Même sentiments pour moi Humberto !
Je rajouterai quelques belles notes de fruits confits, coings et autres parfums envoutants
Très belle soirée en tout cas !

Perrier-Jouët cuvée Belle-Epoque 1990
Suite de ma découverte de cette cuvée (cf post plus haut)...
Coïncidence fortuite ou pas, j'ai eu l'opportunité de découvrir un millésime un peu plus ancien quelques semaines seulement après ma première dégustation.

A nouveau, un grand moment!
Ce millésime est toutefois plus vineux que le 1994, mais reste délicieux tout au long du repas. Il garde une robe dorée magnifique.
Il est probablement à boire assez rapidement, car il a moins évolué que son prédécesseur.

Hubert

Bonjour,

je me suis inscrite sur ce forum pour avoir quelques conseils concernant une vieille bouteille que je viens de trouver dans la cave de mes parents.
Il s'agit d'une bouteille de champagne perrier jouet belle époque 1975.
Je n'y connais rien et j'aurai aimé avoir votre avis : est ce qu'on peut la boire, est il encore bon, peut on le garder encore longtemps ?

Merci beaucoup pour vos réponses

violette

Bonjour Violette,

Belle trouvaille.

Tu peux en profiter dès maintenant car 75 cela est déjà âgé pour un Champagne, hormis si tu aimes vraiment les Champagnes très évolués.

Si il as été bien conservé pas de soucis particulier quand à la dégustation.

Fais nous part de tes impressions.

Julien

@ violette : Lire ce fil !!
On peut répondre oui à tes 3 questions. Mais tout dépend de tes goûts à toi.

Perrier Jouët Belle Epoque 1998

Un nez très plaisant sur la patisserie, ça embaume bien. La bulle est fine. La bouche est beaucoup plus fine que le nez ne laissait penser. On a une belle finesse, sur la fraicheur, sans cette pointe grillée que je trouve caractéristique sur ce millésime, en tout cas sur les champagnes que j'ai gouté. C'est bon, mais un peu trop dosé à mon goût

Quelqu'un a t il gouté Belle époque 1995 que j'ai vu à prix correct chez un caviste ?

Salut Raymond,

Je l'ai goûté il me semble il y a trois ou quatre ans et je n'en ai pas gardé un souvenir marquant.
Je lui ai nettement préféré le 89

Après en fonction du prix laisses toi peu être tenté, a combien le propose ton caviste ?

Julien

170€ le magnum me semble intéressant ?
Mais je n'ai jamais bu cette cuvée Belle Epoque

J'ai jamais accroché sur cette cuvée

Avec Tarkan je trouve que l'on a les mêmes goûts aussi bien pour les très bons champagnes, comme pour les mauvais

Raymond, pour ma part je ne prendrai pas...

Bonjour Raymond, je ne sais si vous avez déjà investi, mais pour 170 euros, on accède en principe au summum qualitatif de la région champagne vineuse, même en magnum...

Et pour avoir passé quelques heures hier avec un membre du personnel de cette maison vénérienne qui connait donc bien la production des 20 dernières années...disons...qu'un coup de fil ou une visite à un caviste spécialisé sur Epernay (du genre "le 520" pour ne pas le citer) permettrait d'élargir le choix en bonnes bulles haut de gamme (je sais qu'il y a un beau petit choix en magnum).

Reste que la bouteille à fleurs est magnifique, faut le dire...
Alors en magnum... on peut même le garder vide et l'étagérer, ça se vend aussi en brocante plus de 10 euros, c'est toujours ça de récupéré ;-)

Merci à tous . Je vais donc m'abstenir

Bonjour ,
PERRIER-JOUET Belle Epoque 1996
Ouvert ce midi accompagné de noix de saint Jacques aux amandes ...
Champagne d'une belle robe couleur or , acide juste se qu'il faut pour mes papilles , vineux , mais hormis la bouteille que je trouve très belle , je n'ai pas accroché plus que cela ... mais le Krug 1990 bu la veille y est sans doute pour quelque chose

Cordialement ,

David B.

Perrier-Jouët cuvée Belle-Epoque 1995

Je continue sur mon lot de Belle-Epoque début des années 90.
Etant amateur de champagne millésimés, j'ai un petit faible pour cette cuvée! Peut-être à cause des bons moments dont elle fait généralement partie, ou alors pour son joli dessin.
C'est aussi une des rares cuvées prestiges que l'on trouve encore à prix doux sur des millésimes anciens. Du coup lorsque nous avons ouvert cette bouteille avec quelques amis, à l'apéritif, nous avons retrouvé les fines bulles et la vinosité caractéristique d'un champagne vieilli en cave. J'ai été toutefois un peu plus déçu sur l'équilibre (vs. Enchanteleurs 1996 gouté plus tard), mais j'ai retrouvé un très joli bouquet et une magnifique couleur. C'est peut-être là la caractéristique la plus frappante de ce champagne.

Perrier Jouët Belle Epoque 1988

Ma première découverte au restaurant ce midi avec cette cuvée. Collectionnant les muselets et n'ayant pas celui-ci à ma collection, je me dis que le moment est bien venu, d'autant plus que le prix semble correct sur la carte.

La bouteille accompagnera les différentes entrées des convives ; pour l'un : foie gras de canard poêlé-poché au bouillon infusé verveine-citron ; pour moi même : Saint-pierre fumé, pâtes fraîches à l'huile d'aneth, chou-fleur à l'encre de seiche, avocat et oeufs de poisson volant ou encore ; pour un autre : Dans une sphère, escargots franc-comtois de la ferme des Chazeaux, note d'absinthe, saucisse, champignons du moment et crème d'ail, panure à la farine de gaude ou encore la Saint-Jacques en maki et carpaccio, mangue, gingembre et combawa.

Très jolie robe dorée, un nez toasté, amande et noisette grillées. Bulle élégante et encore relativement vive.

Un beau champagne.

Amateurs (trices) de grandes cuvées de Champagne, c'est a vous que je m'adresse.
Un flacon de Perrier Jouët "La Belle Epoque" millésimé 1999 en 75 cl à 72€ TTC, est-ce une opportunité à saisir ? Le RQP est il de rigueur ?
Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à mes questions.

PERRIER-JOUET brut années 60

J'ai ouvert cette très vielle bouteille sans grand espoir et il n'y a pas eu de bonne surprise .
Le vin est ambré foncé . Il reste quelques bulles fines mais l'ensemble est parti sur l'oxydé juste avant le stade madérisé .

Mais il me reste une carte , et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai choisi ce moment pour l'ouvrir : le poulet au Champagne que mon épouse souhaite faire pour un anniversaire en début de semaine .

Ces vins oxydés font souvent les meilleures sauces ( clin d'oeil à la rubrique Coulée de Serrant ) .

Premier repas des fêtes avec en apéritif sur du foie gras un superbe Perrier-Jouet Belle époque 1985 (en magnum)

Un peu d'inquiétude au départ. Le bouchon est humide et s'émiette. Toujours de l'effervescence mais il laisse tout d'abord l'impression d'être fatigué. Premier nez pas très engageant, notes très oxydatives et humides.

Après 30' d'ouverture, c'est beaucoup mieux ! Soulagement et engouement !
Le nez est complexe est puissant sur la pomme blette, le champignon, le caramel, quelques notes de torrefaction (café), un côté biscuit caramel, j'adore.
Bouche superbe avec plus d'acidité que ne laissait présager le nez, bien crémeuse. C'est parfaitement équilibré avec une tension qui revient sur une finale d'une longueur assez exceptionnelle sur les épices et le caramel, des parfums en parfaite adéquation avec Noël

Superbe

Romain

Série Perrier Jouet – Tous encore trop jeunes, trop ‘verts’ . Méritent vraiment d’attendre encore qq temps.

Gd Brut – appréciable sans plus. Très simple, manque d’élégance, bulles pas très délicates.

Belle Epoque 2007 - Sans classe, sans aromes précis, sans personnalité. Ne vaut vraiment pas du tout son prix (autour 120 euros).
Comparativement en terme de prix et de qualité le Comte de Champagne 2004 de Taittinger (autour 140 euros) c’est le jour et la nuit. Ce Taittinger est vraiment délicieux, classe, d’une complexité remarquable, riche. Mémorable.

Blason Rosé – Nez assez gourmand, notes de framboises et fruits rouge. What else ? Mais après cela pas grand chose à en retenir. Un rosé assez banal. Pas gourmand ni appréciable. Anonyme en souvenir gustatif.

Belle Epoque Rosé 2006 : une plaisanterie qui vaut autour de 150 euros (de mémoire). Et pour ce prix on est en droit d’attendre oser espérer accéder en principe au hautement qualitatif de la région champagne vineuse.. Et là pour le coup on en est très très très loin... Aucun plaisir précis, pas de signature, aucune belle personnalité, rien ne subsiste. Anonyme en souvenir. Le vide sidérant.

Blason Rosé Enchanting Nature – idem

Très perplexe et déçu .Confirmation pour leur rosé que j'avais déja bu et pas aimé. Mais j’avais le souvenir d’un Brut très réussi et bien agréable bu il y a 2 ans. Pour moins cher vous trouverez des Champagne bien plus intéressants et qui vous conviendront mieux.

PERRIER-JOUET Grand Brut
Une bien belle bouteille. La première pour moi en passant.
Ouverte et bue dans la foulée.
Belle couleur or translucide et belle assez peu présente à l’œil.

En bouche, les bulles sont bien là mais vraiment très fines ce que j’apprécie vraiment. C’est très bon, fruits blancs, brioche et une pointe minérale en finale juste comme il faut.

A 4, le flacon n’a pas fait plus de 10 mns sur table... Très bon et je suis sous le charme; le jour et la nuit avec un Moët réserve impériale qui passera juste après. À racheter et surtout à découvrir le reste de la gamme.

Dens

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Bonsoir Dens33,

Je t'ai remercié par erreur, voulant juste répondre que si ce BSA t'avais plu, il faut que tu goûtes Deutz, Laurent Perrier, Roederer, Pol Roger, Bollinger Ayala, Billecart Salmon...pour quelques grosses pointures...et qui sont à mon humble avis d'un niveau tellement supérieur. Car je suis pour ma part très réservé sur ce GD Brut gouté 2/3 fois par an et qui me semble ..disons d'un prix élevé au regard du vin proposé.
Je te rejoins sur la comparaison avec le Brut Impérial, qui sans démériter au bout de 4/5 ans de garde face aux premiers prix de supermarchés, joue encore ici dans une cour inférieure.

Champagne – Perrier-Jouet – Blanc de blancs

Bue lors d'un superbe repas à La Bouitte relaté ICI

La robe d’un or pale est dotée d’un train de bulles abondantes.
Plus en finesse qu’en puissance, le nez propose une aromatique très florale, agrémentée de fruits blancs et de fruits secs, et d’une légère touche grillée.
La bouche associe une chair assez dense et une grande fraîcheur ainsi qu’une bulle très fine qui titille le palais en douceur. La belle allonge s’achève sur une finale saline qui invite à une nouvelle gorgée.
Un très beau Champagne d’apéritif tout en élégance.
Très Bien +(+)

Jean-Loup

Bue ici

Perrier Jouet La Belle Epoque 2007

La bulle est fine et le vin fermé à l'ouverture, servi un peu trop frais il met quelques minutes à dévoiler un nez finement crayeux. On y distingue des arômes classiques de fruits blancs et déjà quelques notes d'évolution que j'avais également retrouvé en mai sur la Grande Année 2007 de Bollinger. Première déception car ça manque au nez un petit peu de puissance et de précision. Confirmation en bouche. Si le champagne est délicat et fin, il manque clairement d'épaules et de longueur pour un champagne de cette gamme. Déçu, car j'ai une certaine estime pour les derniers tirages du BSA qui, dans son registre fin et gouleyant, ne s'en tire pas si mal. Payé 60 euros et fort heureusement. AB -

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"Payé 60 euros et fort heureusement. "
Tu fais bien de le souligner : à ce prix, tant de champagnes de vignerons tutoient le très très haut niveau et le TrèsBien plutot que le AssezBien...reste que la bouteille est belle. Toute petite consolation !

A commencer par l'aérienne 2004 de Tarlant de la même soirée...Même à 60 euros je doute qu'on m y reprenne

Bouteille bue en apéritif. La dernière remonte à l’année dernière et mon avis, si un peu moins positif, n’en demeure pas moins bon.
PERRIER-JOUET Grand Brut
Bu juste avant un Laurent-Perrier Brut ‘La cuvée’, il n’a pas démérité.

La bulle est fine, fruits blancs et un poil brioché mais finale courte.

Il fait le job, ni plus ni moins et en apéritif se débrouille. Sans doute loin d’être le meilleur rq/p en champagne, il a permis de passer un moment agréable.

Dens33

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Champagne Perrier-Jouet “Belle Epoque” 1983

Effervescence encore bien vivante avec un nez sur la crème brulée et le sucre brun.

En bouche, on sent de suite le dosage très généreux de cette cuvée, c’est riche, avec une belle attaque, mais avec une bouche un peu pataude à mon goût, signe selon moi que le vin est plutôt sur sa phase descendante. Néanmoins, l’équilibre est préservé, et une belle acidité relance un ensemble sur des arômes confits et de noix pour finir sur une belle finale qui m’a rappelé le sucre brûlé de mon enfance.

Très joli vin malgré un déclin manifeste ça reste toujours une belle expérience de boire ces vieilles bouteilles au dosage presque suranné.
 

Bonjour hardi Oliver,

Tu assénais doucement :"ça reste toujours une belle expérience de boire ces vieilles bouteilles au dosage presque suranné."

Mais oui !! Mon anti-luxisme primaire, bien que m'interdisant d'encenser les bouteilles les plus chères (oui je sais, c'est encore un mensonge au vu de notre dithyrambie sur les Egly Ouriet d'avant hier) s'est teinté d'un peu de vérité ces dernières années, car il est rare  dans nos belles soirées entre amatrices (que je mets ici à l'honneur : ne nous reconduisent-elles pas à bon porc ?) se terminent par décaver autre chose qu'une belle bouteille mature..et là, ben on tape souvent dans le négoce.
Et on se prend alors à apprécier un vieux millésime de Moët pourtant villipendé à sa sortie...Le Champagne en général reste donc le vin avec le meilleur vieillissement, en tous cas le plus profitable.
Quand à ceux qui encavent encore pour le futur, ces bouteilles de négoce restent souvent le moins bon rapport qualité prix, mais, ça je vous l'assène depuis tant de temps...

ps : oui ami frédo, à me relire ça fait vraiment vieux schnock ce genre de post, mais bon, hein...
  

Bah, c’est à dire qu’Egly a dépassé depuis longtemps Belle Époque en seconde main, espèce de bourgeois va 

la question du dosage est vraiment devenu centrale en fait. Certains vignerons sont devenus des orthodoxes du 0 dosage. En fait pour moi le dosage - comme l’assemblage soit dit en passant - est partie intégrante du savoir-faire champenois. 

Or pas mal de vignerons connus dans ces colonnes ont pris le contrepied d’un dosage généreux, souvent synonyme de sous maturité. Mais quand on conjugue passage sur lie court et maturité pas toujours évidente sur quelques millésimes, ça détartre une peu les gencives… 


travailler sans dosage sur le vignoble le plus septentrional de France, c’est un peu comme travailler sans filet, parfois, ça peut toujours servir, suffit de s’adapter et de ne rien s’interdire par orthodoxie.