S'il n'est pas trop tard .... on mange très bien au Relais (la rue en face la gare d'Angers). Les Tonnelles sont fermées jusqu'au 27 janvier. Bon voyage vers la douceur Angevine (Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage, .......) J. du Bellay
je vais suivre tes conseils avisés, on pourrait peut être y aller ensemble samedi soir après la dive bouteille ? Perso j'ai été un peu déçu par Les Tonnelles l'année dernière, pas par la qualité de la cuisine toujours très belle, ni par la carte des vins, mais plutôt par les portions un peu ridicules dans l'assiette, un certain manque de générosité dans la cuisine, c'est dommage. Pour tout te dire on avait faim en sortant. Restaurer...ce môt à tendance à disparaître dans l'esprit des chefs. Je suis un peu méchant avec les Tonnelles mais c'est un restaurant que j'adore donc...
Je suis nouveau dans ce forum donc je découvre, c'est très intéressant.
Je suis étudiant a Angers et passionné de vigne et de vin.
Près de chez moi dans La Doutre il y a "le bouchon angevin" rue Beaurepaire. C'est un resto qui fait aussi cave à vin. Le propriétaire est très sympa. Je n'ai pas encore mangé la bas donc je ne peut pas vous donner mon avis mais des amis m'en ont dit le plus grand bien.
A Angers vendredi soir, pourriez vous m'indiquer si les restos précédemment cités sont à mêmes d'acceuillir une famille avec 2 enfants : c'est à dire pas enfumés et pas trop serrés.
Pourriez vous, le cas échéant, m'en indiquer d'autres plus appropriés avec une belle carte des vins.
Merci aux connaisseurs
Mais déguster cet hymen/sous l'arbre d'un paradis chantant
c'est boire de la santé, c'est fortifier ses veines/et rester debout parmi les vivants.
A Angers, ce bistrot repris en avril 2005 par un couple sympathique de grand professionnels : Stéphane, ancien chef de l'Angle du Faubourg et sa compagne Laetitia, ancienne chef de partie chez Taillevent puis chef aux Papilles (rue Gay Lussac) :
Le Petit Comptoir
40, rue David d'Angers
Tél : 02.41.88.81.57
Jean-Philippe Durand
"La cuisine n'est que passion et partage" - Marc Meneau