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je suis peu touché par ce phénomène car je tiens bien debout et avant que je ne tombe, il en faut (la carrure y est sans doute pour quelque chose)Pour moi l'ivresse c'est simplement la frustration de ne pas pouvoir déguster plus écrit:
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leguitou écrit: Bref je bois toujours avec parcimonie (qui ?) ...
vougeot écrit: Et moi avec son copain Bonessian (c'est un Arménien)
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Ya deux cas:l'ivresse liée au vin est elle un des nombreux plaisirs qu'il procure?
Y a-t-il plusieurs formes d'ivresse?
Y a-t-il une philosophie de l'vresse?
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Je vous trouve bien sérieux ma foi.
De mon point de vue, si les gens qui m'entourent me connaissent suffisamment pour ni être choqué, ni m'en tenir rigueur, j'aime assez, de temps à autre, diviser ma soirée en deux parties : la première ou je déguste et discute calmement (même si une sottise ou deux peuvent sortir de ma bouche, mais bon, on ne se refait pas) et la deuxième ou je recherche l'ivresse et je lâche les chevaux, et tant pis pour la casse le soir même et le casque nazi à l'envers le lendemain.
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Mané Galinha écrit: La question que je me pose et que je pose aux "anti-ivresse", est la suivante : s'il n'y avait pas les effets secondaires désobligeants de l'alcool,, auriez vous la même position concernant votre désir de maîtrise et de lucidité gardée ?
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« Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.bulgalsa post= écrit: Peut-on encore parler d’ivresse ?
Au fait, pourquoi boit-on du vin ? Pour s’enivrer, mais ce n’est pas si simple. Platon, Wilde, Bukowski, il est l’heure de trinquer !
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