Bonjour,

les délires du Bochy sont de retour, avec le 12 mars au 52 de l'avenue Brugmann une verticale de Dom Pérignon garantie sans photo de Karl Lagerfeld
(%22X(%22)
le budget sera entre 100 et 150 euros p/p, cela dépendra du nombre de participants, limité à 15 quand même, faut pas déconner.
Bon, ben, pour les inscriptions, c'est comme d'hab: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Qu'on se le dise au fond des chaumières et des bois

oups, j'ai oublié de préciser les millésimes en cause:
62
63
76
80
83
88
92

je sais, pas le 96, mais bon, si vous aimez le susucre, je m'en occupe, la cerise (mûre) sur le gateau...:)o

Je ne connais pas le 1963.
C'est une jolie verticale.
Pour les non initiés,
- Bochy ?
- avenue Brugmann ? où ?

Désolé de paraître ignorant de l'univers de chonchon.

Domp 96 susucre ?

alfonso écrivait:

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> François Audouze écrivait:
>

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>

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> > Je ne connais pas le 1963.
> > C'est une jolie verticale.
> > Pour les non initiés,
> > - Bochy ?
> > - avenue Brugmann ? où ?
> >
> > Désolé de paraître ignorant de l'univers de
> > chonchon.
>
>
> Boschy: Eric Bosshman
> Brugman:c'est à Bruxelles
Alfonso

Laurent,
J'avoue que les considérations sur le susucre de Dom Pé 1996 faites ici et sur le chapitre Dom Pérignon du forum champagne me posent des questions.

Ce Dom Pé 1996 est démoli de façon assez surréaliste. Il est quand même très au dessus du 1992 qui sera présenté à Bruxelles.

Encore une fois, question de goût.

Le Vintage 92 assurément. Mais il paraîtrait que l'Oenothèque 92 est excellent, c'est à dire qu'il a plus de tension et de fraîcheur que le simple Vintage. Etonnant ?

N'est-ce pas Raymond ?

Jean-Philippe Durand

Bonjour Eric,

Personnellement, comme d'habitude, j'en serai, très curieux de goûter de vieux millésimes de Dom Perignon. Je peux même apporter 1990 et 1996...

Luc

Une telle verticale mériterait au moins un Oenothèque !

Quant à Dom Perignon rosé 1996 il est proche de fabuleux !

Chonchon,

Laisse le sucre et la cerise!

Eric,

Bien que n'étant pas fana de tout ce qui est efferveçant, je serai une fois de plus des vôtres. Les deux seuls DP que j'aie dégusté de ma vie sont le 1975 et 1982 qui m'ont laissés sur le cul. ><
Thierry (Bxl)

Luc,
J'avoue que je suis assez surpris.
Dans le chapitre Dom Pérignon, tu dis :

"Dom Perignon est une cuvée produite à plusieurs millions d'exemplaires, vendue à un prix extravagant, et qui ne m'a personnellement jamais procuré beaucoup d'émotion. Un 1996 goûté il y a quelques mois ne m'a pas fait la même impression positive que ce que je peux lire ici, mais il en faut pour tous les goûts... "

......

"Cela me semble un peu court de se contenter de commenter le vin. La rapport qualité-prix me semble quelque chose de primordial dans nos décisions d'achat. Et dans rapport qualité-prix, il y a prix...
Il me semble également intéressant de savoir les raisons qui peuvent expliquer un prix de vente élevé.
Si certains estiment que le facteur principal qui explique le prix de vente de Dom Perignon est l'efficacité de la stratégie marketing, je ne vois pas pourquoi ils ne pouraient pas le dire si les arguments sont là. "

......

"Personnellement, pour reprendre ton exemple, je préfère de loin boire trois fois Bollinger Special Cuvée qu'une seule fois Dom Perignon. Et chaéque fois que je l'ai goûté, à l'aveugle ou pas, j'ai toujours préféré Bollinger Grande Année à Dom Perignon. Mais ce n'est qu'un avis parmi d'autres, ce n'est pas la vérité."

.......

J'étais donc persuadé que tu étais un adversaire convaincu de Dom Pérignon. Or tu vas à cette dégustation, avec envie de goûter des Dom Pérignon.
Comme quoi, on peut se tromper.
J'aime évidemment cette curiosité positive.

Jean Philippe : le 1992 Oenothèque (dégorgé en 2005) est grand, mieux que le 1992.

François,

Je ne suis adversaire de personne et d'aucun vin en particulier, même si j'affiche clairement mes goûts.
Et jusqu'à présent, mes goûts en matière de Champagne vont plutôt à Bollinger et Krug (même si je ne connais que la Grande Cuvée) qu'à Dom Perignon. Sans oublier Salon qui m'a époustouflé lors de la verticale organisée par le même Eric Boschman, mais c'est un vin plus difficile à se procurer.
Cela dit, je ne connais rien de plus vieux que 1990 en Dom Perignon et je me suis laissé dire que les vieux millésimes pouvaient être fameux.
Et puis, je suis effectivement de nature curieuse (c'est mon côté scientifique), et j'aime remettre en question mes "certitudes", qui n'en sont finalement jamais.
Je n'aimais pas non plus la Coulée de Serrant sur base de quelques bouteilles dégustées, ça ne m'a pas empêché d'organiser une verticale pour en avoir le coeur net.

Luc

Luc, .

Chonchon,

J'aimerais bien pouvoir me joindre à la fine équipe, mais pour moi, il y a un gouffre entre 100€ et 150€. Y a-t-il moyen de préciser ?

Amicalement

Didier

Je suppose que cela se passe en belgique?

Moi ca me tente quand même!

Trés beaux souvenirs du 62 ...

Xtof

Luc,
Sur ce point, nous sommes parfaitement d'accord.
Dom Pérignon mérite d'être exploré.
Pour la coulée de Serrant de Nicolas Joly celle que j'ai préférée c'est 1967, c'est à dire avant que ça ne devienne cette course un peu folle vers des vins difficiles à boire jeunes. L'homme est incroyable, fascinant ou agaçant selon le moment ou le propos.

Si j'ai un conseil à donner pour la dégustation à laquelle je ne pourrai me rendre, alors que ça m'aurait fait plaisir, je mettrais quand même un 1996, qui serait bu après les autres. Comme cela, vous pourriez tous voir si vous confirmez votre jugement sur le dosage excessif.
Dosé, c'est sûr. Excessif, à rejuger.
Pensez que LaurentG a mis plus de 18 à ce champagne. Or je ne lui connais pas de complaisance coupable.

Votre avis, Eric et Luc, dans ce contexte, m'intéressera.
Le 1962 est un chamapgne très subtil. Tout dépendra de la bouteille.
Bonne dégustation.

Il devrait y avoir un 1990 et un 1996 en plus de la liste déjà annoncée.

Luc

François,

Je crois pouvoir dire que nous avions aussi beaucoup apprécié Dom Pérignon 93 avec Jean-Philippe (18/20 pour moi).

J'ai toujours trouvé superbe Dom Pérignon 1990 (goûté 3 fois).

Dom Pérignon 95 pur, fin, excellent (un véritable vin d'anniversaire).

A Vannes, je ne m'attendais pas à ce que Dom Pérignon 96 (18,5/20+) se goûte aussi bien (ayant en souvenir un Bollinger GA 96 très rétif).
Je pense que tous les convives de Nidal ont trouvé ce Dom Pérignon 1996 de haut niveau (ils me démentiront éventuellement).

Je ris jaune quand j'entends parler de cerise et de sucre sur Dom Pérignon rosé, ayant goûté le Dom Pérignon rosé 1992 à 20/20 !
J'y vois plutôt une lévitation musquée proprement irrésistible !

Cela dit, le rapport au dosage, c'est un peu comme le rapport à l'oxydation : cela reste assez complexe et les diagnostics, d'un dégustateur à l'autre, sont parfois bien différents sans qu'on ne sache pas vraiment bien en expliquer la cause.

A quand les premiers commentaires sur le Vintage 99?

Je suis assez curieux car les rares echos qe j'ai eu evoquent un vin tres different de la gamme habituelle, un vin plus corse (encore faudrait-il que je comprenne parfaitement ce que cela signifie...).

Il est nettement plus dur, plus viril, et a besoin de s'arrondir.
Il est effectivement très différent des autres.
Moins charmeur dans le sens séduction lascive. A regoûter pour que je me refasse une idée.

Vu le programme prestigieux, le prix de la dégustation du Bochy a été fixé à 185,00 EUR par personne!

Cela s'annonce comme un moment d'anthologie...

Sébastien

A ce prix là mettez vite un susucre rosé (1996 par ex !)
Du susucre comme ça moi j'en redemande !

Bien que les dégustations d'Eric soient de haut niveau et toujours passionnantes, cette fois-ci je fais l'impasse car trop honéreuse.

Je m'étais pourtant inscrit mais ma passion pour les vins effervescant n'est pas énorme et donc c'est trop pour mon portefeuille cette fois-ci. Je risque de ne pas en retirer un grand plaisir. Si cela avait été des grands liquoreux, des Romanée-Conti, Petrus, vieux Portos, .... j'aurais participé quand même.

Dommage donc, ce ne sera que partie remise (sauf si je suis invité )

Thierry (Bruxelles)

Les lectures honéreuses de Balzac.
Le prix dépend des vins ouverts.
Romanée Conti pour 185 euros : on peut souffler sans risque dans le ballon après. Car il n'y en aurait pas beaucoup dans le verre !!!

François,

On peut quand même rêver non ? Par le passé, j'ai déjà acquis des vins de DRC dans des millésimes anciens à des prix corrects (mais c'est du passé cela) et cela m'a permis de déguster des Richebourg 1972, La Tâche 1972 à bon prix.
J'ai encore une bouteille de La Tâche 1955 que je réserve pour une grande occasion (dégustation DBA ou chez Eric). Je la partagerai avec plaisir avec des connaisseurs.
Eric avais émis le souhait d'un jour organiser ce genre de dégustation et si c'est le cas et qu'un DBA n'est pas passé avant, on se délectera aussi de ce La Tâche 1955.

Thierry (Bxl)

Bon, c'est quand le prochain DBA ?

Luc

Le rêve est indispensable.
Mais je ne courrai jamais le 100 mètres en 5 secondes, et jamais la Romanée Conti ne reviendra en dessous de 100 euros.

Pour la Tâche 55, je suis évidemment partant, et en plus, j'ai des munitions de même calibre, ce qui permet de programmer assez facilement des évenéments de ce type.

Pour mon info, c'est quoi DBA ?
Je suis assez allergique aux sigles (sauf DRC, évident), car on passe du temps à chercher, alors qu'en tapant toutes les lettres, chacun comprend tout de suite.

Pour La Tache 1955, on peut causer. Je dois pouvoir sortir La Tache 1943, une des plus grandes que j'ai bues. A suivre ...

Dîner des Belges et Assimilés. Par assimilé, on entend les quelques Français qui travaillent à Bruxelles depuis de longues années et qui sont acceptés car ils ont acquis les moeurs locales, c'est-à-dire boire et manger beaucoup et bien, rire en se tapant sur le ventre, ne pas se prendre au sérieux (le plus difficile pour un Français ) et parler avec l'accent bruxellois. Il y a encore du travail en perspective François... ()

Luc

Luc Javaux écrivait:

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> Dîner des Belges et Assimilés. Par assimilé, on
> entend les quelques Français qui travaillent à
> Bruxelles depuis de longues années et qui sont
> acceptés car ils ont acquis les moeurs locales,
> c'est-à-dire boire et manger beaucoup et bien,
> rire en se tapant sur le ventre, ne pas se prendre
> au sérieux (le plus difficile pour un Français )
> et parler avec l'accent bruxellois. Il y a encore
> du travail en perspective François... ()
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> Luc

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