: coquelicot, rose, abricot, agrumes...La relative déception vient de la bouche, très fluide, rien qui dépasse, mais du coup un certain manque de matière. A ce niveau on est limite entre le rosé (voire le blanc) et le rouge, un peu comme Pialade 14, ça fait vin de soif, à boire à grandes lampées (enfin si on pouvait se le permettre!). Ca reste un coup de coeur car l'aromatique tape dans le mille!

Tophe : Robe orangée, légèrement trouble. Superbe nez, des notes florales et d’orange amère. Un léger gaz, une grosse buvabilité. C’est un peu court, c’est dommage car sinon c’est un très beau vin, élégant, presque évanescent au bon sens du terme, une touche saline, de la dentelle presque reynaldienne. Certains poulsard de ce style peuvent vite s’avérer écœurants, ce n’est pas du tout le cas. TB.  


Arbois Ploussard 2005 dom. Overnoy-Houillon

La liste des propositions de Tophe était courte mais dense et contenait cette opportunité d’une comparaison intéressante, les rouges 2005 du Jura on en a rencontré pas mal des durs et secs, qu’allait-on trouver sur cette cuvée de velours ? 

C : Excepté la robe beaucoup plus rouge et dense alors qu’il s’agit du plus jeune vieux de la paire, le vin est similaire au 2011 avec néanmoins plus de matière, d’alcool aussi (c’est pas tropical ni un sudiste non plus hein ), un peu de gaz, légère volatile, du fruit et de très légers tannins, miam 

Matt : Quasi aucune note à part qu'une légère volatile perturbe le nez et la bouche, ce qui la durcit un peu. Du coup ça fait plus "vin nature" que son homologue de 2011. L'aromatique était moins accrocheuse mais il y avait plus de matière. Un mix des 2 serait l'idéal! 

Tophe : Belle robe encore jeune, nez sur les fruits rouges, pointe florale, les tannins accrochent encore à peine, un côté chaleureux mais bel équilibre, une discrète touche de volatile apporte un relief supplémentaire. Un vin encore un peu serré (millésime ?), avec un bel avenir devant lui, gros potentiel de garde encore. TB.  



On enchaîne les exploits culinaires avec Hub en maître queue cette fois ci … 

Saint Jacques, légumes oubliés et bouillon d’ail noir
 

2 Oxydatifs, il fallait une fauquette of course… 

Arbois chardonnay La Fauquette 1999 M.Gahier

C : Nez peu expressif avec quand même un côté grillé et levuré complété de notes de pomme cuite. La bouche ne trahit pas son âge c’est un uppercut de puissance acide, sur une aromatique de vieil oxydatif, bouillon, céleri; légère dureté en finale, un petit côté rustique qui n’est pas pour déplaire, comme son géniteur le fantasque docteur Michel Gahier

Matt : Robe ambrée, nez beurré, coco, pomme cuite, pas mon truc. En bouche ça fait bien chardo oxydatif, toujours la pomme, l'ensemble est assez écoeurant pour moi. 

Tophe: Une Fauquette sur la puissance, étonnamment bodybuildée, ce qui n’est pas le marqueur de cette cuvée en général. B. 


En face, comme c’était la fête à Overnoy, j’ai proposé 

Arbois  Chardonnay-Savagnin 1999 Overnoy-Houillon

C : Nez d’abord peu disert, à l’agitation un peu de levure et de pomme, on n’est pas en terrain inconnu. La bouche attaque plus douce que la Fauquette, puis se développe sur une trame acide salivante; très traçant, très propre, il ne fait pas son âge (pas étonnant, c’est un exemplaire de ce vin que j’avais laissé 2 ans en vidange dans la cave et qui était toujours vivant et bon) 

Tophe : Très beau vin d’une rare finesse et harmonie pour un assemblage des deux cépages. TB.

Matt : Robe plus claire, nez sur les lies, ce qui aurait dû m'orienter vers son producteur car c'est un marqueur très fréquent je trouve. La bouche fait penser à un vieux vin, avec là aussi un peu de pomme, mais c'est plus vif. Plus à mon goût que le précédent mais pas top non plus.   


Un petit intermède froid pour laisser respirer chef' Eric qui rempile sur le PVJM et surtout pour caser une bouteille que j’avais achetée spécialement pour cette occasion qu’on attend depuis bientôt 2 ans. J’ai complété autour avec quelques apports sollicités auprès des vieilles caves pour faire le quart d’heure géronto 

Lapin en gelée de vin jaune 
Pour l’anecdote, gelée élaborée avec un CDJ VJ 2007 de Ph.Butin, tellement bon qu’on l’a torché lors du before l’avant-veille et qu'il n'en restait plus pour la compotée d'oignons; vous admirerez donc la sobriété du design de l'assiette
 

Chateau Chalon Vichot Girod  1938    

"The special one", un remake de la bouteille offerte par Tophe lors de ses 51 ans. Achetée aux enchères, niveau basse épaule ; à la réception le bouchon pourri avait un peu fuité dans le papier bulle que j’ai léché tellement ça sentait bon (essayez un fond de verre vide de château chalon, épices, curry, cari gosse, jus de moules, pruneaux, raisins secs, y avait tout ça) 

C : La maigreur de mes notes ne fait pas honneur à ce seigneur ; nez sur le bouillon, le céleri, comme un vieux jaune qu’il est mais qui pourrait faire 40 ans de moins ce qui lui en laisserait 40; la bouche est superbe de puissance maitrisée, les agrumes sont là et bien là, ça devait être une bombe façon Arlay 89 ou Delphine 89 dans sa jeunesse

Tophe : Quelle douceur, rondeur et complexité pour ce flacon pourtant basse épaule ! J’adore…  Le fond de verre reste magnifique deux heures plus tard, sur les agrumes frais, les épices, l’orange amère. EXC+. Pour moi le vin de la soirée. 

Matt: là on change de registre, le nez fait penser tout de suite à un vieux jaune (mais j'aurais pas pensè autant!), il y a du céleri mais c'est aussi miellé, doux comme peuvent l'être des vieux jaunes d'Arlay. Très agréable, on y revient sanas cesse, puis la bouche est d'une douceur incroyable, c'est une caresse, vraiment aucun rapport avec un oxydatif dans sa prime jeunesse tant au niveau aromatique que de la structure, l'acidité du cépage est polie par les ans. C'est excellent et ça se boit tout seul!   


Vin jaune, présumé Chateau Chalon Marius Perron 1962

Tophe : Ce clavelin fait pâle figure à côté, avec son amertume prégnante et sa finale sur la noix verte. BOF.  

C :  Au nez un joli fruit malgré quelques faux goûts fugaces. La bouche commence plutôt belle sur un mode tendu, la finale est malheureusement plutôt amère et courte

Matt: au nez un peu de noix, du curcuma, de l'amande, et même la noix de St Jacques furtivement. La bouche est plus maigre et traçante que le précédent, plus typée Chateau Chalon mais moins de douceur, sans être agressif non plus. Objectivement très bien mais le Vichot Girod 38 l'a éclipsé.  


Château-Chalon La Muyre 1982
Un vin prévu pour donner la réplique à l'Overnoy 79 sur le PVJM, replacé sur le lapin car il goutait fin et acide 

Tophe : J’avoue que ce vin ne m’a pas laissé de souvenir précis, un moment d’inattention peut être, ou est-il éclipsé par son partenaire de duel ? Je l’ai juste noté B. 

C :  Un manque de tonus et de fruit mais un bel équilibre quand même, juste un peu trop vieux

Matt: pas décrit ce vin plus en détail que "pas très complexe, un peu de bouillon, bien mais ne sort pas du lot, il lui manque quelque chose". Il est vrai qu'à force de déguster des clavelins de grande classe, on devient difficile!    


Le suivant est annoncé par Joseph comme un cadeau de sa tante, sans pouvoir dire s’il s’agirait d’un Château Chalon 1947 ou bien d’un macvin de cette époque, logé dans un clavelin de style assez ancien.
En tout cas, on peut toujours dire "La tata à Jojo l’a mis dans son berceau"

Vin en clavelin, producteur inconnu, présumé 1947

C : Les quelques gouttes testées à l’ouverture m’orientent vers un vieux macvin avec une aromatique de vieux paille et un rappel de puissance alcoolique à peine disssociée. C’est très bon, il a encore du peps, comme un vieux paille, l’acidité sous-jacente ; je laisse la parole à l’expert… 

Tophe : Un vin en clavelin ancien, provenant de l’héritage familial de l’apporteur, dont l’origine s’est perdue. Il peut s’agir d’un vieux jaune mais aussi d’un vieux paille nous indique-t-il. Pour moi les marqueurs aromatiques du vin de paille sont là, fruits secs, crayon mâché, la pointe de volatile qui va bien, sauf le sucre. Je pense qu’il s’agit d’un paille qui a « mangé » ses sucres, l’équilibre est superbe, grosse matière, grande longueur. Il y a certes des notes oxydatives, mais pas tant que ça, et elles peuvent provenir de l’évolution. Certains penchent quand même pour un vin jaune. Il est vrai qu’avec quelques décennies, jaunes et paille conservés dans de bonnes conditions ont tendance à se rapprocher, le jaune se dépouillant de ses notes oxydatives et le paille en gagnant.  En tout cas c’est une superbe bouteille encore, ce « paille sec ». EXC. 

Matt: nez de paille (volatile), la bouche est très longue, un côté tourbé avec toujours cet aspect vin de paille paille mais sans présence de sr. C'est très bon, je ne mettrais pas ma main à couper mais ça semble effectivement plus un vieux vin de paille plutôt qu'un vieux vin jaune.  


Après toutes ces entrées frugales, on attaque enfin le plat de résistance! L’excellent PVJM par Eric; et comme c’est fête, il y a double ration de morilles paraît-il. Joseph avait du être prévenu car il est en grande forme ce soir, prêt pour superviser le partage
Juste une dernière précision avant de parler vins : Sans trahir les secrets du chef, à noter une technique toute particulière de double cuisson du riz  

Initialement prévu avec un service de 2 duels, on se retrouve donc avec un truel sur le poulet au vin jaune et aux morilles
 


Sur 1988-93 on n’a jamais été déçu par Arlay, je ne pouvais laisser passer cette proposition de Teva, bonne idée, série en cours…

Côtes du Jura Vin Jaune  château d’Arlay 1995  

C : Très vif, plutôt puissant, bouche impactante, aromatique classique pomme/noix/morille un peu moins nette que les 2 autres ; belle relance acide sur la longueur, très beau, le classicisme

Tophe : Très beau jaune sur la puissance, je partais sur un Arbois ; TB++

Matt : Peu de notes, curcuma, amande, en douceur, classique.  Pour une fois Arlay ne se démarque pas, bien fait mais un peu déçu de voir l'étiquette.  


Château-Chalon 1995 Macle

C : Pas noté grand-chose, ce n’est pas exubérant, finesse sur sa trame acide, élégance, classe ; l’élégance faite vin jaune

Tophe : Encore une très belle bouteille, sur la finesse et la complétude, tout est harmonieux, le Château-Chalon dans toute sa splendeur…je le préfère à l’Arlay en terme de plaisir. EXC

Matt : Nez frais, très très longue finale sur la morille, un cas d'école. Plus tard dans la dégustation le pamplemousse revient en force, ce qui signe les Chateau Chalon évolués. C'est fin, long, droit, très civilisé, très bon vin.  


Arbois Vin Jaune Overnoy 1979

Celui là pareil, quand c’est le père noël qui te fait ta liste de cadeau, tu prends et tu dis merci Tophe 

C: Au premier abord sur le bouillon, le nez se révèle kaléidoscopique, si si; en bouche c’est l’équilibre aussi mais sur un mode puissant, plus expressif; la rétro est juste orgasmique, les caudalies infinies, le goût reste en bouche indéfiniment; la complexité dans le verre ne cesse d’augmenter. Flamboyance baroque ! 

Tophe : « La flamboyance baroque » dit le coprésident, et ça correspond tout à fait à ce vin. Ca part dans tous les sens c’est extrêmement complexe et très long. Et cette complexité est évolutive, le vin (débouché 4 jours à l’avance) s’ouvre de minute en minute et dévoile de nouvelles facettes. Et c’est parti encore pour quelques décennies… EXC

Matt : Nez qui fait assez vieux mais très agréable, encore une fois m'évoque Arlay (89 par exemple), complexe, démonstratif, céleri, bouillon, pain grillé, du "fruit" et des épices. La bouche est très longue une fois encore, excellent avec le comté un peu plus tard.  


Quelle trilogie !   Tout le vin jaune résumé dans cette séquence  


Bon là ça y est on commence à se calmer ; au vu de l’agencement précédent, j’avais déjà décidé de ne pas ouvrir une deuxième bouteille sur le fromage et Matt se présente en solo avec son
 

Arbois Vieux Savagnin Ouillé  2000 dom Overnoy-Houillon  (50cl)

Matt : C'est vraiment pas facile de déguster autant de vins oxydatifs à la suite, et je pense que le vin en a partiellement souffert, surtout après les monuments précédents. le nez est sur les lies, la bouche est un peu creuse, métallique, puis reprend du corps. La trame acide est importante mais fine, on retrouve les agrumes. J'aurais préféré le déguster avant les jaunes car le caractère oxydatif est moins marqué (bien qu'on soit assez loin d'un vin ouillé, malgré le nom de la cuvée). Regouté 2 jours après, tout seul, je reste sur ma déception. Non que ce soit mauvais, mais c'est limité, et ces arômes de lies sont fatiguants. Pas au niveau de complexité dans mon souvenir de cette bouteille il y a pas loin de 10 ans maintenant. 

C : Pas de note, souvenir d’un équilibre parfait sur une trame acide intense mais bien enrobée, pas de débordement aromatique, deviendrait on blasé ou cette bouteille est un peu moins expressive que des fois ?

Tophe : Pas de note sur ce vin, qui me laisse pourtant un très bon souvenir, épices agrumes, grosse colonne vertébrale sur l’acidité.  



Sur le dessert, poires pochées au vin doux, fruits exotiques et jus de goudron ( non pas de jus faute d'avoir surveillé la casserole de réduction du bouillon de pochage)
 

Spirale 2005 de Tissot

Tophe : Il se fait tard, les neurones se font rares, et les notes inexistantes sur ce vin qui fut pourtant à la hauteur si je ne m’abuse.

C : Acidité compensée par le sucre, rien ne dépasse; même en fin de soirée ça se boit, ça ne se crache pas

Matt : Le coing domine largement, on a aussi la datte, c'est très confit, la bouche est très sirupeuse. Malgré l'acidité présente, ça reste trop chargé en sucre pour mon goût. En fin de dégustation comme cela, c'est au delà de ma limite, je ne peux pas le finir. 


Conclusion ;

Matt : Voilà une dégustation dont on se souviendra! Si je dois isoler quelques flacons, je dirais Poulsard 2011 de Overnoy Houillon,le jaune 1938,le vieux paille supposément, Macle 95 et Overnoy 79, difficilement crachable! (pas trop essayé non plus) 

Encore merci à tous les amis du Juratour, notamment ceux qui passent du temps derrière les fourneaux et qui nous régalent à chaque fois. Prêt pour une nouvelle décade!  

Tout est dit dans ces dernières phrases, on lui laissera le dernier mot

edit : petite incohérence corrigée suite à signalement discret 
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30 Nov 2021 20:06 #1

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Réponse de oliv sur le sujet Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?

Oh la vaaaaaaaaache, j'en ai l'avatar qui frétille !!
30 Nov 2021 20:47 #2

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Réponse de Jean-Bernard sur le sujet Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?

Magnifique ! 

JB
30 Nov 2021 21:03 #3

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Réponse de Vaudésir sur le sujet Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?


"La tata à Jojo l’a mis dans son berceau"


 


On va lui en parler de sa Tata vendredi   
30 Nov 2021 21:04 #4

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Réponse de denaire sur le sujet Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?

Magnifique, splendide, formidable ! Très grand merci pour le CR, salivant à souhait, et bravo pour cette sélection, on ne voit pas ça tous les jours ! Le seul vin que j'aie bu de la liste est le Vieux savagnin ouillé 2000 d'Overnoy-Houillon, et j'en garde un souvenir ému (même s'il n'avait pas, vu le CR, l'air au mieux de sa forme cette fois-ci).

Mathieu
Les utilisateur(s) suivant ont remercié: chrisdu74
02 Déc 2021 00:15 #5

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Réponse de whogshrog43 sur le sujet Jura Winter Tour 2021 : Du Jura whatelse ?

Watcha !!!!!

Amicalement.
Nico
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Longue vie aux mangeurs d'étoiles...
20* : les vins de rêve / De 19,5 à 18* : les vins exceptionnels / De 17,5 à 16*: les vins excellents / De 15,5 à 13,5* : les bons vins / De 13 à 11,5* : les vins corrects / 11* et moins : les vins médiocres *A mon goût à l'instant t
02 Déc 2021 19:59 #6

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