Session de rentrée ce samedi au restaurant le Valentin, une dégustation mets/vins classique et éclectique histoire de réviser nos fondamentaux.

Avec l'amuse-bouche : Velouté de potiron à la crème

La robe est claire, le nez est minéral, avec un côté crayeux. La bulle manque un peu de finesse. En bouche beaucoup de vivacité et une finale sur l’acidité…
Champagne David Léclapart « L’Amateur » Blanc de blancs 1er cru extra brut.
Accord très contrasté avec le velouté.

Sur l'entrée : Foie gras de canard en terrine au naturel

Robe très claire, notes fumées au premier nez, puis ça sauvignonne de plus en plus, mais en développant également des arôme de fruit de la passion, kaki, agrumes qui font penser à un Pacherenc sec. Une légère pointe de C02 en attaque, de la légèreté en bouche et une belle acidité finale avec une légère touche de sucrosité et un peu d’amertume. Agréable à boire, mais l’accord sur le foie gras ne me convainc pas
Sauvignon 2009 Dog Point (Nouvelle Zélande)
Un clin d’œil d’Adrien qui nous quitte pour un an direction la Nouvelle Zélande…. En y revenant plus tard dans l’après midi, le vin aura beaucoup perdu de son nez très démonstratif.

Une robe claire, un nez complexe, qui laisse croire à un vin liquoreux de prime abord. On est sur la guimauve, les épices, un nez assez opulent qui fait penser à un blanc rhodanien. Le vin est en fait sec, bien équilibré, d’une grande longueur, mais un peu alcooleux en finale.
Personne ne serait risqué à penser que nous sommes en Bourgogne…
Chassagne Montrachet 1er cru La Maltroie 2006, Domaine Bernard Moreau.
Bon accord, mais sans émotion.

Au nez, un côté mentholé, qui disparaît ensuite, on trouve des notes citronnées, de poire, un côté floral, mais il faut aller chercher les arômes, le vin qui n’est pourtant pas du dernier millésime, semble encore fermé. En bouche, du gras, une attaque ronde, et une belle tension en fin de bouche. Belle bouteille, avec de la finesse, mais qui ne révèle peut être pas son vrai potentiel.
Pouilly-Vinzelles 2006 Les Quarts , cuvée millerandée, Domaine de la Soufrandière.
Là aussi l’accord se fait mais sans transcendance.

« Ca sent le fuel, ça doit être un riesling » Luc, notre alsaco de service, a bien senti le coup… Effectivement ça pétrole sérieux, et ça citronne. Nez d’hydrocarbure qui partage l’assistance, il y a les amateurs et les autres… Jolie robe bien marquée par l’évolution, bel équilibre entre l’acidité encore bien présente et le sucre, mais si les années en ont probablement déjà gommé une partie. C’est bon jusqu’en finale, opulent mais sans excès, avec du moelleux et du peps, et une belle longueur.
Riesling Grand Cru Moenchberg vendanges tardives 1996, Rémy Gresser.
Mon accord préféré parmi les blancs.

Au premier nez, ça dépote fort sur la colle Pattex, le vernis, mais heureusement tout rentre rapidement dans l’ordre. Le nez iodé s’ouvre sur la cire d’abeille, le miel, les agrumes. Le vin trouve son aplomb et montre une belle balance sucre/acidité, une bouche pleine et une très jolie persistance sur l’orange amère. Un beau Sauternes avec, au vu de son âge, une belle fraîcheur et encore un beau potentiel de vieillissement.
Sauternes Château Filhot 1988.
J’ai moyennement apprécié l’accord avec le foie gras, le vin écrasant le plat.

Une belle série de blancs, avec une progression bien orchestrée par Fred, mais alors que nous nous demandons tous quel vin va pouvoir tenir la route derrière le Sauternes, nous entendons un doux « plop »… Des bulles ? Excellente idée pour relancer la machine.

Et pas n’importe quelles bulles ! Un nez très vineux, d’une grande élégance, beaucoup de finesse, une trilogie amertume/acidité/longueur qui emmènent ce champagne très loin. L’équilibre est millimétré, la longueur diabolique, la bulle d’une grande finesse. Ce vin fait l’unanimité, c’est la grande classe de se rincer la bouche avec ça. Voilà un champagne qui me séduit beaucoup, mais en découvrant l’étiquette je dois me rendre à l’évidence : je ne vais pas pouvoir m’en offrir tous les jours !
Champagne Bollinger Grande Année 1999
Merci à Adrien qui nous a offert ce bonus. Autant j’avais été déçu en découvrant l’étiquette de la Grande Année 2000 bue lors de notre session précédente, autant celle-ci est magnifique.

Sur le plat : Carré d’agneau rôti en manteau, légumes de saison

J’ai globalement moins apprécié la série des rouges, nous avons été un peu plus pressé par le timing, l’agneau n’attendant pas, les vins se sont succésés à une cadence plus élevée, et j’étais peut être dans un jour moins réceptif aux rouges. Mes notes sont également plus succintes.

Un beau nez, un vin à l’apogée, belle expression de pinot, au carrefour des arômes primaires et tertaires… Belle finesse.
Gevrey Chambertin 1er Cru Clos St Jacques 2000 Bruno Clair.

Un nez plus évolué, avec un côté « ferreux ». Encore un peu dur malgré son âge avec encore des tannins en finale. J’aime moins.
Charmes-Chambertin Grand Cru 1994 Henri Perrot-Minot

Un nez viandé, une très belle matière, encore du fruit malgré l’âge. Belle finale poivrée, épicée, à peine asséchante mais en même temps sans aucune lourdeur.
Châteauneuf du Pape Château La Nerthe Cuvée des Cadettes 1995

Vin très fermé de prime abord, il s’ouvre lentement, sur les fruits noir, des notes giboyeuses d’évolution, un côté encre, beaucoup de matière, il semble encore jeune et est à attendre quelques années. Beau potentiel.
Pauillac Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande 2002

Pas grand-chose à dire sur les accords entre les rouges, ça fonctionne bien avec la viande globalement, avec un avantage à mon goût pour le Chateauneuf, le Pichon Comtesse étant encore à attendre… En revanche accord difficile sur l’accompagnement à base d’aubergines.

Sur le dessert : Feuilleté tiède de poires caramélisées

Un nez très rancio, avec une pointe alcooleuse, en bouche, la noix, le café, les épices (girofle vanille). Bel équilibre et belle finale, un très beau vin de dessert et un superbe accord de fusion avec le feuilleté aux poires… La noix pourrait très bien être dans le plat, mais elle est dans le verre.
Rivesaltes Ambré 1998 Cazes

Le dernier vin n’est pas apparu à son avantage. Un nez très alcool à brûler, une bouche fermée à double tour, et une acidité impossible à marier avec le dessert. Petite erreur de casting à mon sens, et le bénéfice du doute pour ce vin, qui pour avoir goûté le 2001 récemment, ne se présente sous son vrai profil qu’après au moins deux – trois jours d’aération. Je suis curieux de lire les notes de Fred sur la dégustation qu’il en fera dans les jours à venir.
Arbois Vieux Savagnin ouillé Overnoy/Houillon 2000

Encore une après midi sympathique, en bonne compagnie et émaillée de quelques pépites.
Parmi mes préférés, je retiendrai le Bollinger, grosse claque, le Riesling et le Chassagne en blanc, le Châteauneuf en rouge et le Rivesaltes.

La prochaine fois, LPV Franche Comté part en excursion….une affaire à suivre.

_{Edit: rajouté le millésime du Clos St Jacques}

Merci Tophe pour l'ouverture des hostilités avec ce CR qui résume bien mon ressenti de cette dégust (en même temps ça m'arrange car moi je n'ai pas pris de note !!!)
Je ne livrerai donc que mon "top 3" avec une 1ère place accordée haut la main à La grande année de Bollinger, je n'avais pas eu la chance de goûter le 2000 la fois précédente (les absents ont toujours tord n'est-ce-pas ! et si je n'avais manqué que ça... grrrrrr !!!!) mais ce 1999 m'a subjuguée... un très grand champagne au nez très vineux, à la bulle très fine qui fond en bouche... et une longueur incroyable : un vrai plaisir... c'est superbe, merci Adrien pour ce joli cadeau ! Et bonne route à toi !
Ensuite, 2 rouges, dans des styles bien différents mais qui m'ont plu tous 2 : le Clos Saint Jacques de Bruno Clair pour la finesse de sa texture, ses notes de pinot un peu évoluées et le Chateauneuf de La Nerthe, puissant, épicé, de la matière mais très agréable avec une belle longueur, sur la viande, ça me plait plus que les Bourgogne...
Et puis un petite déception pour le Savagnin de Overnoy/Houillon qui effectivement s'est mal présenté. Je pense aussi que l'aération lui fera du bien et le fera évolué pour qu'il se montre sous son meilleur jour, comme il doit être ! Fred devrait donc se régaler aujourd'hui ou demain... en l'accompagnant d'un peu de fromage plutôt que de poires caramélisées !!!
Et une mention spéciale pour l'accord poires / Rivesaltes, moi qui ne suis pas forcément fan de ce genre de vin, je me suis régalée, le vin servant admirablement le plat et vice et versa !!!
Merci à tous pour cette sympatique journée et au plaisir de de la prochaine...

Karine

PS : un merci spécial à Christophe qui a gentillement remplacé les bus en grève et à Eric qui a assuré le retour ! Après 13 vins et comme je n'ai toujours pas appris à cracher, c'est fort appréciable !

Encore une belle série chez LPV Franche-Comté!

Quelle année le GC Clos St jacques?

C'est sous un soleil radieux que c'est effectuer la rentrée de LPV franche comte pour sa 5em session
au restaurant le Valentin à Besançon. Au programme 13 vins à déguster pour 10 participants sur les plats concocté
par Jean François Maire.

velouté de potiron à la crème

Foie gras de canard en terrine au naturel

Carré d’agneau rôti en manteau, légumes de saison

Feuilleté tiède de poires caramélisées


En apéritif sur le velouté de potiron à la crème
Champagne l'amateur David Léclapart Blanc de blanc extra brut .Fredtoutcourt.

Nez sur les fleurs blanches, puis un peu de toaster se développe à l'aération
en bouche l'attaque est vive avec du gras et des odeurs de poire, de pêche.
Les bulles sont fine et une touche saline en fin de bouche le rend particulièrement digeste.

Sauvignon de Nouvelle Zélande, domaine Dog Point 2009 .Adrien25.

Clin d'œil d'Adrien pour son départ d'un an en nouvelle Zélande.
Une robe claire et un nez sur les agrumes,les fruits exotique,avec un peu de fumée, on devine du sucre résiduel.
En bouche le vin est très gras avec toujours ces notes d'agrumes puis une belle amertume rafraîchissante en finale.
Même avec le bouchon a vis il n'a pas été clairement identifier comme un vin étranger.(comme si y haka!).C'est loin
de l'image stéréotypé des vins du nouveau monde en grande distribution.

Sur le foie gras de canard en terrine au naturel

Chassagne Montrachet 1ER cru blanc « La Maltroie » 2006 chez MOREAU Bernard .Karine39.
Juste carafé au service.
Une robe brillante et un nez sur l'amande verte, il semble trop chaud, peut être que 2°de moins
l'aurai rendu plus digeste car en bouche l'alcool prend le dessus, il a pourtant beaucoup de puissace
avec du gras et un coté épicée, cela me semble aussi trop jeune et merite encore de se fondre
surtout avec un foie gras.

Pouilly-Vinzelles les quarts cuvée millerandée 2006 - Bret Brothers .Clémence Greg.

D'une couleurs clair, cette cuvée présente au nez un peu de résiduel, puis en s'aérant longuement la lime.
En bouche il est malheureusement fermé a double tour.Il y a beaucoup de mineralité et de finesse mais en l'état
c'est assez difficile d'en profiter.

Alsace Riesling Grand Cru Moenchberg VT 1996 Rémy Gresser .Tophe.
Juste carafé au service.
Un nez de pétrole qui trahit son origine au début mais qui s'éstompra rapidement laissant place à
des fruit exotique,la pâte de coing. Une grande richesse aromatique qui fait craindre qu'en bouche
le vin soit lourd et pâteux, et bien pas du tout, la bouche et fraîche, légère, saline et une belle
longueur pour ce vin qui se marie superbement avec le foie gras.

Château Filhot Sauternes 2em gcc 1988 .Erig.
Juste carafé au service
Belle couleurs dorée pour ce bien jeune sauternes car il n'a pas encore manger suffisamment ces sucres.
Un premiers nez sur l'acétate d'éthyle, puis il s'ouvre sur des odeurs de miel, de cire et d'abricot confit.
En bouche il enrobe le palais avec beaucoup de gras et de confit mais termine avec légèreté.
Actuellement il ne faut pas hésité à l'ouvrir longtemps a l'avance.

Champagne Bollinger Grande Année 1999 .Adrien25.

Une difficulté m'est apparu en choisissant les vins parmi les propositions des participants
Comment gouter l'agneau dans de bonne condition après le foie gras et 3 vins comportant
pas mal de sucre résiduel. D'où la décision d'insérer le bollinger après le foie gras. Avec une question,
va t'on vraiment profiter du champagne? et surtout de celui-ci?.

Cadeau de départ d'Adrien et quel cadeau!

Nez puissant et vineux d'une grande finesse, pâtissier et briocher, en bouche le volume est impressionnant
la puissance phénoménale avec une finesse d'une pureté incroyable c'est long et ça empli la bouche dès la
première gorgée. Cette bouteille qui à fait l'unanimité de l'assemblée goûte beaucoup mieux que le 2000 bu
lors de la précédente session LPV.
Adrien, tu cave va nous manquer!!!-D

Les rouges avec le carré d’agneau rôti en manteau, légumes de saison

Gevrey Chambertin 1er cru clos saint Jacques 2000 - Bruno Clair .Clémence greg.

Une robe un peu évoluée,un nez fin et légèrement épicée pour ce premier rouge.
La bouche est soyeuse avec une belle et longe trame aromatique qui évoque un chambolle
pour une partie des participants, ce vin qui semble à l'apogée fait un accord superbe avec l'agneau.

Charmes-Chambertin grand cru Henri Perrot-Minot 1994 .JF Maire.

Un nez fermé au départ puis s'ouvre sur le cuir, les champignons, le sous bois.
En bouche on retrouve l'évolution du nez et une texture racée et soyeuse.

Château La Nerthe : Cuvée des Cadettes 1995 .Christophe.
Juste carafé au service
Au nez de la vanille, des notes d'élevage étonnante pour un 95; Le vin semble très jeune avec encore
beaucoup de tanins.
Servi trop frais ce vin est rester fermé, à aérer impérativement plusieurs heures.

Pichon Longueville Comtesse de Lalande 2002 Pauillac second gcc .Fredtoutcourt.
Carafé 3 heure
Si l'agneau n'est pas de Pauillac c'est le Pauillac qui viendra a lui!
Nez griller un peu fumé, la vanille s'impose à l'aération. Ce vin est lui aussi fermé à double tour.
Beaucoup trop jeune pour se livré on devine quand même un gros potentiel, des arômes torréfier et de moka
se dévoile, les tannins sont encore serrés mais fins.
Le cabernet ne poivronne pas et déroute l'assemblée sur ces origines, ça fera peut être une belle bouteille dans 10 ans.

Sur le feuilleté tiède de poires caramélisées

Rivesaltes ambré Cazes 1998 .Lucalsace.
Juste carafé au service
Un nez sur l'abricot, le raisin de corinthe, un peu oxydatif, la bouche est ample et grasse.
Avec le feuilleté de poire l'accord est superbe, c'est difficile de savoir qui fait quoi en goutant
successivement les deux tellement la complicité est parfaite.
Merci à Jean François de m'avoir suggérer cet accord.

Vieux Savagnin ouiller maison Pierre Overnoy/Emmanuel Houillon 2000 .Fredtoutcourt.

Nez clairement oxydatif mais pas en place, un vin qui à très mal gouter ce jours là.
Il ressemble plus a un vin jaune fraichement ouvert avec des notes alcooleuse et verte.
Je suis précieusement les conseils de Tophe et m'en vai le regoûter dans les jours, semaines a venir
et on en reparlera!

Les quilles




Voilà pour cette 5em rencontre, pleine de diversités.
Adrien, bonne voyage à toi et à Bientôt.

Bonjour à tous,

J´ai eu beaucoup de plaisir à tous vous retrouver pour cette nouvelle cession. Les plats étaient de très bon niveau, la succesion des vins s´est faite avec maestria (Merci Fred )
Le seul mais éternel bémol est l´enchenement trop rapide des rouges cette fois-ci nécessaire (???) sur l´agneau.

Je ne retiendrais que les vins m´ayant marqué:

Sauvignon 2009 Dog Point (Nouvelle Zélande)
Un nez de sauvignon à n´en pas douter mais l´ensemble très exotique fait beaucoup penser à un Pacherenc sec. Un vin agréable et surprenant. Merci pour le clin d´oeil Adrien.

Chassagne Montrachet 1er cru La Maltroie 2006, Domaine Bernard Moreau
Servi trop chaud. Premier nez très furtif de chardonnay.
Mais vient très vite la grande interrogation. C´est sec mais opulent, légèrement épicé. Malheureusement lourd en bouche. Déroutant.

Riesling Grand Cru Moenchberg vendanges tardives 1996, Rémy Gresser.
Le doute sur l´origine de ce vin n´est plus permise dès le 1er nez.
La robe est évoluée. C´est riche en bouche mais d´une droiture, d´un équilibre et d´une minéralité sans faille. Trés belle longueur et belle quille.

Champagne Bollinger Grande Année 1999
En discutant à „l´entracte“ nous nous demandions ce qui pourrait bien suivre le Sauternes. Ce champagne est une excellente idée.
On sait immédiatement au nez que l´on à du grand dans le verre. C´est vineux, d´un équilibre magistral et d´une superbe longueur. Je prends mon pied avec des champagnes de ce calibre. Impossbile à cracher. Merci Adrien, tu reviens quand tu veux

Je serais très bref sur les rouges. Seuleument 2 m´opnt marqué.

Le Clos St Jacques m´a procuré beaucoup de plaisir avant d´attaquer le plat. Ca pinotait bien et c´était très fin.

Le Pichon Comtesse. Je ne pense pas avoir été victime de la fatigue au vu des tronches de mes camarades. Je défie quiconque de placer ce vin dans le Bordelais. Tellement écrasé par l´élevage que rien ne ressort.

Pour finir un grand Merci à notre hôte pour ce merveilleux accord en dessert. Le Rivesaltes ambré trouve avec le feuilleté de poires caramélisées un compagnon idéal.
Un accord splendide, un match de ping pong international dans la bouche et beaucoup de plaisir.

Vivement la prochaine ou j´espère toutefois ne pas boire que du rosé ><

Bonjour a tous les LPV Franche Comte depuis la Nouvelle Zelande, mon nouveau pays pendant un an.

Je vois que les photos ont bien ete ajoutees par Fred..

Je donnerai mes impressions sur cette degustation un peu plus tard, une fois que j aurai acces a un reseau wifi ilimite.

Bonne continuation a vous dans les degustations, et a l annee prochaine.

Adrien

Nous avons bu le savagnin ouillé de P.Overnoy 2007 dimanche dernier, et malgré son jeune âge, il s'est pas montré à son avantage, non plus.
Avec des arômes fermentaires, de cidre et une acidité hors-norme, ce qui ne fait qu'augmenter ma méfiance vis-à-vis de ces vins dits "natures" !

Déçu de ne pas avoir pu être de la partie... Rentrée très chargée pour ma part!

En tous cas encore une bien belle dégustation dans le 25!

J'espère vous retrouver bientôt avec de bien bonnes bouteilles!

Benoît